Le constructeur automobile américain Ford va réduire la voilure sur les gros véhicules tout-électrique pour se concentrer sur les motorisations hybrides et à essence, a-t-il annoncé lundi dans un communiqué, une décision qui va occasionner des provisions et coûts supplémentaires de 19,5 milliards de dollars.
Cette réorientation stratégique est la conséquence d'une moindre demande des consommateurs ainsi que d'un assouplissement des contraintes réglementaires acté par le gouvernement Trump, selon le groupe de Dearborn (Michigan).
Parallèlement, le groupe entend mettre à profit les investissements déjà réalisés dans l'électrique pour lancer une offre de batteries de stockage portables pour l'industrie hors automobile, les centres de données notamment, mais aussi les particuliers.
L'énergéticien EDF a confirmé lundi envisager "d'éventuelles cessions" totales ou partielles en parallèle de son plan d'économies de 5 milliard d'euros sur cinq ans, en réaction à des informations des Echos.
Le groupe "fait une revue de portefeuille pour procéder à d'éventuelles cessions", a indiqué EDF dans un message à l'AFP, précisant que "l'ouverture du capital d'Edison", une filiale italienne, "ainsi qu'une cession partielle ou complète de la plateforme renouvelable aux Etats-Unis ont été évoquées".
Des rumeurs de presse avaient précédemment évoqué une possible cession de sa filiale italienne Edison, et la recherche de partenaires pour les activités d'EDF Power solutions (renouvelables) aux Etats-Unis.
Des peines allant de trois à six mois de prison avec sursis ont été requises lundi devant le tribunal judiciaire de Lorient contre 12 militants écologistes qui avaient bloqué un train transportant du blé en mars 2022.
La procureure Laëtitia Mirande a souligné le préjudice financier "conséquent" de l'action pour plusieurs sociétés, dont la SNCF et l'entreprise destinataire du chargement, Sofral Le Gouessant.
Le 19 mars 2022, une cinquantaine de militants, réunis à l'appel du collectif "Bretagne contre les fermes usines", avaient bloqué entre Saint-Gérand et Noyal-Pontivy (Morbihan) un train de marchandises destiné à une usine voisine d'aliments pour bétail.
Entre le trafic routier, les terrasses de bars et les avions, le bruit perturbe le sommeil de milliers de Franciliens, selon une étude rendue publique lundi par l'observatoire du bruit en Ile-de-France, Bruitparif, et l'observatoire régional de santé.
Être exposé "au bruit environnemental la nuit est associé à une augmentation des remboursements de médicaments pour lutter contre l'insomnie", selon l'étude "Somnibruit", menée conjointement avec l'unité de recherche sommeil-vigilance-fatigue (VIFASOM) et l'université Paris Cité.
Elle a été menée entre 2017 et 2019 sur Paris et 432 communes qui regroupent plus de 10 millions d'habitants.
Un tribunal suédois a suspendu lundi l'abattage de loups prévu pour l'année prochaine, estimant que les autorités n'avaient pas réussi à prouver que cette mesure préserverait les niveaux de population.
Jusqu'à quarante-huit loups étaient concernés par cet abattage à partir du 2 janvier. Cet arrêt a été rendu après que des organisations environnementales ont fait appel de décisions régionales octroyant les licences de chasse.
Des milliers de glaciers disparaîtront chaque année au cours des prochaines décennies et seule une fraction pourrait survivre à la fin du siècle à moins que le réchauffement climatique ne soit freiné, affirme une étude publiée lundi.
Les mesures prises par les gouvernements en matière de changement climatique pourraient déterminer si le monde perdra 2.000 ou 4.000 glaciers par an d'ici le milieu du siècle, selon cette étude publiée dans la revue Nature Climate Change et dirigée par le glaciologue Lander Van Tricht.
Quelques degrés pourraient faire la différence entre la préservation de près de la moitié des glaciers du monde en 2100 et celle de moins de 10%.
Le débordement du fleuve Pirai en fin de semaine dernière dans l'est de la Bolivie a fait au moins 20 morts et plus de 2.000 familles sinistrées, a annoncé lundi le vice-ministre de la Défense civile.
"Malheureusement, les données officielles font état de 20 morts et de dizaines de disparus", a déclaré Alfredo Troche à la Radio Panamericana.
Un premier bilan, samedi, faisait état de trois morts et huit disparus en raison de pluies d'une intensité exceptionnelle qui ont principalement affecté les localités d'El Torno et La Guardia, en périphérie de la ville de Santa Cruz, capitale économique du pays andin.
Critiquée pour sa stratégie d’abattage systématique face à la dermatose nodulaire bovine, la ministre de l’Agriculture ouvre la porte à une évolution du protocole sanitaire. En attendant un avis scientifique, la vigilance reste de mise dans les zones touchées.
La mise en service le 13 décembre 2025 du téléphérique urbain du Val-de-Marne porte à sept le nombre d'infrastructures de ce type en France. Historiquement utilisés pour franchir des reliefs accidentés en montagne, ils servent de plus en plus à désenclaver des quartiers isolés.
"L'eau nous a submergés": 37 personnes sont mortes dimanche à Safi, sur la côte atlantique du Maroc, à la suite de crues soudaines et d'inondations, le plus lourd bilan de la dernière décennie pour des intempéries de ce type dans le pays.
Sept blessés, dont deux en soins intensifs, sont toujours traités à l'hôpital Mohammed V de Safi, a indiqué le directeur de l'établissement à l'agence officielle marocaine MAP.
Cette ville portuaire, située à environ 300 kilomètres au sud de Rabat, a été touchée dimanche par de violentes précipitations orageuses ayant "provoqué des écoulements torrentiels exceptionnels" en l'espace "d'une heure", ont déclaré les autorités locales.
Trente-sept personnes sont mortes dimanche à Safi, sur la côte atlantique du Maroc, en raison de crues soudaines après des précipitations qui ont entraîné des inondations dans des habitations et commerces, ont annoncé lundi les autorités locales dans un nouveau bilan.
Il s'agit du plus lourd bilan pour des intempéries de ce type au Maroc depuis plus d'une décennie.
"Quatorze personnes sont actuellement soignées à l'hôpital Mohammed V de Safi, dont deux en soins intensifs", ont précisé les autorités dans un communiqué, affirmant poursuivre les opérations de recherche et d'assistance aux populations sinistrées.
Dans une interview à Nice-Matin, le ministre délégué chargé de la Transition écologique juge que "la meilleure option, celle qui est à la fois éthique, crédible et conforme au droit, c’est le sanctuaire en Nouvelle-Ecosse, au Canada".
La ministre de l'Agriculture Annie Genevard a ouvert la porte lundi à une éventuelle évolution de la procédure en vigueur pour gérer la dermatose nodulaire contagieuse, vivement critiquée par une partie des agriculteurs, tout en défendant sa politique sanitaire.
Interrogée sur France 2 sur la possibilité d'une suspension de la procédure en vigueur, et notamment de l'abattage systématique des troupeaux affectés, elle a répondu: "La discussion est ouverte sur ce point et je ne veux pas vous donner de réponse catégorique aujourd'hui, parce ce temps de dialogue est indispensable et il faut pouvoir y associer les professionnels".
La ministre a toutefois défendu la politique sanitaire en vigueur, affirmant que la situation était à l'heure actuelle "sous contrôle".
"Je ne suis pas un empoisonneur", a une dernière fois clamé lundi Frédéric Péchier, anesthésiste de Besançon qui encourt la réclusion à perpétuité, avant que la cour d'assises du Doubs ne se retire pour délibérer au terme de trois mois et demi d'un procès éprouvant.
"Ca fait huit ans que je me bats contre le fait qu'on me présente comme un empoisonneur", mais "non, je ne suis pas un empoisonneur", a déclaré le médecin de 53 ans.
Accusé d'avoir empoisonné 30 patients dont 12 sont morts, entre 2008 et 2017, le quinquagénaire assure avoir "toujours respecté" le serment d'Hippocrate.
La ministre de l'Agriculture Annie Genevard a ouvert la porte lundi à une éventuelle suspension de la procédure jusqu'ici en place pour gérer la dermatose nodulaire contagieuse, vivement critiquée par une partie des agriculteurs.
Interrogée sur France 2 sur la possibilité d'une suspension de la procédure en vigueur, et notamment de l'abattage systématique des troupeaux affectés, elle a répondu: "La discussion est ouverte sur ce point et je ne veux pas vous donner de réponse catégorique aujourd'hui, parce ce temps de dialogue est indispensable et il faut pouvoir y associer les professionnels".
La ministre a toutefois défendu la politique sanitaire en vigueur, affirmant que la situation était à l'heure actuelle "sous contrôle".
Les deux pandas du zoo de Tokyo, les seuls présents au Japon, seront renvoyés en Chine en janvier, ont rapporté lundi des médias nippons, ce qui pourrait priver le Japon de ces animaux emblématiques pour la première fois en un demi-siècle.
Prêtés dans le cadre du programme chinois de "diplomatie du panda", ces animaux symbolisent l'amitié entre Pékin et Tokyo depuis la normalisation des relations diplomatiques en 1972.
Le Japon ne compte actuellement que deux pandas - Lei Lei et Xiao Xiao - au Jardin zoologique de Tokyo, dans le quartier d'Ueno.
Dans une usine chinoise, un bras robotisé manoeuvre un véhicule autonome partiellement assemblé, tandis que des ouvriers règlent ses caméras. Un symbole de la révolution qui automatise pas à pas jusqu'aux PME du géant manufacturier.
La Chine est le premier marché planétaire pour les robots industriels et les autorités injectent des milliards d'euros dans la robotique et l'intelligence artificielle (IA) afin de renforcer cette tendance.
Subventionner "Obamacare" malgré leur franche hostilité pour ce programme? Ou laisser les coûts d'assurance santé exploser pour des millions d'Américains? Donald Trump et les républicains font face à un dilemme cornélien qui expose leurs divisions et pourrait leur coûter cher aux législatives de mi-mandat en novembre prochain.
Au volant de son camion à Islamabad, Muhammad Afzal ne s'attendait pas à être contrôlé par la police, et encore moins à recevoir une amende à cause de l'épaisse fumée de son pot d'échappement.
"C'est injuste", se plaint-il, après avoir été prié de payer 1.000 roupies pakistanaises (3 euros), et menacé de voir son véhicule confisqué s'il ne trouvait pas de solution au problème.
"Je venais de Lahore après avoir fait réparer mon véhicule.