Proton veut vous faire abandonner Excel et Google Drive grâce à son nouveau service Sheets

Envie de rejoindre une communauté de passionnés ? Notre Discord vous accueille, c’est un lieu d’entraide et de passion autour de la tech.

Envie de rejoindre une communauté de passionnés ? Notre Discord vous accueille, c’est un lieu d’entraide et de passion autour de la tech.

Votre café et votre dose de tech vous attendent sur WhatsApp chaque matin avec Frandroid.
L’essor des modèles conversationnels marque une étape décisive pour les géants du numérique. Dans ce contexte, une conviction s’affirme au sein de Google : la maîtrise de données personnelles accumulées depuis des années pourrait devenir l’un de ses leviers les plus puissants. L’entreprise souligne désormais cette orientation stratégique en évoquant une IA capable d’ajuster ses ... Lire plus
L'article Google et l’enjeu discret de la personnalisation poussée est apparu en premier sur Fredzone.Microsoft vient encore de frapper un grand coup à base de “on vous a pas demandé votre avis mais c’est activé par défaut”. En effet, la firme de Redmond déploie actuellement une fonctionnalité de reconnaissance faciale basée sur l’IA dans OneDrive. Jusque-là, rien de surprenant, Apple Photos et Google Photos font pareil depuis des lustres et c’est pratique car ça permet avec une simple recherche de retrouver dans votre photothèque toutes les photos d’une personne en particulier.
Sauf que Microsoft a décidé d’y ajouter une petite subtilité bien nulle…
Car oui, vous pouvez désactiver cette fonction, ouf ! Sauf que vous ne pouvez le faire que trois fois par an. 3 putain de fois par an ! Donc si vous désactivez, puis réactivez, puis désactivez à nouveau ce paramètre, vous êtes bloqué jusqu’à l’année suivante. Pour le moment, cette fonctionnalité est en test uniquement auprès des utilisateurs de la version Preview donc y’aura peut-être rétropédalage mais les testeurs sont pas jouasses.
Le pire c’est que Microsoft a la fâcheuse habitude de réinitialiser vos paramètres de confidentialité à chaque mise à jour majeure de Windows, donc si Redmond décide de réactiver l’option une quatrième fois dans l’année sans vous demander votre avis… Hé bien y’a de fortes chance que vous soyez coincé plus vite que prévu.
Alors pourquoi cette limitation débile ?
Et bien Microsoft n’a pas daigné donner d’explication officielle à nous pauvre gueux, mais les experts en dingueries de Redmond supposent que c’est lié au coût de suppression des données biométriques. En effet, quand vous désactivez la fonction, Microsoft s’engage à effacer toutes vos données de regroupement facial sous 30 jours et la réactiver ensuite nécessite de réanalyser toutes vos photos avec l’IA. Et ça, ça coûte un pognon de dingue en ressources serveur.
En gros, Microsoft veut éviter que des petits malins fassent du toggle en boucle et mettent leurs clusters GPU à genoux et leur tréso à sec. L’explication se tient c’est vrai, mais du point de vue utilisateur, c’est complètement absurde, surtout que comme d’hab, personne n’explique rien. Puis c’est quand même une fonctionnalité qui scanne les visages de votre famille, vos amis, vos enfants, et qui est activée par défaut sans votre consentement explicite, hein…
D’ailleurs, Thorin Klosowski de l’Electronic Frontier Foundation a réagi officiellement en expliquant que, je cite, “Toute fonctionnalité liée à la vie privée devrait vraiment être opt-in, et les entreprises devraient fournir une documentation claire pour que les utilisateurs comprennent les risques et les avantages avant de faire leur choix.”
Ça me semble parfaitement sain et logique… Espérons que Microsoft comprenne cela aussi. La firme assure que vos données biométriques ne sont pas utilisées pour entraîner leurs modèles IA globaux, et on va faire semblant de les croire, mais ça reste du stockage de données biométriques sur des serveurs tiers, activé par défaut, avec une capacité de contrôle artificiellement limitée.
Et comme vous le savez, ça s’inscrit dans une tendance plus large chez Microsoft où Word sauvegarde maintenant par défaut sur OneDrive plutôt qu’en local, où Notepad est connecté au cloud, où Paint tourne à l’IA…et j’en passe. Bref, tout est fait pour que vos données quittent votre machine et atterrissent sur les serveurs de M$.
Bref, si vous utilisez OneDrive et que vous tenez à votre vie privée, gardez bien en tête que vous n’avez droit qu’à trois changement par an donc, comme les 3 voeux du génie de la lampe, utilisez-les avec parcimonie, et priez pour que les mises à jour Windows n’aient pas la bonne idée de réactiver ce truc dans votre dos.

Pour détecter les ransomwares, il y aura bientôt… l’application Google Drive.
La fonctionnalité sera déployée en bêta sur la version de bureau (Windows, Mac) à partir de mi-octobre. Elle sera accessible avec les abonnements Google Workspace suivants :
La détection interviendra au moment de la synchronisation de fichiers vers le cloud. Un modèle d’apprentissage automatique distant, entraîné sur des échantillons de ransomwares, recherchera les traces de modifications suspectes. S’il en détecte, il bloquera la synchronisation et alertera à la fois l’utilisateur (e-mail + notification de bureau) et l’admin (e-mail + alerte dans le centre d’administration).
L’ensemble n’empêche donc pas tant les infections que la propagation. Il intervient en second rempart après les antivirus.
En complément arrive, également en bêta, une fonctionnalité de restauration massive de fichiers. Elle est disponible sur tous les abonnements Google Workspace – y compris individuels – ainsi que pour les comptes Google personnels.
Avoir la dernière version de l’application Google Drive (actuellement, la v114) est nécessaire pour permettre l’affichage des alertes.
L’ensemble sera activé par défaut et réglable au niveau des unités organisationnelles. Le déploiement des outils dans la console d’admin a démarré le 30 septembre sur les domaines à lancement rapide et à lancement planifié.
![]()
Illustration principale générée par IA
The post Vers une couche anti-ransomware dans l’application Google Drive appeared first on Silicon.fr.


Le fabricant Greenliant (inconnu dans nos contrées) vient d'annoncer un nouveau SSD M.2. NVMe d'entrée de gamme : le PrimeDrive SX Series.
The post Un SSD M.2. lowcost (PCIe 3.0, 256 Go) signé Greenliant first appeared on Bhmag.