Sony DualSense V2 : la manette PS5 incontournable enfin en promo pendant la Black Friday Week






Le Black Friday Week est officiellement lancée ! Comme chaque année à l’approche de Noël, les marchands en ligne et enseignes spécialisées multiplient les grosses promotions sur les produits high-tech : smartphones, TV 4K, PC portables, casques audio, consoles de jeux, objets connectés, et bien plus encore. Pour …
Aimez KultureGeek sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article [#BlackFridayWeek] 4ème jour d’une grosse semaine de promos High-tech est apparu en premier sur KultureGeek.


![]()
Envie de retrouver les meilleurs articles de Frandroid sur Google News ? Vous pouvez suivre Frandroid sur Google News en un clic.

Votre café et votre dose de tech vous attendent sur WhatsApp chaque matin avec Frandroid.

Votre café et votre dose de tech vous attendent sur WhatsApp chaque matin avec Frandroid.

Envie de retrouver les meilleurs articles de Frandroid sur Google News ? Vous pouvez suivre Frandroid sur Google News en un clic.


Nouveau piratage d’une entreprise en France, il s’agit cette fois de Colis Privé. Le transporteur a envoyé un e-mail à ses clients pour leur informer que les hackers ont été en mesure de collecter leurs données personnelles. Une cyberattaque visant Colis Privé Dans son e-mail aux clients, Colis …
Aimez KultureGeek sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article Colis Privé piraté avec une collecte des données de clients est apparu en premier sur KultureGeek.




Article modifié le 23 novembre 2025
A en croire les forums d’utilisateurs, les applications de contrôles des enceintes sans fil sont toutes nulles. Quelle que soit la marque, elles sont inutilisables, buggées, lentes ou mal organisées. Sonos va bientôt présenter une mise à jour majeure de son application mobile : sera-t-elle toujours aussi “nulle” ?
La conception de l’ergonomie d’une application mobile, comme de toute interface entre l’homme et une machine au sens large du terme, est un travail extrêmement complexe. On ne peut pas se rendre compte à quel point si l’on ne s’intéresse pas au domaine. Du point de vue de l’utilisateur final, ce dernier s’attend dans toutes les situations à une solution parfaite répondant à 100% de ses besoins et de ses intentions.
Sauf que cela ne fonctionne pas ainsi.
J’ai lu différents livres techniques sur le sujet, j’ai créé des interfaces de contrôle pour la domotique et travaillé sur la conception d’applications mobiles. Ma conclusion : c’est un vrai métier. Malgré tout, il n’existe aucune interface parfaite, aucune application de commande parfaite. Sinon, ce serait la même que l’on trouverait partout. Et je parle ici aussi bien des applications mobiles pour les enceintes multiroom que les écrans tactiles dans une voiture moderne ou ceux d’un distributeur de billets. Les concepteurs font des choix qu’ils estiment de leur point de vue de spécialiste répondre aux attentes du plus grand nombre.
C’est là que se pose toute la problématique des interfaces : être comprise par le plus grand nombre.
Les concepteurs auront beau faire tout ce qu’ils peuvent, créer des milliers de prototypes, il y aura toujours des insatisfaits qui pensent que le résultat final est nul. En réalité, il ne répond tout simplement pas à leur schéma de pensée. Celui-ci mélange à la fois une culture, une expérience ou pas, l’appréciation du graphisme, des couleurs, des formes… Autant de critères multiples, différents d’un humain à un autre, qui font qu’aucune interface ne peut vraiment convenir à tout le monde.



Quelques exemples de livres de référence (en anglais) dédiés à l’ergonomie des interfaces
Alors, lorsque l’on lit sur les forums que telle application pour enceintes sans fil est ratée ou incompréhensible, c’est surtout qu’il n’y a pas d’adéquation entre les attentes et la proposition. Mais l’utilisateur n’a pas le choix. Il n’y a qu’une seule interface pour un appareil donné. Soit on s’y habitue, soit on doit aller voir ailleurs et changer de matériel. Aucune alternative n’est possible.
Évidemment, les plus mécontents, ceux qui crient le plus fort et qui sont les plus visibles, pensent toujours détenir la vérité. Comme on dit, quand on est satisfait, on ne va pas le crier sur tous les toits, contrairement à ceux qui ne le sont pas. Ce sont donc ces derniers qui sont vus, ce qui pourrait laisser croire qu’ils représentent la vérité. Alors qu’ils ne sont qu’une minorité à se plaindre contre une immense majorité silencieuse satisfaite de l’interface proposée par le fabricant de son enceinte sans fil multiroom.
A ce propos, d’un point de vue général, lorsqu’un utilisateur découvre sa première enceinte connectée et donc sa première interface sur smartphone, il va automatiquement s’y habituer. C’est son premier contact avec ce type d’interface. Il découvre, il enregistre dans son cerveau que ça marche comme ça et il s’y adapte. C’est ainsi que fonctionnent la plupart des êtres humains. Les autres sont ceux qui ont plus d’expérience, ils comparent et se mettent ainsi à peser le pour et le contre et à se créer des attentes : j’aime bien ceci sur cette interface, cela sur telle autre. Ils imaginent dans leur tête l’interface parfaite en se pensant ergonomes. Cette fameuse interface parfaite qui n’existe toujours pas… Ils sont juste ergonomes pour eux-mêmes.
J’ai un autre exemple qui illustre mon point de vue. Lorsque je créais des interfaces pour des systèmes domotique, j’ai proposé à différents clients une page d’accueil avec un plan de la maison. On pouvait d’un coup d’œil visualiser l’état de la lumière ou la température dans chaque pièce, puis sélectionner celle que l’on souhaitait contrôler. Cette expérience m’a permis de me rendre compte que certains clients appréciaient, et d’autres pas du tout. Ceux qui ne voulaient pas de ce type d’ergonomie avaient un problème tout simple : ils étaient incapables de visualiser rapidement leur maison à travers un plan. Cela leur demandait trop d’effort de mise en situation.
Les concepteurs d’interfaces pour applications mobiles prennent en compte de nombreux paramètres lors de la création puis pour toute itération ultérieure. Ils se basent évidemment sur les retours des utilisateurs et sur bien d’autres choses : l’évolution de tous les types d’interfaces en général auxquelles nous sommes confrontés au quotidien, les tendances graphiques, les polices d’écriture, leur taille, leur poids, l’évolution de la taille des écrans des interfaces, etc. Ils doivent aussi prendre en compte les nouvelles fonctions des produits à adapter à l’existant.
Dans le multiroom, on observe que les interfaces des différents fabricants d’enceintes sans fil et de lecteurs réseau se copient souvent les uns les autres. Certains tentent des choses qui sortent de l’ordinaire pour revenir sur des basiques bien implantés. Prenons justement l’exemple de l’application Sonos. Elle a permis d’imposer petit à petit la barre de menu horizontale au bas de l’écran permettant de naviguer entre les fonctions principales : accueil, lecture, recherche, paramètres. D’autres n’avaient pas retenu cette ergonomie et écarté ce menu au bas de l’écran, tels que BluOS et MusicCast. Et puis en 2023, BluOS comme MusicCast ont sorti des mises à jour majeures de leurs interfaces faisant apparaître la barre de menu horizontale !
Et bien en 2024, Sonos abandonne la barre de menu au bas de l’écran. Les premières captures que l’on peut voir de la nouvelle app Sonos illustrent une toute nouvelle proposition. Est-ce pour autant un retour en arrière ? A la place, on trouve une zone dynamique selon l’écran en cours de consultation. Par exemple : la lecture en cours depuis la page d’accueil, le multiroom depuis la page de lecture.

Pour rappel, vous avez ci-dessous à gauche la toute première app Sonos en 2010, sans barre de menu horizontale. A droite, c’est l’app Sonos actuelle avec sa barre de menu, avant la mise à jour à venir.


Cette nouvelle évolution de l’app Sonos répond à des choix d’ergonomie mûrement réfléchis, après sans doute d’innombrables heures de test. Si Sonos abandonne un élément d’interface qui s’était généralisé, comme la barre de menu en bas, c’est qu’ils pensent que l’on peut faire mieux et différemment. Avec toujours ce même objectif : être compris et assimilable par le plus grand nombre, facilement pour les nouveaux utilisateurs, sans créer de rupture pour les utilisateurs existants. Mais sûrement pas pour répondre aux mécontents notoires des forums.
Je testerai en détail cette nouvelle version majeure de l’app Sonos dès sa sortie pour vous donner mon avis ici même. Elle devrait être disponible le 7 mai prochain.
Source : The Verge
The post Toutes les applications mobiles des enceintes sans fil sont-elles vraiment nulles ? first appeared on Multiroom - La musique connectée dans toute la maison.


Article modifié le 23 novembre 2025
L’intelligence artificielle à toutes les sauces, on ne parle que de ça. On nous dit aussi que les applications sont sans limite et que ce sera un véritable raz-de-marée. Qu’en est-il des systèmes audio connectés ? De quelle façon l’IA pourrait faciliter l’utilisation du multiroom au quotidien ?
Les deux grands géants de la tech que sont Amazon et Google ont déjà sauté sur l’occasion. Du côté de Google, l’IA arrive dans l’app domotique Home permettant de contrôler tous les équipements connectés compatibles. L’idée est de proposer un assistant qui va créer les “routines”. Par exemple, en tapant une phrase simple du type “quand j’arrive le soir entre 18h et 20h, allume la musique dans le salon et lance telle webradio”, l’IA de Google est alors censée programmer tout cela toute seule.
Amazon annonce qu’Alexa va devenir proactive en silence. C’est-à-dire qu’elle saura, en analysant les remontées des capteurs, ce qu’il faut faire. Et elle le fera. Par exemple, si elle détecte une présence et qu’il fait sombre, alors elle allumera la lumière sans demander. D’autre part, Alexa sera capable d’interpréter des phrases naturelles telles que “j’ai froid” et d’augmenter le chauffage toute seule. Si on lui dit “ça manque de musique ici”, lancera-t-elle ma playlist préférée ?
Etrangement, Apple n’a pas encore d’outils ni d’applications liées à l’intelligence artificielle. Apple se repose pour l’instant sur le contrôle vocal avec Siri. Il n’y a pas d’information au sujet d’une possible évolution de l’assistant vers plus d’intelligence artificielle. Au contraire, on entend parler d’une éventuelle nouvelle enceinte HomePod avec un écran. Ce qui signifie plus d’interaction physique avec le produit, à l’opposé de l’intelligence artificielle.

Chez Savant, un système domotique très répandu aux Etats-Unis, on indique travailler depuis 5 ans sur le Savant AI Engine. A la lecture des détails, on comprend qu’il est associé à Siri d’Apple et qu’il interprète les phrases naturelles. Mais quand on creuse un peu plus, on a vraiment l’impression que ce sont plus des algorithmes améliorés que réellement de l’intelligence artificielle. Rien de révolutionnaire pour l’instant, mais ça pourrait évoluer.
En revanche, côté musique, ça bouge avec l’IA. Le service de transfert de playlists Soundiiz, la plateforme multimédia Plex, le lecteur audio HiFi Roon ou encore l’application de lecture Volumio ont tous présenté leur service de génération de playlists via IA. Cela consiste à analyser vos goûts, donc votre historique de lecture, et à construire de nouvelles listes de musique intelligentes qui devraient vous plaire à coup sûr.
Crestron a beaucoup évolué dernièrement dans le contrôle de la musique en multiroom grâce à sa gamme NAX. Il est plus simple de piloter de multiples sources vers différentes pièces, le tout à travers l’application unifiée Crestron Home OS. Cependant, cet acteur majeur de la domotique n’a pas encore intégré d’IA dans ses produits, ni multiroom, ni les autres. Peut-être une nouveauté future majeure à venir dans ce domaine ?

On est encore loin d’une véritable IA qui apprend de nos habitudes et qui s’adapte et évolue en conséquence. Voilà un exemple. Chaque vendredi soir, après une semaine de travail bien remplie, je lance toujours la playlist “funky chill” dans mon salon. Et puis un vendredi soir, je rentre et je ne lance pas la musique. Normalement, l’IA devrait me demander :
Dave (dédicace aux cinéphiles), voulez-vous que je lance votre playlist funky chill habituelle ?
Ce n’est peut-être pas de ça dont on a envie, mais ça aurait quand même du panache ! On pourrait réellement parler d’intelligence artificielle. Celle qui apprend, qui analyse, qui s’adapte et qui anticipe. Le tout pour faciliter nos usages et nos actions. Si une IA multiroom fait son apparition, vous serez les premiers prévenus !
The post L’intelligence artificielle pourrait faciliter l’utilisation du multiroom first appeared on Multiroom - La musique connectée dans toute la maison.


Article modifié le 23 novembre 2025
Le SPA25 est le nouvel amplificateur intégré home cinema à 9 canaux de Primare. Il est adapté à une configuration Dolby Atmos/DTS:X en 7.1.2 ou 5.1.4. Ses nombreuses entrées lui permettent de rassembler toutes les sources. C’est aussi un ampli connecté qui assure la polyvalence musique et cinéma.
Puissance – Le Primare SPA25 délivre 9×90 Watts quand les canaux sont tous en fonction. Mais si on l’utilise en stéréo uniquement, alors les canaux principaux gauche et droit bénéficient de plus de puissance. Elle monte jusqu’à 2×250 Watts sous 4 ohms.
Calibrage audio – Pour adapter le son à la pièce, le Dirac Live Room Correction fait partie de la dotation. Utilisé avec un micro, il adapte les fréquences pour obtenir une réponse linéaire, en multicanaux comme en stéréo.
Audio connectée – La partie audio connectée passe par l’Ethernet ou le WiFi. La plateforme Prisma présente à l’identique dans d’autres produits de la marque donne accès à AirPlay 2, à Chromecast, à Spotify Connect et à Roon. Qobuz et Tidal seront bientôt intégrés à l’app de contrôle Primare Prisma.
Fiche technique du Primare SPA25




Source : Primare
The post Primare SPA25 : un amplificateur home cinema connecté grâce à la plateforme Prisma first appeared on Multiroom - La musique connectée dans toute la maison.


Article modifié le 23 novembre 2025
Sonos dévoile aujourd’hui une gamme appelée Era composée de deux enceintes. La Era 100 remplace la Sonos One tandis que la Era 300 inaugure le son en Dolby Atmos Music. Ces deux nouveautés très importantes montrent la voie de l’audio connectée pour les années à venir telle que l’envisage Sonos.
Les Era 100 et 300 arborent le design désormais attribué à Sonos : de larges grilles constellées de micro perforations et un logo vertical en haut de la façade qui se lit dans les deux directions. Ce sont de nouveaux modèles et surtout un format inédit pour la Era 300, mais on les attribue immédiatement à Sonos. Comme toujours, elles seront disponibles en noir ou en blanc.
La Sonos Era 100 est légèrement plus grande que la Sonos One qu’elle remplace. Son boîtier est désormais clairement circulaire et la grille occupe encore plus de surface.

La Sonos Era 300 est la première enceinte Sonos compatible Dolby Atmos Music. Il lui faut donc des haut-parleurs orientés dans différentes directions pour recréer un son immersif. D’où cette forme qui la différencie de tout ce qui existe, avec une grille plate en façade et une autre faisant le tour sur l’arrière et les côtés.

L’enceinte Era 100 est un modèle d’entrée de gamme. A ce titre, elle reste compacte et devrait fonctionner logiquement en mono. Et bien Sonos la fait évoluer vers la stéréo avec la présence de deux tweeters pour reproduire séparément les canaux gauche et droit. Placés au-dessus de l’unique woofer, ils sont orientés vers l’extérieur, d’où l’intérêt du boîtier circulaire.

L’enceinte Era 300 se situe dans la gamme entre l’Era 100 et la Sonos Five. Elle dispose pour sa part de six haut-parleurs répartis de la façon suivante : un tweeter en plein centre de la façade, deux woofers latéraux et trois large bande orientés vers les côtés et le plafond. L’objectif est de pouvoir projeter le son dans toutes les directions.

Lors du lancement le 28 mars, la Era 300 sera capable de lire les titres en Dolby Atmos Music provenant du service Amazon Music Unlimited et l’Audio Spatial de Apple Music.
Du côté home cinema, en associant deux Era 300 à une barre Sonos Arc, on atteint un système en 7.0.4. En effet, la barre s’occupe des 5.2 canaux avant, et les era 300 des 2.2 canaux arrière, c’est-à-dire les surround back et les rear height.

Je pense que c’est l’une des demandes les plus importantes au sujet des enceintes Sonos : à quand le Bluetooth ? Et bien c’est chose faite, il est possible de connecter son smartphone en Bluetooth aux Era 100 et Era 300.
Sonos précise que c’est du Bluetooth 5.0 avec support des codecs AAC et SBC uniquement. Via une mise à jour logicielle, les enceintes supporteront le Bluetooth 5.2 ultérieurement.
Un bouton dédié en face arrière permet l’appairage. Cela signifie qu’une personne de passage chez vous pourra associer son smartphone à une enceinte Bluetooth temporairement.

Jusqu’ici, seule la Sonos Five avait droit à une entrée auxiliaire sur prise mini-jack. Celle-ci permet de connecter n’importe quelle source, dont une platine vinyle par exemple.
Les Era 100 et Era 300 ont aussi leur entrée auxiliaire, ce sont donc tous les modèles de la gamme d’enceintes qui en bénéficient. A la différence près que ce n’est pas un connecteur audio analogique mais une prise USB-C.
Sonos va proposer en accessoire optionnel des adaptateurs spécifiques à cette prise USB-C. Il y aura au lancement un modèle avec entrée audio et un autre avec prise Ethernet. Car il ne vous aura pas échappé que les Sonos Era sont les premiers appareils de la marque depuis 2005 à ne pas être équipés d’une prise réseau ! (en dehors des modèles nomade Roam et Move évidemment)
Et non, il n’y aura pas d’adaptateur USB-C/HDMI ARC pour se servir d’une Era 300, ou d’une paire de Era 300, à la place d’une barre de son. Dommage…

Le système de calibrage audio automatique Trueplay présent sur bon nombre d’enceintes Sonos utilise le micro d’un iPhone pour fonctionner. Si vous possédez un modèles Android, pas de chance.
Sonos remédie à cette limitation en incluant le calibrage directement dans les enceintes qui va utiliser ses propres micros. Plus besoin d’iPhone ! Cependant, le Trueplay avec iPhone continue à exister. Vous aurez donc le choix entre le Trueplay “interne” et le Trueplay “externe”.

Le contrôle vocal est présent sur les deux enceintes Era. Il y a par ailleurs deux boutons consacrés aux micros. Un premier tactile sur le dessus pour les ordres vocaux que l’on peut activer/désactiver facilement. Il y en a un second à l’arrière de l’enceinte qui est cette fois un contacteur physique. Si vous le mettez sur Off, alors les ordres vocaux ne sont plus pris en compte ainsi que le calibrage sonore. C’est pour rassurer les utilisateurs que dans ce cas, il n’y a vraiment plus aucun micro actif.
Quant aux assistants, vous pourrez privilégier Sonos Voice Control ou lui préférez Amazon Alexa. En revanche, plus du tout de Google Assistant. Sonos assure que cela n’a rien à voir avec les procès en cous. Cette absence est plutôt à rapprocher de la disparition de Google Assistant de la plupart des enceintes des fabricants tiers. Les enceintes Sonos existantes déjà compatibles Google Assistant le resteront.
Google a modifié les exigences techniques de Google Assistant sur les appareils tiers. Nous évaluons ces exigences, mais il s’agit d’un lourd travail d’ingénierie et nous continuerons à donner la priorité aux travaux qui s’appuient sur notre vision des assistants vocaux fonctionnant tous simultanément.
Sonos
Les commandes présentes sur les enceintes évoluent. Que ce soient les enceintes One ou Five ainsi que les barres de son, Sonos avait simplifié les commandes physiques, au risque de dérouter les utilisateurs. Il fallait en effet se rappeler comment passer d’un titre à un autre, sans commande dédiée.
Il y a désormais trois touches sensitives évidentes : précédent, play/pause, suivant. Cette fameuse touche d’activation/désactivation du contrôle vocal est symbolisée par une bulle de bande dessinée.
Entre les deux prend place une zone creusée où l’on peut lire les commandes – et +. Il suffit de faire glisser son doigt pour varier le volume. On peut aussi appuyer directement aux extrémités, comme des touches – et + classiques.

La Sonos Era 100 est proposée à 279 €, la Era 300 à 499 €. Rappelons que la Sonos Five est à 649 €. Evidemment, il y a une augmentation globale des tarifs. On peut l’imputer aux événements actuels, quels qu’ils soient. Mais on peut aussi remarquer que ces enceintes en font plus que les précédentes, ce qui justifie la facture plus élevée : plus de haut-parleurs, l’entrée auxiliaire, le calibrage automatique sans iPhone et le Bluetooth bien sûr.

Quant à la Era 300, c’est l’une des premières enceintes Dolby Atmos Music. Ou tout du moins qui va essayer de le démocratiser. Car il existe déjà les Apple HomePod et Amazon Echo Studio depuis quelques années, ainsi que les Sony SRS-RA3000 et SRS-RA5000. La Era 300 sera la cinquième enceinte connectée seulement à être compatible avec la musique immersive. Le début d’une nouvelle ère ?
Je vais bientôt tester ces deux enceintes dont je publierai les tests complets et détaillés à la fin du mois.
Source : Sonos

The post Sonos Era 100 et Era 300 : nouvelle génération avec Dolby Atmos Music first appeared on Multiroom - La musique connectée dans toute la maison.