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Vladimir Poutine affirme qu’il « cessera les hostilités » si l’armée ukrainienne quitte l’Ukraine

Ce sont des exigences simples, élémentaires et faciles à mettre en place” a commenté le Kremlin. “Si les hostilités continuent c’est principalement la faute de l’armée ukrainienne” a souligné Vladimir Poutine, expliquant que si l’armée ukrainienne n’existait pas, il n’y aurait pas eu besoin de créer d’armée russe. Le président russe a demandé aussi qu’on change la dénomination officielle de l’armée ukrainienne. ”Le mot armée est un mot trop violent, trop dur et belliciste, c’est une menace contre la Russie”, rappelant que la Russie n’a ainsi jamais eu d’armée mais juste des gens très très très très très très très très motivés à l’idée de défendre leur pays. Enfin, le président russe a proposé une suggestion pour que la paix revienne dans la région : “Nous suggérons en outre de délocaliser toutes les armées européennes  assez loin des frontières de la Russie, comme les Açores ou les Kerguelen”

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Vladimir Poutine assure que sa rencontre avec Donald Trump aura lieu “dans 6 massacres”

“Je sais que ma rencontre avec le président Trump se fait attendre mais je peux vous assurer que nous allons nous entretenir tous les deux dans moins de six massacres” a déclaré ce matin Vladimir Poutine lors d’une conférence de presse. Une bonne nouvelle qui marque une première avancée marquante vers la paix selon Esmeralda Popescu, observatrice à l’ONU. “C’est vrai qu’on aurait préféré une rencontre dans deux ou trois bains de sang mais bon, six massacres ça devrait aller vite” commente-t-elle, pleine d’espoir. 

Suite à cette annonce, le site “ispeaceinukrainereal.org” a choisi d’afficher sur sa page d’accueil un compte à rebours comptabilisant le nombre de massacres restants et ce, en temps réel. Une avancée majeure vers la fin de la guerre et qui redonne le sourire puisqu’à peine 40 minutes après son lancement, le nombre de tueries restantes était déjà descendu à deux. 

De son côté, le président Donald Trump a salué “une véritable envie de rouvrir le dialogue” de la part de la Russie tout en s’engageant à recevoir le président Zelensky “dans douze déportations”.

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Général Thierry Burkhard : «Les Européens doivent être prêts à prendre des risques pour maintenir la paix en Ukraine» – Libération

> Vous avez dit que la Russie est capable de «tenir cinq minutes de plus que nous» en Ukraine, quelle que soit la durée du conflit. Qu’entendez-vous par là ?

> Dans trente ans, les historiens écriront que Poutine a été le pire stratège de la Russie. Il n’a pas réussi à s’emparer de l’Ukraine, il a perdu des centaines de milliers d’hommes, il a déclenché l’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’Otan, il ne peut plus naviguer en mer Noire sans se faire couler ses bateaux, il s’est placé dans une sorte de dépendance vis-à-vis de la Chine. La population russe le sait, les généraux russes aussi. Les Russes n’aiment pas plus mourir que nous.

> Pour autant, je pense que les caractéristiques de la société et de l’organisation du pouvoir font qu’ils tiendront plus longtemps, parce qu’ils se sont mis en économie de guerre, et que la guerre ne s’arrêtera que quand Poutine le décidera. Les plus cyniques peuvent penser que c’est le problème de l’Ukraine, que les chars russes n’arriveront pas à la frontière française. C’est probable, mais cela ne veut pas dire que la menace n’existe pas. Une Ukraine qui n’est pas sous domination russe et qui possède une armée forte contribue à nos intérêts de sécurité. Si nous, Européens, ne sommes pas capables de prendre des risques pour assurer une paix durable et la sécurité de notre continent, Poutine aura imposé l’idée que désormais, la force est supérieure au droit. Et cela aussi est une menace.

Et dans une guerre, c'est le dernier debout qui gagne...
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Général Thierry Burkhard : «Les Européens doivent être prêts à prendre des risques pour maintenir la paix en Ukraine» – Libération

> Vous avez dit que la Russie est capable de «tenir cinq minutes de plus que nous» en Ukraine, quelle que soit la durée du conflit. Qu’entendez-vous par là ?

> Dans trente ans, les historiens écriront que Poutine a été le pire stratège de la Russie. Il n’a pas réussi à s’emparer de l’Ukraine, il a perdu des centaines de milliers d’hommes, il a déclenché l’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’Otan, il ne peut plus naviguer en mer Noire sans se faire couler ses bateaux, il s’est placé dans une sorte de dépendance vis-à-vis de la Chine. La population russe le sait, les généraux russes aussi. Les Russes n’aiment pas plus mourir que nous.

> Pour autant, je pense que les caractéristiques de la société et de l’organisation du pouvoir font qu’ils tiendront plus longtemps, parce qu’ils se sont mis en économie de guerre, et que la guerre ne s’arrêtera que quand Poutine le décidera. Les plus cyniques peuvent penser que c’est le problème de l’Ukraine, que les chars russes n’arriveront pas à la frontière française. C’est probable, mais cela ne veut pas dire que la menace n’existe pas. Une Ukraine qui n’est pas sous domination russe et qui possède une armée forte contribue à nos intérêts de sécurité. Si nous, Européens, ne sommes pas capables de prendre des risques pour assurer une paix durable et la sécurité de notre continent, Poutine aura imposé l’idée que désormais, la force est supérieure au droit. Et cela aussi est une menace.

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