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Comment changer son code PIN sur Android

code pin

Dans l'optique de rehausser la sécurité autour de votre carte SIM, il est possible de modifier le code PIN avec une séquence de chiffres un peu plus complexe. Voici la marche à suivre pour changer le code PIN sur un smartphone Android.

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Actualité : Black Friday : toute l'expérience IA de Google dans ce smartphone Pixel à moins de 400 € !

Entre les ristournes de fin d’année et l’envie de remplacer un téléphone à bout de souffle, ce Black Friday est l'occasion idéale de se tourner vers les modèles de Google. Le Pixel 9a, lancé au printemps à 549 €, descend aujourd’hui sous la barre des 400 €, avec une réduction proche des 30 %, tout en restant un smartphone puissant, simple à prendre e...

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Ackify CE : preuve de lecture cryptographique en Go + Vue3

Ackify CE est une plateforme open-source (AGPL v3) permettant de générer des preuves de lecture cryptographiquement vérifiables pour des documents internes.

Le problème

Les organisations doivent souvent prouver qu'un collaborateur a lu un document (politique RGPD, charte de sécurité, formation obligatoire). Les solutions existantes sont soit trop lourdes (signature électronique qualifiée comme DocuSign à 10-30€/utilisateur/mois), soit non sécurisées (simple email).

La solution

Ackify génère des preuves de lecture cryptographiques avec :

  • Signatures Ed25519 (même algo que SSH)
  • Horodatage immutable (PostgreSQL triggers)
  • Hash chain blockchain-like
  • Vérification offline possible

Cas d'usage

  • Validation de politiques internes (sécurité, RGPD)
  • Attestations de formation obligatoire
  • Prise de connaissance de procédures
  • Accusés de réception contractuels

Différence avec DocuSign

Ackify n'est pas une alternative à DocuSign pour des contrats juridiques. C'est une solution simple pour des besoins internes où la signature qualifiée est overkill.

N'hésitez pas si vous avez des questions techniques !

Installation

curl -fsSL https://raw.githubusercontent.com/btouchard/ackify-ce/main/install/install.sh | bash
cd ackify-ce
nano .env  # Configurer OAuth2
docker compose up -d

Installation complète en ~5 minutes.

Stack technique

Backend

  • Go 1.24 (Clean Architecture / DDD)
  • PostgreSQL 16
  • Chi Router
  • OAuth2 (Google, GitHub, GitLab, custom) ou Magic Link (passwordless)

Frontend

  • Vue 3 + TypeScript
  • Tailwind CSS
  • i18n (FR, EN, ES, DE, IT)

DevOps

  • Docker distroless < 30 MB
  • CI/CD GitHub Actions
  • Tests : 72,6% couverture (180 tests unitaires + 33 intégration)

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Erreurs à éviter pour l’hivernage de son robot-tondeuse ft. les conseils de Segway Navimow

Navimow dans un garage (IA)

Chaque automne, la même question revient : que faire de son robot-tondeuse une fois la saison terminée ? Dans un précédent article, nous expliquions jusqu’à quand le laisser travailler. Ici, on s’intéresse à la suite : la phase d’hivernage, souvent expédiée d’un simple appui sur “OFF”… au détriment de la batterie, de l’électronique et de la station de charge. Froid et humidité sont les ennemis des circuits et des connecteurs, et un mauvais stockage peut réduire l’autonomie, provoquer de la corrosion et compliquer le redémarrage au printemps.

Si Segway Navimow, Husqvarna, Gardena ou Stihl publient des guides dédiés, ce n’est pas par souci marketing – ok peut-être un peu quand même -, mais surtout parce qu’un robot peut passer 4 à 5 mois à l’arrêt chaque année. Dans cet article, nous nous appuierons sur les recommandations de Segway Navimow (batterie bien chargée, recharges espacées, stockage au sec) pour passer en revue les erreurs à éviter.

Erreur n°1 : ranger le robot encore sale, couvert d’herbe et de boue

Herbe séchée, boue et poussière ne sont pas qu’une question d’esthétique : ils retiennent l’humidité, favorisent la corrosion, la rouille et peuvent bloquer les roues ou le disque de coupe. Avant l’hivernage, commencez donc par éteindre complètement le robot (interrupteur sur OFF, clé retirée le cas échéant), puis nettoyez la coque et le dessous avec un chiffon humide ou une brosse douce. On évite absolument le nettoyeur haute pression et les produits agressifs, qui peuvent endommager joints et électronique. Terminez en dégageant soigneusement les amas d’herbe autour du disque, des roues et des capteurs.

Erreur n°2 : zapper la vérification des lames et de l’état général

Ranger le robot “tel quel” après la dernière tonte, sans le regarder de près, c’est prendre le risque de mauvaises surprises au printemps. Des lames émoussées ou tordues vont arracher l’herbe plutôt que la couper, fatiguer le moteur et augmenter la consommation. Profitez de l’hivernage pour faire un vrai check-up : contrôlez l’usure des lames et remplacez-les si nécessaire, inspectez le disque de coupe, les roues, le pare-chocs et les capteurs.

Navimow H210 disque de lame
On n’oublie pas de mettre des gants ! ©Meilleure-innovation

C’est aussi le bon moment pour repérer un câble abîmé, une fissure dans le carter ou une vis desserrée, avant que cela ne tourne à la panne.

Erreur n°3 : laisser la batterie se vider… ou le robot branché tout l’hiver

Les batteries lithium-ion détestent les extrêmes : les stocker vides plusieurs mois peut les endommager, mais les laisser branchées en permanence sur la station n’est pas idéal non plus. Certains fabricants, comme Husqvarna, recommandent de conserver un niveau de charge >75 % en stockage ; d’où la tentation de garder le robot sur sa base. Dans les faits, la plupart des robots modernes se déchargent très peu : un utilisateur rapporte ainsi retrouver 100 % de batterie après 4 mois au chaud. La bonne pratique, dans l’esprit des recommandations Segway Navimow, c’est : charger complètement après la dernière tonte, éteindre le robot, le stocker au sec et au chaud, puis refaire une recharge intermédiaire si l’hiver s’éternise.

Erreur n°4 : laisser le robot au froid, à l’humidité… ou sous un tas de cartons

Un robot-tondeuse rangé “vite fait” dans un abri ouvert ou un coin de terrasse reste exposé au froid, à la condensation et parfois au gel. Résultat : connecteurs qui s’oxydent, plastiques qui vieillissent plus vite, électronique qui souffre. L’autre mauvais réflexe, très courant : le poser dans le garage et empiler dessus cartons, outils ou pots de fleurs, au risque d’écraser capteurs et capot. Pour un hivernage propre, stockez toujours le robot dans un endroit sec, à l’abri du gel, idéalement entre deux températures modérées (garage isolé, cellier, local technique), posé bien à plat, sans rien au-dessus. C’est simple, mais cela change vraiment sa durée de vie.

Erreur n°5 : abandonner la station de charge dehors tout l’hiver

Laisser la base, le bloc d’alimentation et les connecteurs exposés au froid, à la pluie et au gel, c’est prendre le risque d’oxydation, de faux contacts et, au final, de pannes au printemps. En fin de saison, débranchez l’alimentation, démontez la station et rentrez-la, avec son bloc secteur, dans un endroit sec et hors gel. Le câble périphérique – s’il y en a un – peut rester en place, à condition de protéger ses extrémités. Sur un modèle comme Segway Navimow, les petites balises servent justement à retrouver facilement l’emplacement de la station lorsqu’on la remettra en service.

Erreur n°6 : oublier l’antenne GPS… et la partie “logicielle”

Sur les robots guidés par GPS, comme Segway Navimow, on pense à rentrer le robot, mais pas toujours son antenne GNSS. La laisser dehors, exposée au froid et à l’humidité, augmente les risques de dysfonctionnement au printemps, voire d’avoir à refaire toute la cartographie.

Avant l’hivernage, démontez l’antenne selon les recommandations du fabricant et stockez-la au sec, en repérant bien son emplacement pour la remettre au même endroit. Côté logiciel, profitez-en pour désactiver la tonte automatique, activer les verrous de sécurité et installer les dernières mises à jour.

Erreur n°7 : redémarrer au printemps sans quelques précautions

Après plusieurs mois d’arrêt, prenez le temps de réveiller doucement votre tondeuse : vérifiez l’état des lames, des roues, des capteurs et de la batterie, contrôlez que la station est bien alimentée et que les connecteurs sont propres. Sur un modèle GPS comme Navimow, assurez-vous que l’antenne est remise au bon endroit, sinon une nouvelle cartographie sera nécessaire. Enfin, reprenez la tonte avec une hauteur de coupe plus élevée, puis descendez progressivement.


Bonus : un bon plan pour tester ces conseils !

Et si vous voulez mettre en pratique ces bons réflexes d’hivernage avec un nouveau robot, c’est le bon moment : du 20 novembre au 1er décembre 2025, la Segway Navimow i105 passe de 849 € à 649 € aussi bien sur le site officiel Segway Navimow France que sur Amazon, avec en prime un garage offert d’une valeur de 150 €. Une façon plutôt maline de préparer… la saison prochaine !

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Top 6 des robots-skimmers les plus efficaces du marché

meilleurs robots skimmers piscine sans fil

Les robots-skimmers solaires ont un objectif simple : récupérer les feuilles, insectes et poussières avant qu’ils ne coulent, pour soulager la filtration et garder une eau plus propre au quotidien.
En 2025, l’offre s’est largement étoffée avec des modèles plus autonomes, connectés et parfois dopés à l’IA. Reste une difficulté : faire le tri entre les simples gadgets flottants et les vrais robots utiles au quotidien.

Dans ce comparatif, nous avons retenu 6 robots-skimmers distribués en France, tous sans fil et capables de fonctionner en grande partie à l’énergie solaire. Ils couvrent plusieurs niveaux de prix, du modèle abordable au robot ultra-premium.

Aiper Surfer S1 : le premier prix sérieux pour passer au skimmer solaire

Le Surfer S1 est un skimmer 100 % sans fil flotte à la surface du bassin et récupère feuilles, insectes et pollen, grâce à un moteur brushless couplé à une roue à aubes. Il convient aux piscines enterrées ou hors-sol jusqu’à environ 5 × 12 m, quels que soient le revêtement et le traitement de l’eau (chlore ou sel).

Aiper skimmer S1
Vu qu’ils ne s’immergent pas, les skimmers restent connectés à l’application en temps réel. © Aiper

Son vrai atout tient dans son duo solaire + batterie : le panneau intégré assure une recharge continue en journée, tandis que la batterie interne prend le relais quand l’ensoleillement baisse. Aiper annonce jusqu’à 20 heures de fonctionnement sur une charge complète, même si les fiches revendeurs parlent plutôt d’une dizaine d’heures de nettoyage continu, ce qui reste largement suffisant pour maintenir propre la surface d’un bassin standard. Le Surfer S1 embarque des capteurs ultrasoniques (et IMU) pour éviter les parois, un panier à débris de 5 L avec filtration autour de 200 µm et une connexion à l’application Aiper, qui permet de suivre le niveau de batterie, la température de l’eau, les statistiques de nettoyage ou encore de diriger manuellement le robot vers une zone plus chargée en feuilles.

Il est le ticket d’entrée le plus cohérent dans le monde des skimmers solaires : tarif catalogue autour de 469 €, mais très souvent observé entre 350 et 400 € en promotion chez les principaux revendeurs. Pour les propriétaires de grandes piscines, ou ceux qui recherchent un fonctionnement véritablement 24/7 avec filtre plus fin (150 µm) et compartiment pour pastilles de chlore, le Surfer S2, son grand frère, annonce une autonomie jusqu’à 35 heures sur batterie, fonctionnement continu grâce au solaire et pilotage via appli Bluetooth + Wi-Fi.

Caractéristique Techniques
Dimensions56 × 46 × 20 cm
Poids5,8 kg
Piscines compatiblesenterrées ou hors-sol, jusqu’à ~5 × 12 m
Filtrationpanier à débris 5 L, filtre ≈ 200 µm
Autonomiejusqu’à 10–20 h selon la charge et l’ensoleillement
Navigationcapteurs ultrasoniques + IMU, évitement des parois
Zone de nettoyagesurface de l’eau

Wybot F1 : le skimmer solaire connecté le plus accessible

Le Wybot F1 est le robot-skimmer conçu pour ceux qui veulent passer au nettoyage de surface solaire + connecté, sans grimper tout de suite sur les modèles les plus premium. Alimenté par un panneau solaire de 33 W, il fonctionne sans câble ni borne de recharge dédiée, avec éventuellement une recharge d’appoint par câble sur certains packs.

WYBOT F1 skimmer
©Wybot est à l’aise avec la technologie solaire ; en témoigne son cousin Solar S2

L’un de ses gros atouts est son panier de 7 litres avec filtre à 180 microns : c’est l’un des plus généreux de cette sélection, capable d’encaisser plusieurs journées de feuilles dans un jardin un peu exposé, sans que vous ayez à le vider tous les soirs. Couplé à deux modes de nettoyage – Standard (8 h) et Intelligent (jusqu’à 24 h) – le F1 peut soit travailler par “gros cycles” quotidiens, soit rester quasiment en permanence en mouvement pour éviter que quoi que ce soit ne stagne à la surface.

Côté usage, le robot s’appuie sur une navigation EdgeMaster qui détecte et contourne les obstacles (escaliers, blocs de filtration, jouets flottants) et suit assez bien les bordures du bassin. L’application Wybot (iOS / Android) sert à suivre l’état du robot, le niveau de batterie, changer de mode ou appliquer des mises à jour OTA. Proposé généralement entre 350 et 400 € selon les promos, le Wybot F1 se positionne comme un bon compromis prix / capacité.

Caractéristique Techniques
Dimensions45 × 43 × 19 cm
Poids6,5 kg
Piscines compatiblesenterrées ou hors-sol, toutes formes
Filtrationpanier 7 L, maille 180 µm
Autonomie24h maximum
Navigationtechnologie EdgeMaster, système anti-enchevêtrement
Zone de nettoyagesurface de l’eau

Dolphin Skimmi : la valeur sûre signée Maytronics

Le Dolphin Skimmi flotte à la surface, aspire feuilles, insectes, pollen et huiles, et tourne en continu pour maintenir la ligne d’eau impeccable sans passer par les skimmers traditionnels. Conçu pour les piscines jusqu’à 20 m de longueur, il s’adapte à toutes les formes (rectangulaire, ronde, haricot, formes libres).

Maytronics Skimmer skimmi
Un design qui sort des sentiers battus © Maytronics

Son fonctionnement repose sur un panneau solaire intégré qui recharge la batterie dans la journée, puis sur un mode de nettoyage continu, y compris la nuit, en utilisant l’énergie stockée. Le Skimmi se déplace de manière autonome grâce à ses capteurs infrarouges au-dessus et sous la ligne d’eau, et peut même se repositionner dans les zones les plus ensoleillées du bassin pour optimiser sa charge. Son panier filtrant de 4 litres, associé à deux panneaux filtrants de 150 et 300 microns, permet de collecter un volume important de débris tout en laissant circuler l’eau.

Le Dolphin Skimmi se pilote via l’application MyDolphin™ Skimmi, en Bluetooth. Depuis le smartphone, on peut vérifier le niveau de charge solaire, consulter la température de l’eau, lancer ou ajuster les cycles de nettoyage et, au besoin, diriger manuellement le robot vers une zone plus sale. Proposé autour de 499 € chez les principaux revendeurs, il se positionne comme une valeur sûre du milieu de gamme, portée par un réseau SAV déjà bien implanté chez les piscinistes.

Caractéristique Techniques
Dimensions50 × 44,3 × 15,2 cm
Poids4,06 kg
Piscines compatiblesenterrées ou hors-sol, toutes formes, jusqu’à 20 m de longueur
Filtrationpanier 4 L, double filtre 150 / 300 µm
Autonomie8 h sur batterie, fonctionnement prolongé grâce au solaire
Navigationcapteurs intelligents, algorithme de navigation automatique
Zone de nettoyagesurface de l’eau

Dreame J1 : le robot-skimmer le plus complet (surface + ligne d’eau)

Le Dreame J1 ne se contente pas d’aspirer les débris qui dérivent : il prend aussi en charge la ligne d’eau et les bords grâce à une brosse double rouleau qui vient frotter la périphérie du bassin. Dreame parle d’un nettoyage à 360°, avec couverture de la surface, des angles et de la ligne d’eau, quel que soit le revêtement (liner, coque, carrelage, etc.).

Dreame skimmer J1
Le Z1 de la même marque nous avait plutôt convaincu… © Dreame

Sous le capot, le J1 s’appuie sur un système Dual Power : un panneau solaire de 18 W alimente la machine en continu, tandis qu’une batterie de 5 000 mAh prend le relais quand le soleil faiblit. En conditions favorables, le robot peut ainsi fonctionner quasiment 24 h/24, en basculant si besoin sur un mode Eco quand la batterie descend sous un certain seuil, le temps de se recharger en se déplaçant vers les zones les plus ensoleillées (technologie SolarSmart). Une prise secteur permet aussi de le recharger de façon classique en 4 à 6 heures.

Le J1 embarque la technologie PoolSense, qui lui permet de suivre une trajectoire en S, de ralentir près des parois et d’éviter les obstacles, avec des barres anti-échouage pour les marches ou plages immergées. La cuve à débris de 5 L reçoit un filtre de 200 µm et intègre un compartiment pour pastilles de chlore, que le robot diffuse au fil de ses cycles pour limiter les algues et améliorer la clarté de l’eau. Le tout se pilote via l’application Dreamehome, qui sert à choisir le mode (surface seule, ligne d’eau seule, combo), suivre le niveau de batterie, consulter la température de l’eau et déclencher un retour automatique au bord du bassin. Affiché à 599 € prix catalogue, il est régulièrement proposé autour de 469 € sur le site de la marque ou chez les revendeurs.

Caractéristique Techniques
Dimensions51 × 21,6 × 57,2 cm
Poids8 kg
Piscines compatiblesenterrées ou hors-sol, toutes formes
Filtrationpanier à débris 5 L, filtre 200 µm, compartiment pour pastilles de chlore
Autonomiefonctionnement continu annoncé 24/7
Navigationtechnologie PoolSense, trajectoire en S, détection des bords, anti-collision, barres anti-échouage
Zone de nettoyagesurface, bord / angles, ligne d’eau

Betta SE Plus : le spécialiste endurant des grandes piscines

Le Betta SE Plus joue clairement dans la cour des skimmers solaires endurants. Comme les autres robots de cette sélection, il flotte à la surface et récupère en continu feuilles, pollen, insectes et poils d’animaux avant qu’ils ne coulent, et profite d’un double système de charge : panneau solaire + adaptateur secteur.

Côté autonomie, Betta annonce plus de 30 heures de nettoyage continu sur une charge complète, en combinant la batterie et la recharge solaire, avec des temps de recharge rapides : environ 5 à 6 heures sous un bon ensoleillement, ou 3,5 heures via l’adaptateur. Certaines fiches parlent d’environ 10 heures “sans soleil” uniquement sur batterie, ce qui donne une bonne idée de la réserve disponible pour les nuits ou les journées couvertes. Le tout est abrité dans un châssis résistant aux UV, avec deux moteurs SCT (Salt Chlorine Tolerant) spécialement conçus pour tenir dans les piscines au chlore comme au sel, même en usage intensif.

En pratique, le Betta SE Plus se repère grâce à des capteurs radar à ultrasons et une navigation intelligente (type ActivMotion selon les revendeurs), qui lui permettent d’éviter les obstacles, les marches et les formes complexes de piscine. Le grand panier à débris à mailles fines (≈200 µm) se vide sans effort et sans avoir besoin de sortir tout le robot de l’eau. Une télécommande fournie permet enfin de passer du mode automatique à un contrôle manuel pour cibler une zone précise. Il est proposé en France autour de 700 € sur Amazon.fr, mais davantage aux alentours de 450–550 € chez certains revendeurs étrangers ou spécialisés.

Caractéristique Techniques
Dimensions56 × 47 × 20 cm
Poids7 kg
Piscines compatiblesenterrées ou hors-sol, toutes formes
Filtrationgrand panier à débris à mailles fines (filtre inox ultra-fin, ≈200 µm)
Autonomieplus de 30 h de nettoyage continu (≈10 h sans soleil)
Navigationcapteurs radar à ultrasons, protection contre les eaux peu profondes / marches, navigation intelligente type ActivMotion
Zone de nettoyagesurface de l’eau

Beatbot iSkim Ultra : l’ultra-premium dopé à l’IA pour les grands bassins

Avec l’iSkim Ultra que nous avons eu la chance de tester, Beatbot propose un robot de surface ultra-technique pensé pour les grandes piscines très exposées aux débris. Sous sa coque plate recouverte de panneau solaire, on trouve 7 moteurs indépendants et 20 capteurs, dont une architecture tri-ultrason pour garder le cap le long des margelles et gérer les obstacles avec finesse. À l’avant, un large rouleau collecteur et deux brosses latérales ramènent les feuilles vers un panier de 9 L doté d’un clapet anti-renversement : de quoi encaisser plusieurs séances de vent ou de chute de feuilles sans vidange systématique. Particularité de Beatbot : le robot embarque un système de clarification automatique ClearWater, avec emplacement pour flacon de clarifiant et diffusion contrôlée depuis l’appli.

Unboxing iSkim Beatbot
N’hésitez pas à consulter notre test ! © Meilleure Innovation

Côté énergie, l’iSkim Ultra combine un panneau solaire de 24 W et une batterie de 10 000 mAh, pilotés par la technologie SolarTrack™ qui optimise l’exposition au soleil. Beatbot le positionne comme un skimmer 24/7, capable de basculer en douceur entre solaire et batterie pour continuer à travailler même par temps couvert ou la nuit. La recharge (environ 5 heures) se fait via un dock magnétique à induction.

La navigation s’appuie sur un processeur 120 MHz, les 20 capteurs et un plan de trajectoire en S pour limiter les recouvrements et les zones oubliées. L’application Beatbot est l’une des plus complètes du marché : contrôle manuel (NavControl) avec boost de vitesse, programmation des plages de nettoyage, distribution de clarifiant, suivi météo (température de l’eau, indice UV), statistiques de recharge solaire, journal des tâches, mode “ne pas déranger” et mises à jour OTA. La connectivité Wi-Fi + Bluetooth offre un pilotage stable autour du bassin, avec retour automatisé au bord sur simple commande pour récupérer le robot sans se mouiller. Vendu autour de 999 € chez plusieurs enseignes françaises (pour un prix de lancement autour de 1 599 €), l’iSkim Ultra s’adresse clairement aux propriétaires de grandes piscines.

Caractéristique Techniques
Dimensions53,6 × 51,1 × 22,6 cm
Poids6 kg
Piscines compatiblesenterrées ou hors-sol, toutes formes
Filtrationpanier 9 L, clapet anti-renversement, filtre ≈ 380 µm
Autonomiefonctionnement 24/7 avec SolarTrack™
Navigationtrajectoire en S optimisée, algorithmes d’IA, stabilité “façon drone”, évitement d’obstacles, auto-parking au bord
Zone de nettoyagesurface et clarification de l’eau

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Rafale et SCAF : ce que prépare Dassault avec Thales pour le combat aérien du futur

rafale neuron drone avion

Dassault Aviation et Thales s’allient pour développer une intelligence artificielle souveraine qui embarquera dans les futurs systèmes de combat aérien, comme le Rafale, le SCAF et les drones. Objectif : assister les équipages dans l’analyse et la décision, et préparer le combat aérien de demain, de plus en plus collaboratif.

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