Le meilleur opérateur mobile en 2025 : qui propose le meilleur réseau 5G/4G entre Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR ?

Pour ne rater aucun bon plan, rejoignez notre nouveau channel WhatsApp Frandroid Bons Plans, garanti sans spam !

Pour ne rater aucun bon plan, rejoignez notre nouveau channel WhatsApp Frandroid Bons Plans, garanti sans spam !

Qui a le meilleur réseau 4G ou 5G en ce moment parmi les quatre opérateurs ? Lequel propose la meilleure couverture mobile ? Y a-t-il un classement fiable qui départage Orange, SFR, Free Mobile et Bouygues Telecom sur la couverture réseau et la qualité de service ? Beaucoup de questions, et des réponses à piocher dans le baromètre du régulateur des télécoms (Arcep) pour savoir qui s’en tire le mieux.

Si vous voulez recevoir les meilleures actus Frandroid sur WhatsApp, rejoignez cette discussion.

L’Arcep a dévoilé aujourd’hui les conclusions de sa campagne annuelle pour la qualité des réseaux mobiles entre Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile. C’est le fruit de plus d’un million de mesures effectuées durant l’été. Si la qualité globale des services progresse, l’enquête met en lumière des …
Aimez KultureGeek sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article Meilleur opérateur 2025 : Orange reste devant, voici toutes les données est apparu en premier sur KultureGeek.
Il y a SWIPO et OpenAPI ; point n’est besoin de réinventer la roue.
On pourrait résumer ainsi les recommandations de l’Arcep sur l’interopérabilité et la portabilité des services cloud.
En toile de fond, la loi SREN (« sécuriser et réguler l’espace numérique »), promulguée en mai 2024. Elle a introduit de manière anticipée dans le droit français certaines mesures du Data Act, qui ne serait applicable qu’au 12 septembre 2025.
L’article 28 impose aux CSP de se conformer à des exigences d’interopérabilité et de portabilité, tout en fournissant gratuitement des API pour mettre en œuvre ces exigences. L’idée est de favoriser à la fois les usages multiclouds et le changement de fournisseur.
La loi SREN charge l’Arcep de préciser les règles et les modalités de mise en œuvre des exigences. Notamment par l’édiction de spécifications.
L’autorité a finalement opté pour des bonnes pratiques, en l’objet de cette recommandation « dépourvue de toute portée normative ». Elle laisse ainsi la main à la Commission européenne pour élaborer les spécifications en question. Plusieurs éléments ont motivé ce choix. Les contributions à la consultation publique menée entre octobre et décembre 2024 en sont un. Le calendrier d’application de la loi SREN en est un autre (les dispositions sur l’interopérabilité ne s’appliqueront que jusqu’au 12 janvier 2027). Tout comme les délais que supposerait la mise en conformité à d’éventuelles règles contraignantes auxquelles pourraient, de surcroît, se superposer des actes d’exécution de Bruxelles.
En matière d’interopérabilité et de portabilité, une majorité de contributions à la consultation publique a suggéré de prendre en compte des travaux déjà menés au sein du secteur. En première ligne, les codes SWIPO (Switching Cloud Providers and Porting Data). L’initiative a pris fin, mais l’écosystème en reconnaît encore largement la pertinence. L’Arcep en a par conséquent repris les grandes lignes, à commencer par celles du code relatif au IaaS. Elle invite les CSP à publier, dans un format libre (page web ou PDF) et dans un format lisible par ordinateur, les informations suivantes :
Pour ce qui est de la mise à disposition d’API stables et documentées, des contributions ont mis en avant la spécification OpenAPI, utilisée par quantité de fournisseurs cloud. L’Arcep a considéré que la promouvoir permettrait d’éviter des adaptations majeures et d’assurer une certaine flexibilité. Elle laisse toutefois la voie ouverte à l’adoption de specs équivalentes, notamment dans le cas d’API ne reposant pas sur le protocole HTTP.
Par rapport à la version préliminaire de ses recommandations, soumises à consultation en juin-juillet 2025, l’autorité a précisé la notion de rétrocompatibilité. Elle estime que celle-ci n’est pas garantie si une mise à jour :
L’Arcep conseille, en cas d’exécution de mises à jour sans rétrocompatibilité, d’avertir les utilisateurs au moins 12 mois en amont. Sauf s’il existe des obligations légales ou des impératifs en matière de sécurité (découverte d’une faille dans une API).
Illustration © VICHIZH – Adobe Stock
The post Loi SREN : l’Arcep se raccroche à SWIPO et OpenAPI appeared first on Silicon.fr.
