Apple explose ses records : 102 milliards de dollars, la revanche après une année catastrophique

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 La fin de Windows 10 incite de nombreux utilisateurs à migrer vers macOS. Bilan de cette tendance que Microsoft n'a pas vu venir.
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Cet article Fin de Windows 10, les ventes de macBook grimpent en flèche a été publié en premier par GinjFo.

OpenAI a annoncé le 23 octobre 2025 acquérir Software Applications Inc, le fabricant de Sky et de Shortscuts d'Apple. L'objectif, selon l'entreprise : améliorer la façon dont les gens utilisent l’IA sur leurs ordinateurs.


OpenAI franchit une nouvelle étape dans sa stratégie d’expansion en lançant ChatGPT Atlas, un navigateur web intégrant directement l’intelligence artificielle. Présenté mardi, ce produit marque l’ambition claire de l’entreprise : réinventer la recherche en ligne et concurrencer Google Chrome, toujours leader incontesté du secteur. Une nouvelle génération de navigateur intelligent Disponible d’abord sur macOS, Atlas ... Lire plus
L'article OpenAI dévoile ChatGPT Atlas, son navigateur web propulsé par l’IA est apparu en premier sur Fredzone.Commande à taper dans le terminal :
defaults write -g com.apple.SwiftUI.DisableSolarium -bool YES
Pendant qu’Apple peaufine son IA maison pour Xcode (sans date de sortie, évidemment), Microsoft vient tranquillou installer ses petites affaires dans l’écosystème le plus verrouillé du marché en sortant son extension officielle Github Copilot pour Xcode , pile-poil au moment où les rumeurs nous soufflent qu’Apple travaille aussi sur sa propre solution locale.
Cette extension de Github pour Xcode propose trois fonctionnalités principales. Tout d’abord de la complétion de code en temps réel. Ensuite, pendant que vous tapez, un tchat vous permet de poser des questions sur votre code, et il y a également un mode Agent qui peut modifier directement vos fichiers et lancer des commandes terminal. C’est gratuit jusqu’à 2000 complétions et 50 messages tchat par mois, donc largement de quoi rendre accro la majorité des devs iOS avant qu’Apple ne sorte son propre truc !
Maintenant pour utiliser un outil Microsoft dans un IDE Apple, vous devez accorder trois permissions macOS sacrées : Background, Accessibilité, et Xcode Source Editor Extension. Hé oui, Apple force littéralement ses développeurs à ouvrir toutes ces portes et niveau permissions, c’est l’Accessibilité qui pose régulièrement problème, car faut souvent la désactiver puis la réactiver pour que ça fonctionne correctement.
Ensuite l’installation est assez classique. Soit via Homebrew ou en téléchargeant le DMG directement depuis le dépôt GitHub.
brew install --cask github-copilot-for-xcode
Vous glissez ensuite l’app dans Applications, vous accordez les trois permissions système, vous activez l’extension dans les préférences Xcode, et hop, vous signez ça avec votre compte GitHub Copilot.
Un autre projet communautaire existait déjà intitni/CopilotForXcode , non officiel mais fonctionnel, qui supportait GitHub Copilot, Codeium et ChatGPT mais comme Microsoft sort maintenant sa version officielle pour contrôler le territoire comme un dealer dans son quartier, j’imagine que cette dernière ne va plus faire long feu.
Les tests comparatifs montrent que Copilot reste plus rapide et plus précis que le système de prédiction local d’Apple intégré dans Xcode car Apple mise uniquement sur du traitement local avec un modèle embarqué (pas de cloud donc, tout est sur votre Mac), surtout que Microsoft a déjà des années d’avance sur l’entraînement de ses IA et la rapidité de ses serveurs.
 
Donc voilà, les développeurs iOS se retrouvent maintenant à choisir entre attendre un hypothétique Copilot d’Apple sans date de sortie, ou donner les clés de leur Xcode à Microsoft dès maintenant. Ou alors continuer à coder sans IA comme les hommes de Cro-Magnon à l’époque !
En tout cas, avec 2000 complétions gratuites par mois comme dose pour devenir accro, combien vont résister si Apple tarde encore 6 mois de plus ??

Meta s’apprête à mettre fin au support de ses applications de bureau Messenger pour Windows et macOS. Les deux apps ont déjà été retirées du Microsoft Store et du Mac App Store, et les utilisateurs actuels reçoivent désormais des notifications les avertissant que le service prendra fin en décembre. Selon une page d’assistance Meta repérée […]
L’article Meta va supprimer les applications de bureau Messenger sur Windows et macOS est apparu en premier sur BlogNT : le Blog des Nouvelles Technologies.
Vous avez un Mac M1, M2, M3 ou M4 ? Bonne nouvelle, vous trimballez probablement entre 50 et 100 GB de code complètement inutile que votre processeur n’exécutera jamais et ce, depuis le jour où vous avez acheté votre superbe machine.
Les coupables ce sont les binaires universels de vos plugins audio (VST…etc) et vos apps traditionnelles qui contiennent maintenant deux versions complètes du code : une pour Intel, une pour Apple Silicon. Et comme votre Mac n’utilise qu’une seule de ces versions, mais vous payez le prix fort en espace disque pour les deux.
Car depuis 2020 et la transition vers Apple Silicon, Apple a choisi la simplicité : un seul fichier pour tout le monde ! Le développeur compile son code deux fois (Intel + ARM), colle les deux versions ensemble, et hop, vous vous retrouvez avec des fichiers littéralement deux fois plus gros qu’ils ne devraient l’être.
Et c’est là qu’ Unfatten entre en jeu. Ce petit outil gratuit fait exactement ce que son nom indique : il dégonfle vos plugins et vos applications en supprimant la partie du code que vous n’utilisez pas. Si vous êtes sur Apple Silicon, il vire le code Intel et si vous êtes encore sur Intel, il peut virer le code ARM (mais attention, si vous comptez upgrader votre Mac un jour, vous devrez tout réinstaller).
 
L’utilisation est ultra simple, vous sélectionnez les dossiers contenant vos apps et plugins, vous choisissez les formats à scanner (AAX, VST, VST3, AU), et vous lancez le scan. L’outil propose un mode simulation qui permet de voir exactement combien d’espace vous allez récupérer sans rien toucher et une fois que vous avez vu les chiffres (et croyez-moi, ils font mal), vous pouvez lancer le nettoyage réel !
Pensez quand même à faire un backup de vos plugins avant car on n’est jamais trop prudent avec ses plugins audio à 200 euros pièce qu’on ne peut pas toujours re-télécharger facilement. Après pour les apps, c’est moins critique, suffit de la réinstaller.
 
Pensez aussi à repasser un petit coup de Unfatten après d’éventuelles mises à jours des apps ou des plugins.
D’ailleurs, j’sais pas si vous savez mais macOS 26 Tahoe est la dernière version à supporter du x64 avec Rosetta 2, qui permet de faire tourner les apps Intel sur Apple Silicon.
Voilà, l’outil est disponible ici sur avelio.tech/unfatten et si au premier lancement, vous avez un avertissement de sécurité, passez par Sentinel pour le débloquer.
Merci à Lorenper pour l’info !

Une revue intéressante de l'évolution du design visuel de MacOS mais à reculons, en inversant la ligne du temps.
C'est une bonne manière de se rendre compte de certains sacrifices effectués sur l'autel de la modernité.
Une revue intéressante de l'évolution du design visuel de MacOS mais à reculons, en inversant la ligne du temps.
C'est une bonne manière de se rendre compte de certains sacrifices effectués sur l'autel de la modernité.
Les amis, je ne sais pas si vous êtes sous Mac, mais si c’est le cas, vous avez peut-être succombé à la mise à jour vers macOS Tahoe.
En tout cas, moi, j’ai fait la migration, et franchement, j’ai vu aucune différence, à part quelques petits aspects graphiques par-ci par-là. En tout cas, ça m’a pas hypé de fou, ni traumatisé non plus.
Par contre, ce qui m’a VRAIMENT traumatisé, ce sont les performances de mon Mac Studio M4 Max qui est quand même assez puissant et qui se retrouve à tourner comme un escargot asthmatique fumeur de joints. Cela se produit notamment lorsque je lance mes lives sur Twitch et c’est assez handicapant pour ne pas dire inutilisable… Le scroll est lent, les applications rament, mes streams lagguent, c’est l’enferrrrr et ça me met de mauvaise humeur !
Et après avoir été faire un tour sur Reddit, ce que je peux vous dire, c’est qu’il y a beaucoup de gens dans mon cas qui gueulent contre cette nouvelle version de Mac OS parce qu’elle est buggée, parce qu’elle rame, parce que ce n’est pas ouf. Donc déjà, je voudrais dire un gros “bouuuuh” à Apple.
Moi, ce qui me posait vraiment problème sur mon macOS, c’est le processus WindowServer qui tournait à FOND les ballons. Alors, effectivement, j’aurais pu croire que c’était un malware qui minait des bitcoins en douce, mais, bon, je fais un petit peu attention, quand même…
Non, non, non, c’est du ralentissement natif by design made in Cupertino.
Après moult péripéties, j’ai donc trouvé comment régler ce problème (jusqu’au problème suivant…). Je vous livre donc cette petite astuce si vous aussi vous avez WindowServer qui part dans les choux après la mise à jour vers Mac OS Tahoe.
Allez dans les réglages au niveau de la section énergie et vérifiez que vous n’avez pas activé le mode économie d’énergie. Moi, en tout cas, c’est ce mode-là qui m’a mis dedans. J’ai l’impression que ça bride l’ordinateur et le système d’exploitation, bref que c’est mal géré et ça fait tout ramer.
Du coup, en désactivant ce truc, mon ordinateur est redevenu à nouveau utilisable. Woohoo !
 
Donc j’attends la prochaine mise à jour Apple, mais, bon, voilà, en attendant, essayez au moins ça, vous verrez si ça marche.
Et, après, pour tous les autres problèmes liés à Spotlight, à l’indexation des photos, ce genre de trucs, faut parfois redémarrer, tuer les processus, désactiver, par exemple, dans iCloud la synchronisation des contacts (process contactd) sur des comptes Gmail ou Exchange
 
Ou virer des choses dans la config de Spotlight, ce genre de truc, en attendant un fix…
 
Voilà, bon courage à tous les galériens fans de la pomme et à très bientôt !

Si vous êtes sous Mac, je pense que comme moi, vous passez votre temps à chercher des fichiers ou lancer des applications avec Spotlight… Si vous ne connaissez pas cet outil, c’est un truc super pratique d’Apple qui indexe tout votre disque dur pour vous faire gagner du temps. Command+Espace, trois lettres tapées, et hop, votre document apparaît. Pratique, non ?
Sauf que voilà, depuis presque 10 ans maintenant, ce même Spotlight peut servir de cheval de Troie pour siphonner vos données les plus privées. Et le pire, c’est qu’Apple le sait et n’arrive toujours pas à vraiment colmater la brèche.
 
Patrick Wardle, le chercheur en sécurité derrière plusieurs outils populaires comme LuLu , vient d’expliquer sur son blog Objective-See une technique ahurissante qui permet à un plugin Spotlight malveillant de contourner toutes les protections TCC de macOS. Pour info, TCC (Transparency, Consent and Control), c’est le système qui vous demande si telle application peut accéder à vos photos, vos contacts, votre micro… Bref, c’est censé être le garde du corps de votre vie privée sous Mac.
Alors comment ça marche ?
Hé bien au lieu d’essayer de forcer les portes blindées du système, le plugin malveillant utilise les notifications Darwin comme une sorte de morse numérique. Chaque byte du fichier à voler est encodé dans le nom d’une notification (de 0 à 255), et un processus externe n’a qu’à écouter ces notifications pour reconstruire le fichier original, octet par octet. C’est du génie dans sa simplicité !
 
 
 
Ce qui rend cette histoire encore plus dingue, c'est que cette vulnérabilité a été présentée pour la première fois par Wardle lui-même lors de sa conférence #OBTS v1.0 en 2018. Il avait déjà montré comment les notifications pouvaient permettre aux applications sandboxées d'espionner le système.
Plus récemment, Microsoft a “redécouvert” une variante de cette technique cette année et l’a baptisée “ Sploitlight ”. Ils ont même obtenu un joli CVE tout neuf (CVE-2025-31199) pour leur méthode qui consistait à logger les données dans les journaux système. Apple a corrigé cette variante dans macOS Sequoia 15.4… mais la méthode originale de Wardle fonctionne toujours, même sur macOS 26 (Tahoe) !
Et sinon, savez-vous ce que ces plugins peuvent voler exactement ?
Il y a notamment un fichier bien particulier sur votre Mac, caché dans les profondeurs du système, qui s’appelle knowledgeC.db. Cette base de données SQLite est littéralement le journal intime de votre Mac. Elle contient tout :
C’est le genre de données qui raconte votre vie mieux que vous ne pourriez le faire vous-même. Et avec les nouvelles fonctionnalités d’Apple Intelligence dans macOS Tahoe, cette base de données alimente directement l’IA d’Apple pour personnaliser votre expérience.
Avec ce fichier, quelqu’un pourrait non seulement voir ce que vous faites maintenant sur votre Mac, mais aussi reconstituer vos habitudes des 30 derniers jours. À quelle heure vous commencez votre journée, quelles apps vous lancez en premier, combien de temps vous passez sur tel ou tel site… C’est le rêve de n’importe quel espion ou publicitaire, et c’est accessible via une simple vulnérabilité Spotlight.
Apple a bien sûr essayé de corriger le tir. Dans macOS 15.4, ils ont ajouté de nouveaux événements TCC au framework Endpoint Security pour mieux surveiller qui accède à quoi. Ils ont aussi corrigé la variante découverte par Microsoft (CVE-2025-31199).
Mais… la vulnérabilité de base présentée par Wardle fonctionne toujours sur macOS 26 (Tahoe), même en version Release Candidate avec SIP activé ! C’est comme ajouter une serrure supplémentaire sur la porte alors que tout le monde passe par la fenêtre depuis 10 ans.
Wardle a une idée toute simple pour régler définitivement le problème : Apple pourrait exiger une notarisation pour les plugins Spotlight, ou au minimum demander l’authentification et l’approbation explicite de l’utilisateur avant leur installation. Actuellement, n’importe quel plugin peut s’installer tranquillement dans ~/Library/Spotlight/ et commencer à espionner vos données, sans même nécessiter de privilèges administrateur.
Alors bien sûr, avant que vous ne couriez partout comme une poule sans tête, il faut relativiser :
Ça fait quand même quelques conditions… mais le fait que cette faille existe depuis près de 10 ans et fonctionne toujours sur la dernière version de macOS reste préoccupant.
Cette histoire nous rappelle que les outils les plus dangereux sont souvent ceux auxquels on fait le plus confiance… Wardle fournit même un proof-of-concept complet sur son site pour que la communauté puisse tester et comprendre le problème. Espérons qu’Apple prendra enfin cette vulnérabilité au sérieux et implémentera les mesures de sécurité suggérées.
En attendant, restez vigilants sur les applications que vous installez et gardez un œil sur les notifications système concernant l’installation de nouveaux plugins Spotlight !
