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AWS Re:Invent 2025 : des annonces qui méritent (vraiment) plus de lumière… Tristan Miche, Ippon Technologies

Le vrai « AWS re:Invent » se joue souvent loin des keynotes “agents partout”. Plusieurs annonces « invisibles » reconfigurent déjà l’architecture et l’exploitation au quotidien.. Un second regard sur l’un des évènements IT majeurs de l’année 2025… Chaque année, AWS re:Invent s’impose comme la grand-messe du cloud. Et comme depuis quelques années le même scénario se […]

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Streaming musical en 2025 : comment l’IA bouscule la transparence, la rémunération et la découverte

En 2025, l’intelligence artificielle n’est plus un simple outil dans l’industrie musicale : elle devient une source massive de contenus, un défi opérationnel pour les plateformes et un sujet de confiance pour les auditeurs. Le streaming se retrouve face à une équation nouvelle : accueillir l’innovation (assistants de …

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« J’ai besoin d’un cloud souverain », le nouveau plan d’Airbus pour couper Microsoft de ses données sensibles risque d’être tué dans l’œuf

Dans un entretien accordé au site britannique The Register, Catherine Jestin, vice‑présidente exécutive du numérique chez Airbus, annonce que le géant de l’aéronautique français s’apprête à lancer un appel d’offres majeur. L’objectif ? Migrer ses charges de travail critiques vers un cloud européen souverain. Cette transition devra cependant relever des défis immenses.

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Amazon envisagerait d’investir 10 milliards de dollars dans OpenAI pour renforcer sa stratégie IA

Amazon pourrait bientôt devenir l’un des nouveaux poids lourds… du capital d’OpenAI ! Selon plusieurs sources concordantes, le géant du commerce en ligne serait en discussions préliminaires pour investir jusqu’à 10 milliards de dollars dans le laboratoire d’intelligence artificielle, ce dans le cadre d’un accord technologique et financier …

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Databricks s’offre une Série L de 4 Milliards de Dollars pour industrialiser l’IA

La plateforme data est devenue l’infrastructure critique pour industrialiser l’IA générative sans perdre le contrôle des données propriétaires, de la gouvernance et de la sécurité. Databricks accélère ce mouvement avec une seconde levée de fonds XL en 2025, une Série L qui semble préparer une prochaine introduction en bourse. Depuis l’explosion de l’IA générative, les […]

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Bases de données cloud : l’abondance de l’offre devient un défi

Chez les principaux fournisseurs de bases de données cloud, il n’est plus si rare que des produits se chevauchent.

La synthèse du dernier Magic Quadrant dédié à ce marché en témoigne. La majorité des « leaders » (5 sur 9) ont droit à une remarque à ce sujet :

  • Alibaba Cloud
    Chevauchement entre AnalyticDB et Hologres (analytique) comme entre DMS et DataWorks (intégration de données).
  • AWS
    Grand choix de SGBD et d’options d’intégration… au prix de chevauchements et de conflits.
  • Google
    Plusieurs solutions pour Postgre (Cloud SQL, AlloyDB, Spanner) entre lesquelles il faut faire la balance.
  • IBM
    Chevauchements sur la partie entrepôt de données, entre les offres Db2 Warehouse, Neterra watsonx.data.
  • Microsoft
    Concurrence entre Azure Synapse, Microsoft Fabric et Azure Databricks.

Gérer les coûts reste un défi

Autre sujet largement partagé parmi les « leaders » : la gestion des coûts.

Elle est difficile chez AWS faute de tarification unifiée entre services.
Elle l’est aussi pour beaucoup de clients de Databricks, malgré des avancées sur l’outillage FinOps.
Chez Google, elle a tendance à se complexifier avec l’intégration de nouvelles fonctionnalités.
Concernant Oracle, la clientèle se plaint toujours des prix et de la difficulté de contractualisation, même si la tendance s’atténue avec le passage au cloud et son modèle de facturation à l’usage.
Concernant Snowflake, Gartner a un jugement plus spécifique : le côté « user-friendly » est susceptible de favoriser le développement d’un état d’esprit « black box », et par là même de limiter la capacité à optimiser les workloads.

Plusieurs de ces fournisseurs avaient déjà été épinglés à ce sujet il y a un an, dans l’édition précédente de ce Magic Quadrant.
Databricks, à cause de la difficulté à prédire les coûts avec le modèle fondé sur des unités de consommation.
Google, parce que le suivi des dépenses pouvait se révéler délicat, a fortiori lorsqu’on interfaçait aux bases de données des services fondés sur des unités de consommation.
Oracle, perçu, de par son historique, comme un fournisseur aux offres onéreuses.
Alibaba, chez qui la variété des modèles de pricing, combinée à une facturation découplée pour certaines ressources au nom de la flexibilité, pouvait s’avérer difficile à maîtriser.

20 fournisseurs, 9 « leaders »

D’une année à l’autre, les critères à respecter ont peu évolué. Il fallait toujours, entre autres, gérer au moins un cas d’usage parmi :

  • Transactionnel
  • Transactions « légères » (gros volumes à haute concurrence et basse latence)
  • Gestion d’état d’applications
  • Data warehouse
  • Lakehouse
  • Analyse d’événements

Une fois encore, Gartner n’a évalué que les offres managées, fournies en cloud public ou privé. Il n’a pas pris en compte les bases de données hébergées sur du IaaS.

Les 20 fournisseurs classés sont les mêmes que l’an dernier. Et les 9 « leaders » d’alors le sont restés. Dans l’ordre alphabétique : Alibaba Cloud, AWS, Databricks, Google, IBM, Microsoft, MongoDB, Oracle et Snowflake.

Sur l’axe « exécution », reflétant la capacité à répondre à la demande, la situation est la suivante :

Rang Fournisseur Évolution annuelle
1 AWS =
2 Google =
3 Microsoft + 1
4 Oracle – 1
5 Databricks =
6 Snowflake + 1
7 MongoDB – 1
8 IBM + 2
9 Alibaba Cloud – 1
10 InterSystems – 1
11 Huawei Cloud =
12 SAP =
13 Teradata =
14 Cloudera =
15 Couchbase + 3
16 SingleStore + 1
17 EDB + 3
18 Redis – 3
19 Neo4j – 3
20 Cockroach Labs – 1

Sur l’axe « vision », reflétant les stratégies :

Rang Fournisseur Évolution annuelle
1 Google =
2 Databricks + 3
3 Microsoft – 1
4 Oracle – 1
5 AWS – 1
6 Snowflake + 2
7 Alibaba Cloud + 3
8 IBM – 1
9 SAP – 3
10 Teradata – 1
11 MongoDB =
12 Cloudera =
13 InterSystems + 2
14 Neo4j =
15 Huawei Cloud + 1
16 EDB + 4
17 Couchbase =
18 SingleStore =
19 Redis – 6
20 Cockroach Labs – 1

Alibaba Cloud, distingué pour son approche « data + IA »…

Les principales offres d’Alibaba Cloud sur ce marché sont PolarDB et ApsaraDB (transactionnel), AnalyticDB et MaxCompute (analytique), Tair et Lindorm (clé-valeur).

L’a dernier, le groupe chinois avait été salué pour sa présence sectorielle importante et différenciée, le développement de son écosystème de partenaires et le poids de sa communauté open source.

Cette année, Gartner apprécie la tarification, jugée attractive. Ainsi que la fiabilité de l’architecture serverless. Désormais étendue à tous les SGBD, elle se distingue par son architecture découplant calcul, mémoire et stockage en environnement hybride. Bon point également pour l’approche « data + IA » qui permet de développer et de déployer des applications en n’utilisant que des technologies d’Alibaba Cloud.

… mais pas pour la configuration de PolarDB

L’an dernier, Gartner avait pointé, au-delà de la gestion des coûts, le risque géopolitique associé à Alibaba Cloud. Ainsi que la disponibilité encore limitée de ses servies hors de l’Asie (moins de régions et de zones de disponibilité que la concurrence).

Cette année encore, la faible présence hors Asie est signalée. Elle peut se traduire par un moins grand nombre d’intégrations d’outils tiers et de ressources en anglais (documentation, formation, support). Attention aussi à la configuration de PolarDB, jugée complexe par les nouveaux utilisateurs, notamment sur l’équilibre coût/performance et la gestion du stockage multicouche. Il faut y ajouter les chevauchements de produits sus-évoqués.

AWS a un catalogue d’une ampleur sans égale…

Aurora, Redshift, DynamoDB et SageMaker font partie des principaux produits d’AWS sur ce marché.

L’an dernier, Gartner avait salué la couverture fonctionnelle d’AWS et sa capacité à créer du liant entre ses solutions. Il avait aussi noté l’exhaustivité des partenariats et de la présence géographique.

Ce dernier point vaut toujours et s’assortit d’un bon historique de disponibilité de l’infrastructure ainsi que d’une approche « proactive » de dialogue avec le client pour l’optimisation des coûts. AWS a, plus globalement, un catalogue d’une ampleur sans égale sur ce marché, avec SageMaker comme point central de gouvernance data/IA.

… mais des dépendances pour l’orchestration hybride

L’intégration entre les services d’AWS peut être complexe, avait souligné Gartner l’an dernier. Le cabinet américain avait aussi constaté que la prise en charge des déploiements hybrides/multicloud était limitée malgré la disponibilité de connecteurs natifs et le support de moteurs comme Spark (les clients tendent à utiliser des orchestrateurs tiers, avait-il expliqué).

Ce dernier constat est toujours d’actualité : beaucoup de clients dépendent de solutions tierces pour l’orchestration hybride/multicloud. S’y ajoutent les deux éléments sus-évoqués : gestion des coûts difficile et chevauchements entre produits.

Databricks, rapide pour innover…

Outre Data Intelligence Platform (qui inclut Unity Catalog), Databricks propose du data warehouse avec Databricks SQL, du transactionnel avec Lakebase, ainsi que de l’intégration et de l’engineering avec Lakeflow.

L’an dernier, Gartner avait salué les investissements dans la GenAI (dont l’acquisition de MosaicML), traduits par le développement de ses propres LLM. Il avait aussi donne un bon point au catalogue Unity (qui venait d’être basculé en open source) et au format Delta Lake (concurrent d’Iceberg).

Cette année, Databricks est salué pour sa « vision lakehouse », bien qu’il ne soit plus seul sur ce marché. Il l’est aussi pour sa cadence d’innovation, entre la composante Agent Bricks (qui a reçu des fonctionnalités importantes presque tous les mois), l’acquisition de Tabular (qui a accompagné la prise en charge d’Iceberg sur tout le portefeuile) et l’introduction de capacités low code dans Lakeflow. Bon point également pour l’engagement sur des standards ouverts (Delta Lake, Iceberg, Spark, Postgre…) qui favorisent la portabilité.

… mais pas si simple à prendre en main

L’an dernier, Gartner avait pointé le manque d’intuitivité de l’UI, qui changeait fréquemment tout en manquant de documentation et de capacités low code. Il y avait ajouté l’aspect FinOps, sus-évoqué.

Cette année, le cabinet américain met un bémol à la logique d’ouverture : certains clients s’inquiètent d’un éventuel verrouillage au niveau de l’orchestration et de Delta Live Tables (devenu Lakeflow Spark Declarative Pipelines). Il souligne par ailleurs la tendance des clients à juger que l’usage de la solution exige un haut niveau de compétence technique. En parallèle, le sujet FinOps reste valable (voir ci-dessus).

Google, bien positionné sur l’IA…

Entre autres produits positionnés sur ce marché, Google a Spanner, BigQuery, AlloyDB, Cloud SQL, Firestore, Memorystore et Bigtable.

L’an dernier, Gartner avait salué les contributions open source (à PostgreSQL en particulier). Il avait fait de même pour les avancées dans la GenAI (intégration de Gemini + support transversal de la recherche vectorielle via LangChain) et pour la fondation data/IA unifiée avec Dataplex pour la gouvernance.

Cette fondation data/IA a à nouveau droit à un bon point ; dans les grandes lignes, pour les mêmes motifs. Gartner note plus globalement la capacité de l’offre SGBD de Google à couvrir les cas d’usage dans l’IA agentique. Et apprécie en particulier l’exhaustivité des modèles de données pris en charge par Spanner (relationnel, clé-valeur, graphe, vectoriel).

… mais moins sur le partage de données

Le réseau de partenaires doit encore se développer, avait estimé Gartner l’an dernier. Il avait aussi pointé l’aspect FinOps et souligné que Google proposait moins d’options que la concurrence pour l’intégration native d’applicaitons et le master data management.

Cette année, outre la gestion des coûts et les chevauchements sus-évoqués, un point de vigilance va à la marketplace de données et aux capacités de partage. Elle se révèlent moins avancées que chez certains concurrents, malgré des améliorations sur les clean rooms et l’interopérabilité entre clouds.

IBM étend sa présence multicloud…

Les principaux SGBD cloud d’IBM sont Db2 (transactionnel + analytique) et watsonx.data (lakehouse).

L’an dernier, Big Blue s’était distingué sur sa stratégie sectorielle (solutions spécifiques adaptées sur la gouvernance, la sécurité et la conformité). Ainsi que sur sa capacité à combiner les expertises en open source et en data management au service des déploiements hybrides. Son offre est bien adaptée aux applications critiques, avait ajouté Gartner.

Cette année encore, la stratégie sectorielle est saluée. L’extension de la présence cloud l’est aussi (mise à disposition de Db2 chez les hyperscalers et acquisition de DataStax, qui a une forte présence multicloud). Bon point également pour l’approche « bien définie » d’IBM concernant l’intégration des SGBD dans les frameworks de data management.

… mais a toujours du mal à faire passer son message

IBM a du mal à se différencier dans la communication, par ailleurs pas uniforme entre équipes commerciales, avait expliqué Gartner l’a dernier. Il avait aussi rappelé que le déploiement géographique de l’offre n’atteignait pas encore celui des autres hyperscalers.

Les difficultés de communication restent d’actualité, occasionnant un certain manque de notoriété sur le segment. En parallèle, IBM demeure perçu comme un vendeur « legacy », ce qui est susceptible de détourner certains acheteurs. Gartner y ajoute, comme sus-évoqué, les chevauchements entre certains produits.

Une offre exhaustive chez Microsoft…

Entre autres produits, Microsoft évolue sur ce marché avec Azure SQL Database, Azure Database pour PostgreSQL et MySQL, ainsi qu’Azure Cosmos DB.

L’an dernier, Gartner avait salué l’exhaustivité de l’offre et le niveau d’intégration avec les autres services Microsoft. Il avait aussi apprécié les possibilités d’usage de l’IA pour le data management. Et les avancées sur la gestion du multicloud, exemplifiées par l’interconnexion Azure-Oracle comme par les « raccourcis » dans OneLake pour les analyses fédérées.

Bon point cette année encore pour l’exhaustivité de l’offre, qui « gère presque tous les modèles de données et cas d’usage sectoriels ». L’engagement de Microsoft sur PostgreSQL est également salué. Comme les innovations sur la partie IA (embeddings in-database, indexation de vecteurs, jonctions entre Copilot et Fabric…).

… mais une offre Fabric qui manque encore de maturité

Le chevauchement de certaines offres avait déjà été signalé l’an dernier, en sus de craintes des clients sur la pérennité d’Azure Synapse Analytics et d’Azure Database face à Microsoft Fabric. Ce dernier manquait encore de maturité, avait expliqué Gartner : les capacités d’intégration, de gouvernance et de gestion des métadonnées étaient moins « robustes » que chez d’autres « leaders ». Le déploiement pouvait par ailleurs se révéler complexe, en particulier pour le DR, la sécurité et la gestion des coûts.

Outre le chevauchement de certains produits, Gartner pointe à nouveau le manque de maturité de Microsot Fabric. Les inquiétudes des clients touchent autant aux fonctions data warehouse que gouvernance, entre souveraineté, dimensionnement des ressources, prix, gestion des métadonnées et data quality. Attention aussi aux investissements consentis pour intégrer le transactionnel dans Fabric : sur le court terme, ils peuvent engendrer des enjeux de performance.

MongoDB demeure un standard pour le modèle document…

Outre son édition communautaire et son produit sur site (Enterprise Advanced), MongoDB propose son SGBD Atlas chez AWS, Google et Microsoft.

L’an dernier, Gartner avait salué une offre « bien considérée » pour ses capacités de traitement à haut volume, son élasticité et la flexibilité du schéma. Il avait aussi souligné la souplesse et la rapidité d’implémentation, contribuant à la popularité auprès des développeurs.

Ce dernier élément vaut toujours et engendre un vivier de compétences d’autant plus grand. S’y ajoute la richesse des options de déploiement, accentuée par un programme de partenariats jugé « robuste ». MongoDB est plus globalement parvenu à établir une forme de standard pour qui souhaite un modèle orienté document.

… mais manque d’un storytelling sur la convergence transactionnel-analytique

Si MongoDB associe transactionnel et analytique, son offre se limite à du non relationnel, avait signalé Gartner l’an dernier. La concurrence s’accentue de la part de fournisseurs de SGBD qui incluent l’approche document en plus d’autres modèles, avait-il souligné ; sans compter ceux qui proposent une compatibilité MongoDB.

Cette remaruqe sur la concurrence accrue reste valable. Le cabinet américain y ajoute la courbe d’apprentissage nécessaire pour prendre en main le modèle MongoDB. Et le manque d’un storytelling complet l’intégration du transactionnel et de l’analytique.

Oracle, salué pour sa richesse fonctionnelle…

Autonomous AI Lakehouse, Autonomous JSON Database et Exadata Database Service font partie des SGBD cloud au catalogue d’Oracle.

L’an dernier, Gartner avait salué l’exhaustivité de l’offre (fonctionnalités + support de modèles modèles de données et de l’architecture lakehouse). Ainsi que le niveau de gestion du multicloud (offres Database@ + interconnexion avec les principaux hyperscalers) et la capacité à diffuser rapidement des nouveautés (GenAI, low code, consensus RAFT).

Cette année encore, la richesse fonctionnelle est saluée (bases de données distribuées, recherche vectorielle, framework agentique…). La diversité des options de déploiement l’est aussi. Comme l’adéquation de l’offre d’oracle aux applications critiques.

… mais peu adopté pour les déploiements lakehouse

Oracl reste perçu comme onéreux et a du travail pour « cloudifier » sa base client, avait noté Gartner l’an dernier. Il avait aussi appelé les acheteurs à s’assurer de bien interpréter l’approche « une base de données pour tout » et ce qu’elle impliquait en matière de livraison de fonctionnalités.

Cette dernière remarque est reconduite : vigilance sur cette approche, qui s’oppose aux architecture combinant les SGBD et les systèmes de data management. La question du prix – sus-évoquée – reste sensible et les clients continuent à prioriser des produits concurrents pour les déploiements lakehouse.

Snowflake a amélioré sa couverture fonctionnelle…

L’an dernier, Snowflake s’était distingué par son UI adaptée à divers profils d’utilisateurs, sa prise en charge de multiples formats sur la couche de stockage et l’extension de l’architecture lakehouse avec Iceberg et Polaris.

Cette année encore, Gartner donne un bon à l’UI. Il relève aussi l’extension fonctionnelle de l’offre (data engineering avancé via Openflow, ML/IA avec Snowpark et Cortex AI, support de Postgre apporté par l’acquisition de Crunchy Data). Et l’amélioration de la scalabilité avec les entrepôts de génération 2 (meilleur rapport qualité-prix que la gen 1 pour les workloads complexes).

… mais reste focalisé sur le batch et l’analytique

L’an dernier, Gartner avait pointé une prise en charge limitée des scénarios hybrides. Il y avait ajouté la complexité dans le partage des données entre organisations utilisatrices de Snowflake et les défis d’usabilité que posait l’intégration avec le stockage sur site via les tables externes.

Ces deux derniers aspect demeurent. D’une part, la performance n’est pas la même avec les tables externes qu’avec le stockage natif ou les tables Iceberg. De l’autre, sur le partage, il est nécessaire de bien planifier des éléments tels que les permissions, le repartage et les restrictions régionales. Gartner y ajoute l’aspect FinOps (voir ci-dessus). Et le fait que l’architecture est focalisée sur le batch et l’analytique plutôt que sur le transactionnel ou le temps réel (même s’il existe les tables hybrides et une intégration avancée de PostgreSQL).

Illustration générée par IA

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IBM recentre Terraform sur le langage HCL

Le couperet est tombé : IBM arrête le support du CDKTF (Cloud Development Kit pour Terraform).

Cette boîte à outils permet de générer des fichiers de configuration en utilisant des langages impératifs (TypeScript, Python, Java, C# et Go). Elle s’inspire de l’AWS Cloud Development Kit – et en réutilise des bibliothèques.

IBM estime que le projet n’a pas trouvé sa place. Il est vrai que la traction sur les canaux communautaires et au-delà est restée minimale.
Le CDKTF n’a en tout cas jamais été stabilisé. Jusqu’à la dernière version, sortie en juin 2025, les changements non rétrocompatibles sont demeurés monnaie courante.

Un tout autre contexte qu’OpenTofu

Dans ce contexte, IBM s’affirme d’autant plus ouvert à l’idée d’un fork (le code est sous licence MPL). Ce n’est effectivement pas la même histoire qu’avec OpenTofu. Ce projet concurrent de Terraform avait émergé à l’été 2023. HashiCorp, alors encore indépendant, venait de changer la lience de ses produits. Exit la MPL (Mozilla Public License), place à la BSL (Business Source License), qui a eu pour principal effet d’interdire d’« embarquer » ou d’« héberger » les éditions communautaires desdits produits dans le cadre de toute offre commerciale destinée à un usage en prod.

Lancé sous l’impulsion d’entreprises dont le modèle économique reposait au moins en partie sur Terraform, OpenTofu avait été stabilisé début 2024. Entre-temps, une autre initiative avait vu le jour : OpenBao, pensé comme un substitut à Vault, autre produit HashiCorp.

IBM est offciellement devenu propriétaire de HashiCorp en février 2025, quasiment un an après avoir annoncé son projet d’acquisition. En attendant un éventuel fork du CDKTF, il invite à utiliser la commande cdktf synth –hcl pour convertir les fichiers .tf en HCL (HashiCorp Configuration Language).

Illustration © zeeika – Adobe Stock

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25 ans de fidélité Apple et paf, compte bloqué sans explication

Edit du 22/12/2025 : Bonne nouvelle ! Le développeur a finalement récupéré son compte. Un employé d'Apple Executive Relations basé à Singapour l'a contacté pour lui annoncer que tout était réglé. Il s'avère que la carte cadeau qu'il avait essayé d'utiliser avait déjà été "consommée" d'une manière ou d'une autre (probablement du tampering classique de carte cadeau), et son compte s'est retrouvé flaggé à cause de ça. Apple lui a conseillé de n'acheter des cartes cadeaux que directement chez eux et quand il a demandé si ça signifiait que leur chaîne d'approvisionnement (Blackhawk Network, InComm et autres revendeurs) était peu fiable, Apple a refusé de commenter. Comme quoi, même après 25 ans de fidélité, faut quand même gueuler un bon coup pour que ça bouge...


Vous vous souvenez de mes conseils sur les backups ? Ceux que je vous rabâche régulièrement depuis des années ? Hé bien voici une histoire qui va vous donner envie de les suivre une bonne fois pour toutes.

Dr Paris Buttfield-Addison, c'est un développeur Apple depuis 25 ans. Le mec a écrit plus de 20 bouquins sur Objective-C et Swift, il co-organise le plus ancien événement développeur Apple non-officiel... Bref, c'est pas un random qui a téléchargé une app météo une fois. C'est un évangéliste Apple depuis 30 ans.

Et bien du jour au lendemain, son compte Apple ID a été fermé. Sans explication. Sans recours. Sans rien.

L'élément déclencheur ? Il a essayé de racheter une carte cadeau Apple de 500 dollars pour payer son abonnement iCloud+ de 6 To. Le code a foiré, le vendeur lui a proposé un remplacement, et quelques temps après... boom, compte verrouillé.

Résultat : environ 30 000 dollars de matos Apple devenu inutilisable, des milliers de dollars de logiciels et médias achetés auxquels il n'a plus accès, plus d'iMessage, et surtout des téraoctets de photos de famille qu'il ne peut plus récupérer. 25 ans de souvenirs numériques, volatilisés.

Le support Apple ? Réponse standard : fermé pour "conformité avec les conditions". Pas d'explication. Zéro escalade possible. Et comme conseil : créer un nouveau compte. Sauf que ça pourrait aussi le faire bannir ce nouveau compte. Logique Apple...

Et le pompon ? On lui a également suggéré de se présenter physiquement au siège australien d'Apple. Comme si le mec allait prendre un billet d'avion pour aller plaider sa cause en personne. C'est difficilement compréhensible comme réponse venant d'une boîte qui vaut 3000 milliards de dollars.

Le truc, c'est que cette histoire peut arriver à n'importe qui. Que ce soit chez Apple, Google ou Microsoft, vous êtes à la merci d'un algorithme qui décide un beau matin que votre compte est suspect. Et bonne chance pour trouver un interlocuteur prêt à mouiller sa chemise pour vous. Spoiler : y'en a pas.

Moi-même j'ai eu tellement de problèmes de synchro avec iCloud au fil des années que j'ai perdu des fichiers. C'est de la merde, vraiment. Optez pour un truc mieux si vous le pouvez.

Du coup, comment éviter ça ? L'idéal c'est l'auto-hébergement si vous avez le temps et les compétences. Sinon, au minimum, faites des backups réguliers de vos données. Pour Apple Notes par exemple, y'a un outil qui s'appelle Exporter qui permet d'exporter toutes vos notes vers du Markdown ou du HTML. Comme ça le jour où Tim Cook décide que votre tronche lui revient pas, vous aurez au moins une copie de vos données quelque part.

Bref, ne faites jamais confiance à 100% à ces plateformes avec vos données les plus précieuses. Elles peuvent vous couper l'accès du jour au lendemain, et vous n'aurez aucun recours...

Source : hey.paris

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VMware exclut l’UE de la marche forcée vers VCF

Chez VMware, fini le catalogue de prix unifié pour l’EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique).

Il y a désormais deux catalogues. Respectivement pour l’Espace économique européen (UE + Islande, Liechtenstein et Norvège) et pour les autres pays de cette zone.

VVF et vSphere Enterprise+ maintenus dans l’UE, mais jusqu’à quand ?

La différence n’est pas des moindres : hors de l’EEE, les offres VVF (vSphere Foundation) et VSEP (vSphere Enterprise+) ne sont plus commercialisées.

Ne restent que VSS (vSphere Standard) et VCF (Cloud Foundation).
Le premier change de modèle : il devient un SKU sans durée déterminée, à 70 $/cœur/an – soit le tarif jusque-là appliqué pour un an d’engagement.
Le second voit son prix augmenter de 350 à 400 $/cœur/an.
En parallèle, le module complémentaire Private AI Foundation n’est plus disponible.

La nouvelle politique commerciale hors EEE impose par ailleurs le fameux minimum de 72 cœurs.
Ce minimum s’entend par ligne de commande – en d’autres termes, par édition de produit VMware. Broadcom l’appliquait déjà depuis avril… en dehors de l’EMEA. L’examen de son cas par la Commission européenne a probablement motivé cette exception et la décision de la faire perdurer dans l’EEE.

VCF comme offre unique : on y va tout droit

vSphere Enterprise+ avait disparu de la gamme VMware une première fois, quelques semaines après la fusion avec Broadcom. Il avait finalement été réintroduit en novembre 2024, sans vSAN (stockage) ni NSX (réseau).
Depuis, on l’a continûment dit en sursis. Comme vSphere Standard, qui n’est déjà plus vendu en APAC (Asie-Pacifique) depuis avril 2025 – et qui semble désormais ne plus l’être non plus en Amérique du Nord.

Ces offres sont d’autant plus sur la sellette qu’il n’est pas prévu qu’elles prennent en charge vSphere 9. Jusqu’à nouvel ordre, elles sont cantonnées au maximum à vSphere 8 (Update 3), dont le support général se termine en octobre 2027.

Les perspectives n’étaient pas beaucoup plus positives pour VVF. Surtout que VCF 9 a apporté plusieurs capacités favorisant les migrations depuis d’autres produits VMware, notamment pour l’importation NSX.

Illustration générée par IA

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Plate-forme Data : comment la Matmut a fait son entrée chez S3NS

L’échéance approche : le 16 décembre 2025, la Matmut éteindra sa plate-forme data sur site.

Ce socle Spark-Hadoop avait été constitué en 2017, avec la stack open source Cloudera. Sur le papier, il est resté à son statut de PoC. Dans les faits, il est devenu de la prod.

En 2022, à l’arrivée d’un nouveau CDO, deux visions de modernisation se sont confrontées.
Le CTO prônait une plate-forme unifiée, avec un outil proche de ceux déjà en place. Une option qui assurerait un support éditeur large, mais induirait des efforts supplémentaires de développement pour les équipes data, de gestion pour les équipes de production, et de formation pour l’usage par toutes les entités.
Le CDO portait l’idée d’une plate-forme full open source – toujours on-prem – avec une multitude de fournisseurs. Il en découlerait le besoin d’assurer un support pour pléthore de services, en plus de l’aspect formation (sur des nouveaux outils : ML, orchestrateur…).

Chez S3NS, pas d’immunité au CLOUD Act… mais du chiffrement que la Matmut maîtrise

Dans ce contexte, la Matmut a étudié la possibilité d’aller chez un hyperscaler. Elle s’est tournée vers S3NS et son offre « Contrôles locaux » (récemment renommée CRYPT3NS).

Jean-Jacques MokCette offre utilise des HSM (modules de sécurité matériels) fournis et hébergés par Thales. Elle « n’empêchera pas une instance américaine de demander à Google de dumper les données », a reconnu Jean-Jacques Mok, directeur de programme cloud au sein de la Direction du numérique et de l’innovation de la Matmut, lors du salon DEVOPS REX. Ce dump n’est toutefois pas fait en live, tempère-t-il : les données sont récupérées à froid. « Et ça tombe bien : c’est ce qui est crypté par le boîtier HSM. »

« Globalement, Google aura répondu aux injonctions, poursuit l’intéressé. Charge [aux États-Unis] de s’amuser ensuite à décrypter les données, [sachant que] les clés ne sont pas hébergées chez Google. » C’est effectivement la Matmut qui en a la maîtrise. Jean-Jacques Mok en donne une illustration : lorsqu’un des deux boîtiers HSM de la Matmut est tombé en panne, il a dû se rendre chez S3NS, qui ne pouvait pas lui-même en initialiser un autre.

Un socle BigQuery-Dataflow-Cloud Composer

La plate-forme montée chez S3NS s’articule autour de BigQuery, avec Dataflow pour les trasnsformations et Cloud Composer – version packagée d’Airflow – pour l’orchestration. « On a un peu déshabillé la mariée , admet Jean-Jacques Mok. C’est tout l’intérêt d’un cloud provider : on est venu chercher uniquement les services dont on avait besoin. »

Pour structurer les données, la Matmut est restée sur du classique : l’architecture médaillon (bronze = données brutes ; argent = données nettoyées ; or = données spécialisées). Il y a ajouté une zone vermeille ; qui, par rapport à la zone argent, est agnostique de la source des données.
Une autre zone, dite zone relais, a été mise en place. Une exigence « portée par les execs ». S’y trouvent toutes les données maîtres à envoyer vers le cloud.

La fin promise du « pot à bonbons »…

Le projet a duré environ un an et demi. « On [n’était] pas sur du lift & shift, mais sur une transformation de l’organisation data », précise Pascal Deshayes, président de TerraOps, qui a accompagné le projet (l’ESN a son siège à Rouen, comme la Matmut). Ne serait-ce que de par la transition depuis un système intégralement sur site, avec, entre autres, un CI/CD « pas du tout automatisé ».

Il a fallu faire avec les limites de l’offre « Contrôles locaux », tant en termes de versions que de nombre de services managés utilisables. Un avantage, néanmoins : la facilité de prise en main par les consultants habitués à GCP.

« Maintenant qu’on a des utilisateurs et de la donnée, il faut qu’on soit capable de maîtriser cette consommation », explique Jean-Jacques Mok. Aujourd’hui, l’IT à la Matmut est encore un « pot à bonbons », concède-t-il : « Tout le monde pioche dedans jusqu’à ce qu’il n’y [ait plus de budget]. »

… et des accès en « open bar »

L’offre « Cloud de confiance » – celle pour laquelle S3NS postule à la qualification SecNumCloud – est en ouverture généralisée depuis quelques mois. La Matmut ne l’a pas encore adoptée. Elle y est toutefois appelée : c’est l’une des conditions qui ont permis d’aller vers ces services.

Avec RGPD, DORA et CSRD en toile de fond, la migration est aussi l’occasion de mieux encadrer le lignage des données et les accès. « Sur l’ancienne plate-forme, c’était complètement open bar, déclare Jean-Jacques Mok. Là, on revient à un cadre plus standard : tu n’accèdes qu’à la donnée [qui t’est autorisée] et surtout, tu vas demander [aux propriétaires] le droit de la consommer ».

La Matmut ne le cache pas : quitter un mode Spark-Hadoop pour un monde orienté services managés basés sur BigQuery implique de retravailler le plan de carrière de certaines personnes. « Il faut qu’ils comprennent que le modèle SAS ne va pas durer éternellement », glisse Jean-Jacques Mok…

Illustration principale © Stéphane Tatinclaux

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Avec SecNumCloud en perspective, Numspot voit au-delà d’OUTSCALE

Langage commun, standardisation des processus, portabilité… Autant de notions dont Gaspard Plantrou, chef produit de Numspot, use pour vanter « l’indépendance numérique portée par Kubernetes ».

Cette grammaire se retrouve dans la dernière annonce de l’entreprise. Laquelle a décidé d’aller au-delà du socle OUTSCALE, en fournissant un plan de contrôle « à la Red Hat » unifiant la gestion des environnements d’infrastructure.

Kubernetes sera la base de cette plate-forme qui englobera des services managés et des fonctions data/IA (modèles, agents et RAG), avec une console et des API unifiées. Une marketplace de services préconfigurés y sera adossée. Numspot compte la déployer en Europe auprès de fournisseurs d’infrastructure, en s’alignant sur les référentiels nationaux équivalents à SecNumCloud. Une vente en marque blanche est envisagée. Des discussions sont en cours avec des sociétés en Allemagne, en Espagne et en Italie.

L’ensemble doit prendre forme au deuxième semestre 2026. Numspot promet une capacité d’adaptation « dynamique » du niveau de confiance. À commencer sur son infra chez OUTSCALE, composée d’une région eu-west « souveraine » et d’une région cloud-gov en cours de qualification SecNumCloud (J1 validé au printemps, audit J2 récemment finalisé).

Une dizaine de clients/projets référents

Pour le moment, 3 ans après sa création, Numspot a à son catalogue les services suivants :

  • Gestion : console et IaC
  • Calcul : VM et GPU NVIDIA
  • Réseau : VPC, IP publiques, VPN, DirectLink, load balancer
  • Stockage : bloc, objet, snapshots
  • Base de données : PostgreSQL
  • Conteneurs : Kubernetes et OpenShift
  • Sécurité/identité : IAM

Une brique d’observabilité (logging et métriques) est sur la roadmap. On y trouve aussi un registre de conteneurs, un catalogue d’images de VM, du BYOK, du MongoDB et du Redis-like, du KMS, un WAF et du CI/CD (GitLab).

Numspot liste 25 partenaires dont 10 éditeurs (ALLONIA, CEO-Vision, Cleyrop, CobolCloud, Denodo, Docaposte, Energisme, Red Hat, Veeam et VirtualBrowser). Il nomme une dizaine de clients/projets référents, dans la finance/assurance, la santé et le secteur public :

  • CISIRH (Centre interministériel de services informatiques relatifs aux ressources humaines)
  • CNP Assurances
  • Docaposte
  • Domelior (services de soins à domicile ; petite entreprise bretonne)
  • ERAFP (complémentaire de la fonction publique)
  • Maisons France services
  • M.I.A. Seconde (application d’adaptive learning pour les professeurs en seconde générale)
  • Pavillon de la Mutualité (groupe d’offre de soins mutualiste en Nouvelle-Aquitaine)
  • Perfecto Groupe (agence de com francilienne)
  • Service civique national
  • Union Retraite (GIP qui réunit les organismes de retraite obligatoire, de base et complémentaire)

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Cloud souverain et IA : construire une infrastructure numérique sécurisée pour les services publics… Yasser Wardasbi,  Genesys

Face à l’essor fulgurant de l’IA, les services publics ne peuvent plus rester à la porte du cloud, surtout quand les données les plus sensibles sont en jeu. Le défi : construire un cloud souverain européen qui combine niveau de sécurité maximal, agilité technologique et capacité à faire tourner des workloads d’IA à l’échelle. La […]

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Sommet de Berlin : Paris et Berlin passent à l’offensive pour un cloud souverain européen

À Berlin, lors du Sommet sur la souveraineté numérique européenne, Emmanuel Macron et Friedrich Merz ont affiché une ambition partagée : réduire la dépendance technologique du continent et bâtir un véritable écosystème numérique autonome. Le cloud souverain se retrouve désormais au cœur de cette stratégie, tandis que les …

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Microsoft injecte 17,5 milliards de dollars en Inde pour l’IA et le cloud

Microsoft confirme son ambition en Inde avec un plan d’investissement colossal de 17,5 milliards de dollars d’ici 2029. Ce programme, le plus important jamais engagé par l’entreprise en Asie, vise à renforcer les capacités cloud et IA du pays tout en soutenant la formation de millions d’utilisateurs. L’annonce, …

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AWS lance sa cinquième génération de CPU maison, le Graviton5

La bataille du cloud se joue aussi sur le CPU. Pour les hyperscalers et pour AWS en particulier, précurseur avant tout le monde, les processeurs ne sont pas que des composants essentiels à toute infrastructure informatique. Ils sont un levier direct pour vendre moins cher et consommer moins à l’échelle planétaire. Avec son nouveau Graviton5, […]

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IBM s’offre Confluent pour 11 milliards de dollars afin de renforcer ses solutions data et IA

IBM accélère sa stratégie autour de la donnée et de l’intelligence artificielle en annonçant le rachat de Confluent pour 11 milliards de dollars en numéraire. Big Blue propose 31 dollars par action Confluent, soit une prime d’environ 50 % par rapport au dernier cours connu. Ce rachat de …

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Trois ans après, que devient le catalogue Gaia-X du CISPE ?

Pour accéder au catalogue Gaia-X du CISPE, attention à ne pas suivre le lien que l’association affiche sur la page d’accueil de son site.

Nous en avons fait l’amère expérience. Ledit lien pointe vers une ancienne version du catalogue… qui n’est que partiellement fonctionnelle. Certains filtres sont inopérants (localisation des services, par exemple) tandis que d’autres ne renvoient aucun résultat (tri par fournisseur, par certification, par label Gaia-X). De nombreuses fiches sont par ailleurs en doublon voire plus ; et sur chacune, le JSON source est inaccessible (erreur 503). Les contenus mêmes ne sont plus à jour, reflétant les principes de Gaia-X tels qu’ils étaient essentiellement fin 2022.

Une maintenance depuis la France

À la « bonne » adresse, la spécification Gaia-X référente est celle de mars 2025. L’enregistrement des services passe toujours par le CISPE (démarche gratuite pour les membres et les affiliés). L’exploitation et la maintenance du catalogue restent à la charge de Cloud Data Engine, SASU francilienne née en 2023, quelques semaines avant le passage en prod.

Les services listés respectent un socle minimal d’exigences – dit « conforité standard » – attendues pour pouvoir participer à l’écosystème Gaia-X. Ils peuvent être labellisés à trois niveaux supplémentaires.
Le premier comporte des exigences en matière de droit applicable, de gouvernance et de transparence. Il est obtenu sur la base d’une autocertification.
Le deuxième requiert une possibilité de traiter les données en Europe uniquement. Le troisième ajoute des critères pour assurer l’immunité aux lois extra-européennes. L’un et l’autre impliquent un audit tiers sur la protection des données et la cybersécurité ; pas sur la portabilité et la soutenabilité.

De premières offres labellisées Gaia-X niveau 3

À l’occasion du Sommet Gaia-X 2025, le CISPE a mis en lumière l’intégration d’un premier bouquet d’offres de services labellisées au niveau 3. Au nombre de 9, elles émanent de 5 fournisseurs. Dont 3 français :

  • Cloud Temple (IaaS open source, IaaS bare metal et PaaS OpenShift)
  • OVHcloud (Hosted Private Cloud by VMware)
  • Thésée Datacenter (hébergement dans ses deux datacenters des Yvelines)

Les étiquettes désignant les autres niveaux de conformité n’ont encore été attachées à aucun service (elles l’étaient pour quelques-uns dans l’ancienne version du catalogue).

Cloud Temple rejoint Ikoula, OVHcloud et Thésée Data Center

Côté certifications, certaines étiquettes n’ont, là aussi, pas encore été massivement attribuées. Illustration avec le code de conduite SWIPO, actuellement associé à seulement 4 services.

D’autres étiquettes, à l’instar de C5 (le « SecNumCloud allemand »), ne retournent quasiment pas de résultats, faute de fournisseurs nationaux référencés dans le catalogue. Pour le moment ils sont 13 :

  • Quatre français (Cloud Temple, Ikoula, OVHcloud, Thésée Data Center)
  • Deux espagnols (Gigas Hosting, Jotelulu)
  • Cinq italiens (Aruba, CoreTech, Netalia, Opiquad, Seeweb)
  • Un néerlandais (Leaseweb)
  • Un américain (AWS)

Cloud Temple – non membre du CISPE, comme OVHcloud et Thésée Data Center – et Seeweb étaient les seuls de ces fournisseurs à ne pas figurer dans l’ancienne version du catalogue*.

Les quelque 600 services référencés sont presque tous localisés dans l’UE. Les 15 exceptions (États-Unis, Canada, Australie, Singapour) sont liées à OVHcloud.

Les tags relatifs aux catégories de services visent large. « Authentification », par exemple, est attribué autant au remote desktop et au PBX virtuel de Jotelulu qu’à l’hébergement web et au Veeam d’OVHcloud.

* Son intégration « a posteriori » se ressent : elle ne respecte par l’ordre alphabétique (Cloud Temple est positionné après CoreTech dans la liste déroulante du filtre fournisseurs).

Illustration générée par IA

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