L’intelligence passe en premier lieu par nos sens et notre capacité à interpréter les signaux qu’ils nous envoient. Certains animaux possèdent des sens qui nous sont étrangers et les utilisent de façon si sophistiquée qu’on peut aisément les qualifier de superpouvoirs.

Le prix Nobel de chimie de cette année récompense les structures métallo-organiques (MOF) : des structures capables d’exploits aussi variés qu’amener de l’eau dans le désert, capturer le CO2, purifier l’air et l’eau.

On s’interroge plus souvent sur la toxicité d’un champignon que sur son intelligence et pourtant, sous terre, ils construisent un véritable réseau qui n’a pas fini de nous étonner.

Singes, dauphins, chiens… Ces animaux sont connus pour leur intelligence, mais quels tests les scientifiques ont-ils inventé pour déterminer l’intelligence des animaux ?

Le modèle de Cattell–Horn–Carroll, une référence en psychologie cognitive, sert aujourd’hui de base à des tests psychologiques pour décrire l’intelligence.

Difficile de résumer l’intelligence d’un être humain à un simple chiffre comme le QI. Depuis plusieurs années déjà, les scientifiques essaient d’élargir la définition de l’intelligence afin de prendre en compte les subtilités de l’humain.

L’intelligence est loin d’être unique et avec une définition simple. Les différentes intelligences humaines, celles présentes chez les animaux et les plantes et aujourd’hui, l’intelligence artificielle… La Fête de la science vous les fait découvrir !