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Un endroit chaud pour se reposer dans ARC Raiders : Guide étape par étape

La quête « Un endroit chaleureux pour se reposer » dans ARC Raiders est un voyage émotionnel, enrichi de narrations et de connexions. Compléter ses tâches non seulement fait avancer l’histoire, mais résonne également profondément avec les joueurs. Dans ce guide, nous allons décomposer la structure de la quête et fournir un chemin clair pour […]

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Kim Kardashian blâme ChatGPT pour échouer à ses examens de droit “tout le temps”

Kim Kardashian a suscité des conversations autour de l’intelligence artificielle avec ses récentes déclarations dans une vidéo de Vanity Fair. Lors de l’interview, elle a révélé comment elle s’est tournée vers le ChatGPT d’OpenAI pour obtenir de l’aide en étudiant pour ses examens de droit, mais a fini par être frustrée par des réponses incorrectes. […]

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Les nouvelles réglementations européennes impacteront fortement les adolescents

Un débat a été lancé au Parlement européen, qui pourrait redéfinir la relation entre les enfants et les jeunes et Internet. Les législateurs ont réclamé un âge minimum de 16 ans pour l'utilisation des réseaux sociaux et des réseaux sociaux basés sur l'IA sans le consentement des parents. Parallèlement, une interdiction totale a été proposée pour les utilisateurs de moins de 13 ans, même avec le consentement des parents. La proposition, adoptée par la commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs, a été rédigée par l'eurodéputée danoise Christel Schaldemose. Elle estime que les enfants sont trop vulnérables aux manipulations numériques et incapables de protéger seuls leur vie privée dans un environnement contrôlé par les algorithmes. Le projet de loi prévoit de lourdes sanctions pour les entreprises qui ne respectent pas la réglementation. Concrètement, cela se traduit par des amendes et la possibilité d'interdire les plateformes opérant en Europe. Les autorités européennes comptent utiliser les outils fournis par la loi sur les services numériques (DSA) pour surveiller les sites web et appliquer la réglementation plus efficacement. Le document précise que l'objectif principal est de limiter l'accès des enfants aux contenus préjudiciables et de freiner les mécanismes addictifs. Le Parlement européen plaide pour l'interdiction de l'utilisation d'algorithmes basés sur l'engagement des utilisateurs sur des comptes appartenant à des mineurs. La réglementation proposée prévoit également l'exclusion des fonctionnalités de type jeux d'argent, telles que les loot boxes dans les jeux vidéo. Une attention particulière a été portée au phénomène du « kidfluencing », où les enfants sont utilisés comme visages de campagnes publicitaires ou monétisés via leurs propres réseaux sociaux. Les députés demandent l'interdiction de la monétisation des contenus créés par des mineurs. Ils estiment que l'activité commerciale en ligne des enfants engendre une pression sociale, un risque d'addiction et des conséquences psychologiques irréversibles. Le débat sur la protection des enfants en ligne prend de l'ampleur dans le contexte de l'influence croissante des algorithmes et de l'intelligence artificielle. Le Parlement souhaite également réglementer les questions liées aux chatbots manipulateurs et aux applications qui utilisent l'IA pour générer des contenus inappropriés. Le document préconise même l'interdiction des applications permettant aux utilisateurs de créer des photos dénudées d'autres personnes sans leur consentement. Le vote en plénière, qui se tiendra du 24 au 27 novembre, pourrait ouvrir un nouveau chapitre de l'histoire de la politique numérique européenne. La proposition est soutenue par la plupart des États membres, dont 25 des 27 États membres de l'UE, ainsi que par la Norvège et l'Islande. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé la création d'un groupe d'experts chargé de présenter une proposition pour un « âge numérique » commun d'ici la fin de l'année. L'introduction de limites d'âge nécessiterait la création de systèmes de vérification de l'identité des utilisateurs. Les parents ou tuteurs seraient alors tenus de vérifier leur âge, instaurant ainsi un nouveau niveau de contrôle sur les réseaux sociaux et les plateformes d'IA. Concrètement, cela inclurait des services comme YouTube, TikTok, Instagram et les chatbots interactifs. Les critiques mettent en garde contre une surveillance excessive et la création d'un système de surveillance numérique susceptible de menacer la vie privée de tous les utilisateurs. Les partisans, quant à eux, estiment que sans mesures drastiques, l'Europe ne parviendra pas à endiguer la vague d'addictions, de dépression et de cyberharcèlement chez les jeunes. Le projet présenté n'est pas encore définitif, mais son adoption par la commission indique la détermination croissante de l'UE à soumettre Internet à une surveillance stricte au nom de la protection des plus jeunes utilisateurs. (Lire la suite)
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L'Union européenne accuse Meta et TikTok d'agir au détriment des utilisateurs.

Selon la Commission européenne, Meta Platforms et TikTok pourraient avoir violé la loi sur les marchés numériques de l'UE en ne fournissant pas aux chercheurs un accès adéquat aux données publiques, ce qui est l'une des principales obligations de cette loi. La loi sur les services numériques, applicable dans toute l'Union européenne, vise à accroître la transparence et la responsabilité des grandes plateformes en ligne. Elle oblige des entités comme Meta et TikTok à mettre en œuvre des méthodes efficaces pour limiter les contenus illicites, notamment ceux mettant en scène la violence, le terrorisme et la maltraitance infantile. Cependant, la Commission européenne a constaté que Meta ne proposait pas de moyen simple et convivial de signaler de tels contenus à Facebook et Instagram. Les responsables de l'UE ont déclaré que ces systèmes comportaient trop d'étapes inutiles et des exigences complexes susceptibles de décourager les utilisateurs de signaler les violations. La Commission européenne a également constaté que Meta utilise des « modèles de conception trompeurs » susceptibles d'induire les utilisateurs en erreur et de les empêcher d'accéder aux outils nécessaires pour signaler les contenus illicites. Les enquêteurs estiment que ces solutions pourraient rendre le signalement et la suppression des contenus préjudiciables moins efficaces qu'ils ne le devraient. Les accusations contre TikTok concernent principalement l'accès limité des chercheurs aux données publiques. L'UE souligne qu'il est crucial de permettre à des experts indépendants d'analyser les données des plateformes de réseaux sociaux, car cela permet d'évaluer leur impact sur la santé mentale des utilisateurs et la société. Les deux entreprises ont réagi aux conclusions de la Commission. Un porte-parole de Meta a déclaré que l'entreprise contestait l'allégation de violation de la loi, ajoutant que des modifications avaient déjà été apportées ces derniers mois à ses outils de signalement de contenu, à sa procédure d'appel et à son accès aux données. Meta est convaincu que ses solutions actuelles répondent aux exigences de la loi sur les services numériques. TikTok a annoncé analyser les conclusions de l'enquête, mais a souligné que les exigences de partage de données avec les chercheurs pourraient être incompatibles avec la réglementation sur la protection de la vie privée, notamment le RGPD de l'UE. L'entreprise a sollicité des directives claires auprès des autorités de régulation pour concilier ces deux obligations. La Commission européenne a souligné que ces conclusions sont préliminaires et ne préjugent pas de l'issue finale de la procédure. Meta et TikTok ont ​​désormais la possibilité d'examiner la documentation et de mettre en œuvre des mesures correctives. Toutefois, si les allégations sont confirmées, les deux entreprises pourraient être condamnées à une amende pouvant atteindre 6 % de leur chiffre d’affaires annuel mondial. (Lire la suite)
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L'UE étend le mandat USB-C aux chargeurs et aux appareils d'alimentation à partir de 2028, y compris les routeurs et les moniteurs

Depuis le 28 décembre 2024, l'utilisation de câbles de charge USB-C standardisés est obligatoire dans toute l'UE pour les smartphones, appareils photo numériques, casques audio, tablettes et autres appareils. Début 2026, cette exigence sera étendue davantage. La nouvelle réglementation s'applique aux blocs d'alimentation externes qui chargent ou alimentent des appareils tels que les ordinateurs portables, les smartphones, les routeurs Wi-Fi et les écrans d'ordinateur. À partir de 2028, ces produits devront répondre à des normes d'efficacité énergétique plus strictes et bénéficier d'une meilleure interopérabilité. Plus précisément, les chargeurs USB commercialisés sur le marché européen devront être équipés d'au moins un port USB Type-C et fonctionner avec des câbles détachables. Une autre victoire pour la normalisation. (Lire la suite)
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Édition, le tournis des concentrations

Alors que les bienfaits de la lecture sont régulièrement célébrés par les divers représentants du pouvoir, le secteur de l'édition est depuis des décennies soumis aux calculs d'hommes d'affaires milliardaires. Outre l'appauvrissement de la diversité des idées et des formes, cette emprise financière peut (...) / États-Unis, Europe, France, Audiovisuel, Culture, Droit, Finance, Industrie culturelle, Livre, Médias, Presse - 2022/10
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Bioéthique, es-tu là ?

La biologie moléculaire a ouvert ces dernières décennies des perspectives vertigineuses : il est désormais possible de modifier le patrimoine génétique d'un embryon. En le corrigeant pour son bien, expliquent certains chercheurs ; au risque d'alimenter un marché de l'humain sur mesure, rétorquent (...) / France, Animal, Biotechnologie, Démocratie, Droit, Génétique, Recherche, Santé, Science, Médecine - 2022/10
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Au Kenya, la présence contestée de l'armée britannique

Investi le 13 septembre 2022, le président William Ruto a rendu hommage à Élisabeth II en saluant une « icône ». Mais la presse kényane n'a pas manqué de rappeler la révolte des Mau-Mau réprimée dans le sang en 1956, sous le règne de la souveraine. Et la manne générée par la présence du plus gros (...) / Kenya, Royaume-Uni, Armée, Droit, Histoire, Impérialisme, Justice, Mouvement de contestation, Relations Nord-Sud, Violence, Diplomatie, Répression, Justice pénale, Relations bilatérales, Accord international - 2022/10
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Au bon vouloir des procureurs

Quand une personne est déférée au parquet à l'issue de sa garde à vue, le procureur dispose d'une grande latitude : il peut décider de classer le dossier sans suite, d'engager des poursuites, de prononcer une interdiction de séjour ou un « rappel à la loi ». Cette procédure, qui échappe à tout débat (...) / France, Droit, Idées, Justice, Mouvement de contestation, Police, Répression - 2022/10
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