Test du Minisforum MS-S1 Max : l’ère du mini-PC limité à la bureautique est définitivement révolue


Une lettre récemment diffusée par OpenAI dévoile comment l’entreprise espère obtenir un soutien gouvernemental significatif pour concrétiser ses projets ambitieux de construction de centres de données dédiés à l’intelligence artificielle. Le document, signé par Chris Lehane (responsable des affaires mondiales d’OpenAI) et adressé à Michael Kratsios (directeur de la politique scientifique et technologique de la ... Lire plus
L'article OpenAI sollicite l’administration Trump pour élargir le crédit fiscal aux centres de données est apparu en premier sur Fredzone.Petits et grands, nous aimons tous (ou presque) Noël, même à différents degrés. L’hiver, le froid, les premières neiges, les décorations de Noël, les rassemblements de famille, les feux de cheminée pour les plus chanceux d’entre nous, mais aussi la joie et le bonheur de recevoir et surtout de donner aux autres. Noël, c’est tout de même un symbole d’amour. C’est pour cela que tout au long des mois de novembre et décembre, vous pourrez découvrir un article ayant Noël pour thème, et aujourd’hui, comme chaque année, on commence avec notre sélection de calendriers de l’Avent 2025 !
Partons à la découverte de notre sélection des calendriers de l’Avent ! Mais avant ça, faisons un point histoire avec l’origine de cette tradition.
Tous les enfants sont impatients d’être enfin à Noël et cela ne date pas d’hier. Le calendrier de l’Avent est une tradition germanique qui visait et vise toujours d’ailleurs à pallier l’attente de la naissance du petit Jésus, dans la nuit du 24 au 25 décembre. C’est donc en Allemagne dans le courant du XIXe siècle que cette coutume est apparue. Les parents donnaient alors aux enfants des images, mais ce n’est qu’en 1908 qu’un certain éditeur de livres médicaux de Munich, Gehard Lang, a commercialisé le tout premier calendrier, qui était à l’époque rempli de dessins apposés sur un carton.
Plus tard, en 1920, le calendrier de l’Avent prend la forme qu’on lui connaît à présent sous forme de cases à ouvrir. Il faudra néanmoins attendre 1958 pour voir apparaître les premiers chocolats à l’intérieur de ces fameuses petites cases.
Place maintenant à notre sélection, en commençant par les plus originaux du jour !
Cette année, Jan Van Haasteren propose de patienter jusqu’à Noël et de collecter les 24 puzzles du calendrier de l’Avent en ouvrant chaque jour une nouvelle case contenant un puzzle drôle et inédit de 54 pièces ! Mêlant ainsi plaisir et détente au décompte quotidien. Un calendrier original ou l’on retrouve la marque de fabrique du célèbre illustrateurs hollandais avec ses nombreux détails et personnages haut en couleurs !
Vous le retrouverez au prix de 34,99 €.
Le calendrier de l’Avent Wasgij Christmas propose 24 puzzles de 54 pièces. Chaque nouveau jour dévoilera un nouveau puzzle à assembler tout au long de l’Avent. Une bonne imagination combinée aux indices fournis permettra de les assembles et de deviner ce que les personnages présents dans chaque fenêtre sont entrain de voir. Un calendrier parfait pour patienter jusqu’à Noël avec humeur, curiosité et une bonne dose de fun. Idéal pour les adultes ou les ados qui aiment réfléchir sans se prendre trop la tête !
Vous le retrouverez au prix de 27,75 €.
Chaque jour, une nouvelle surprise à découvrir pour jouer dans le bain avec des personnages, mais aussi des animaux marins rigolos et des tablettes Tinti qui colorent l’eau et émerveillent les tout-petits parce que oui, eux aussi ont le droit à leur calendrier de l’Avent ! Pensé pour les petites mains, ce calendrier transforme le rituel du bain en moment de jeu sensoriel et de complicité à partager en famille. Des jeux que l’on pourra réutiliser tout au long de l’année et ça, on adore ! Autre bon point, les plus jeunes de nos enfants ont ENFIN un calendrier pour eux, mais nous en avons un autre à vous proposer un peu plus bas également.
Vous le retrouverez au prix de 34,99 €.
À Noël en général, on cuisine, notamment des pâtisseries ! Et c’est notamment une douce odeur qui flotte dans l’air tout au long du mois de décembre dans notre cuisine. Avec ses biscuits à préparer, ses animaux à soigner et sa déco festive, ce calendrier playmobil plonge les enfants dans la magie de Noël. Four qui s’ouvre, emporte pièce en forme de cheval, accessoires de saison : tout est réunion pour inventer de délicieuses histoires de fin d’années. On adore l’idée que l’on trouve très originale !
Vous le retrouverez au prix de 29,99 €.
Définitivement pour tous les fans d’Harry Potter ayant le budget. Chaque jour, ouvrez une nouvelle case de notre calendrier de l’avent pour découvrir un cadeau Harry Potter.
Vous le retrouverez au prix de 97 €.
Nous en avions parlé une année, il revient dans une nouvelle édition ! Découvrez ces jolis personnages en bois, à partir de 2 ans !
Vous le retrouverez au prix de 34,90 €.
Vous aimez la confiture, eh bien nous aussi ! Offrez un cadeau unique avec ce coffret de 23 plaisirs gourmands (confitures et pâtes à tartiner) + 1 surprise exclusive au programme.
Vous le retrouverez au prix de 34,90 €.
Construisez les temps forts de l’histoire des sets LEGO Star Wars dans l’ordre chronologique de 1999 à 2024 avec ce calendrier de l’Avent festif à collectionner, dès 6 ans.
Vous le retrouverez au prix de 24,72 € avec la promotion en cours au moment où ses lignes sont écrites.
Top Noël : sélection calendrier de l’Avent 2025 a lire sur Vonguru.
L’évolution du Défensif Shift est arrivée dans FC 26 Ultimate Team, permettant aux joueurs de transformer une carte argent en un joueur clé pour leur équipe. Si vous cherchez à maximiser votre gameplay, c’est une opportunité parfaite. Avec une multitude d’améliorations statistiques, des rôles diversifiés et des styles de jeu uniques, il y a d’excellentes […]
Le post Top joueurs pour l’évolution du changement défensif de FC 26 : Guide ultime est apparu en premier sur Moyens I/O.
La suite de la fameuse bande dessinée Lore Olympus vient tout juste de sortir. En effet, le tome 9 est disponible depuis hier ! Pour rappel, c’est Rachel Smythe qui en est à l’origine.
Le monde souterrain a une reine !
Perséphone et Hadès sont enfin réunis lorsque la déesse du printemps, bannie, retourne aux Enfers pour revendiquer sa place de reine. Maintenant qu’Hadès et Perséphone ont vaincu et emprisonné à nouveau Cronos, assoiffé de pouvoir, plus rien ne peut les séparer, et les années d’éloignement n’ont fait qu’accroître leur désir l’un pour l’autre. Mais les autres Olympiens ne peuvent s’empêcher de s’en mêler, poussant le couple à officialiser les choses par un couronnement – et un mariage.
Ignorant ceux qui tentent de définir leur relation, Hadès et Perséphone s’efforcent de vivre à leur propre rythme et de se concentrer sur la reconstruction des Enfers. Ils commencent par enquêter sur la façon dont Cronos a pu s’échapper et apprennent l’horrible vérité : il a capturé un jeune dieu puissant dont les capacités lui permettent de projeter ses pensées en dehors du Tartare – des pensées qu’il utilise pour tourmenter Héra. Bien que la forme physique de Cronos soit enfermée, l’Olympe ne sera jamais libre tant qu’ils n’auront pas sauvé le jeune dieu de son emprise.
Ce tome 9 est disponible depuis hier en librairie pour le tarif habituel, soit 24,95 €.
Sortie Hugo BD – Lore Olympus tome 9 a lire sur Vonguru.
Les éditions Michel Lafon nous dévoilent un tout nouveau webtoon en ce mois d’octobre : Just Twilight de Kang Ki et Woo Jihye. En plus, l’éditeur nous ravie avec la sortie des deux premiers tomes simultanément.
Pour le tome 1 collector : une couverture métallisée exclusive, contenant 4 ex-libris format polaroïds, une planche de stickers et un marque-page !
Joon-yeong, meilleure élève de son lycée, cherche désespérément un refuge pour étudier, loin du domicile familial qu’elle fuit. Par hasard, elle découvre une maison abandonnée dans la forêt, idéale pour travailler en paix. Mais le lieu est déjà occupé : Beom-jin, son camarade de classe à mauvaise réputation, s’y cache lui aussi. Une étrange cohabitation se met alors en place entre ces deux lycéens que tout oppose, unis par l’envie de préserver ce havre secret. Et dans ce lieu hors du monde, quelque chose d’inattendu pourrait bien naître.
Les tomes 1 et 2 sont sortis simultanément le 16 octobre dernier. Le premier tome est disponible au tarif de 16,95 € tandis que vous trouverez tome 2 pour 14,95 €.
Sortie Michel Lafon – Just Twilight Tomes 1 et 2 a lire sur Vonguru.
Vous le savez chez Vonguru, on adore tout ce qui est domotique et chez eufy, on a toujours le choix de ce côté-là ! Aujourd’hui, c’est la sécurité qui est mise en avant avec le nouveau kit de 2 caméras SoloCam E42 ! Au programme de cette nouveauté, résolution 4K UHD, Protection 360° sans angles morts, détection IA et suivi intelligent !
Voyons ensemble ce que vaut ce nouveau kit, muni de sa HomeBase 3. Vous retrouverez ce kit au prix de 479 € hors promotion directement sur le site de la marque ou bien sur Amazon. Place au test !
On retrouvera les couleurs bleu et blanche bien caractéristiques de la marque, avec sur la face avant un rappel de la marque ainsi que du nom du modèle, ici eufy SoloCam E42 2-Cam Kit ainsi que quelques arguments marketings sous formes de listes mais aussi avec quelques pictogrammes. On retrouvera également en visuel deux caméras aux côtés de leur HomeBase.
À gauche, on nous parlera en détails de l’absence d’abonnement et de la sécurisation en local de vos données, chose que nous apprécions beaucoup avec eufy, tandis qu’à droite, nous aurons cette fois un visuel d’un extérieur surveillé par la caméra, quelques fonctionnalités listées en anglais et un rappel de l’application, eufySecurity, à télécharger.
| Usages recommandés pour le produit | Sécurité extérieure |
| Marque | eufy Security |
| Nom de modèle | Solo Cam E42 |
| Technologie de connectivité | Sans fil |
| Utilisation intérieure/extérieure | Extérieure |
| Protocole de connectivité | WLAN |
| Type de fixation | Installation murale |
| Résolution d’enregistrement vidéo | 4k |
| Couleur | Blanc |
| Nombre d’articles | 2 |
Deux caméras de surveillance sans fil avec panneaux solaires.
Deux supports de montage ajustables.
Visserie pour fixation murale.
Câbles pour le chargement initial.
Commençons par parler de l’installation, aussi bien hardware que software, qui dans les deux cas n’a plus vraiment de secret pour nous. On rappellera cependant de BIEN vérifier la porter de son Wi-Fi AVANT de percer son mur car oui, il vous faudra percer 
Préparation :
Chargez les caméras via USB-C.
Choisissez un emplacement extérieur dégagé, à 2–3 m de hauteur, bien exposé au soleil si vous utilisez les panneaux solaires intégrés.
Fixation :
Montez les caméras avec les supports fournis.
Orientez-les légèrement vers le bas pour une meilleure couverture et moins de fausses alertes.
Connexion Wi-Fi :
Installez l’application Eufy Security et créez un compte si vous n’en avez pas encore un.
Ajoutez les caméras : appuyez sur le bouton SYNC, scannez le QR code via l’application et connectez-les au Wi-Fi 2,4 GHz.
Paramètres dans l’application :
Renommez chaque caméra.
Configurez zones de détection et notifications (personnes, véhicules, animaux).
Choisissez la résolution et le stockage (microSD).
Tests :
Vérifiez le flux en direct, la détection de mouvement et la vision nocturne.
Lorsqu’on pense « sécurité extérieure » sans prise de tête, on cherche : une image nette, des alertes fiables, pas d’abonnement, et une installation qui ne transforme pas votre mur en chantier, que vous soyez propriétaire ou locataire. Le kit 2 caméras SoloCam E42 de eufy coche à première vue beaucoup de ces cases : résolution 4K, alimentation solaire/batterie, detection IA, et hub inclus (HomeBase S380) pour aller plus loin. Je suis déjà munie de caméras intérieures et extérieures de eufy, et j’avais très hâte de tester ces nouveaux modèles.
D’ailleurs, ayant déjà d’une HomeBase, cette dernière se trouve toujours dans mon Rack Server, bien au chaud aux côtés des copains.
L’installation, c’est vu. Parlons donc de tout le reste. Côté image, Eufy ne déçoit pas. Le capteur 4K de la SoloCam E42 offre un rendu vraiment très bon, aussi bien de jour que de nuit. Les détails sont précis, les couleurs équilibrées, et la compression ne dégrade pas la qualité du flux, même sur un réseau Wi-Fi standard. La vision nocturne en couleur est également au rendez-vous, grâce à un projecteur LED intégré. La caméra bascule automatiquement entre vision IR et couleur selon la luminosité, garantissant une visibilité constante.
Eufy intègre ici une détection intelligente de mouvement qui distingue les personnes, véhicules et animaux. Fini les notifications inutiles dès qu’une feuille bouge ou qu’un insecte passe devant la lentille. La précision est excellente, surtout pour une caméra sans station de base. Les alertes arrivent rapidement sur smartphone, accompagnées d’une courte vidéo enregistrée en local sur carte microSD (jusqu’à 128 Go). Et surtout : aucun abonnement n’est nécessaire. Tout est stocké et géré en interne.
Autre bonne surprise : la communication bidirectionnelle. Depuis l’application, on peut parler directement via le haut-parleur de la caméra. Pratique pour répondre à un livreur ou dissuader un intrus. La E42 embarque aussi une sirène et un flash lumineux, activables automatiquement ou manuellement. Un combo efficace pour faire fuir quiconque s’approcherait un peu trop près.
Le grand atout de la SoloCam E42, c’est son autonomie. En usage normal, la batterie tient plusieurs mois, et le panneau solaire intégré assure une recharge continue. En pratique, même par temps couvert, la caméra maintient un niveau de batterie stable. Pour ceux qui n’aiment pas grimper à l’échelle tous les trois mois, c’est un vrai luxe. Pour vous dire, mon kit 4 caméras S330 n’a JAMAIS eu besoin d’être rechargé. Les panneaux font le boulot tout le temps.
Après quelques jours d’utilisation, on oublie la présence du système. Les notifications sont pertinentes, le flux vidéo rapide, et l’application parfaitement fluide.
Eufy a trouvé un excellent équilibre ici entre ergonomie, performance et tranquillité d’esprit. On regrettera cependant que ces nouvelles caméras ne filment pas en dôme, ce que l’on espère voir apparaître chez eufy dans les mois à venir avec de nouveaux modèles, car c’est bien là la seule fonctionnalité qui manque à ses caméras haut de gamme.
J’aime également que les caméras intègrent directement les panneaux comme sur d’autres modèles de la marque déjà testé, mais pour abriter tout ce condensé de technologie, il faut plus d’autonomie je présume, d’où la présence d’un panneau plus grand. Cela permet également de positionner ledit panneau à un autre endroit si l’emplacement choisi est peu exposé au soleil. C’est donc à vous de voir ce que vous préférez selon vos besoins et vos envies esthétiques.
Le kit de 2 caméras SoloCam E42 de Eufy coche toutes les cases : image 4K, autonomie solaire, installation en quelques minutes et stockage local sécurisé. C’est une solution idéale pour ceux qui veulent protéger leur maison sans s’encombrer d’un système complexe. Au vu de sa rotation à 360, on apprécie une installation par exemple sur un poteau, afin de l’utiliser pleinement.
En clair, ce kit de caméra fonctionne vraiment très bien, autonome et discret, qui fait exactement ce qu’on attend de lui, sans surcoût avec une installation somme toute facile et une app bien rôdée. Cependant, le prix est tout de même élevé. 479 € hors promotion directement sur le site de la marque ou bien sur Amazon, ce n’est pas à la porter de toutes les bourses.
Test – Kit SoloCam E42 de eufy a lire sur Vonguru.
Nous vous en avions parlé lors de son annonce par la marque, la ScanWatch 2 2025 est maintenant disponible en boutique. Il s’agit pour rappel, d’une montre connectée hybride et dotée d’une autonomie de 30 jours. Ce modèle, grâce à son application permet aussi un suivi du cycle menstruel, sans parler des divers relevés permettant de vérifier la bonne santé de notre cœur, le nombre de pas que l’on marche chaque jour, la température corporelle ou bien de suivre un score de qualité du sommeil.
La ScanWatch 2 2025 est disponible dès à présent au tarif de 349,45 €.
Bref, que vaut cette nouvelle ScanWatch au quotidien ? Réponse dans ce test !
La ScanWatch 2 2025 arrive dans une boîte blanche avec la montre de représentée dessus. Il s’agit d’une boîte identique à la ScanWatch 2 sortie en 2023. À l’arrière, nous retrouvons quelques informations complémentaires sur sa compatibilité (iphone, ipad, smartphones avec Android 10 au minimum). Nous avons aussi le droit à diverses informations techniques ainsi que celles de recyclage. Sur les côtés, la marque met en avant son application Withings App.
Dès que l’on ouvre cette petite boîte, nous découvrons la montre installée sur une base en carton. On la retrouve aux côtés de :
Pour utiliser la ScanWatch 2 2025 pour la première fois, c’est relativement rapide et facile. Il faudra en effet installer la montre sur votre poignet et au préalable télécharger l’application de Withings (la même que pour les autres produits de la marque). On pensera bien entendu à mettre son smartphone en Bluetooth et à activer la localisation puis on lancera l’application de la marque. Grâce au bouton disponible tout en haut à droite de l’application, il sera possible d’installer la montre. En moins de 5 minutes, tout est prêt à l’emploi !
Le plus « dur » en soit sera de mettre la bonne heure sur la montre, si elle n’est pas parfaitement mise par défaut. Il faudra alors tourner les aiguilles sur l’application pour la mettre à l’heure en direct, mais cela reste un détail.
Petit point négatif concernant la montre en sortie de boîte. Effectivement, le bracelet était un peu marqué par l’emballage. Néanmoins, cette marque s’atténue au bout de quelques jours de portage mais reste encore légèrement visible après 10 jours au poignet. C’est un peu dommage pour le coup.
Au quotidien, la ScanWatch 2 2025 est assez confortable à utiliser et à porter. Néanmoins, le bracelet aura tendance à marquer un peu la peau. Et si je le desserre, ne serait-ce qu’un peu, il ne sera plus assez serré pour moi. Il faudra donc peut-être envisager un bracelet dans une autre matière pour la vie courante. Par contre, c’est aussi ce qui permet à la montre connectée de supporter l’immersion… Donc à voir selon votre utilisation quotidienne, si vous souhaitez la garder pendant la douche, à la piscine, ou non.
À l’usage, j’ai remarqué que ce modèle avait tendance à irriter ma peau, contrairement à la ScanWatch première du nom. En effet, si je la porte pendant plusieurs jours d’affilés, sans la retirer, je me retrouve avec des rougeurs et irritations sur le poignet (en dessous du cadran et aussi au niveau du bracelet silicone). C’est un point qui me fait penser qu’il faudra sûrement opter pour un bracelet cuir peut-être si vous êtes également concerné par ce soucis.
Sur ce modèle, contrairement aux montres et bracelets Fitbit par exemple, l’écran restera bien visible en extérieur ! Et ce, peut importe l’ensoleillement.
Sinon, la ScanWatch 2 2025 est dotée d’un bon nombre de fonctionnalités intéressantes pour suivre sa santé de manière générale. On pourra notamment vérifier comme je disais plus haut, le nombre de pas faits par jour, le rythme cardiaque mais on pourra aussi faire un électrocardiogramme ou encore vérifier ses perturbations respiratoires pendant le sommeil ou la quantité d’oxygène dans le sang. Dans le même ordre d’idées, nous avons un relevé de notre température disponible dans l’application. Une température de « base » est analysée par la montre, elle pourra ensuite vous dire si vous situez en dessous de cette moyenne ou bien au dessus.
Il s’agit d’un excellent allier pour faire attention à sa santé, surtout dans notre ère moderne où le télétravail a été beaucoup généralisé. Toutefois, il faudra quand même faire attention aux données relevées par la ScanWatch 2 2025 et ne pas hésiter à aller consulter un médecin en cas de doute. La technologie peut être défaillante, alors faites bien attention à vous.
Avec son application, la marque propose aussi un suivi du cycle menstruel. C’est une option très intéressante pour les personnes qui n’ont pas spécialement d’appli pour leur suivi. D’autant plus que Withings propose actuellement une offre pour bénéficier de l’application Clue pendant un an. À titre personnel, c’est une application que j’utilise depuis des années, je trouve cela plutôt chouette. Du côté de Withings, nous pourrons aussi noter nos périodes menstruelles, nos symptômes directement sur l’application. En plus de cela, directement sur la montre (en utilisant la molette), il sera possible de noter quelques informations sur notre cycle. C’est rapide et pratique si l’on a pas le temps d’ouvrir l’appli.
Esthétiquement parlant, la montre connectée de Withings est très élégante. On est loin de l’aspect sportif des montres Fitbit. Ici, notre exemplaire du jour possède des couleurs bleues foncées et un joli cadran couleur or rose. Sans parler de son cadran avec aiguilles qui donne un aspect haut de gamme non négligeable.
En plus de cela, si l’envie vous prends, de nombreux autres bracelets sont disponibles sur le site de la marque. Vous permettant ainsi de changer de couleur au gré de vos envies. Néanmoins, ils ne sont pas donnés puisqu’ils se trouvent entre 19,95 € pour les plus « simples » et 49,95 € pour d’autres (ceux en cuir notamment). Ceci dit, la marque Fitbit, ne les vend pas beaucoup moins chers de son côté !
Utilisant les montres Withings depuis plusieurs années maintenant, je peux vous assurer que la batterie d’un mois tient ses promesses. C’est vraiment top, on ne passe pas son temps à recharger sa montre.
L’application de Withings est vraiment complète et intuitive. Par défaut, au démarrage, nous nous retrouverons sur notre accueil répertoriant la plupart des données relevées et nous donnant accès à des notifications. Nous avons notamment le nombre de pas relevés, notre temps de sommeil, fréquence cardiaque moyenne, poids etc. De quoi tout vérifier en peu de temps !
Dans la partie suivi du cycle, il nous sera possible de suivre nos règles, de les ajouter, d’ajouter aussi différents symptômes que l’on pourrait ressentir grâce au petit « + ». L’appli nous indique aussi notre phase (folliculaire, ovulation, lutéale), la fenêtre de fertilité et les dates de nos potentielles prochaines règles. De plus, en se basant sur notre température corporelle, l’application est censée pouvoir détecter notre ovulation.
Dans progresser, Withings nous donne des programmes et astuces pour améliorer notre santé. Tandis que la partie « partager » concerne plutôt le suivi de la santé et le partage à nos médecins entre autre.
Au final, nous retrouvons une nouvelle fois une montre connectée pleine de fonctionnalités, qui nous rappellera notamment celles disponibles dans les bracelets/montres de la marque Fitbit. Elle est agréable à porter au quotidien et apportera une dose d’élégance non négligeable à votre poignet, n’étant pas du tout typé sport. Attention toutefois aux peaux sensibles qui pourront être irritées par les matériaux de cette dernière. Dans ce cas, il faudra peut-être envisager l’achat d’un bracelet en matière naturelle, type cuir.
Sinon, ce modèle bénéficie d’une grande autonomie de 1 mois. C’est une autonomie qui est ultra satisfaisante, nous n’avons pas l’impression de la recharger toutes les trente secondes.
On regrettera toutefois, à la sortie de la boîte, avoir constaté que le bracelet de notre montre était marqué. Bien que cela s’estompe petit à petit mais reste tout de même visible pendant une quinzaine de jours.
Malheureusement, c’est un constat que l’on fait à chaque fois, les accessoires pour la ScanWatch 2 2025 ne sont pas donnés. Il faudra rajouter entre 20 et 50 euros pour bénéficier d’un bracelet de rechange. La montre en elle-même est disponible au tarif de 349,95 €.
Mais, au vu des fonctionnalités qu’elle intègre et de son élégance, je ne peux que la recommander. Il n’y a pas de réel point noir sur ce modèle, mise à part, un prix qui pique et malheureusement un abonnement mensuel à rajouter si on veut profiter pleinement de toutes les fonctionnalités qu’elle peut proposer !
Merci à Withings !
Test – Withings ScanWatch 2 2025 a lire sur Vonguru.
Comme régulièrement, Mana Books sort des nouveautés sur le thème du manga ou encore du jeu vidéo. Aujourd’hui, nous allons vous parler d’un tout nouveau livre de recettes qui vient de sortir : Persona Le Livre de Cuisine Officiel de Jarrett Melendez.
Persona Le Livre de cuisine officiel vous séduira autant comme objet collector que comme hommage culinaire à la saga Persona…
Plongez dans les moments culinaires mémorables et réconfortants des jeux Persona, que ce soit en cuisinant avec les membres du SEES ou en traînant sur les banquettes familières du café Leblanc ! Vos statistiques sont-elles suffisamment élevées pour relever le défi du méga bolde bœuf spécial jour de pluie ? Êtes-vous prêt à affronter le Cosmic Tower Burger ? Vous le saurez en parcourant ce florilège de recettes emblématiques de la franchise Persona. De Tatsumi Port Island à Inaba en passant par Tokyo, découvrez les plats incroyables qui rapprochent nos personnages favoris et leur donnent la force nécessaire pour les combats à venir !
Ce livre de recettes est disponible dès à présent en librairie. Vous le trouverez pour le prix de 29,90 €.
Sortie Mana Books – Persona Le Livre de Cuisine Officiel a lire sur Vonguru.
Creative lance de façon très régulière de nouveaux modèles sur le marché et cette fois, nous a gentiment fait parvenir ses nouveaux écouteurs haut de gamme, j’ai nommé les Aurvana Ace 3. Nous avons d’ailleurs pu tester la V2 juste ici en mars 2024.
Voyons ensemble ce qu’ils valent et quelles sont les améliorations qui ont été apportées. Vous les retrouverez au prix de 149,99 € directement sur le site de la marque. Place au test !
Cette fois, pas de touche orange à laquelle la marque Creative nous a habitué depuis quelques années. Ici, on retrouvera sur la face avant un visuel des écouteurs à peine sortie de leur boîte de rechargement, un rappel de la marque et du modèle juste en dessous. Simple, élégant, efficace. À gauche, nous retrouverons quelques mentions légales en plusieurs langues tandis qu’à droite, nous aurons un visuel des écouteurs en utilisations et un rappel des divers technologies qu’ils renferment.
Sur le dessus, le contenu de la boîte y sera dessiné et pour finir, à l’arrière, les principales caractéristiques techniques et un rappel des applications dédiées.
| Caractéristique |
|---|
| Technologie audio principale | xMEMS (double driver) + transducteur dynamique 10 mm |
| Codecs audio pris en charge | LDAC + aptX Lossless (via Snapdragon Sound) |
| Connectivité | Bluetooth 5.4 |
| Annulation de bruit active (ANC) | Système hybride adaptatif |
| Mode ambient | Oui |
| Résistance à l’eau / sueur | IPX5 |
| Autonomie annoncée | 7 heures par charge + ~26 heures (ou 28 h selon source) avec le boîtier |
| Nombre de micros / appels | Six micros annoncés pour des appels clairs |
| Détection usage (play/pause auto) | Oui, détection intelligente de retrait / remise d’écouteurs |
Système à double transducteur hybride – un driver xMEMS (semi-conducteur) + un driver dynamique de 10 mm pour conjuguer précision des aigus et puissance des basses.
Support audio haut-de-gamme et sans perte – compatibilité avec Qualcomm Snapdragon Sound, codec aptX Lossless et LDAC.
Connectivité Bluetooth 5.4 – prise en charge du standard LE Audio et de la technologie Auracast pour le partage audio et la diffusion sur plusieurs appareils.
Technologie de personnalisation sonore Mimi Hearing Technologies (Mimi Sound Personalization) – un test auditif génère un profil et le son s’adapte en temps réel selon votre oreille.
Annulation active du bruit (ANC) de type « hybride adaptatif » – l’ANC s’ajuste selon l’environnement, mais également le mode « Ambient » (bruit extérieur) pour rester conscient de ce qui se passe autour.
Détection de port (« Wear Detect ») – la lecture met en pause automatiquement quand vous retirez un écouteur, et reprend quand vous le remettez.
Contrôles tactiles – pour lecture/pause, appels, assistant vocal etc.
Mode mono – possibilité d’utiliser un seul écouteur pour un usage plus flexible.
Résistance à l’eau et à la transpiration – certification IPX5 pour les écouteurs (leur usage lors d’activités sportives ou sous pluie légère).
Autonomie annoncée – jusqu’à 7 heures d’écoute avec une seule charge des écouteurs, et jusqu’à 26 heures combinées avec le boîtier. Recharge par USB-C et charge sans fil compatible.
Application dédiée (Creative App) – permettant profil auditif, mise à jour firmware, réglages audio personnalisés.
Embouts de différentes tailles – (XS, S, M, L, XL) pour adapter le confort et l’isolation.
Creative revient sur le devant de la scène avec une nouvelle génération d’écouteurs intra-auriculaires : les Aurvana Ace 3. Après le joli succès des Aurvana Ace et Ace 2, la marque singapourienne semble vouloir affirmer un peu plus son savoir-faire audio, entre innovation technique et sensibilité musicale. Commençons par le design, ici épuré, fonctionnel, sans extravagance. Les Aurvana Ace 3 s’inscrivent dans la continuité visuelle des Ace anciennes génération, avec ce boîtier légèrement ovoïde, au couvercle un peu transparent et au logo gravé en relief.
Le boîtier s’ouvre avec une résistance bien calibrée – plus ferme que sur les modèles précédents si ma mémoire est bonne– et les écouteurs s’en extraient aisément, sans craindre de les faire tomber. Ils tiennent bien dans l’oreille, grâce à un format semi-ergonomique qui épouse naturellement le pavillon sans créer de pression. Le port reste confortable même après plusieurs heures, un point sur lequel Creative a nettement progressé.
Côté fabrication, on retrouve un assemblage propre, des finitions précises et une texture douce qui ne garde pas trop les traces de doigts, mais un peu quand même. Les écouteurs sont certifiés IPX5, donc capables de résister à la transpiration ou à une pluie fine – un vrai plus pour une utilisation nomade ou sportive.
Grande nouveauté de cette génération, la technologie Mimi personnalise le son selon votre audition. Après un court test, les écouteurs adaptent la restitution en temps réel à votre sensibilité, ajustant subtilement les aigus, médiums et graves.
Le résultat est bluffant : chaque écoute devient unique, naturelle et parfaitement équilibrée. Les voix gagnent en clarté, les instruments respirent mieux, et l’on découvre à quel point un son « fait pour soi » peut transformer l’expérience d’écoute.
L’annulation de bruit active a toujours été le point faible des modèles Aurvana. Sur cette version, Creative introduit une ANC hybride adaptative, capable d’ajuster automatiquement son intensité selon l’environnement. Dans les faits, cela fonctionne plutôt bien pour les sons continus – le vrombissement d’un bus, le souffle d’une climatisation – mais reste limité face aux bruits soudains ou aux voix.
Ce n’est pas un défaut rédhibitoire, le but est plutôt d’isoler suffisamment pour profiter pleinement de la musique sans se couper totalement du monde. Le mode « transparence », lui, m’a laissé plus perplexe : il amplifie les sons ambiants de façon naturelle, utile pour une balade urbaine ou un trajet à vélo. En courant par exemple, une voiture a réussi à me surprendre, en passant de pas de bruit de moteur à un bruit assourdissant tout d’un coup. Petit moment panique. On notera également la possibilité de basculer très vite d’un mode à l’autre via un simple geste tactile, ce qui rend l’usage fluide et intuitif.
Le passage au Bluetooth 5.4 se ressent immédiatement. L’appairage est quasi instantané, la stabilité irréprochable, même à plusieurs mètres du smartphone. Les codecs LDAC et aptX Lossless sont évidemment de la partie, garantissant une restitution sans perte si vous disposez d’un appareil compatible.
Pour les appels, les six microphones assurent une captation claire et un traitement efficace du bruit environnant. Même en extérieur, la voix reste nette.
L’autonomie annoncée est de 7 heures d’écoute par charge, avec environ 26 heures supplémentaires grâce au boîtier. En pratique, avec l’ANC actif et un volume autour de 70 %, on se situe plutôt entre 4 et 5 heures – ce qui reste dans la moyenne haute du segment. Le boîtier se recharge en USB-C, et la charge sans fil est toujours de la partie.
Parlons rapidement des deux applications : Creative App et Super SXFI. La première permet de tout personnaliser : son, commandes tactiles, ANC, détection de port ou encore mises à jour. C’est aussi elle qui intègre la technologie Mimi Sound Personalization, capable d’adapter le son à votre audition après un court test. Simple, fluide et efficace, l’application transforme les écouteurs en un produit vraiment sur mesure, où chaque réglage s’ajuste à vos préférences et à votre manière d’écouter.
L’application Super X-Fi quant à elle permet de reproduire un son 3D immersif fidèle à la spatialisation d’un home cinéma. Elle donne la possibilité de calibrer l’écoute selon la forme de votre tête et de vos oreilles, d’ajuster les profils audio, et de gérer les réglages des écouteurs.
Pour terminer, comparons nos Aurvana Ace 3 au modèle sorti l’année dernier, ce qui nous permettra au passage de résumer un peu notre test. Notre modèle du jour apporte plusieurs améliorations par rapport aux Ace 2. Leur son est plus riche et détaillé grâce au double transducteur hybride (xMEMS + dynamique 10 mm). La grande nouveauté est la personnalisation sonore Mimi, qui ajuste le son selon votre audition, absente sur les Ace 2. L’ANC est plus précise et adaptative, la connectivité passe au Bluetooth 5.4 avec support LE Audio et Auracast, et l’autonomie atteint jusqu’à 7 h par charge et 26 h avec le boîtier. Les Ace 3 ajoutent également 6 microphones et une résistance IPX5, offrant ainsi une expérience plus complète et moderne pour un prix similaire.
Les Creative Aurvana Ace 3 marquent une évolution pour la marque. Ce ne sont pas des écouteurs révolutionnaires, mais des compagnons bien aboutis et polyvalent. Creative a trouvé ici un équilibre entre innovation et technique.
De plus, la personnalisation sonore rend les écoutes uniques. On rappellera cependant pour nous leur faiblesse, un ANC perfectible et une autonomie un peu en deçà des espérances, mais rien qui ne gâche réellement l’expérience.
Test – Écouteurs Aurvana Ace 3 de Creative a lire sur Vonguru.
Halloween, également connu sous le nom de la Toussaint, trouve ses origines dans des traditions celtes anciennes, en particulier la fête de Samhain, célébrée il y a plus de 2 000 ans en Irlande, au Royaume-Uni et dans d’autres régions celtes. Samhain marquait la fin de la saison des récoltes et le début de la période sombre et froide de l’année. Les Celtes croyaient que pendant cette période, le voile entre le monde des vivants et celui des esprits était mince, permettant aux esprits de revenir sur terre.
Pour se protéger des forces malveillantes, les Celtes allumaient des feux sacrés, se déguisaient avec des masques effrayants et offraient des offrandes alimentaires. Avec la christianisation de la région, la fête de Samhain a été assimilée dans la fête chrétienne de la Toussaint, célébrée le 1er novembre. La veille de la Toussaint, qui est devenue Halloween (contraction de « All Hallows’ Eve » ou « la veille de tous les saints »), a continué à incorporer des éléments de Samhain, tels que les costumes et la récolte de bonbons.
Au fil des siècles, Halloween a évolué pour devenir une célébration populaire, en particulier en Amérique du Nord, mêlant des coutumes traditionnelles à des festivités modernes comme les maisons hantées, les décorations extravagantes et la collecte de bonbons par les enfants déguisés. Aujourd’hui, Halloween est une fête internationale qui combine des éléments de diverses cultures et traditions, mais il conserve toujours ses racines celtes et son caractère festif et effrayant.
Pour l’occasion et pour occuper vos vacances, nous vous proposons de découvrir deux jeux de société pour enfants : Le Manoir des Fantômalins et L’Arbre aux 3 Elixirs. C’est parti !

Si vous cherchez un jeu de société à la fois beau, accessible et un peu magique pour jouer en famille, L’Arbre aux 3 Élixirs signé Nathan est fait pour vous. Imaginé par Olivier Colin et Fabien Bachir, illustré avec douceur par Carine Hinder, ce jeu invite petits et grands à gravir un arbre enchanté pour atteindre les précieux élixirs perchés à son sommet.
Le concept est aussi simple qu’addictif : chaque joueur incarne un petit Elfi des saisons qui grimpe sur un arbre géant en quête des trois élixirs magiques. Mais attention ! Certaines branches sont stables (aimantées)… d’autres non. Si votre pion ne s’accroche pas, il tombe et vous perdez votre progression.
C’est un subtil mélange de mémoire (se souvenir des bonnes cases) et de prise de risque (oser grimper plus haut ou s’arrêter à temps). Le tout sur un plateau vertical magnétique absolument spectaculaire — rien que le montage de l’arbre émerveille les enfants.
Les règles sont rapides à prendre en main :
On place les bandes magnétiques secrètes derrière le plateau, qui déterminent les « bonnes » branches.
À son tour, chaque joueur choisit une case pour avancer. Si son Elfi e tient, il peut continuer à grimper ou s’arrêter. S’il tombe, il recommence plus bas.
Chacun dispose d’un petit pouvoir magique pour renverser la situation au bon moment.
La partie dure 15 à 20 minutes et se joue de 2 à 4 joueurs, dès 5 ans. Parfait pour des soirées familiales ou pour initier les plus jeunes à la stratégie légère et à la prise de décision.
Aux familles, sans hésiter. L’Arbre aux 3 Élixirs plaira aux enfants rêveurs, aux parents joueurs, et à tous ceux qui aiment les univers poétiques. Il ne demande ni longue concentration ni gros calculs, mais offre des fous rires et des « oh non, je suis tombé ! » à chaque partie.
C’est un jeu qu’on ressort volontiers entre deux plats le dimanche, pour une pause magique après l’école ou dans mon cas, lors de journées pluvieuses où personne n’a envie de mettre le nez dehors. Programme ? Jeux de société, pyjamas et chocolat chaud !
Vous le retrouverez sur Amazon pour moins de 27 €.
Si vous recherchez un jeu de société familial, fun, accessible et avec ce petit frisson d’Halloween sans aller dans l’horreur, alors Le Manoir des Fantômalins coche toutes les cases. Édité par Dujardin et sorti en cette année 2025. Ici, trois petits fantômes malicieux se sont échappés du manoir durant la nuit : à vous et votre équipe de les retrouver avant qu’ils ne sèment la pagaille dans le village. L’ambiance ? manoir, fantômes, observation, coopération — parfait pour un moment ludique avec les enfants pendant ces vacances de la Toussaint. ️
Voici le déroulé typique d’une partie :
Les joueurs (2 à 4) s’unissent pour coopérer.
On observe les fantômes encore présents dans la boîte/manoir, on note (voire dessine) ceux qui manquent — ce sont les trois Fantômalins évadés.
Il faut les identifier, les retrouver et les ramener au manoir avant qu’ils ne provoquent trop de dégâts (en jeu : avant que cela ne tourne mal pour le village).
Le jeu est rapide (environ 15 à 30 minutes selon les sources) et accessible dès ~5-7 ans.
Le mécanisme principal : observation + mémoire + esprit d’équipe, plutôt que stratégie longue ou complexe.
Le Manoir des Fantômalins s’adresse avant tout aux familles qui aiment jouer ensemble dans une ambiance légère et coopérative. C’est un jeu pensé pour les enfants dès 5 à 7 ans, suffisamment simple pour être compris rapidement, mais assez vivant pour captiver aussi les parents.
Il convient aussi bien aux petits groupes de 2 à 4 joueurs qu’aux duos parent-enfant qui veulent partager un moment complice autour d’un thème qui fait frissonner juste ce qu’il faut.
Avec ses fantômes malicieux et son décor de manoir mystérieux, il plaira particulièrement aux enfants curieux, observateurs et imaginatifs. Ceux qui adorent se raconter des histoires, chercher les détails cachés et résoudre des énigmes rigolotes seront ravis.
C’est le jeu parfait pour initier les plus jeunes à la coopération : ici, pas de rivalité ni de vainqueur unique. Tout le monde gagne (ou perd) ensemble, ce qui en fait un excellent choix pour apprendre l’esprit d’équipe et la solidarité… dans une ambiance joyeusement fantomatique ! ️
Vous le retrouverez également à moins de 27 € sur Amazon.
Jeux Halloween – Le Manoir des Fantômalins et L’Arbre aux 3 Elixirs a lire sur Vonguru.
Vous le savez, depuis le temps, mais chez Vonguru, on adore se faciliter la vie et on adore quand le ménage du quotidien est vite fait, certes, mais surtout bien fait ! On accumule toutes et tous un peu trop les divers appareils, et c’est pour cela que Dreame a eu l’idée de sortie son aspirateur laveur 7-en-1, en la présence du H15 Mix. Vous l’aurez donc compris, la polyvalence sera le maitre mot de notre appareil du jour !
Ce dernier est vendu 899 € hors promotion mais a été récemment vu au prix de 624 €. Ouvrons donc bien l’œil ! Pour découvrir ou redécouvrir tous nos tests de la marque, c’est par ici.
Place au test !
C’est un très gros carton franchement lourd qui m’a demandé un peu d’aide qui est arrivé à la rédaction. On retrouvera ici une grande photo le logo Dreame et le nom « H15 Mix » dominent, accompagnés d’une photo produit sur fond sombre et de la mention « 7-in-1 ».
Le dessus présente des vignettes explicatives du cycle d’auto-nettoyage et des légendes techniques courtes. C’est orienté « mode d’emploi visuel » pour rassurer sur l’entretien.
Nous découvrirons aussi plusieurs gros plans de la brosse, des accessoires et des usages (sol dur, tapis, taches) mettent en avant les éléments fonctionnels. Cette face détaille visuellement ce que fait chaque utilisation

| Marque | dreame |
| Caractéristique spéciale | Aspiration de 23 000 Pa, Design horizontal à 180° |
| Type de filtre | Filtre HEPA |
| Sans fil ? | Oui |
| Usages recommandés pour le produit | tapis, sols durs, meubles, voitures, escaliers, poils d’animaux |
| Facteur de forme | Robotique |
| Couleur | Noir |
| Nom de modèle | H15 Mix |
| Dimensions du produit | 27,5L x 23,6l x 113,5H centimètres |
D’ailleurs, histoire d’y voir un peu plus clair, si on résume ses capacités, les « 7-en-1 » correspondent donc à :
Aspiration à sec,
Aspiration de liquides,
Lavage des sols,
Séchage,
Mode aspirateur à main,
Nettoyage de tissus/tapis,
Auto-nettoyage et séchage de la brosse.
Dreame continue d’enrichir son catalogue d’appareils ménagers intelligents avec un objectif clair : simplifier le ménage, le tout sans sacrifier la performance. Avec le H15 Mix, la marque promet rien de moins qu’un aspirateur-laveur 7-en-1 capable d’aspirer, laver, sécher, désincruster, se nettoyer tout seul et même se transformer en aspirateur à main. Oui oui, vous avez bien lu ! Sur le papier, c’est l’arme ultime pour venir à bout de toutes les saletés du quotidien. Mais qu’en est-il vraiment une fois entre les mains ?
Le design du Dreame H15 Mix ne cherche pas la fantaisie : gris métallisé, lignes douces et une poignée bien équilibrée. En main, la préhension est naturelle, les boutons bien placés et l’écran intégré sur le dessus affiche les informations essentielles (mode, batterie, niveau d’eau).
Ce modèle affiche environ 5,7 kilos en mode complet, ce qui le place dans la moyenne haute de sa catégorie. Il reste maniable grâce à un bon équilibre et à une tête articulée à 180° qui passe facilement sous les meubles. Mais ne nous mentons pas : ce n’est pas un appareil qu’on soulève d’une main pour nettoyer un escalier complet.
Côté moteur, le Dreame H15 Mix envoie du lourd avec une puissance d’environ 400 W et une dépression de 23 000 Pa. Cela se traduit par une aspiration efficace, même sur les débris un peu lourds. Sur le carrelage, il avale miettes, poils d’animaux et poussières sans rechigner. Le mode automatique ajuste la puissance selon le type de sol détecté, ce qui permet d’économiser la batterie sans perdre en efficacité.
Sa brosse est rudement efficace et ses petites LEDs pour bien éclairer le sol et les saletés est clairement un bel atout. Côté maniabilité, il est assez « rigide » et un peu moins malléable par exemple que le Eureka AK10 Pro.
Sur les tapis, que l’on soit sur poils courts ou longs, les résultats sont également convaincants : la mini-brosse motorisée fait un travail précis sur les taches localisées et redonne un coup de propre visible sur les fibres. L’appareil n’est pas un nettoyeur de moquette professionnel, mais il dépanne très bien pour un usage domestique, surtout quand votre foyer abrite enfants et animaux. Et puis de toute façon, vous l’avez vu, il fait AUSSI shampouineuse. Un must-have quand on a enfants et animaux à la maison !
C’est évidemment sur la partie lavage que le H15 Mix se démarque. Le système à double réservoir — 780 ml pour l’eau propre et 700 ml pour l’eau sale — permet de nettoyer à l’eau claire, puis d’aspirer immédiatement le liquide souillé. Contrairement à certains modèles qui réutilisent partiellement l’eau sale, Dreame isole parfaitement les deux circuits, et le résultat se voit sur le sol : aucune trace grasse, pas de film résiduel, et un séchage très rapide. On regrettera cependant la contenance assez limité de ces deux bacs.
Le lavage est homogène, la brosse rotative exerce une bonne pression sans forcer, et la fonction de séchage rapide est réellement pratique pour marcher sur le sol quelques minutes après le passage. En revanche, sur de grandes surfaces, il faudra s’arrêter plusieurs fois pour vider et remplir les réservoirs : c’est le prix à payer pour un nettoyage réellement à l’eau claire.
L’autonomie annoncée de jusqu’à 75 minutes est crédible en mode éco ou en utilisation alternée. En mode turbo, elle chute logiquement autour d’une trentaine de minutes, mais c’est suffisant pour un ménage complet de 80 m². La batterie est amovible, un bon point si l’on souhaite en acheter une seconde pour les grandes maisons. Il est d’ailleurs très facile de clipper et de déclipper la batterie ainsi que le moteur, pour aller les utiliser sur les autres appareils. Côté bruit, le H15 Mix reste dans la moyenne haute : ce n’est pas un appareil silencieux, mais le son est grave et régulier, donc peu désagréable.
L’un des gros points forts du Dreame H15 Mix est son entretien automatisé. Une fois le ménage terminé, il suffit de replacer l’appareil sur sa base : il rince sa brosse, aspire les résidus d’eau et lance un cycle de séchage. On évite ainsi l’odeur d’humidité et la moisissure sur la tête de lavage, un défaut fréquent chez ses concurrents. Les réservoirs se retirent d’un geste et se rincent facilement sous le robinet. En revanche, il faut penser à vider l’eau sale systématiquement, sous peine d’odeurs persistantes après quelques heures.
Ce qui séduit le plus au quotidien, c’est la polyvalence du H15 Mix. Passer du mode sol au mode aspirateur à main prend quelques secondes, et l’on peut tout aussi bien s’attaquer aux miettes sur le canapé qu’à une tache collante dans la cuisine. Il remplace aisément trois appareils — aspirateur, serpillière et shampouineuse — tout en offrant un rendu plus propre que la plupart des aspirateurs-laveurs classiques.
Son seul vrai défaut vient de sa taille : la station prend de la place et l’ensemble n’est pas le plus discret une fois installé dans un coin de la pièce. Le poids, aussi, peut fatiguer à la longue si l’on enchaîne les grandes sessions de nettoyage.
Pour terminer, parlons de l’application. L’appareillage s’est fait extrêmement rapidement. Nous avions déjà l’app installé et nous avons eu à suivre les étapes indiquées pour relier notre appareil à notre smartphone.
Depuis votre téléphone, vous pouvez ainsi ajuster la puissance d’aspiration, la quantité d’eau projetée, ou lancer le mode auto-nettoyage et séchage de la brosse, sans même se pencher sur la base.
De plus, elle affiche en temps réel les niveaux d’eau propre et d’eau usée, prévient lorsqu’un filtre est encrassé, et propose même des mises à jour logicielles OTA pour garder l’appareil au top de ses performances. C’est aussi une façon maligne d’optimiser son entretien, avec des rappels de maintenance automatiques.
L’expérience est fluide et claire, à condition de respecter quelques contraintes : le H15 Mix ne se connecte qu’au Wi-Fi 2,4 GHz, et l’application demande l’accès à certaines autorisations (emplacement, notifications). Rien de rédhibitoire, mais à garder en tête. En pratique, DreameHome transforme le H15 Mix en véritable outil intelligent : on ne se contente plus de nettoyer, on pilote, on suit et on entretient avec précision.
Le Dreame H15 Mix est un appareil hautement polyvalent, puissant et bien conçu, qui coche la plupart des cases que l’on attend d’un aspirateur-laveur moderne. Il excelle dans le nettoyage du quotidien, propose un vrai confort d’utilisation grâce à sa base autonettoyante et affiche une puissance d’aspiration largement suffisante pour la plupart des besoins domestiques.
Il reste cependant perfectible comme nous l’avons vu : ses réservoirs se remplissent vite, il pèse son poids et son tarif le positionne clairement dans le haut du panier. Mais pour qui cherche un appareil unique capable de remplacer plusieurs outils de ménage, sans compromis sur la qualité du résultat, le H15 Mix s’impose comme une valeur sûre, avec comme toujours avec Dreame, des consommables qui se trouvent très facilement à moindre coût.
Pour nous, c’est donc non seulement un VG d’or mais également un award coup de coeur tant nous avons aimé sa polyvalence.
Test – Aspirateur laveur 7-en-1 H15 Mix de Dreame a lire sur Vonguru.
Fin de journée, c’est presque le week end et en plus les vacances scolaires sont là ! Mais je ne pouvais pas finir ma journée sans vous parler de Vault. Vault c’est une application Electron pour Mac, Windows et Linux qui vous permet de sauvegarder vos liens, vos notes et vos images à 100% en local sur votre machine.
Vous installez l’app, vous créez un ou plusieurs “coffres” (des dossiers qui organisent votre contenu), et vous commencez à sauvegarder tout ce qui vous intéresse. L’app extrait automatiquement les métadonnées des liens que vous lui donnez, le temps de lecture estimé, les infos produit si c’est une page e-commerce, et comme ça, tout reste bien organisé dans votre interface.
Vault propose aussi une extension navigateur pour Chrome, Firefox et dérivés. Comme ça, si vous tombez sur un article intéressant, hop, un clic et c’est sauvegardé directement dans votre coffre local. Et pas besoin d’ouvrir l’app, car l’extension communique directement avec elle en arrière-plan.
Ce qui me plaît dans cette approche, c’est qu’on revient aux bases. Rien n’est stocké en ligne, et si vous gérez bien vos sauvegardes, tout restera chez vous ad vitam eternam ! Après comme y’a pas de synchro native entre vos appareils, si vous bossez sur deux ou trois machines différentes, faudra gérer ça à la main avec un Dropbox ou iCloud Drive en plaçant vos coffres dans un dossier synchronisé. Mais bon, on peut pas tout avori dans la vie.
L’app supporte le Markdown pour vos notes, ce qui est sympa si vous aimez écrire en texte formaté et vous pouvez importer vos bookmarks depuis Chrome en deux clics, et exporter vos coffres pour les partager ou les archiver.
Le projet est open source sous licence MIT et est dispo ici .
Vault ne va pas changer votre vie mais c’est une app qui fait ce qu’on lui demande, sans chichi, sans tracking, sans casser les pieds et ça, moi j’adore !

En ce mois d’octobre, c’est une nouvelle fois la marque Creative nous a ravi ce mois-ci avec notamment l’arrivée à la rédaction de la barre de son Stage Pro. Il y a quelques semaines, vous avez pu découvrir également le test des Pebble PRO, des haut-parleurs USB 2.0 minimaliste avec Bluetooth et éclairage RGB personnalisable ainsi que d’une autre enceinte, la SoundBlaster GS3.
Notre modèle du jour est actuellement affiché au prix de 140 € sur Amazon. Voyons ensemble ses qualités et ses défauts. Place au test !
Commençons notre test par notre traditionnelle partie unboxing. On retrouvera sur la face avant montre la barre de son et le caisson avec le logo Creative, le nom « Stage Pro » et les principales fonctions mises en avant. Les faces latérales, droite et gauche donc, affichent simplement le logo Creative et les principales caractéristiques du produit.
La face arrière quant à elle détaille les spécifications techniques, les connectiques et quelques visuels explicatifs, mais nous y reviendrons plus en détails juste en dessous.
| Marque | Creative |
| Puissance de sortie maximale du haut-parleur | 160 Watts |
| Dimensions du produit | 11,2P x 55l x 8,1H centimètres |
| Poids de l’article | 6 000 Grammes |
| Nombre d’articles | 1 |
| Taille du haut-parleur | 41,3 Centimètres |

L’installation de la Creative Stage Pro est simple et rapide, conçue pour que l’expérience audio soit opérationnelle en quelques minutes. La barre de son se place idéalement sous le téléviseur, sur un meuble ou fixée au mur grâce à ses points de fixation intégrés. Le caisson de basses, compact, peut être disposé près de la barre ou dans un coin de la pièce sans gêner, car il est sans fil et ne nécessite pas de branchement direct à la barre.
Côté connexions, tout est intuitif : un câble HDMI ARC relie la barre au téléviseur et permet de contrôler le volume via la télécommande du TV, tandis que les options optique, AUX ou USB-C offrent une compatibilité avec d’autres appareils audio. Le Bluetooth 5.3 permet de diffuser de la musique depuis un smartphone ou une tablette sans fil, et la synchronisation est immédiate. L’écran LED à l’avant facilite la gestion des sources et du volume, et la télécommande incluse permet de basculer entre les modes sonores ou ajuster les paramètres en toute simplicité.
En quelques gestes, la Creative Stage Pro est installée et prête à délivrer un son immersif, offrant une expérience audio améliorée sans complication ni câbles encombrants.
La Creative Stage Pro est une barre de son au format 2.1 qui comprend une barre donc, ainsi qu’un caisson de graves, pensée pour équiper aussi bien un bureau que votre télé dans un espace restreint. Elle affiche une puissance de crête de 160 W, répartie entre deux canaux pour la barre (≈ 2 × 20 W RMS) et un caisson (≈ 40 W RMS).
Au niveau des dimensions, la barre mesure environ 550 × 112,1 × 80,7 mm , tandis que le caisson est plus imposant, 115 × 265 × 420 mm pour environ 3,4 kg.
Un affichage LED est intégré, et la barre dispose de boutons de contrôle sur le dessus (power, volume, sélection source, mode SuperWide). Le tout est accompagné d’une télécommande qui permet un contrôle plus fin, notamment les réglages des graves, aigus, modes audio, etc..
Premiers constats, son format compact qui lui permet tout de même de délivrer un volume appréciable, avec de l’énergie dans les scènes exigeantes. Mais attention, ce n’est pas un système haut de gamme, les basses profondes extrêmes manquent d’ampleur, ce qui est compréhensible dans cette gamme de prix. En usage cinéma ou jeux, elle remplit bien l’espace sans être invasive ni écrasante dans des salons de taille modeste. Chez moi par exemple, c’est un grand salon séjour avec cuisine ouverte et une cage d’escalier elle-aussi ouverte menant à l’étage. C’est donc un grand, trop grand espace pour ce type de barre de son, mais j’ai bien gardé cela en tête tout au long de mon test. Si vous avez un salon avec une configuration plus adaptée, cela ne sera donc pas un souci.
En mode Near Field, l’écoute sonne plus « centrée » et précise, adaptée à un usage sur ordinateur par exemple et donc, de proximité. En mode Far Field, l’audio est plus diffus, avec une impression de scène sonore élargie, utile pour une position de visionnage à distance. Ces modes ont vraiment leur utilité selon la distance d’écoute. Toutefois, dans une pièce très grande, le mode Far Field peut paraître un peu déséquilibré, car l’illusion d’espace ne peut pas compenser les limites physiques. Le caisson de graves apporte un soutien appréciable aux basses, mais comme souvent dans ce genre de système compact, il ne peut pas rivaliser avec un subwoofer de référence. Les explosions, les ambiances qui font boom boom sont présentes, mais sans réelles profondeurs.
Grâce à la technologie SuperWide, l’illusion d’une scène sonore plus large fonctionne assez bien. Ce n’est pas parfait ni miraculeux, mais cela ajoute une dimension d’immersion bienvenue, surtout lorsque l’on regarde un film.
Parmi les points forts, on peut citer sa polyvalence de connexion : HDMI ARC, optique, USB, Bluetooth, ce qui la rend compatible avec de nombreux systèmes audio ou sources. Le passage automatique avec HDMI ARC est un plus appréciable pour le confort d’usage. Le concept des modes SuperWide est un vrai plus différenciateur pour adapter l’écoute selon la position. Le rapport prix / prestations est globalement bon voire très bon, surtout parce qu’on a un caisson inclus pour ce budget somme toute réduit.
Quant aux limites, l’absence de Dolby Atmos est regrettable mais au vu du prix… Les basses très profondes manquent, surtout pour les puristes ou dans de grandes pièces comme dit précédemment. En effet, le mode Far Field peut devenir moins convaincant quand on est très éloigné ou que la pièce est vaste. Le réglage matériel (EQ) n’est pas ultra complet : les options de personnalisation sont limitées à ce que permet la télécommande.
La Creative Stage Pro est selon moi une excellente option milieu de gamme, à un prix très accessible, pour qui veut remplacer les haut-parleurs internes d’un TV ou avoir une solution audio raisonnable pour un PC / setup multimédia, sans se ruiner. Son compromis entre puissance, connectique, immersion et prix la positionne comme une des plus intéressantes dans sa catégorie.
Si vous avez une pièce de taille modeste à moyenne, et que vous n’êtes pas un audiophile exigeant en basses extrêmes ou formats Dolby Atmos, la Stage Pro offrira une expérience largement supérieure à ce qu’une TV ordinaire peut fournir. En revanche, pour les vrais passionnés de son ou dans des grandes salles, elle aura ses limites — mais cela reste cohérent avec son positionnement tarifaire.
On rappellera que notre modèle du jour est actuellement affiché au prix de 140 € sur Amazon.
Test – Barre de son Creative Stage Pro a lire sur Vonguru.
La marque Invoxia continue de dévoiler ses nouveautés chez Vonguru ! Après le test du GPS Tracker Pro de décembre 2023 et plus récemment du Mini Tracker LWT 200, nous vous proposons de découvrir une nouveauté, Tracker GPS Classic étanche Edition 2026. Au programme : autonomie de 6 mois, suivi GPS amélioré , historique, alertes de mouvement, abonnement de 1 an offert, oui oui, et surtout, l’étanchéité est au rendez-vous !
Vous le retrouverez au prix de 99 € dans sa version avec un an d’abonnement sur Amazon. Place au test !
La face avant met en avant le produit, avec une photo nette du tracker sur fond clair et le nom « Invoxia Tracker GPS » écrit. Attention, aucune mention concernant la version 2026. On y retrouve aussi en plusieurs langue les utilisations possibles, voiture, moto ou sac. Les côtés latéraux présentent, d’un côté, le nom de l’appareil et un rappel de la marque, de l’autre, le slogan « Protect and track your valuables ».
Pour finir, à l’arrière, Invoxia détaille les principales caractéristiques techniques et les usages possibles, la aussi en plusieurs langues : jusqu’à 6 mois d’autonomie, 1 an d’abonnement inclus, permet de créer des zones d’alertes et de recevoir des notifications d’entrée/sortie, alerte antivol en temps réel. Là encore, aucune mention des améliorations comme l’étanchéité.
Clairement, c’est un packaging à revoir selon moi car les informations ne sont pas claires.
| Marque | Invoxia |
| Caractéristique spéciale | Activée par mouvement |
| Application prise en charge | Application Invoxia |
| Usages spécifiques pour le produit | Véhicules, Ordinateur personnel, Tablette, Smartphone |
| Matériau | Acrylonitrile butadiène styrène (ABS) |
| Composants inclus | Batterie |
| Durée de vie de la batterie | 6 mois |
| Dimensions de l’article L x l x H | 25 x 103 x 30 millimètres |
| Poids de l’article | 28 Grammes |
| Appareils compatibles | Ordinateur personnel, Smartphone, Tablette |
On notera également qu’une lanière est présente sur le dessin mais aucunement dans le paquet, de nouveau un lourd souci marketing avec le packaging.
Le tracker GPS Classic Edition 2026
Un câble USB-C pour la recharge
Une notice de démarrage rapide
Un guide de sécurité
Les conditions d’abonnement
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Invoxia n’a plus grand-chose à prouver sur le marché du tracking intelligent. Pionnier du secteur depuis plus d’une décennie, le constructeur français revient en force avec une version revisitée de son modèle emblématique : le Tracker GPS Classic Edition 2026. Héritier direct du best-seller de 2017, ce petit boîtier tout en discrétion se voit propulsé dans une nouvelle ère grâce à l’intégration d’une intelligence artificielle embarquée et à un ensemble de fonctions de sécurité modernisées, pensées pour protéger efficacement vos biens et vos proches.
À première vue, rien ne trahit la puissance de ce mini traceur. Sous ses 105 × 27 × 9,5 mm pour seulement 27 g, le Classic Edition 2026 cache un savant mélange de Bluetooth, Wi-Fi et GPS, le tout connecté aux réseaux basse consommation Sigfox ou LoRa. Pas besoin de carte SIM, donc, et une autonomie pouvant grimper jusqu’à six mois selon la fréquence de suivi choisie. Nous n’avons d’ailleurs pas pu réaliser le test de l’autonomie, vous vous en doutez. De plus, l’appareil reste parfaitement étanche (certifié IP67), ce qui le rend aussi à l’aise sur un vélo que sur une moto.
Le suivi de position s’ajuste finement selon les besoins : toutes les 2, 5 ou 10 minutes, voire à la demande. En mode statique, le traceur envoie une mise à jour toutes les 2 heures. Le tout s’accompagne d’un historique précis des déplacements, de notifications de zones prédéfinies (domicile, école, parking) et d’un radar de proximité chaud/froid — pratique pour retrouver son objet égaré en quelques secondes. On apprécie également la présence d’une sonnerie intégrée, toujours utile pour repérer un sac ou un scooter mal rangé.
C’est sans doute la fonctionnalité phare de cette édition 2026 : le mode perdu. En cas de vol ou de disparition, il déclenche une traque intensive en forçant l’utilisation permanente du GPS, avec un envoi de position toutes les 2 minutes lorsqu’il est en mouvement. Résultat : une réactivité exemplaire pour suivre un bien volé en temps réel, là où d’autres trackers peinent à fournir une localisation stable.
Invoxia a pensé à tout. En cas de vol déclaré, le dossier de vol génère automatiquement un rapport officiel avec QR code, consultable directement par les forces de l’ordre ou votre assureur. Cette fonction, unique sur le marché, simplifie considérablement la procédure : la police accède aux données de géolocalisation sans attendre votre intervention, accélérant ainsi la récupération du bien. C’est intelligent, simple et terriblement efficace dans la théorie. Dans la pratique, difficile d’en juger car je n’ai pas pu pousser le test jusqu’ici, bien évidemment.
Avec ce Classic Edition 2026, Invoxia parvient à faire ce que peu de marques réussissent : moderniser un produit culte sans le dénaturer. Le design reste minimaliste, l’usage intuitif, mais la technologie progresse nettement. Entre IA embarquée, précision accrue et fonctions anti-vol intelligentes, le nouveau tracker GPS d’Invoxia coche toutes les cases. Un indispensable pour ceux qui tiennent à leurs objets — ou à leur tranquillité d’esprit.
Cependant, il manque une lanière, très pratique selon les cas d’utilisations, et tout le packaging de ce nouveau modèle est à revoir pour plus de clarté auprès des utilisateurs.
Disponible dès à présent sur invoxia.com, Amazon et chez divers revendeurs, le Tracker GPS Classic Edition 2026 s’affiche à un prix de 99 € avec un an d’abonnement inclus, ou 129 € avec trois ans. Les formules d’abonnement réseau restent souples : 4,45 € par mois, 29,95 € par an ou 50 € pour trois ans. Une tarification raisonnable au vu des services proposés.
Test – Tracker GPS Classic étanche Edition 2026 d’Invoxia a lire sur Vonguru.
À l’occasion de l’édition 2025 de l’IFA qui s’est déroulé à Berlin, la marque Roborock a annoncé un nouveau venu dans sa série « F25 », lancée en janvier 2025 : le modèle F25 Ultra. Depuis le mois de janvier, d’autres modèles sont venus compléter la série et c’est donc ce nouveau modèle Roborock F25 Ultra que nous allons passé en revue aujourd’hui. On se doute bien que derrière cette dénomination « Ultra » se cache surement un modèle haut de gamme de cette série et c’est bien le cas ! Ce modèle Roborock F25 Ultra reprend toutes les fonctions du modèle ACE, mais en ajoutant une fonction vapeur à 150 °C qui pourrait bien faire toute la différence.
Ce nouveau aspirateur laveur Roborock F25 Ultra sera disponible le 20 octobre, à un tarif annoncé au prix public conseillé de 799 euros. Pour rappel, nous avions déjà eu l’occasion de passer en revue le Roborock F25 et vous pouvez retrouver l’ensemble de nos tests de la marque Roborock, en suivant ce lien. Merci à Roborock France d’avoir mis à notre disposition cet exemplaire du F25 Ultra.
Notre exemplaire est arrivé directement de Chine via la société DHL, un bon moyen de vérifier la qualité de protection de ce Roborock F25 Ultra, durant ce long voyage. Nous avons donc réceptionné un colis finalement assez imposant. La boite de notre Roborock F25 Ultra est emballée dans un carton brun assez sobre ne portant que la mention de la marque. La première étape va être de s’assurer que les composants à l’intérieur de la boite sont bien protégés pour le transport.
Comme on peut le voir, les différentes faces reprennent des illustrations du Roborock F25 Ultra ainsi que les principales caractéristiques. Roborock met en avant la possibilité de nettoyer à la vapeur à 150 °C, à l’eau chaude à 86 °C, la capacité de la batterie, la présence d’un réservoir pour la solution nettoyante, la compatibilité avec l’application Roborock, etc. Nous reviendrons bien entendu sur toutes ses fonctionnalités lors de notre test.
Dès l’ouverture, on tombe sur une feuille cartonnée, une habitude chez Roborock, qui contient sur son verso un guide d’installation rapide. Celui-ci va vous indiquer les éléments à associer pour monter votre F25 Ultra. Nous vous rassurons de suite, rien de bien compliqué ! La première impression est très positive au niveau de l’agencement des différents composants au sein de la boite, cela fait très sérieux et très haut de gamme.
Nous trouvons dans la première partie de l’emballage, le rouleau de nettoyage, un filtre supplémentaire ainsi que le câble d’alimentation. Comme vous pouvez le constater, les différents accessoires sont parfaitement protégés par un bloc en frigolite. Le premier élément qui va se dévoiler est la base de recharge, de nettoyage et de séchage du rouleau.
Une fois celle-ci ôtée, on enlève deux blocs en frigolite afin de dévoiler notre Roborock F25 Ultra qui arrive, bien entendu, en deux parties : bras et la base de nettoyage. Roborock vous offre également une solution nettoyante ainsi qu’un goupillon de nettoyage. Sachez aussi que les différents éléments disposent de plusieurs protections plastiques afin d’éviter d’être griffé lors du transport. Vous n’avez donc aucune inquiétude sur l’arrivée à bon port de votre balai laveur Roborock F25 Ultra.
Passons à présent au montage de notre Roborock F25 Ultra ainsi qu’au tour du propriétaire.
Comme nous vous l’avons dit, rien de bien compliqué et c’est évidemment à la portée de tous. La première étape va consister à insérer le manche du balai dans la partie basse. Comme on peut le voir, l’extrémité possède une connectique qui va permettre la transmission des infos entre la base du balai et les boutons présents sur le manche.
On peut s’apercevoir directement de son efficacité à se positionner horizontalement à 180°. Ce n’est pas réellement une nouveauté dans la gamme des aspirateurs laveurs de Roborock, puisque le Roborock Flexi Pro, que nous avons déjà testé, possède lui aussi cette aptitude. La position du bras lui permet de pouvoir se positionner parfaitement à l’horizontale et une petite roulette, placée sur la poignée, permet de le faire glisser très facilement. Il peut ainsi descendre sa hauteur à 12,5 cm et pourra même être commandé à distance, dans cette position, via l’application !
La position du réservoir d’eau propre a également changé, puisque sur notre Roborock F25 Ultra, elle se trouve en partie basse, au niveau du rouleau de nettoyage. Ce changement d’emplacement permet à la série F25 de se glisser parfaitement à l’horizontale, mais en contre parie, la partie basse voit sa hauteur augmenter.
Ce nouveau Roborock F25 Ultra dispose d’une puissance d’aspiration de 22 000 Pa, ce qui le place dans les plus performants de sa catégorie. Roborock annonce une autonomie de 60 minutes en mode AUTO. Comme vous avez pu le constater sur les photos, les différents éléments plastiques sont aussi protégés par un film autocollant afin d’éviter que ceux-ci ne soient griffés durant le transport.
Sachez que la version F25 Ultra dispose d’un réservoir d’eau propre de 1000 ml et d’un compartiment dédié pour la solution nettoyante de 100 ml. Pour rappel, vous retrouvez, offert avec votre F25 Ultra, une solution nettoyante de 200 ml. Le réservoir peut s’ôter facilement afin de le remplir et cette position permet d’avoir un poids supplémentaire au niveau de la brosse de nettoyage améliorant ainsi la pression sur le sol. On peut voir les différentes buses du réservoir, qui achemine l’eau propre, la solution nettoyante ainsi que la vapeur. Notez que c’est via l’application que vous pourrez déterminer la quantité d’eau ainsi que de solution nettoyante que vous désirez utiliser.
Le bac d’eau usagée se trouve sur la face avant et a une capacité de ???? ml. Puisque le réservoir d’eau propre n’est plus en partie haute, cela permet d’augmenter énormément la capacité du réservoir d’eau sale. Pour comparaison, celui de notre Roborock Flexi Pro n’est que de 450 ml. Il dispose d’un filtre sur sa partie haute ainsi qu’une poignée afin d’ôter plus facilement le module filtrant.
Nous pourrons, lors de notre test, juger de l’efficacité de ce dernier notamment avec les poils d’animaux et les cheveux. Pour rappel, le principe est que l’eau clair est envoyée vers la brosse rotative, celle-ci est ensuite raclée et l’eau usagée est réinjectée dans le réservoir contenant l’eau sale. Le système de filtration est beaucoup plus complexe grâce au volume plus important du réservoir.
Élément essentiel, la base de notre F25 Ultra va assurer le nettoyage de votre sol. Voyons en détails comment celle-ci est conçue. Contrairement à certains modèles, on ne retrouve ici qu’une seule brosse à rouleau. Roborock met en avant la possibilité de nettoyer très près des plinthes (< 1mm), que ce soit à gauche ou à droite, même si le rouleau ne dépasse pas vraiment du cadre comme c’était le cas sur le Dyad PRO.
Comme nous vous le disions, le rouleau peut être facilement enlevé et dévoile ainsi le moteur qui est situé à l’intérieur du rouleau lorsque celui-ci est en place. Roborock annonce que celui-ci peut tourner jusqu’à 450 tours/minutes. Il nettoie les dégâts secs comme humides. On peut aussi apercevoir sur la photo de gauche, le grattoir jaune qui permet d’éviter l’emmêlement des cheveux sur le rouleau. + nom techno. Le F25 Ultra ajustera la vitesse du rouleau et l’aspiration en fonction de la détection de saleté via son capteur intelligent DirTect. On peut aussi apercevoir les différentes LED afin de vous assurer une visibilité optimale.
Mais la grande nouveauté réside dans les deux nouveaux modes de nettoyage via les technologies VaporFlow et WaveFlow conçues pour l’élimination des saletés tenaces et un nettoyage hygiénique.
Sachez que la base permet un nettoyage à 90 °C le rouleau qui alternera des mouvements avants et arrières pour être le plus efficace possible. Mais grâce à la vapeur, vous pourrez aussi profiter d’un lavage à 150 °C ! Le séchage peut s’exécuter en 5 minutes grâce à un séchage à 90 °C ou en 30 minutes, pour un séchage silencieux.
On retrouve aussi sur le dessous, deux petites roulettes. Notre modèle bénéficie lui de deux grandes roulettes supplémentaires comme sur le Flexi Pro afin de bénéficier de la technologie SlideTech qui va vous permettre d’avoir une traction vers l’avant, mais aussi vers l’arrière synchronisée avec la vitesse du rouleau. Le principe est de faciliter le nettoyage du sol et de réduire votre effort.
Nous arrivons finalement au sommet de notre F25 Ultra. La poignée regroupe trois fonctions. La première, essentielle, est la mise sous tension ou l’extinction du balai. La seconde permet de changer le mode de nettoyage avec comme option : AUTO, vapeur, eau chaude et éponge. Lorsque le F25 Ultra est sur sa base, les touches ont alors d’autres fonctions. Enfin, le troisième bouton permet de lancer la procédure d’auto-nettoyage. Notez que celui-ci pourra aussi être paramétré dans l’application.
Une petite roue, sur l’arrière du bras, permet de faire glisser le balai lorsqu’il est positionné à 180°. Un écran se trouve sur le haut de la zone abritant le réservoir d’eau sale. Celui-ci vous permet de visualiser l’autonomie de votre Roborock F25 Ultra, le mode de nettoyage choisi ainsi que le niveau de saleté détecté. Comme s’est devenu une habitude, ce F25 Ultra possède la position parking qui lui permet de tenir debout tout seul ! C’est devenu courant maintenant sur ce type de produit et c’est un réel plus dont plus personne ne pourrait se passer. Une fois votre Roborock F25 Ultra placé en mode parking, il se met directement en pause.
Tous les modèles de la série F25 ne sont pas compatibles avec l’application, mais bien entendu, ce modèle haut de gamme l’est totalement. Comme nous avions déjà installé l’application pour tester le Roborock Dyad Pro, Pro Combo, le Qrevo MaxV, pas besoin de la réinstaller pour notre F25 Ultra. Nous vous invitons à jeter un œil à notre précédent article pour l’installation de cette dernière, qui elle aussi, ne demande pas de compétence particulière. Notez que l’interface a bien évolué ces derniers mois.
Comme l’application est déjà installée, il va nous suffire de cliquer sur l’ajout d’un appareil en scannant le QR code afin de le connecter à votre réseau WiFi. Veillez aussi à avoir rechargé votre F25 Ultra avant d’ajouter ce nouveau produit à votre application. Le logiciel va ainsi identifier les différentes réseaux WiFi disponibles et à vous de choisir celui auquel il sera associé. Votre smartphone et le F25 Ultra vont communiquer ensemble afin d’établir la liaison. Lorsque l’application a trouvé votre aspirateur laveur, le logiciel exécutera une mise à jour du micrologiciel.
N’hésitez pas à sélectionner les mises à jour automatique afin de garder toujours à jour votre F25 Ultra. Ces correctifs sont souvent bien utiles pour votre usage au quotidien.
En cliquant sur la petite roue située en haut, à droite, vous aurez accès à une première partie des réglages des paramètres de votre aspirateur laveur Roborock F25 Ultra. Vous pourrez ainsi activer ou désactiver l’éclairage, le mode de contrôle à distance,le niveau du détergeant, les paramètres des alertes vocales, le statut d’utilisation des composants, partager votre appareil, consulter le manuel d’utilisateur, obtenir des informations sur votre produit et enfin, réaliser les mises à jour du logiciel.
Au niveau de l’écran d’accueil, vous pourrez voir le niveau de charge de votre aspirateur laveur ainsi que lancer l’auto-nettoyage et le séchage. Enfin, vous pourrez modifier certains modes de nettoyage en réglant la puissance d’aspiration et le niveau d’eau, ainsi que les roues motrices. Pour rappel, vous disposez de quatre modes : AUTO, vapeur, eau chaude et éponge.
Maintenant que nous avons fait le tour de l’application, que notre réservoir d’eau propre est rempli, que le réservoir de détergeant l’est aussi et notre aspirateur laveur Roborock F25 Ultra pleinement chargé, débutons les tests !
Ayant reçu ce Roborock F25 Ultra bien avant la levée du NDA, nous avons largement eu l’opportunité de le tester. Comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessous, notre carrelage est un modèle « à l’ancienne », c’est-à-dire, avec une surface non-plane et des joints profonds de quoi mettre à mal le Roborock F25 Ultra. Une autre série de tests sera réalisée sur un parquet vitrifié.
Mise sous tension et choix du mode via le bouton sur la poignée. Dans ce test, nous opterons pour le mode AUTO, eau chaude et vapeur. Lors de la première utilisation, le rouleau s’humidifie sous toute la longueur après deux ou trois passages, laissant très peu de traces sèches.
Pour rappel, voici les quatre modes disponibles : éponge, AUTO, vapeur et eau chaude. Le mode vapeur demande un décompte jusque 99 afin de s’activer, le temps que votre appareil atteigne la bonne température.
Ce qui frappe directement, c’est son poids, c’est étrange à dire, mais face au Flexi Pro, on ressent une réelle différence. Le maniement est très fluide et vous n’aurez pas besoin de faire d’effort, c’est lui qui va se charger d’avancer et vous n’aurez qu’à le guider selon l’endroit que vous désirez rafraichir. Le fait d’avoir le réservoir en position basse, au-dessus de la zone de nettoyage et d’aspiration améliore pour beaucoup la fluidité des mouvements et la stabilité avec le sol.
L’un de ses points forts est bien entendu sa capacité à se glisser sous les meubles, avec une hauteur minimale de 12,5 cm, il se glisse très facilement partout. La petite roulette présente sur la poignée est un réel plus pour le faire glisser lorsqu’il est à 180°. Un autre élément très appréciable est le rétroéclairage LED qui permet de vérifier la propreté lors du nettoyage. En mode AUTO, l’autonomie est très bonne et dure 40 bonnes minutes, avec, le besoin de vider une fois le réservoir d’eau sale.
En mode full « vapeur », l’autonomie est assez faible et c’est assez logique, puisque la température de la vapeur peut atteindre les 150 °C. Nous sommes sur une autonomie d’une vingtaine de minutes, et n’oubliez pas qu’il faut attendre afin que le mode « vapeur » soit actif. N’oubliez pas, et cela nous semble logique, d’utiliser ce mode sur des taches bien précises, mais pas pour un nettoyage complet de votre habitation, au risque de devoir passer régulièrement par la case recharge. Finalement, c’est le mode eau chaude qui nous a le plus convaincu, avec une autonomie de plus de 30 minutes, largement suffisante pour nettoyer les 130 mètres de notre rez-de-chaussée.
Plus un gadget technologique, mais vous aurez la possibilité de manœuvrer à distance le Roborock F25 Ultra, mais uniquement lorsque celui-ci sera positionné à 180°. Nous avons testé ce mode sur notre carrelage et sur le parquet. Si sur ce dernier, nous n’avons rencontré aucun souci, sur le carrelage, c’était plus compliqué. La marche arrière ne fonctionne pas, les roues patinent. Si vous désirez piloter le nettoyage depuis votre canapé, alors vous devrez opter pour un robot aspirateur.
Le mode « AUTO » fait le job, à condition d’être utilisé principalement pour « rafraichir » votre maison. Si le mode « vapeur » est très efficace, il faudra cependant patienter afin qu’il s’active et ne pas l’utiliser durant toute la période de votre nettoyage, au risque d’avoir une autonomie plus restreinte. Mais, pour nous, c’est vraiment le nettoyage à l’eau chaude qui est le principal atout de ce Roborock F25 Ultra. Pour avoir l’opportunité de passer en revue, régulièrement, les produits Roborock, nous sommes très satisfaits de voir l’évolution entre les différentes séries, mais aussi entre les différents modèles d’une même série. Certes, un tarif de 799 euros est très élevé, mais c’est pour nous, le meilleur aspirateur laveur que nous aillons eu entre les mains. Si nous devions émettre un souhait sur la prochaine série, ce serait la possibilité de pouvoir « juste » aspirer les poussières, mais sans devoir moduler l’aspirateur comme c’est le cas avec des modèles Combo. Nous sommes conscients de la difficulté, mais la présence de deux réservoirs, l’un pour les poussières et l’autre, pour l’eau sale, est peut-être une solution à envisager.
Le prix de 799 euros nous a aussi fait réfléchir sur l’investissement d’un aspirateur laveur face à un robot aspirateur, le catalogue de Roborock en disposant à tous les tarifs. Les prix pouvant, dans le cas du F25 Ultra, être sensiblement identiques. Il faut comprendre que ces deux produits n’ont pas les mêmes fonctions. Un œuf qui tombe dans votre cuisine, vous ramassez la coquille et hop, vous dégainez votre F25 Ultra, par contre, si vous ne disposez que d’un aspirateur robot, c’est obligation de sortir votre smartphone, ouvrir l’application et déterminer la zone à nettoyer tout en attendant l’arrivée du robot. L’usage n’est pas du tout le même, mais c’est le fait de combiner les deux qui permet de répondre sereinement à toutes les petites catastrophes de la vie courante.
Nous avons hésité sur l’award à lui décerner, en hésitant entre l’or et l’argent, à cause de son tarif élevé, mais finalement, nous conserverons l’or, en sachant que vous achetez ce F25 Ultra en sachant qu’il est certainement ce qui se fait de mieux actuellement, mais que cela à un prix. Merci à Roborock France d’avoir mis à notre disposition cet exemplaire du F25 Ultra.
Test – L’aspirateur laveur Roborock F25 Ultra a lire sur Vonguru.
Puisque nous avions testé les Sleep A10 et les Sleep A20, nous avions hâte de pouvoir mettre la main sur la nouveauté du genre chez Soundcore répondant au nom de Sleep A30. Voyons ensemble les nouveautés apportées par ce modèle, et surtout, surtout, est-ce que nos nuits seront tout à fait sans bruit ?
Vous les retrouverez au prix de 249,99 € sur Amazon. Place au test !
La boîte des Soundcore Sleep A30 reprend l’esthétique sobre et premium chère à Anker. En façade, une grande image des écouteurs et de leur boîtier illustre clairement le produit, avec le logo Soundcore et la promesse d’un sommeil sans bruit grâce à la réduction active et au masquage adaptatif des ronflements.
L’arrière est plus technique, présentant les principales fonctions et l’autonomie, accompagnées de pictogrammes rassurants sur la qualité et la connectivité. Les côtés affichent les informations pratiques comme la couleur du modèle, le contenu de la boîte et quelques logos de certification, tandis que le dessous regroupe les mentions légales, le code-barres et le numéro de série.
| Marque | Soundcore |
| Couleur | Blanc |
| Emplacement | Intra-auriculaire |
| Forme | Intra-Auriculaire |
| Impédance | 16 ohms |
| Insonorisation | Suppression active du bruit |
| Réponse en fréquence | 20 KHz |
| Nom de modèle | D1301 |
| Technologie de connectivité | Sans fil |
| Composants inclus | Câble de rechargement |
Les écouteurs Sleep A30
Le boîtier de charge
Un câble USB-C pour la recharge
Plusieurs embouts en silicone
Des embouts en mousse mémoire de différentes tailles
Des ailettes de différentes tailles pour le maintien dans l’oreille
Le manuel utilisateur
Les Soundcore Sleep A30 by Anker font partie de ces objets connectés qu’on découvre avec curiosité, puis qu’on adopte sans même s’en rendre compte. Le pari d’Anker avec cette nouvelle génération est ambitieux : proposer de véritables écouteurs de sommeil, capables à la fois de bloquer les bruits extérieurs, de masquer les ronflements, et de rester si confortables qu’on en oublie leur présence en dormant dessus. Un défi que peu de marques ont réellement tenté de relever jusqu’ici.
Dès la prise en main, on comprend qu’on a affaire à un produit pensé pour la nuit. Le boîtier est compact, au design doux et mat, tandis que les écouteurs, minuscules, paraissent presque fragiles tant ils sont légers. En les plaçant dans l’oreille, la première impression est rassurante : le confort est excellent, même pour les dormeurs latéraux. Anker promet un profil 7 % plus fin que sur les anciens Sleep A20, et cela se sent. Les Sleep A30 se logent naturellement dans le creux de l’oreille sans appuyer ni provoquer de gêne après plusieurs heures, ce qui est essentiel pour un usage nocturne.
Mais le vrai changement se joue à l’intérieur. Les Sleep A30 sont les premiers écouteurs de sommeil de la marque à intégrer une réduction active du bruit (ANC), une fonction encore rare dans cette catégorie. Le système filtre efficacement les basses fréquences, ces bruits sourds de circulation, de moteurs ou d’appareils ménagers qui perturbent les nuits en appartement. À cela s’ajoute une fonction particulièrement intéressante : le masquage adaptatif des ronflements. Le boîtier capte les sons environnants et ajuste en temps réel un bruit de couverture, une sorte de rideau sonore qui vient envelopper le ronflement plutôt que de tenter de le supprimer. Le résultat n’est pas magique, mais impressionne tout de même beaucoup : les ronflements modérés disparaissent presque complètement, et les bruits forts se font nettement moins distincts.
L’expérience est d’autant plus agréable que Soundcore a soigné la dimension logicielle. L’application compagnon permet de choisir parmi une large bibliothèque de sons apaisants, d’ajuster l’intensité du masquage, mais aussi de suivre la qualité du sommeil. On y retrouve des statistiques précises sur la durée, les cycles, les mouvements ou encore le nombre de réveils, le tout présenté avec clarté. L’alarme douce intégrée, qui réveille par un son discret dans les écouteurs sans déranger le reste de la chambre, est un vrai plus. Même le petit détail « Find My Earbud », utile quand on égare un écouteur entre deux draps, montre à quel point Anker a pensé à tout.
Côté son, il faut être clair : les Sleep A30 ne sont pas faits pour écouter des albums entiers de jazz ou de rock. Leur signature sonore est volontairement douce et équilibrée, taillée pour les ambiances relaxantes, les bruits blancs et les sons de nature. Pour cet usage précis, ils sont excellents. Et si on veut lancer un podcast ou une méditation guidée, la restitution est nette, sans sifflement ni saturation.
La seule ombre au tableau vient de l’autonomie, correcte mais pas exceptionnelle. En mode Bluetooth avec ANC activé, les écouteurs tiennent environ six heures et demie, ce qui suffit pour une nuit légère, mais impose une recharge non seulement quotidienne, mais plus gênant, vous terminerez souvent vos nuits sans eux. Heureusement, le boîtier offre plusieurs recharges pour atteindre environ quarante-cinq heures d’autonomie totale. Les commandes tactiles, elles, peuvent manquer de précision, obligeant parfois à s’y reprendre à deux fois pour ajuster le volume ou mettre en pause. Rien de dramatique, mais un petit point à améliorer pour les A40.
Vendu autour de 249 €, le Sleep A30 s’adresse clairement à celles et ceux qui veulent un compagnon de nuit haut de gamme car oui, le prix n’est pas à la portée de toutes les bourses. C’est un investissement, mais aussi un réel confort pour ceux qui en ont besoin : le silence n’est jamais total, mais la paix sonore qu’ils procurent est réelle. Pour les citadins, les voyageurs, ou simplement les dormeurs sensibles aux bruits du quotidien, ces écouteurs redéfinissent ce que peut être un accessoire de sommeil.
Les Sleep A30 ne transforment pas les ronfleurs en partenaires totalement silencieux, mais ils les rendent enfin supportables. C’est déjà une petite révolution.
Test – Écouteurs Sleep A30 de Soundcore a lire sur Vonguru.
Xiaomi fait son retour chez Vonguru et nous propose aujourd’hui une tablette répondant au nom de Redmi Pad 2. Ici, c’est le modèle Graphite Gray 8GB de RAM pour 256 GB de stockage qui nous a été prêté. Ce dernier est disponible au prix de 209 €.
Que vaut-elle ? Place au test !
La boîte est sobre, épurée — l’essentiel est là avec sur la face avant, un visuel de la tablette ou tout du moins, son écran, avec en son centre, le nom du modèle, REDMI Pad 2. Aucun artifice superflu, mais tout ce qu’il faut pour démarrer. La tablette est bien protégée à l’intérieur. Vu le niveau de finition du modèle Graphite Gray, le contraste entre le métal et le packaging neutre donne un petit côté « premium », bien que froid une fois sortie de la boîte. Pour connaître plus précisément le modèle, il faudra regarder le côté gauche.
| Élément | Spécification |
|---|---|
| Écran | 11″ IPS / LCD • résolution 2560 × 1600 • 90 Hz |
| Processeur | MediaTek Helio G100 Ultra |
| RAM / stockage | 8 Go LPDDR4X + 256 Go interne |
| Batterie | 9 000 mAh, recharge jusqu’à 18 W |
| Caméras | Arrière 8 MP • Avant 5 MP |
| Audio | 4 haut-parleurs (quad speakers) avec Dolby Atmos |
| Connectique | USB-C, prise jack 3,5 mm, slot microSD |
| Logiciel | Android 15 + HyperOS 2 |
| Dimensions / poids | Environ 7,4 mm d’épaisseur • ~510 g |
La tablette Redmi Pad 2 elle-même
Un câble USB-C
Un adaptateur secteur (compatible charge 18 W)
Documentation / guide rapide
Dès la première prise en main, on ne peut que constater que la surcouche HyperOS est fluide dans la majorité des usages courants : navigation, applications de messagerie, lecture, streaming. Le passage entre les écrans, les animations, les fenêtres flottantes sont globalement agréables, grâce au 90 Hz, même si quelques freezes ont été aperçus.
Quelques limitations sont à dénombrer dans des cas très exigeants (nombreuses applis en arrière-plan, jeux 3D poussés), des lenteurs ou « chutes » dans la fluidité peuvent apparaître. Le modèle 8 Go aide beaucoup, mais le processeur n’est pas de la catégorie haut de gamme absolue, ce qui explique ce petits soucis.
En jeu, sur le papier, le Redmi Pad 2 ne joue pas dans la cour des tablettes gaming, mais il se défend mieux qu’attendu. Les 8 Go de RAM apportent un vrai confort, permettant de lancer plusieurs jeux récents sans vider la mémoire. Sur des titres populaires comme Wild Rift ou PUBG Mobile, on profite d’un affichage fluide avec des réglages moyens à élevés, sans ralentissements gênants. En revanche, sur des jeux plus gourmands graphiquement comme Genshin Impact, il faudra réduire la qualité visuelle pour maintenir une expérience stable — sinon les baisses de framerate se font sentir. La tablette gère bien la chauffe : même après une heure de session, elle reste tiède au toucher, ce qui la rend agréable à tenir en mains. On est donc sur une machine adaptée pour le casual gaming et les longues parties de jeux mobiles classiques, mais qui montrera ses limites dès que l’on pousse sur des productions AAA mobiles ou du cloud gaming intensif.
L’écran 11″ avec 90 Hz apporte une belle fluidité. La résolution est suffisamment élevée pour rendre le texte net et les vidéos agréables. En plein soleil, le rendu souffre un peu, et c’est un peu dommage dans mes contrées… La luminosité maximale réelle semble inférieure à ce que les spécifications annoncent. Le plein jour sera donc un défi pour voir parfaitement l’écran.
Côté audio, c’est un point fort : les 4 haut-parleurs offrent une spatialisation satisfaisante. Le système Dolby Atmos ajoute une dimension immersive pour les films / séries. Le son reste clair, se destinant à une utilisation séjour / chambre.
Avec sa batterie généreuse de 8 000 mAh, le Redmi Pad 2 se montre particulièrement endurant. En usage mixte — navigation web, streaming vidéo, réseaux sociaux et un peu de jeu — on tient sans problème deux jours complets avant de chercher le chargeur. En lecture vidéo continue, la tablette dépasse les 12 heures, ce qui en fait une excellente compagne pour les longs trajets ou les marathons de séries.
Côté recharge, Xiaomi propose du 18W, ce qui n’est pas fulgurant face à certains concurrents qui flirtent avec le 33W ou plus. Concrètement, il faut compter environ 2h30 pour passer de 0 à 100 %. C’est donc une recharge correcte mais pas express, davantage pensée pour une charge de nuit que pour un petit « coup de boost » rapide. En contrepartie, la gestion énergétique est bien optimisée par HyperOS, avec peu de consommation en veille : la tablette perd à peine quelques pourcents sur toute une nuit.
Pour finir, parlons de la caméra et notamment des capteurs 8 MP (arrière) et 5 MP (avant), qui sont convenables pour des usages basiques : visioconférences, captures de documents, photos occasionnelles. Mais ce n’est pas un point fort — en basse lumière, qualité réduite, bruit présent.
Le Redmi Pad 2 (8 Go / 256 Go, Graphite Gray) se positionne comme une tablette polyvalente et équilibrée, pensée pour ceux qui veulent une expérience facile au quotidien sans se ruiner. Son grand écran bien calibré, sa bonne réserve de mémoire et de stockage, ainsi que son autonomie solide en font un bon compagnon pour le multimédia, la navigation et même quelques sessions de jeu occasionnelles. On lui pardonne sa recharge un peu lente et ses limites sur les titres les plus exigeants, car à ce niveau de prix, l’ensemble reste cohérent.
Test – Tablette Redmi Pad 2 de Xiaomi a lire sur Vonguru.
Razer continue de montrer ses accessoires pour bureau et a là encore de quoi habiller votre setup pour l’automne. Après la barre lumineuse Aether Monitor Light Bar, qui se positionne clairement sur le segment premium, vendue en moyenne autour de 150 €, on se retrouve pour le test des Aether Standing Light Bars. D’ailleurs si vous l’avez raté, le test de l’Aether Monitor Light Bar est ici.
Nos barres lumineuses du jour se trouvent elles au prix de 100$ sur le store US de la marque. Alors, ici, simple gadget ou must-have ? Place au test !
La boîte des Aether Standing Light Bars adopte le style sobre aux couleurs noirs et vertes propres à Razer. La face avant montre clairement les deux barres en action dans un setup coloré, accompagnées du logo Chroma RGB. À l’arrière, on retrouve les principales fonctionnalités mises en avant, avec un accent sur la synchronisation et l’immersion lumineuse. Les côtés indiquent les caractéristiques techniques essentielles, tandis que le dessus affiche le nom du produit et le dessous regroupe les mentions légales et codes-barres.
| Dimensions de l’article L x l x H | 32 x 440 x 32 millimètres |
| Marque | Razer |
| Couleur | Noir |
| Facteur de forme | Barre |
| Position de la pièce | Partie frontale |
| Composants inclus | Razer Aether Light Stand |
| Poids de l’article | 800 Grammes |
| Niveau de résistance à l’eau | Non étanche |
| Nombre de pièces | 1 |
| Type d’adaptation | Ajustement universel |
Installer les Standing Light Bars est simple et rapide. Les socles se fixent facilement, les barres tiennent bien en place et peuvent être disposées aussi bien verticalement qu’horizontalement selon la configuration souhaitée. Leur format compact permet de les placer derrière un écran, de chaque côté d’un bureau ou même sur une étagère pour créer une ambiance plus diffuse.
L’alimentation en USB-C simplifie l’intégration, et comme toujours, la gestion logicielle passe par Razer Synapse. Un choix qui ravira les habitués de l’écosystème Chroma, mais qui peut rebuter ceux qui préfèrent le plug-and-play.
Après avoir présenté l’Aether Monitor Light Bar, Razer complète sa nouvelle gamme d’éclairage connecté avec les Aether Standing Light Bars, deux colonnes lumineuses conçues pour accompagner vos sessions gaming, vos films et même vos moments de détente. Le but est simple : offrir une meilleure immersion grâce à un éclairage dynamique et personnalisable, tout en s’intégrant parfaitement dans l’écosystème Razer Chroma RGB.
Positionnées comme des concurrentes directes des Philips Hue Play, ces Standing Light Bars veulent séduire les joueurs déjà conquis par l’univers Razer et ceux qui cherchent une solution élégante pour transformer l’ambiance de leur bureau. Mais tiennent-elles leurs promesses ?
Côté éclairage, force est de constater que Razer a soigné son travail. La lumière diffusée est homogène, fluide et puissante sans jamais être agressive. Le diffuseur adoucit parfaitement les transitions de couleurs, ce qui évite l’effet « néon trop marqué » que l’on retrouve parfois chez des concurrents moins haut de gamme.
En duo, les barres placées derrière un moniteur ou de chaque côté de l’écran apportent une véritable sensation d’ambi-light, renforçant l’immersion dans les jeux et les films. La synchronisation avec Chroma RGB est l’un des gros points forts : vos barres peuvent s’illuminer au rythme de vos périphériques Razer, ou réagir en temps réel à certains jeux compatibles. Explosion de couleurs dans un MMO, rouge sanglant pour un survival-horror, ou encore ambiance douce orangée pour une soirée cocooning : les possibilités sont quasi infinies.
L’intérêt ne se limite d’ailleurs pas au gaming. Les Standing Light Bars peuvent aussi être utilisées en lumière d’ambiance, par exemple en mode blanc chaud pour lire ou travailler, ou en lumière tamisée pour accompagner une playlist chill. Leur polyvalence permet de passer d’un bureau de travail sobre à une salle gaming immersive en un clic.
Cependant, comme souvent avec Razer, le prix est le premier frein. Les Aether Standing Light Bars se positionnent clairement dans le haut de gamme, au niveau voire au-dessus des Philips Hue Play, qui dominent déjà le marché. On paie ici le design soigné, la qualité de fabrication et l’intégration poussée à l’écosystème Chroma.
L’autre contrainte reste la dépendance à Synapse. Sans le logiciel, les barres fonctionnent, mais impossible de profiter pleinement de la personnalisation, de la synchronisation ou des effets dynamiques. Pour les utilisateurs déjà équipés Razer, ce n’est pas un problème, mais pour ceux qui cherchent une solution simple et universelle, cela peut être un frein.
Enfin, si l’effet immersif est excellent, la surface couverte reste limitée. Deux barres suffisent pour un bureau ou un petit salon, mais pour un rendu plus panoramique, il faudra multiplier les éléments de la gamme Aether.
Les Razer Aether Standing Light Bars sont une réussite. Design premium, installation simple, qualité d’éclairage impeccable et immersion au rendez-vous : elles remplissent parfaitement leur rôle et vont bien au-delà d’un simple gadget RGB. Dans un setup déjà équipé de périphériques Razer, elles trouvent immédiatement leur place et renforcent la cohérence de l’ensemble.
Leur prix élevé et la dépendance à Synapse les réservent cependant à un public déjà conquis par la marque ou prêt à investir dans un écosystème complet. Si vous cherchez une solution accessible et universelle, il existe des alternatives moins coûteuses. Mais si vous voulez le nec plus ultra de l’éclairage gaming-cocooning, les Standing Light Bars sont un choix presque incontournable.
Test – Aether Standing Light Bars de Razer a lire sur Vonguru.
Aujourd’hui, on vous dévoile une nouveauté annoncée à l’IFA 2025 et qui est sortie dans nos contrées le 26 septembre dernier, l’aspirateur laveur M50 Ultra de MOVA. Il s’agit d’ailleurs de la toute première fois que nous testons cette marque !
Si vous en avez assez de jongler entre aspirateur et serpillière, le MOVA M50 Ultra pourrait bien être la solution. Ce dernier combine aspiration puissante et lavage des sols en un seul geste, avec un design moderne et un manche pliable qui facilite vraiment la vie. Voyons maintenant ce qu’il vaut dans la pratique !
À l’heure où ses lignes sont écrites, il est disponible en promotion sur Amazon au prix de 499 €. Place au test !
Sur la face avant, le M50 Ultra trône en grand, mis en scène avec son nom bien en évidence et son bras flexible, sans oublier sa puissance d’aspiration. À gauche et à droite, le packaging met l’accent sur ses atouts principaux, illustrés par quelques visuels montrant l’aspiration et le lavage combinés. Nous y reviendrons plus en détails peu après.
À l’arrière, on retrouve les détails pratiques comme les caractéristiques clés et les accessoires inclus, mais aussi quelques mentions de conformité et des informations techniques obligatoires.
| Marque | Mova |
| Caractéristique spéciale | Bras et poignet pliable et extensible |
| Sans fil | Oui |
| Capacité | 750 Millilitres |
| Produit | Aspirateur laveur |
| Couleur | Noir |
| Dimensions du produit | 32L x 33,2l x 124H centimètres |
| Niveau sonore | 55 dB |
Corps principal
Poignée
Base de chargement
Baguette désodorisante
Solution de nettoyage
Brosse
Rouleau de brosse
Filtre
Quand on parle d’aspirateurs laveurs, il est assez rare de tomber sur un appareil qui tente le défi de réunir puissance, confort ET innovation. Le MOVA M50 Ultra essaie pourtant de faire cela. Dès le premier déballage, on comprend que l’appareil n’a pas été conçu à la légère. Son design moderne et élégant attire l’œil, et la qualité des matériaux se ressent, même s’il faudra voir sur la durée. Le manche, baptisé FlexMaster
Pro, est pliable et réglable, ce qui change radicalement l’expérience du nettoyage. Fini de se pencher ou de se contorsionner pour atteindre les coins difficiles : le M50 Ultra s’adapte à toutes les tailles et à toutes les situations, que ce soit pour passer sous un canapé ou atteindre un mur derrière un meuble.
La première utilisation est presque ludique. Le glissement sur les sols est fluide, et l’aspiration, d’une puissance annoncée à 22 000 Pa, ne laisse rien derrière elle. On remarque très vite que les miettes, la poussière et même les poils d’animaux disparaissent presque instantanément. Mais ce qui rend vraiment le M50 Ultra impressionnant, c’est sa capacité à laver les sols en profondeur. La brosse chauffée à 100°C n’élimine pas seulement la saleté, elle détruit aussi bactéries et mauvaises odeurs, un vrai plus pour ceux qui ont des enfants ou des animaux. La technologie EdgeCoverage
permet de nettoyer jusqu’au bord des murs et dans les coins, là où les aspirateurs traditionnels laissent souvent des traces voire des résidus.
En parlant d’hygiène, MOVA a pensé à tout. L’entretien du M50 Ultra est étonnamment simple pour un appareil aussi complet. Le réservoir d’eau propre se remplit en un clin d’œil et le réservoir d’eau sale se vide sans effort, même si j’ai trouvé la contenance de ce dernier un peu limité. La brosse se nettoie presque toute seule grâce au système automatique, et le filtre HEPA intégré capture les particules fines et les allergènes, ce qui en fait un bon choix pour les personnes sensibles à la poussière. Après quelques jours d’utilisation, on apprécie particulièrement cette combinaison de performance et de praticité, surtout avec des animaux et des enfants. L’aspirateur reste puissant et hygiénique sans nécessiter un entretien quotidien fastidieux, ce qui est souvent le talon d’Achille de ce type d’appareils.
L’autonomie est un autre point fort du M50 Ultra. Comptez environ 60 minutes en mode standard, ce qui est suffisant pour nettoyer un appartement ou plusieurs pièces d’une maison. J’utilise surtout ce type d’appareil dans la cuisine et le salon, moins à l’étage où le robot aspirateur fait le travail tout seul tous les jours. En mode boost, la batterie tient relativement bien, et la recharge complète se fait en environ quatre heures. Je noterai également un bruit de grincement ou de vibration basse fréquence, notamment lors de l’utilisation de la fonction de lavage. J’ai notamment ce souci sur mes sols carrelés. Ce n’est pas gênant mais cependant notable.
Au-delà des performances techniques, l’expérience d’utilisation est agréable. Attention cependant ! Le poids de l’appareil est légèrement plus élevé que certains modèles concurrents, mais il est équilibré, ce qui rend la manipulation beaucoup plus confortable qu’on pourrait le penser au premier abord. Le bruit est présent, mais relativement contenu par rapport à d’autres aspirateurs puissants.
Nous allons maintenant furtivement le comparer au dernier modèle concurrent que nous avons testé, à savoir le H15S de Dreame, afin de vous donner une idée des petites différentes entre deux modèles très récents. Par exemple, le M50 Ultra se distingue par sa puissance d’aspiration de 22 000 Pa, son manche pliable et réglable, et son système de brosse chauffée à 100 °C pour un nettoyage en profondeur et hygiénique. Le Dreame H15S propose une aspiration proche (21 000 Pa) et un bras robotisé efficace pour atteindre les bords et les coins, mais son manche est plus classique et sa brosse ne chauffe pas autant. En résumé, le M50 Ultra mise sur l’innovation et la praticité, tandis que le H15S privilégie une approche plus traditionnelle avec un bon rendu sur les contours.
Bien sûr, tout cela a un prix. Le M50 Ultra se positionne dans le haut de gamme, et son tarif est élevé mais reste dans la moyenne quand on le compare à la concurrence. On notera également sur les consommables se trouvent facilement directement sur le site de la marque, ce qui fait là aussi un bon point pour notre modèle du jour.
Pour conclure, le MOVA M50 Ultra ne se contente pas d’aspirer ou de laver : il propose une approche complète et réfléchie du nettoyage. Il séduit par sa technologie avancée, son design ergonomique et sa facilité d’entretien. Pour ceux qui cherchent un aspirateur laveur capable de gérer à la fois la poussière, les taches tenaces et les sols difficiles d’accès, tout en offrant une utilisation confortable et intelligente, le M50 Ultra est un investissement qui en vaut clairement la peine. C’est un appareil pensé pour simplifier la vie et rendre le ménage plus efficace et rapide.
On rappellera qu’à l’heure où ses lignes sont écrites, il est disponible en promotion sur Amazon au prix de 499 €.
Test – Aspirateur laveur M50 Ultra de MOVA a lire sur Vonguru.