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Chauffe-eau instantané ou ballon d’eau chaude ? Le choix intelligent des propriétaires !

Une chauffe-eau instantané vs ballon à accumulation

Acheter un logement revient souvent à se poser une question stratégique : comment produire l’eau chaude sanitaire sans plomber le budget ni sacrifier le confort ?

Deux technologies se disputent la place dans votre local technique ou sous votre évier : le ballon d’eau chaude à accumulation (dit « cumulus ») et le chauffe-eau instantané. L’un lisse la consommation dans le temps (notamment en heures creuses), l’autre économise l’espace et les pertes de veille. Tous deux existent en électrique et en gaz, avec des contraintes d’installation et de puissance bien distinctes.

Dans cet article, nous mettons les deux solutions face à face : fonctionnement, puissance et débit, coûts d’achat et d’usage, installation, entretien, ergonomie. À la fin de cet article, vous serez en mesure de choisir une technologie qui correspond à vos habitudes !

Accumulation vs instantané : comment ça marche ?

Un ballon est une cuve isolée, équipée d’une résistance (ou d’un brûleur gaz) et d’un thermostat. L’appareil porte l’eau à une température de consigne — généralement entre 60 et 65 °C — puis maintient ce niveau avec des cycles courts. À l’ouverture du robinet, l’eau très chaude est mélangée à de l’eau froide ; on obtient ainsi un volume utile à ~40 °C supérieur au volume nominal de la cuve. On obtient alors un débit abondant et stable, capable d’alimenter plusieurs points de puisage simultanés. On note toutefois des contreparties telles que l’encombrement, des pertes thermiques (même isolé, un ballon se refroidit lentement) et un certain temps de recharge après de gros puisages.

Schéma ballon d'eau chaude
Schéma complet d’un ballon d’eau chaude ©Selectra

Un chauffe-eau instantané ne stocke pas : une résistance (électrique) ou un échangeur chauffé par un brûleur (gaz) élève la température du courant d’eau à la demande. Les avantages majeurs sont évidemment l’absence de pertes de veille et un format très compact. Cependant la puissance instantané requise pour chauffer l’eau rapidement est élevée, et les kilowatts s’accumulent proportionnellement au débit donné et à la température plus ou moins basse de l’eau d’entrée. En outre, si l’instantané excelle pour un point de puisage à la fois sur des usages espacés, il montre ses limites sur les puisages simultanés ou prolongés, surtout en électrique si la puissance disponible au compteur est modeste.

Coûts généraux : achat, installation, usage

À l’achat, le chauffe-eau instantané paraît souvent séduisant : appareil compact, ticket d’entrée raisonnable, pose simple à proximité du point d’eau. On trouve des modèles 3,5 à 8,8 kW entre 230 et 380 € en négoce (ex. gammes CLAGE chez CEDEO), hors accessoires et pose. Mais il ne faut pas s’arrêter à l’étiquette prix. Sa puissance appelée pour offrir une douche confortable peut grimper très vite ; cela implique parfois de vérifier l’abonnement électrique, le calibre du disjoncteur, la section des câbles et la qualité de la terre. En clair : on paie peu le matériel, mais on peut devoir adapter l’installation pour que l’eau sorte vraiment chaude à un débit suffisant, surtout en hiver lorsque l’eau d’entrée est froide.

Schéma chauffe-eau instantané
Schéma d’un chauffe-eau instantané ©Izi

Le ballon à accumulation, lui, coûte en général plus cher à l’achat et demande un peu plus de logistique : mur porteur ou support adapté, chevilles dimensionnées pour le poids en charge, groupe de sécurité et évacuation. Le marché grand public positionne la plupart des références entre 350 et 700 € selon capacité, niveau d’isolation et fonctions (Wi-Fi, anti-corrosion). La pose prend davantage de place et de temps, mais elle est rarement problématique dans un logement standard. Côté gaz (si l’on compare également cette énergie), l’instantané exige une évacuation des fumées et une ventilation conformes, quand le ballon gaz réclame un volume d’installation plus conséquent : dans les deux cas, un installateur qualifié vérifiera les contraintes réglementaires.

Coût d’usage & rendement

Sur la facture de consommation énergétique, les deux technologies n’ont pas la même philosophie. Le chauffe-eau instantané n’a aucune perte de veille : il consomme uniquement lorsque vous ouvrez le robinet. Pour un jeune couple qui prend ses douches à des horaires décalés, ou pour un point d’eau éloigné qu’on utilise rarement (évier d’appoint, atelier), c’est redoutablement efficace. La contrepartie, c’est la dépendance au couple débit/puissance : plus vous voulez d’eau chaude vite et fort, plus la puissance instantanée grimpe… et plus la consommation au moment du puisage est élevée. Si la puissance disponible au compteur est limitée, on peut devoir réduire le débit ou accepter des fluctuations de température.

Le ballon à accumulation suit l’approche inverse : il maintient un volume d’eau à 60–65 °C et laisse ensuite l’hydraulique faire le travail (mélange avec l’eau froide) pour fournir un débit stable sur plusieurs points à la fois. Oui, il existe des pertes statiques puisque la cuve se refroidit lentement même sans soutirage ; mais ces pertes sont prévues et encadrées par la réglementation (étiquette énergie), et surtout on peut déplacer la chauffe en heures creuses pour abaisser le coût au kWh. Pour des usages intensifs ou simultanés (douches en rafale, cuisine + salle de bains), cette logique “on prépare, puis on pioche” reste très compétitive et confortable.

Nota Bene : l’accumulation ouvre la porte au thermodynamique et au solaire (pré-chauffage), et même pilotage connecté sur les ballons les plus modernes.

Savoir mettre les chiffres en perspective

Vous lirez parfois des promesses du type “>95 % restitué” pour l’instantané. Elles ne sont pas fausses dans l’absolu, mais elles isolent l’appareil de son contexte : température d’eau froide, débit choisi, distance hydraulique, puissance réellement disponible. Certains usages exigent de passer d’un abonnement électrique de 6 à 9, voire 12 kVa et de tirer un circuit adapté pour que l’installation reste fiable et conforme.

Voici comment se passe l’installation d’un petit chauffe-eau instantané…

De l’autre côté, on caricature souvent le ballon comme une “cuve qui gaspille”. Certes, elle subit des pertes statiques (mesurées en kWh/24 h selon l’ErP), inévitables même sans soutirage. En contrepartie, on peut déplacer la chauffe en heures creuses, ce qui réduit le coût au kWh et stabilise le confort multi-points.

Entretien & durée de vie

Côté ballon à accumulation, l’entretien vise surtout à protéger la cuve et à maîtriser le tartre. L’anode (magnésium ou système ACI) préserve l’acier de la corrosion : on la contrôle périodiquement et on la remplace si besoin. La résistance (blindée ou stéatite) et le groupe de sécurité méritent une vérification régulière : on manœuvre la soupape (purge) pour éviter qu’elle ne grippe et on détartre quand l’eau est dure, ce qui limite la perte de rendement et le bruit d’ébullition. Bien entretenu, un ballon tient 10 à 15 ans en moyenne, parfois davantage si l’eau est peu calcaire et l’anode suivie.

Le chauffe-eau instantané a moins d’organes mais est plus sensible au calcaire, qui encrasse rapidement l’échangeur et le capteur de débit. Un détartrage périodique (ou la pose d’un réducteur de pression/antitartre selon la qualité d’eau) préserve la stabilité de température et le débit. Côté gaz, s’ajoutent les points de combustion et d’évacuation des fumées, à faire contrôler par un professionnel pour garantir sécurité et performance. Entretenu correctement, un instantané affiche couramment 8 à 12 ans de service, avec des variations fortes selon la dureté de l’eau et la qualité de pose.

Ce qu’il faut regarder avant de faire un choix

Pour coller à vos habitudes et à votre infrastructures posez-vous trois questions simples :

  • Combien de points d’eau peuvent tirer en même temps chez vous, et pendant combien de temps ?
  • Quelle puissance avez-vous réellement au compteur (et souhaitez-vous l’augmenter) ?
  • L’option heures creuses est-elle accessible et pertinente dans votre cas ?

Si vos tirages sont courts, espacés et non simultanés, et que vous manquez de place, l’instantané minimise les pertes et simplifie l’installation. Si vous anticipez des douches en rafale ou des usages simultanés, et que vous voulez un confort stable tout en exploitant les heures creuses, le ballon reste la valeur sûre. Voici quelques exemples sur lesquels vous appuyer :

  • Studio / T2, une seule salle de bain, peu de puisage simultané : instantané ;
  • Famille, 2 salles de bain, douches en rafale : accumulation(200–300 L) ;
  • Maison avec projet PAC ou solaire : accumulation ;
  • Point d’eau isolé (atelier, cuisine éloignée) : petit instantané d’appoint.

Êtes-vous d’accord avec ce comparatif ? Avez-vous déjà dû effectuer ce type de travaux ? Quelles erreurs avons-nous oublié de mentionner ? Dites-nous tout en commentaires !

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Garage pour aspirateur robot : notre top 5 des meilleures idées, de la plus simple à la plus design

Garage de robot aspirateur

Adopter un aspirateur-robot, c’est aussi accepter sa station de base dans le paysage domestique. Or, un dock mal placé se voit, gêne la circulation et brise l’aspect cosy de votre intérieur. Néanmoins, dissimuler ce bloc peut ; nuire aux déplacements du robot et gêner les manipulations. Alors comment adapter le mobilier pour que la station trouve naturellement sa place, tout en respectant les contraintes techniques du robot ?

Entre détournements astucieux des meubles existants, niches créées à moindre effort et solutions sur mesure, il existe un éventail d’options pour concilier efficacité, confort d’usage et cohérence esthétique. Voici cinq pistes, classées de la plus immédiate à la plus élaborée, pour aider chacun à se projeter et à choisir l’aménagement le mieux adapté à son intérieur !

1) Sous une console d’entrée : la mise en place la plus simple

Une console à piètement fin offre, sans travaux, un dégagement frontal propice à l’accostage et un passage de câble facile le long de la plinthe. Il suffit de vérifier la hauteur libre, de positionner la station bien d’équerre contre le mur et de guider le cordon vers une prise proche au moyen d’un passe-câble discret.

Console pour aspirateur-robot
Attention à la hauteur de la station avant d’acheter !

L’effet visuel est immédiat : l’œil se porte vers le plateau — vide-poches, vase, lampe — pendant que la station reste au calme, prête à l’emploi et aisée à entretenir. Dans certains cas, vous pourrez même choisir l’aspirateur en fonction de votre mobilier, en optant pour la compacité comme le Qrevo Curv 2 Pro.

2) Placard de buanderie ou cellier : l’option pratique et propre

La niche basse d’un placard technique réunit tous les avantages : sol dur, proximité des prises, rangements pour consommables et possibilité d’ajouter, au besoin, un éclairage fonctionnel. On aménage l’intérieur avec quelques perçages soignés au dos du caisson pour la ventilation et le passage du câble, puis on fixe une petite multiprise afin d’éviter les fils apparents.

Pour les stations laveuses, un tapis vinyle mince protège le fond du meuble, tandis que deux patins antivibrations sous la base limitent les bruits lors des cycles de vidange ou de séchage. Les accessoires trouvent naturellement leur place sur l’étagère immédiatement supérieure : sacs, filtres, serpillières propres et produits d’entretien restent à portée de main, sans envahir le reste de la pièce.

3) Niche dans un meuble TV ou une bibliothèque : l’intégration “light” avec mini-modifs

Dans le salon, de nombreux bancs TV et étagères proposent une niche basse ouverte qui peut accueillir la station sans dénaturer la ligne du mobilier. L’important consiste à préserver une sortie parfaitement rectiligne : le robot doit quitter son dock sans virage immédiat ni contact avec une joue intérieure.

Meuble TV pour aspirateur-robot
La plateforme coulissante : très bonne idée, mais on ne mettra rien de lourd ou de fragile dessus…

Un fond légèrement ajouré — deux ou trois ouvertures nettes, plutôt que de grands évidements — assure la ventilation et permet au cordon d’atteindre la prise la plus proche. Une finition sombre à l’intérieur de la niche, obtenue avec un panneau fin ou un adhésif vinyle, aide la base à se fondre dans l’ombre, tandis qu’un ruban LED chaud fixé en partie haute détourne le regard et offre une veilleuse agréable lors des passages nocturnes.

4) Découpe de plinthe (“toe-kick”) en cuisine ou dressing : l’intégration maligne et discrète

Cette solution, très appréciée en cuisine et dans les rangements intégrés, consiste à loger la station derrière la façade, tout en créant une ouverture au ras du sol dans la plinthe. La pièce gagne en continuité visuelle : les lignes restent intactes, seule l’“entrée” du robot apparaît, discrète et parfaitement alignée.

Pour réussir l’opération, on dimensionne la découpe à la largeur du robot majorée de quelques centimètres, on adoucit les arêtes et, si une micro-marche subsiste, on ajoute une rampe ultra-plate. Le caisson qui abrite la station doit respirer ; on prévoit donc un jour au dos ou une grille de ventilation, et l’on organise un accès service — par une façade relevable, le plateau supérieur ou l’arrière — afin de remplacer sacs et filtres sans extraire tout le dispositif. Le résultat est net, pratique et très pérenne.

Nota Bene : il existe même des solutions “plinthe motorisée” avec ouverture électronique, du prêt-à-poser issu de la quincaillerie pro jusqu’au DIY piloté par domotique.

5) Meuble dédié ou banquette-coffre : la finition premium, prête à vivre

Lorsque l’on souhaite une intégration exemplaire, le meuble dédié s’impose. Qu’il s’agisse d’un module prêt à poser ou d’un caisson conçu sur mesure, l’objectif reste identique : un passage frontal à 90°, un câblage invisible, une ventilation maîtrisée et des rangements supérieurs pour tous les consommables. Sur un modèle du commerce, on vérifie la hauteur utile pour ouvrir les couvercles (notamment sur les stations laveuses) et la présence d’un dos ajouré.

En sur mesure, on dimensionne le caisson au millimètre, on choisit une porte coulissante ou relevable qui s’efface à l’usage et l’on introduit une légère retraite de façade pour créer une ombre qui masque visuellement la base. Dans une banquette, une façade basse ajourée par lames horizontales dissimule le dock tout en garantissant un flux d’air. Des silent-blocs sous la station et un fin panneau acoustique au fond du caisson limitent les vibrations sans obstruer les grilles de ventilation.

Spécifications techniques & check-list d’installation

Quel que soit l’emplacement retenu, quelques vérifications en amont feront toute la différence. Elles assurent une navigation fiable, un entretien sans friction et une intégration durable dans le temps.

  • Mesurez précisément la largeur, la hauteur et la profondeur de la station, puis ajoutez au minimum deux à trois centimètres de jeu de chaque côté et en partie haute, surtout si une porte doit s’ouvrir ;
  • Garantissez un dégagement frontal rectiligne d’au moins quarante à cinquante centimètres, sans tapis épais, sans seuil et sans virage immédiat devant le nez du robot ;
  • Préservez la ventilation : au moins une face doit rester ouverte, et le dos du caisson doit comporter des ajours ou des entretoises créant un léger flux d’air ;
  • Vérifiez que tous les éléments de service — couvercles de bacs poussière et eau, sacs, filtres — s’ouvrent et se retirent sans avoir à déplacer la station ;
  • Organisez le passage du câble vers une prise proche ;
  • Contrôlez la qualité du signal Wi-Fi à l’emplacement définitif ;

Nota Bonus : pour une station laveuse, protégez le fond du meuble par un tapis vinyle imperméable.

Et vous ? Quelle stratégie avez-vous adoptée ? Pourriez-vous acheter un meuble rien que pour votre aspirateur-robot, ou préférez-vous une option DIY ? Ou bien est-ce la flemme qui l’emporte, et la station traîne à côté d’un meuble aux couleurs dépareillées ?

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