Jusqu’à présent, quand les communications quantiques avaient besoin de répéteurs, elles utilisaient des modèles classiques faute de mieux, ce qui représente une faille de sécurité. Mais une équipe vient de débloquer la pièce manquante du puzzle pour des relais quantiques.
On pensait que le germanium, semi-conducteur bien connu et employé largement dans l’électronique classique, avait révélé tous ses secrets. Pourtant, associé au bon métal, il pourrait devenir la clé d’un nouveau chapitre de l’informatique.