Ce n'est ni la flemme, ni la léthargie. Vouloir rester seul lorsqu'on est malade provient d'un mécanisme dans le cerveau déclenché par le système immunitaire, révèle une équipe de recherche.
Nos cerveaux évoluent avec l'âge, mais pas de façon stable et linéaire, démontrent de nouveaux travaux. Ces transitions dans la connectivité entre neurones sont en réalité de véritables tournants survenant autour de 9, 32, 66 et 83 ans.