A quel âge l’humain est-il au "meilleur de sa forme" intellectuellement parlant ? C'est notre question de lecteur de la semaine. Pendant longtemps, la science a tenté de définir un "âge d’or universel" de nos facultés cognitives. Mais les recherches récentes dessinent un paysage bien plus nuancé.

Nous nous concentrons plus fortement sur les sons continus lorsque nous marchons que lorsque nous restons immobiles, sauf lors d'un bruit soudain et inattendu, concluent de nouveaux travaux mesurant l'intensité de l'activité cérébrale sur des sujets mobiles. 

Pour ce pionnier de l'imagerie cérébrale, qui au cours d'une carrière exceptionnelle a vu les connaissances sur le domaine exploser, la mémoire, loin d'être un simple stock de souvenirs, est en permanence guidée par l'avenir.

Bouger, ne pas se disperser, réguler ses émotions ou garder ses sens en éveil… Autant de leviers qui permettent d'optimiser le processus de mémorisation. Mais dont il faut user parfois avec modération !

Le président américain et son secrétaire d’Etat à la santé Bobby Kennedy Jr. avaient annoncé un plan "incroyable" contre "l’horrible crise de l’autisme" aux Etats-Unis. Mais les "nouvelles" préconisations n’ont rien d’extraordinaire. Même pour ceux qui aiment le détester, il n’y a en réalité pas grand-chose à se mettre sous la dent.

La plus grande étude génétique menée sur le bégaiement à ce jour a permis l'identification de dizaines de marqueurs génétiques associés à ce trouble moteur du langage qui affecterait près de 1% de la population mondiale.

L’accumulation de la protéine α-synucléine est l'une des caractéristiques de la maladie de Parkinson. Cette nouvelle étude montre que ces protéines pourraient trouer la membrane des neurones, les affaiblissant petit à petit.

Une nouvelle étude de l'université de Kobe a permit la découverte d'interneurones spécifiques, impliqués dans la régulation du phénomène de l'empathie chez les souris de laboratoire.

"Pourquoi certaines personnes se sentent-elles particulièrement incommodées dans des environnements où le taux d’oxygène est légèrement abaissé, alors que d'autres ne semblent rien remarquer ?", nous demande un fidèle lecteur de Sciences et Avenir. 

Le souvenir des événements émotionnellement marquant sont mieux stockés sur le long terme, mais aussi certains souvenirs à faible impact qui les ont suivis ou précédés, conclut une nouvelle étude. Etonnamment, les critères de sauvetage de ces souvenirs faibles varient selon qu'ils ont été vécus avant ou après l'expérience marquante.