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Le piratage sur Amazon Fire TV Stick, c'est terminé !

Amazon vient d’annoncer qu’ils bloquaient désormais les applications de piratage sur leurs Fire TV Stick (lien affilié) et cela sur tous les appareils. Les nouveau, les anciens, peu importe… Ainsi, si une app est identifiée comme distribuant du contenu illégal, elle dégage ! Même si vous l’avez sideloadée.

Ce grand ménage a commencé en France et en Allemagne, et s’étendra au monde entier dans les prochains mois. Sniiff… Ça sent la fin d’une époque.

Ainsi, pendant des années, Amazon a vendu des millions de Fire Stick en sachant parfaitement ce que les gens en faisaient. Ils en ont bien profité les coquins ! Votre collègue qui vous proposait un Fire Stick modifié à 80 balles avec un abonnement IPTV 12 mois inclus et accès à Sky Sports, TNT Sports, et les films encore au cinéma, c’était la baaase et Amazon voyait bien tout ça passer.

Selon une analyse d’Enders , 59% des personnes qui regardent du contenu piraté au Royaume-Uni utilisent un Fire Stick. 59% !! Ça fait environ 4,7 millions d’adultes britanniques qui on streamé illégalement du sport ces six derniers mois. L’architecture même des Fire Stick facilitait le détournement puisque c’était un Android ouvert, avec du sideloading activable en trois clics dans les paramètres, et une excellente compatibilité avec toutes les apps tierces notamment pour l’IPTV.

Amazon avait conçu la streaming machine parfaite !!

Sauf Sky en a eu marre. La chaîne britannique a fait une grosse pression sur Amazon durant des mois et cela a été payant ! Amazon a enfin eu une révélation, une prise de conscience soudaine et miraculeuse sur l’importance de la sécurité et du respect de la propriété intellectuelle. Mais mdrrrr…

Et hop, un petit partenariat avec l’Alliance for Creativity and Entertainment, plus tard (c’est la coalition anti-piratage menée par la Motion Picture Association avec Disney, HBO, Netflix, tous les gros bonnets) et nous y voilà. Leur dernier né, le Fire TV Stick 4K Select (lien affilié) est même le premier appareil tournant sous Vega OS. C’est un système d’exploitation maison basé sur Linux, et pas Android, donc plus moyen d’exécuter les applications Android sideloadées avec ça.

Snif !

Après, les services pirates ne vont pas disparaître puisque certains services IPTV passent déjà aux web apps qui tournent dans le navigateur… mais bon l’âge d’or du Fire TV Stick en tant que box à piratage semble être terminée.

Bref, Amazon ferme le robinet… après avoir biiiien rempli la piscine !

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Valve ressuscite les Steam Machines - Un coup de poker qui pourrait marcher

Vous vous rappelez des Steam Machines ?

Mais siiii, ces mini-PC gaming sous Linux que Valve avait lancés en 2015 et qui ont été un échec total ?

Hé bien j’ai une bonne nouvelle pour vous ! Valve remet le couvert ! Peut-être que cette fois, le marché est mature ? Qui sait ? En effet, hier, la boîte a annoncé 3 nouveaux produits hardware pour début 2026 : La Steam Machine (un mini PC gaming), le Steam Frame (un casque VR), et le Steam Controller (une nouvelle version de leur manette). Bref, tout ce qui avait foiré la première fois, sauf que cette fois, ils ont dix ans d’expérience en plus, donc j’ai bon espoir !

Cette nouvelle Steam Machine , c’est donc un cube de 16 cm de côté qui tourne sous SteamOS avec dedans un CPU AMD Zen 4 de 6 cœurs, un GPU semi-custom AMD RDNA3, 16GB de DDR5 + 8GB de VRAM GDDR6, et un SSD de 512GB ou 2TB selon les versions. Retenez juste que c’est 6 fois plus puissant que le Steam Deck et c’est capable de faire tourner des jeux en 4K à 60 fps avec l’aide d’ AMD FSR .

Voilà, encore une fois, pas besoin de Windows , tout fonctionne nativement sous Linux grâce à Proton. Y’a qu’à brancher ça sur votre TV, vous allumez, ça marche.

Alors pourquoi est ce que Valve retente le coup aujourd’hui ?

Hé bien parce que le monde a changé les amis ! Souvenez vous qu’en 2013, jouer sous Linux c’était une grosse blague… Proton n’existait pas, SteamOS était pourri, et les constructeurs tiers qui fabriquaient les Steam Machines livraient des machines chères et mal optimisées. Mais maintenant, le Steam Deck a prouvé que SteamOS fonctionnait très bien, que Proton faisait tourner 80% du catalogue Steam sans aucun souci, et que les gens acceptaient enfin de jouer sur autre chose que Windows. Et la grosse différence aussi c’est que Valve contrôle maintenant toute la chaîne, du hardware, à l’OS en passant par la distribution des jeux.

L’autre nouveauté c’est le Steam Frame . C’est leur casque VR standalone équipé d’un Snapdragon 8 Gen 3, de SteamOS, d’un écran LCD 2160x2160 par œil, un FOV de 110° (c’est le champs visuel), un taux de rafraichissement de allant de 72 à 144Hz, 16GB de RAM, et un stockage de 256GB ou 1TB selon les versions.

Et surtout, le casque fait du foveated streaming. Je ne connaissais pas avant aujourd’hui mais en gros, c’est une techno qui optimise la qualité d’image là où vous regardez, ce qui permet de réduire les besoins en bande passante par 10x. Et surtout, plus besoin d’un PC relié au casque. Vous streamez directement depuis votre Steam Machine ou votre PC via un adaptateur USB wireless 6GHz Wi-Fi 6E. Ou alors vous jouez directement sur le casque mode autonome.

Puis le Steam Controller revient aussi en version 2.0 avec des sticks magnétiques TMR (Tunneling Magnetoresistance), des trackpads, du gyro, des boutons grip, et 35 heures d’autonomie. Et il est compatible avec tout : PC, Steam Deck, Steam Machine, Steam Frame (mais pas Xbox d’après ce que j’ai vu).

Et comme SteamOS est un fork d’Arch Linux avec une approche “image immuable”, ça veut dire que vous pouvez installer ce que vous voulez dessus (distrobox, environnement de dev, émulateurs), et transformer votre Steam Machine en station de travail ou en serveur multimédia sans tout casser. Bref, ce serait potentiellement une console ouverte et si le prix est OK (il n’a pas encore été annoncé mais à vue de nez, je dirais dans les 600-800 balles), ça risque de faire un carton car les gens vont pouvoir jouer ET bidouiller avec !

Par exemple installer RetroArch pour l’émulation, monter un serveur Plex, coder dessus avec VS Code…etc. A mon sens, ça ne cible pas le grand public, mais plutôt les 20 à 30% de joueurs PC qui savent utiliser un ordi ^^.

Voilà, ces 3 produits sortiront au printemps 2026 donc vous pouvez commencer à préparer votre tirelire.

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Steam Deck 2 : Valve en dit plus sur la puissance de la prochaine console

Le Steam Deck 2 se fait attendre, encore et toujours. Pourtant, la console portable est bien à l'esprit de Valve. Mais alors, qu'est-ce qui bloque ?
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Avec son casque de VR, Valve ouvre la porte aux jeux Android sur Steam

Après avoir frappé un grand coup avec l’annonce de ses nouvelles « Steam Machine », Valve dévoile les petits secrets de ces machines, avec notamment la prise en charge des apps Android sur le Steam Frame.
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Valve annonce une Steam Machine et relance la guerre des consoles : un cube pour défier PlayStation et Xbox

Valve ressort une vieille idée ratée, mais cette fois avec une arme secrète : une décennie d'apprentissage douloureux. La Steam Machine 2025 pourrait réussir là où son ancêtre a lamentablement échoué.
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Linux a aussi besoin de protection. Voici un antivirus pour les utilisateurs quotidiens.

Kaspersky Lab a lancé la première version de son antivirus phare pour les utilisateurs Linux. Jusqu'à présent, les solutions de l'entreprise étaient exclusivement réservées aux entreprises. L'éditeur russe de logiciels de sécurité rappelle ainsi aux utilisateurs que les systèmes Linux sont également vulnérables aux cyberattaques et ne constituent plus un refuge sûr dans le monde numérique. Pendant des années, la communauté technologique a cru que Linux n'avait pas besoin d'antivirus. Sa structure de sécurité, son modèle de gestion des permissions et ses dépôts de logiciels centralisés étaient censés le protéger efficacement contre les infections. Cependant, la réalité a changé. La popularité croissante du système auprès des particuliers et des serveurs en a fait une cible de choix pour les cybercriminels. Kaspersky Lab souligne que le nombre d'attaques ciblant les utilisateurs de Linux a été multiplié par plus de vingt au cours des cinq dernières années. L'entreprise rappelle un incident majeur survenu en 2024, lorsqu'une porte dérobée a été découverte dans l'utilitaire de compression xz, considérée par les experts comme l'une des plus dangereuses de l'histoire du système d'exploitation. Pour l'éditeur, c'est la preuve que Linux n'est plus un havre de sécurité. Kaspersky Anti-Virus pour Linux propose un ensemble de fonctionnalités similaires à celles de la version Windows. Le programme utilise l'analyse comportementale et l'analyse assistée par l'IA pour détecter en temps réel les processus et fichiers malveillants. Il permet d'analyser aussi bien le disque système que les périphériques de stockage externes. L'application intègre également une protection anti-hameçonnage, qui avertit en cas de tentatives d'hameçonnage, ainsi qu'un module de paiement sécurisé. Ce dernier vérifie l'authenticité des sites web bancaires avant que les utilisateurs ne saisissent leurs informations de carte ou ne se connectent à leurs comptes. Grâce à cela, les utilisateurs de Linux bénéficient d'un outil de sécurité pleinement fonctionnel, identique aux solutions disponibles sur les plateformes plus populaires. Les experts soulignent que la décision de Kaspersky Lab s'inscrit dans une tendance plus large. Linux, autrefois réservé aux programmeurs et aux administrateurs système, s'installe de plus en plus sur les ordinateurs des utilisateurs lambda. De nombreux fabricants proposent des ordinateurs portables avec des distributions Linux préinstallées, et le développement d'interfaces graphiques et d'applications bureautiques attire une nouvelle clientèle. Cette popularité croissante s'accompagne toutefois de risques accrus. Les cybercriminels commencent à cibler les profits potentiels. Pour Kaspersky, c'est le moment idéal pour étendre son offre à un segment jusqu'alors considéré comme trop confidentiel. Ce nouveau produit est disponible pour les principales distributions Linux 64 bits. Il est distribué aux formats DEB et RPM, ce qui le rend installable sur la plupart des systèmes courants. Kaspersky propose trois niveaux de licence : Standard, Plus et Premium. L’abonnement le moins cher coûte 39 $ par an. Chaque option peut être testée pendant 30 jours. L'édition Standard offre une protection antivirus de base, identique à celle proposée aux utilisateurs de Windows. Pour ceux qui utilisent Linux à des fins personnelles ou éducatives uniquement, cette protection est généralement suffisante. Une partie de la communauté open source reste sceptique. Nombreux sont ceux qui estiment que les systèmes d'autorisation étendus et les dépôts de paquets offrent une protection suffisante contre les menaces. Cependant, les experts en cybersécurité mettent en garde de plus en plus contre l'émergence de nouvelles formes d'attaques à mesure que la plateforme gagne en popularité, notamment celles impliquant l'ingénierie sociale, le phishing et les scripts malveillants intégrés aux extensions de navigateur. C’est le début d’une nouvelle phase pour Kaspersky. Linux, auparavant considéré comme une alternative sécurisée à Windows, entre dans un domaine où il a besoin de sa propre protection. (Lire la suite)
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Le Royaume-Uni investit pour mettre à jour vers Windows 10… au moment où Microsoft l’abandonne

Le département de l’Environnement, de l’Alimentation et des Affaires rurales (Defra) au Royaume-Uni vient de finaliser une vaste opération de « modernisation » de son parc informatique, un projet à 312 millions de livres sterling (355 millions d’euros). Problème : cette mise à niveau massive a consisté à …

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Test du Minisforum MS-S1 Max : l’ère du mini-PC limité à la bureautique est définitivement révolue

Pendant des années, on a maintenu une séparation nette : mini-PC compacts d'un côté pour le travail, tours imposantes de l'autre pour le gaming et les charges lourdes. Le Minisforum MS-S1 Max avec son AMD Ryzen AI Max+ 395 et ses 128 Go de mémoire unifiée vient bousculer cette logique.
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Windows 11 a un menu contextuel confus et Microsoft va le corriger

Le menu contextuel de Windows 11 disponible avec un clic droit, qui se veut encombré et mal conçu selon les cas, devrait enfin connaître une vraie amélioration. Après plusieurs années de critiques d’utilisateurs et d’échecs partiels de simplification, Microsoft semble déterminé à réparer ce qui est devenu l’un …

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Les poupées russes malveillantes de Curly COMrades

Si vous me lisez depuis longtemps, vous savez que les hackers russes ne manquent jamais d’imagination quand il s’agit de contourner les antivirus… Mais alors là, le groupe Curly COMrades vient de sortir un truc qui déboite du genou de gnome… Ces affreux planquent maintenant leurs malwares dans des machines virtuelles Linux cachées dans des Windows. Oui, des russes qui créent de véritables poupées russes numérique… qui aurait pu prévoir ^^ ?

Et c’est vicieux vous allez voir… les gars activent Hyper-V sur les machines Windows 10 compromises, puis ils y déploient une VM Alpine Linux ultra-minimaliste. 120 Mo d’espace disque et 256 Mo de RAM… C’est tellement léger que ça passe complètement sous les radars des EDR classiques.

Et la beauté du truc, c’est que tout le trafic malveillant qui sort de la VM passe par la pile réseau de Windows grâce au NAT d’Hyper-V. Du coup, pour l’antivirus, tout a l’air de venir de processus Windows parfaitement légitimes.

C’est bien joué non ?

À l’intérieur de cette VM Alpine, les hackers ont installé 2 malwares custom : CurlyShell et CurlCat. Le premier c’est un reverse shell qui communique en HTTPS pour exécuter des commandes à distance. Et le second, c’est un proxy SSH inversé qui encapsule le trafic SSH dans des requêtes HTTP et le fait transiter par un proxy SOCKS. Les deux partagent une grosse partie de leur code mais divergent sur le traitement des données reçues.

Les chercheurs de Bitdefender, en collaboration avec le CERT géorgien, ont documenté cette campagne qui cible principalement la Géorgie et la Moldavie depuis fin juillet 2025. Les attaquants visent surtout les secteurs gouvernementaux, judiciaires et énergétiques… Bref, les infrastructures critiques, comme d’habitude.

Une fois infiltrés, les hackers désactivent alors l’interface de gestion d’Hyper-V pour réduire le risque de se faire griller. Ensuite, ils configurent la VM pour utiliser le Default Switch d’Hyper-V et ajoutent même des mappages domaine-IP personnalisés. Et pour couronner le tout, ils déploient des scripts PowerShell pour l’injection de tickets Kerberos et la persistance via des comptes locaux.

Et les EDR traditionnels, qui se focalisent sur l’analyse des processus au niveau de l’hôte, ne peuvent pas détecter ce qui se passe à l’intérieur de la VM. En fait pour chopper ce genre de menace, il faut des capacités d’inspection réseau avancées… Autant vous dire que la plupart des boîtes n’en sont pas équipées…

Pour lutter contre ça, Bitdefender recommande de ne pas miser sur une seule solution de sécurité, mais d’en empiler plusieurs. D’abord mettre en place une protection du réseau pour bloquer les attaques avant qu’elles n’atteignent les ordinateurs. Y ajouter un système de détection avancé qui surveille en permanence ce qui se passe sur les machines. Et surtout une vraie politique de réduction des risques en fermant tous les services Windows dont on ne se sert pas.

Hé oui, si Hyper-V n’est pas activé d’origine sur les système, c’est bien parce que ça représente un risque supplémentaire, donc si vous ne vous en servez pas, désactivez le.

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Télécharger l’ISO de LMDE 7 « Gigi » (64 bits)

Linux Mint Debian Edition (LMDE) est une version spéciale de Linux Mint, conçue pour fonctionner sans dépendre d’Ubuntu. Elle repose directement sur Debian, la distribution mère du monde Linux, tout en conservant la même expérience utilisateur que Linux Mint classique. LMDE a un objectif clair : assurer la continuité de Linux Mint si Ubuntu venait … Lire la suite

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Télécharger les ISO de Linux Mint 22.2 « Zara » (64 bits)

Linux Mint est l’une des distributions Linux les plus populaires auprès des débutants comme des utilisateurs expérimentés. Elle séduit par sa simplicité d’utilisation, son interface soignée et sa stabilité, faisant d’elle un excellent point d’entrée dans l’univers Linux, notamment pour celles et ceux venant de Windows. Cette distribution est construite à partir d’Ubuntu, et plus … Lire la suite

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