L'année 2026 sera cruciale pour le nouveau Carmat


La frustration de voir son ordinateur ou son smartphone rendre l’âme au beau milieu d’une journée. Sans prise électrique à l’horizon, c’est la catastrophe. Pour répondre à ce genre de situations, UGREEN propose la Nexode Power Bank 20000mAh 165W. Une batterie externe puissante taillée pour les utilisateurs exigeants. Plus puissante et plus rapide que la version précédente (130 W), elle apporte en plus un câble USB-C rétractable et un petit écran malin pour tout garder sous contrôle. Le tout proposé à un prix extrèmement agressif sur un tel produit.
Dès la prise en main, on sent qu’on n’a pas affaire à une batterie “basique”. Les finitions sont nettes, le format reste compact pour un modèle aussi puissant. La surface mate lui donne un look premium.



Le câble USB-C rétractable est intégré directement dans le corps de la batterie. Il peut se déployer jusqu’à 0,65 m avec plusieurs crans d’arrêt selon la longueur souhaitée. Le mécanisme est solide : UGREEN annonce plus de 25 000 rétractions et 10 000 pliages sans perte de performance.

Sur la face avant, un écran intelligent indique en temps réel de nombreux paramètres. Notamment la puissance délivrée, la charge restante, ou encore la vitesse de recharge. Un petit détail qui change tout dans l’usage.



C’est sur ce terrain que la Nexode 165 W fait vraiment la différence.
Je recharge ici la Powerbank via son port USB-C avec mon chargeur de bureau UGREEN Nexode 500W. Il est capable de délivrer sur un port jusqu’à 240W grâce à la norme USB Power Delivery (PD) 3.1. Le combo idéal si vous n’avez pas encore de station de charge.
Vous pouvez consulter la page officielle de UGREEN pour découvrir tous les produits avec un câbles rétractables proposés. Il y a également un chargeur de 65 Watt dont j’ai rédigé une présentation.

Avec 20 000 mAh sous le capot, la Nexode offre :
Les cellules internes sont conçues pour durer : après 1 000 cycles de charge, elles conservent encore 80 % de leur capacité.
Côté sécurité, le Thermal Guard
System surveille la température 200 fois par seconde, prévenant ainsi la surchauffe et optimisant la durée de vie de l’appareil.
Que ce soit pour un déplacement professionnel, un voyage longue distance ou simplement une journée chargée hors du bureau, cette batterie externe est un vrai filet de sécurité.
Le câble intégré supprime le besoin d’en transporter un séparément, et la possibilité de charger un ordinateur, un smartphone et une console en même temps rend le tout encore plus pratique.
Ajoutez à cela la compacité et l’affichage intelligent, et vous obtenez un compagnon de voyage qui se fait oublier dans le sac… jusqu’à ce qu’il devienne indispensable.
La UGREEN Nexode Power Bank 20000mAh 165W coche toutes les cases : puissance, vitesse, polyvalence et robustesse. Elle va plus loin que la précédente génération en offrant une recharge plus rapide (dans les deux sens) et un câble rétractable encore plus pratique.
Pour celles et ceux qui ont besoin d’énergie partout et tout le temps, c’est un investissement qui se rentabilise dès les premiers voyages.
Cet article original intitulé Batterie externe UGREEN 20000mAh : puissance 165W et câble USB-C rétractable a été publié la première sur SysKB.


Les Galaxy Buds 3 Pro de Samsung passent de 149€ à seulement 74,53€ chez Ubaldi grâce à un cumul d’offres exceptionnelles.
Une belle opportunité se présente chez Ubaldi pour les Galaxy Buds 3 Pro de Samsung. Ces écouteurs premium affichés à 149€ peuvent redescendre à 74,53€ en combinant intelligemment plusieurs offres !
La réduction de bruit active jusqu’à 33 dB, le son détaillé et la certification IP57 font de ces écouteurs un choix sérieux pour qui cherche de la qualité. Le prix final demande quelques démarches à effectuer, mais l’économie réalisée justifie l’effort : on parle quand même de 75€ d’écart, soit exactement la moitié du prix d’origine.
Le principe est simple mais nécessite de suivre les étapes dans l’ordre.
Certes, il faut passer par quelques formulaires et attendre le remboursement Samsung, mais pour économiser 75€ sur des écouteurs de cette gamme, le jeu en vaut la chandelle. C’est un bon plan qui demande juste un peu d’organisation. Précisons qu’il faudra payer 9€ de frais de port. In fine, ils vous reviennent donc à 83,53€.
Pour comparer avec d’autres modèles actuellement populaires, consultez les meilleures ventes d’écouteurs sur Amazon. Pour ceux qui souhaitent des écouteurs pour faire du sport, on vous conseille notre top des casques à conductions osseuse en 2025.
La réduction de bruit active jusqu’à 33 dB place ces Buds 3 Pro parmi les bons élèves du marché. Que ce soit dans les transports, au bureau ou en extérieur, l’isolation fonctionne bien. Le système de détection vocale mérite qu’on s’y attarde : dès que vous commencez à parler, l’ANC se désactive automatiquement pour laisser passer les voix. Plus besoin de retirer constamment les écouteurs, c’est vraiment pratique au quotidien.
Le haut-parleur à deux voies offre un rendu équilibré sur tout le spectre sonore. Les basses ont du corps sans masquer les médiums, et les aigus restent précis. Pour les appels, les trois microphones associés à la technologie VPU garantissent une bonne intelligibilité même en milieu bruyant. La certification IP57 permet de les utiliser sous la pluie ou pendant le sport sans inquiétude, un vrai plus pour ceux qui bougent.
L’autonomie atteint 7 heures en musique ou 4 heures en appels, ce qui couvre une journée d’utilisation normale sans problème. Le boîtier avec son design transparent et sa double option de charge (USB-C et sans fil) est bien pensé. Le format compact des écouteurs avec leur tête fine assure un bon maintien et un confort prolongé, tandis que la petite lumière latérale ajoute une touche distinctive.
À 74,53€ au lieu de 149€, les Galaxy Buds 3 Pro deviennent une option sérieuse pour qui veut des écouteurs premium à bon prix. Le cumul d’offres demande un peu de temps, mais l’économie réalisée en vaut largement l’effort.

UGREEN propose sept idées cadeaux tech pour Noël 2025, du serveur familial aux chargeurs magnétiques, en passant par les batteries nomades.
Le mois de décembre arrive et ça y est ! La course aux cadeaux de Noël est lancée. Et chaque année, c’est la même chose : vous ne savez pas quoi acheter…
Cette année, UGREEN lance sa campagne de Noël sous le signe de la convivialité avec le thème Ensemble Faisons Noël. Parce que Noël n’est vraiment complet que lorsqu’on se retrouve en famille et entre proches. Ces moments passés ensemble, où chacun trouve du réconfort dans la proximité, sont au cœur de ce qui rend les fêtes si spéciales.
Mais pour profiter pleinement de ces instants précieux, encore faut-il pouvoir poser ses appareils et se concentrer sur ceux qui nous entourent. C’est justement ce que permet l’écosystème UGREEN : maintenir vos appareils chargés et protégés en arrière-plan, pour que vous puissiez vous consacrer aux moments partagés qui transforment les réunions en souvenirs durables.
Que ce soit pour votre conjoint ou conjointe, vos proches ou votre famille, il faut trouver des cadeaux qui plaisent vraiment et qui ne finiront pas oubliés au fond d’un placard. Pas de panique ! Grâce à UGREEN, on a une sélection de 7 idées cadeaux qui feront plaisir à tous les profils et qui sont accessibles pour tous les budgets.
Batteries externes, chargeurs magnétiques, solutions de stockage familial : cette sélection présente des cadeaux vraiment utiles pour les familles nombreuses, comme les couples ou les groupes d’amis. Le but : offrir un cadeau qui servira vraiment et qui continuera d’être utile même une fois les décorations de Noël rangées. Un présent qui se conjugue au futur et qui saura s’intégrer facilement dans le quotidien de vos êtres chers.
Vous voyez ces milliers de photos qui s’accumulent sans qu’on sache trop où les mettre ? Ce serveur de stockage réseau de 60 téraoctets centralise tous les souvenirs familiaux sans abonnement. Son intelligence artificielle classe automatiquement tout par visages, lieux et dates. L’interface reste intuitive, même pour les grands-parents. Pratique pour retrouver rapidement les vidéos de Noël dernier lors des réunions de famille.
Week-end improvisé, longue journée de balade : la batterie externe MagFlow 25W UGREEN de 10 000 milliampères-heures se glisse partout. Elle délivre 25 watts en sans fil et 30 watts en USB-C, permettant de recharger un iPhone à 50 pour cent en quarante minutes. Son maintien magnétique certifié Qi2 évite qu’elle ne glisse. Parfait quand on est loin d’une prise.
Sur la table de chevet, le chargeur sans fil magnétique MagFlow 2-en-1 de 25 watts remplace les câbles qui traînent. Son design pliable avec angles réglables permet de regarder une série sur son iPhone pendant qu’il se recharge, tout en alimentant des AirPods simultanément. Quarante pour cent plus compact que des produits similaires, il trouve sa place partout.
Quand on partage le même bureau, cette station magnétique simplifie tout. Elle recharge simultanément iPhone, AirPods et Apple Watch. Son support réglable permet une utilisation mains libres. Plus besoin de se disputer les prises ou de jongler avec trois chargeurs différents.
Les sorties entre amis où tout le monde finit à court de batterie, vous connaissez ? Cette batterie de 20 000 milliampères-heures avec sa puissance de 165 watts alimente plusieurs appareils simultanément. Son câble USB-C rétractable testé pour plus de 25 000 utilisations évite les nœuds au fond du sac. De quoi tenir toute la journée.
Voyage professionnel ou escapade entre amis : ce chargeur compact de 65 watts avec câble rétractable remplace tout un arsenal. Ses trois ports permettent de recharger simultanément ordinateur, téléphone et écouteurs. Sa robustesse et son format réduit en font le compagnon idéal pour ceux qui sont toujours en mouvement.
Télétravail, visioconférence, connexion d’un écran externe : ce hub 5-en-1 transforme un ordinateur portable en station de travail complète. Il regroupe port HDMI 4K, recharge rapide 100 watts, transfert de données à 5 gigabits par seconde et connectivité USB-A, tout en gardant un format de poche. Le genre de cadeau qu’on s’offre pour simplifier son quotidien.
En bref, 7 idées cadeaux pensées pour durer et s’intégrer au quotidien. UGREEN mise sur l’utile plutôt que sur le gadget, avec des produits qui simplifient la vie bien après les fêtes.
La frénésie mondiale autour des robots humanoïdes pourrait-elle nuire à l’économie chinoise ? Le gouvernement de Pékin semble le penser. Jeudi dernier, la Commission nationale du développement et de la réforme (NDRC), organe central de planification économique chinois sans équivalent occidental, a publié une déclaration inhabituelle concernant la prolifération de robots humanoïdes dans le pays. ... Lire plus
L'article L’engouement pour les robots humanoïdes inquiète officiellement Pékin est apparu en premier sur Fredzone.
Un moniteur portable de 16,1 pouces, affichant une définition QHD de 2 560 x 1 440 pixels et un taux de rafraîchissement jusqu’à 180 Hz. Cet écran gaming qui se veut nomade est-il vraiment intéressant à l’usage derrière la communication du fabricant ? On a testé !
Pensé d’abord pour le jeu, l’Arzopa Z3FC se positionne comme un deuxième écran mobile pour PC portable ou MacBook, mais aussi comme un affichage d’appoint pour consoles et machines nomades. L’Arzopa Z3FC vise ainsi trois publics : les joueurs en déplacement, les télétravailleurs ou créateurs de contenu qui ont besoin d’un second écran, enfin les possesseurs de Steam Deck, Switch ou PS5 en quête d’un moniteur dédié, nettement plus fluide qu’un modèle portable traditionnel.

Mais l’intérêt d’un écran dépend grandement des standards de son utilisateur. Praticité, caractéristiques, qualité d’image, utilisation en gaming : nous allons éprouver les promesses séduisantes de la marque afin de vous éviter les mauvaises surprises d’un achat impulsif !
| Caractéristique Techniques | Arzopa Z3FC |
|---|---|
| Dimensions | 9,9 × 33,0 × 20,3 cm |
| Poids | 780 g |
| Diagonale d’écran | 16,1″ |
| Format | 16:9 |
| Résolution native | 2 560 × 1 440 pixels (QHD / 2,5K) |
| Technologie de dalle | IPS (IPS-LED / LCD) |
| Surface d’écran | mate / anti-reflets |
| Taux de rafraîchissement maximal | via USB-C : 180 Hz via HDMI : jusqu’à 144 Hz (HDMI 2.0, mini-HDMI) |
| Adaptive Sync | oui, compatible AMD FreeSync |
| Temps de réponse annoncé | 9 ms (gris-à-gris) |
| Luminosité | 400 nits max (~300 nits en moyenne) |
| Contraste | 1 000:1 |
| Gamut | 100 % sRGB |
| Nombre de couleurs | 16,7 millions |
| Température de couleur (par défaut) | 6 800 K |
| Angles de vision | H 85°/85° min, V 85°/85° min |
| Puissance d’alimentation recommandée | ≥ 18 W |
| Compatibilité | PC Windows, macOS, MacBook, iPad Pro (USB-C), PS5, Xbox, Nintendo Switch Steam Deck |
| Prix | 359,99€ |
On ne va pas se mentir,le guide utilisateur est surtout là pour la déco – il est très sommaire et comporte des erreurs. En revanche, le fait d’avoir d’emblée une sleeve bag correcte est appréciable. Elle ne protègera pas beaucoup des chocs, car elle est relativement fine, mais c’est sécurisant pour éviter les rayures. En outre, elle comporte des poches pour les câbles.

Comme l’écran ne possède pas de batterie intégrée, aucun chargeur secteur n’est fourni. Pourtant, Arzopa recommande une alimentation d’au moins 5 V / 3 A via USB-C pour éviter les clignotements, redémarrages intempestifs ou la baisse de luminosité. Concrètement, il faudra donc compter sur le chargeur USB-C de votre ordinateur portable, de votre smartphone récent ou en acheter un dédié si vous n’en avez pas sous la main : c’est le principal “coût caché” du produit.

Enfin, il n’y a ni support additionnel ni étui-chevalet façon cover magnétique : tout repose sur le pied intégré, ce qui simplifie l’ensemble mais laisse moins de marge si vous aimez multiplier les angles ou surélever l’écran.
L’Arzopa Z3FC est doté d’un châssis fin en plastique rigide à la finition gris sombre, des lignes très rectilignes et des bords d’écran relativement contenus sur trois côtés. Avec 0,39″ d’épaisseur (environ 1 cm) pour environ 780 g sur la balance, le Z3FC est clairement pensé pour voyager : son encombrement est proche de celui d’un laptop 15–16 pouces, mais en nettement plus fin et léger, ce qui permet de le glisser facilement dans un sac à dos ou une sacoche à côté de l’ordinateur.

Le pied intégré à l’arrière (kickstand) se déploie en un geste et offre plusieurs angles d’inclinaison, suffisamment stables pour une utilisation sur un bureau, une table basse ou une tablette de train. Sur la tranche latérale, on retrouve enfin les boutons physiques : quatre commandes permettent d’allumer l’écran et de naviguer dans l’OSD (luminosité, modes d’image, volume, etc.), une approche classique qui reste efficace une fois qu’on a pris ses marques.


L’ensemble est propre, sans fioritures, mais avec une impression de produit bien assemblé.
Avec l’Arzopa Z3FC, la mise en route peut être extrêmement simple… à condition de savoir ce que vos ports savent faire. Dans le meilleur des cas, avec un PC portable ou un MacBook récent, vous profitez du fameux “un seul câble” : si votre port USB-C gère à la fois la vidéo (DisplayPort Alt Mode) et l’alimentation (Power Delivery), un simple câble USB-C vers USB-C suffit pour allumer l’écran et envoyer l’image. Vous branchez, le moniteur s’allume, vous choisissez l’extension d’affichage dans Windows ou macOS, et c’est terminé.


Si, en revanche, votre port USB-C ne fait pas de vidéo, ou si votre ordinateur ne propose que du HDMI, il faudra accepter un branchement un peu plus chargé : un câble pour la vidéo (USB-C ou mini HDMI) et un autre pour l’alimentation en USB-C vers un chargeur secteur d’au moins 5 V / 3 A (environ 15–18 W). En effet, avec une alimentation trop faible, vous risquez des clignotements, des extinctions intempestives ou l’impossibilité d’atteindre la luminosité et la fréquence maximales. En conséquence, vous mobilisez deux prises : une pour l’appareil, une pour l’écran !
Nota Bene : vous pouvez utiliser votre smartphone pour alimenter l’écran pendant qu’il est connecté à votre ordinateur, mais l’Arzopa Z3FC va en pomper la batterie à toute vitesse !
Côté consoles, l’Arzopa Z3FC se comporte comme un petit moniteur traditionnel. Sur PS5 ou Xbox Series, une Nintendo Switch, un Steam Deck ou un ROG Ally : le signal vidéo passe par USB-C ou HDMI selon l’appareil, mais l’écran doit, lui, être branché à un chargeur. Nous avons également essayé avec notre smartphone (l’excellent Realme GT7), toujours avec un chargeur en complément : “no signal”… La notice semble pourtant dire que c’est possible, sans expliquer comment.
Nota Bene : sur le manuel en ligne, Arzopa explique que l’USB-C ne marchera avec un smartphone que si le téléphone sort de la vidéo en “DisplayPort Alt Mode” (DP Alt Mode) (et souvent avec assez de puissance/PD).

En théorie, l’écran peut être alimenté par une batterie externe USB-C PD suffisamment puissante. En pratique, notre test avec une powerbank Qilive 10 000 mAh n’a pas été concluant : les petites batteries ‘pour smartphone’ manquent de puissance. Il faut viser un modèle USB-C Power Delivery (18 W et plus) pour que cela fonctionne réellement.
Nota Bene : finalement, l’option la plus simple pour nous a été de brancher Arzopa Z3FC sur notre petit notebook via HDMI et USB-C vers USB-A en même temps.
Sur le plan de l’image, l’Arzopa Z3FC annonce une grande finesse d’affichage. Sur 16,1 pouces, la définition QHD de 2 560 × 1 440 offre une densité d’environ 182 ppp, plus élevée qu’un 27 pouces 4K, ce qui se traduit par un texte très net et des interfaces bien découpées. En bureautique comme en montage léger ou en retouche pour le web, on gagne clairement en confort par rapport aux écrans portables en 1 920 × 1 080, à condition d’accepter parfois de jouer avec le zoom ou le scaling dans Windows/macOS pour garder des caractères lisibles.
La luminosité est censée être un des ses points forts : Arzopa annonce 400 nits, et il est vrai que l’écran reste confortable dans une pièce lumineuse, près d’une fenêtre ou en open space, là où beaucoup de moniteurs portables paraissent vite ternes. En extérieur en plein soleil, en revanche, ne rêvons pas : on reste sur une dalle IPS mate, correcte pour un usage ponctuel à l’ombre, mais qui ne concurrence pas un écran de smartphone très lumineux.
Nota Bene : dès que nous poussions le curseur de luminosité au-delà d’environ 50 %, l’écran avait tendance à s’éteindre purement et simplement, signe qu’il reste très sensible à la qualité et à la puissance de l’alimentation.
Sur la colorimétrie, le Z3FC fait le job. On est globalement autour de 100 % sRGB, certains tests trouvant même un peu plus, ce qui suffit largement pour du web, du contenu social et de la vidéo grand public. Les couleurs sont plutôt correctes, légèrement chaudes, avec des dérives visibles sur certains tons (bleus, cyans), ce qui le rend utilisable pour du tri ou de la retouche sur le terrain, mais pas comme moniteur de référence pour un étalonnage exigeant. Malgré l’annonce marketing de compatibilité HDR, nous n’avons pas réussi à obtenir un véritable traitement HDR exploitable, que ce soit sur PC ou via une source externe : dans les faits, l’image reste traitée comme un signal SDR classique. Le contraste reste typique d’une dalle IPS (annoncé à 1 000:1, mesuré dans la moyenne basse), avec des noirs qui tirent un peu vers le gris dans une pièce sombre ; pour un film dans le noir, un OLED fera beaucoup mieux.
Enfin, la partie fluidité est ce qui distingue vraiment cet écran d’un modèle portable classique. Le rafraîchissement monte à 180 Hz en USB-C (et jusqu’à 144 Hz via HDMI), avec un gain très net sur le défilement des pages, les interfaces rapides et bien sûr les jeux : à côté d’un 60 Hz, le curseur semble “collé” au mouvement et les panoramiques sont beaucoup plus lisibles. La rémanence reste celle d’un IPS (temps de réponse autour de 9 ms), suffisante pour du jeu solo, coop ou compétitif occasionnel, mais les joueurs d’e-sport très pointilleux continueront de préférer un vrai moniteur gaming de bureau.
En jeu, l’Arzopa Z3FC est clairement dans son élément. Sur PC, le combo 2K + 180 Hz permet de profiter pleinement des FPS nerveux, des jeux de course ou des MOBA, à condition d’avoir une carte graphique capable de suivre. À côté d’un écran portable 60 Hz, la différence de fluidité est très visible : curseur plus précis, mouvements plus lisibles, menus plus réactifs. Sur consoles, vous serez en général limité à 60 ou 120 Hz selon la machine, mais le QHD et la diagonale de 16,1 pouces offrent une image fine et immersive pour un écran aussi compact.

À noter que sur un petit GPU intégré ou une console limitée au 60–120 Hz, vous ne bénéficierez pas tellement du potentiel complet des 180 Hz. Pour profiter du 1440p à haute fréquence, il faut une machine capable de sortir assez d’images par seconde. Or, la plupart des PC gamer modernes en RTX 4060/4070 ont déjà un écran très performant : 15–16″, souvent en 1440p 165–240 Hz, avec une colorimétrie correcte. L’Arzopa ne servira alors pas d’“upgrade” visuel, mais de multiplicateur de surface utile.
À ce titre, en télétravail, le Z3FC fonctionne très bien en second écran “nomade”. On peut y laisser en permanence sa messagerie, un document de référence, un fil Slack ou une timeline de montage, pendant que l’écran principal reste dédié à la tâche en cours. La définition 1440p permet d’afficher deux fenêtres côte à côte, même si, sur 16 pouces, cela reste plus confortable pour du suivi que pour taper un texte dense. Vous pouvez aussi le basculer en mode portrait en réglant l’orientation dans Windows ou macOS, pratique pour le code, les documents longs ou les réseaux sociaux.
Pour les usages multimédia, l’écran fait le job pour regarder des séries, des films ou YouTube en déplacement. Les angles de vision sont juste assez larges pour partager la vidéo à deux – à condition de se serrer un peu-, et la dalle mate limite les reflets gênants. En revanche, les haut-parleurs intégrés restent très modestes : ils dépannent pour une vidéo ou un appel, mais manquent de grave et de volume pour un film ou un jeu bruyant. Dans la plupart des cas, il faudra prévoir un casque (on recommande l’étonnant OneOdio Focus A6) ou une enceinte Bluetooth pour compléter l’expérience.
En termes de positionnement, l’Arzopa Z3FC vise le milieu de gamme gaming nomade : plus ambitieux qu’un écran portable 1080p/60 Hz d’entrée de gamme, mais bien moins cher qu’un Espresso Display ou qu’un Asus ROG Strix XG16. Face aux modèles Arzopa plus simples (A1 en 1080p/60 Hz ou Z1FC en 1080p/144 Hz), il se distingue par un vrai saut de confort : définition 2 560 × 1 440, 180 Hz, luminosité plus généreuse. Si vous jouez beaucoup et travaillez aussi sur ce second écran, la différence est très tangible ; pour de la pure bureautique, l’intérêt est moindre.

En face, les Espresso ou certains ZenScreen misent sur le design premium, l’ultra-finesse et parfois le tactile, mais restent en 1080p/60 Hz pour un tarif souvent supérieur. D’autres références comme le ROG XG16 ou le ZenScreen Go intègrent une batterie, ce qui les rend davantage “nomades” : un seul câble pour l’image, l’écran s’alimente tout seul. Le revers, c’est un prix bien plus élevé et, souvent, une simple dalle Full HD. L’Arzopa Z3FC assume donc son compromis : pas de batterie, souvent deux câbles à gérer, une colorimétrie seulement correcte… mais un rapport performances (QHD 180 Hz) / prix difficile à battre pour jouer et travailler en déplacement.
Jusqu’au 1er décembre, MOVA propose des réductions allant jusqu’à 435€ sur ses aspirateurs laveurs nouvelle génération.

MOVA frappe fort pour ce Black Friday avec des réductions exceptionnelles allant jusqu’à -435€ sur sa gamme d’aspirateurs laveurs nouvelle génération. La jeune marque, lancée en 2024 et spécialisée dans les solutions de nettoyage intelligentes intégrant l’IA, propose des remises inédites sur ses 3 best-sellers.
Jusqu’au 1er décembre prochain, MOVA propose ses 3 produits phares avec des réductions significatives :
Le V50 Ultra Complete, c’est le summum chez MOVA. Avec ses 24 000 Pa d’aspiration TurboForce7™ et sa détection d’obstacles AI SmartSight™, il s’attaque à tous les types de sols avec une précision chirurgicale. Son châssis compact de 89 mm glisse sous les meubles bas grâce à la technologie FlexScope™, tandis qu’il franchit des seuils jusqu’à 6 cm avec le système StepMaster™. Le vrai plus ? Sa station OmniDry™ qui lave et sèche entièrement les serpillières en une heure, rendant le nettoyage quasi autonome. Le système DuoSolution™ à double réservoir distribue les solutions adaptées pour éliminer taches tenaces et mauvaises odeurs.
Le V50 Ultra Complete (version blanche) est à 764€ au lieu de 1 199€ jusqu’au 1er décembre (avec son kit d’accessoires d’une valeur de 199 € inclus), soit 435€ d’économie.
» J’achète le MOVA V50 Ultra Complete maintenant
Le M50 Ultra, c’est la puissance d’un aspirateur premium dans un balai laveur ultra-maniable. Avec ses 22 000 Pa et sa technologie EdgeCoverage™ AI, il traque chaque miette et poil d’animal jusque dans les coins. Son gros atout ? La première poignée pliable et télescopique au monde (Flex-Master Pro), certifiée par Frost & Sullivan, qui vous simplifie la vie et se range n’importe où. Côté autonomie, le système de distribution automatique vous oublie pendant 60 jours. Et après chaque session ? Lavage de la brosse à 100°C puis séchage à l’air chaud à 90°C pour une hygiène irréprochable. Finies les corvées interminables.
Le M50 Ultra est proposé à 414€ au lieu de 599€ pour le Black Friday, soit 185€ de réduction.
» J’achète le MOVA M50 Ultra maintenant
Ne vous fiez pas à son format compact : l’aspirateur balai M10 balance 18 000 Pa de puissance tout en ne pesant que 0,9 kg en main. Parfait si vous avez un petit appart ou si vous en avez marre de trimballer des engins lourds. Il aspire et lave en un seul passage, sans broncher. Sa brosse Dual-Edge nettoie nickel le long des murs, et le rouleau Tangle-Free™ ne s’emmêle jamais les pinceaux avec vos cheveux. Après utilisation, auto-nettoyage à 75°C suivi d’un séchage à l’air chaud. Avec son châssis de 14 cm de haut, il se faufile partout.
Le M10 affiche un prix Black Friday de 215€ au lieu de 349€, soit 134€ d’économie immédiate.
»J’achète le MOVA M10 maintenant
Attention, toutes ces offres ne sont valables que jusqu’au 1er décembre prochain ! Alors si vous voulez enfin simplifier votre ménage sans vous ruiner, c’est maintenant ou jamais.
Black Friday oblige, SurfShark sort le grand jeu : -88% + 3 mois gratuits sur tous ses abonnements. VPN premium, antivirus, protection identité, etc. Le tout à partir de 1,99 €/mois jusqu’au 1er décembre. On vous aide à choisir entre les offres.

Vous cherchez un VPN et vous attendiez la fin du mois pour profiter de prix cassés ? SurfShark vient de sortir ses promos du Black Friday et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles sont convaincantes : jusqu’au 1er décembre prochain, jusqu’à 88% de réduction + 3 mois gratuits en bonus ! Oui, vous avez bien lu, on parle ici d’un VPN disponible à partir de 1,99 €/mois.
» Profiter maintenant des offres Black Friday SurfShark
Avec SurfShark, qu’importe la formule, vous profitez de :
» Découvrir toutes les fonctionnalités Surfshark à partir de 1,99 €/mois
SurfShark Starter, c’est l’offre d’entrée de gamme, mais attention, qui dit entrée de gamme, ne veut pas dire bas de gamme. Elle permet de débloquer les catalogues de streaming étrangers, sécuriser vos connexions ou encore télécharger en torrent (occasionnellement). Elle s’adresse avant tout aux étudiants, aux voyageurs et à tous ceux qui veulent un bon VPN sans fioritures.
Cette offre vous propose tout ce qu’un VPN digne de ce nom doit proposer, à savoir :
Pendant le Black Friday, SurfShark Starter est disponible à 1,99 €/mois + 3 mois gratuits en bonus, soit 87% d’économie sur votre abonnement 24 mois.
» Je veux SurfShark Starter à 1,99 €/mois
Avec SurfShark One, vous dépensez 20 centimes de plus par mois qu’avec l’offre d’entrée de gamme et vous accédez à une formule premium. C’est l’offre la plus populaire et celle que nous recommandons au plus grand nombre. Elle s’adresse aux familles, freelances et acheteurs en ligne réguliers qui veulent en profiter à plusieurs.

SurfShark One, c’est tout Starter, plus 4 outils de sécurité :
Pendant le Black Friday, Surfshark One est disponible à 2,19 €/mois + 3 mois gratuits, soit 88% d’économie sur votre abonnement 24 mois. Vous économisez plus de 425 € sur 27 mois.
» Je veux Surfshark One à 2,19 €/mois
Ici, on entre dans la cour des grands. SurfShark One+, c’est le summum de l’enseigne : toutes les fonctionnalités de One, et en supplément la fonction Incogni. Parfait pour protéger au mieux votre vie privée. Idéal pour les personnes exposées publiquement, entrepreneurs visibles en ligne ou victimes de harcèlement.
Incogni, c’est quoi ? Un service qui supprime vos données personnelles en ligne automatiquement. Il contacte courtiers de données et sites de recherche pour exiger le retrait de vos infos. Le service tourne en continu, traque et supprime rapidement toute nouvelle apparition : coordonnées, adresse, historiques d’achat, etc. Tout disparaît.
Pendant le Black Friday, Surfshark One+ est à 4,19 €/mois + 3 mois gratuits, soit 80% d’économie sur l’abonnement 24 mois.
» Je veux Surfshark One+ à 4,19 €/mois
Rien de plus simple. 4 clics et vous êtes protégé :
En 3 minutes chrono, vous profitez d’un VPN avec une Garantie 30 jours satisfait ou remboursé.
» Activer mon offre Surfshark Black Friday
Attention, le Black Friday chez SurfShark prend fin le 1er décembre prochain. Alors si vous voulez économiser jusqu’à 88 % sur les VPN, c’est maintenant ou jamais !
Fini les messages « Mémoire pleine » et les abonnements Cloud hors de prix. Jusqu’au 1er décembre, les serveurs NAS UGREEN sont à -25% pour le Black Friday. Au programme : deux modèles ultra-performants à partir de 167,99€, sans abonnement et avec IA intégrée.

Votre smartphone affiche « mémoire pleine » ? Vos photos s’accumulent partout et vos vidéos saturent votre ordinateur ? Bonne nouvelle, on a la solution ! Et non, ce n’est pas un énième abonnement Cloud qui va vous coûter de plus en plus cher avec les années.
Notre solution ? Un serveur NAS personnel. Cet appareil centralise et sécurise toutes vos données sans abonnement mensuel. C’est comme un disque dur externe, mais bien plus performant et sans câbles qui traînent partout.
Encore mieux : jusqu’au 1er décembre, c’est le Black Friday chez UGREEN avec jusqu’à -25% de remise sur les serveurs NAS (disque non inclus) et tout le catalogue d’accessoires électroniques. L’occasion parfaite pour vous équiper sans vider votre portefeuille.
» Profiter de jusqu’à -25% chez UGREEN !
C’est bien gentil de conseiller l’achat d’un serveur NAS personnel, mais encore faut-il savoir lequel choisir. Voici donc 2 serveurs qui devraient répondre à toutes vos demandes :
Le serveur DH4300 Plus + UPS, c’est la solution que vous cherchez. Avec ses 4 baies, vous pouvez y ajouter des disques avec capacité maximale de 120To, vous pouvez stocker entre 2800 et 4800 films en 4K ou entre 10 et 15 millions de photos. Autant dire que vous avez de la marge !
Comment ça marche ? C’est très simple. Vous branchez le serveur chez vous, vous le connectez à votre Box Internet, et voilà : tous vos appareils y accèdent sans fil. L’intelligence artificielle trie vos données automatiquement et vous y accédez où vous voulez. Le tout chiffré et sans abonnement.
C’est idéal pour les familles nombreuses avec plusieurs smartphones et tablettes,
ou pour les créateurs qui accumulent des projets photo/vidéo en haute résolution.
Le serveur DH4300 Plus + UPS en bref, c’est :
A 396,99€* (disque non inclus) pour le Black Friday, vous économisez 133€ sur le moment et vous n’avez plus jamais rien à payer.
» J’achète le DH4300 Plus + UPS à -25%
*Bon à savoir : Les disques durs ne sont pas inclus. Comptez entre 300€ et 800€ supplémentaires selon la capacité souhaitée (ex: 2x 8 To ~300€, 4x 16 To ~800€).
Vous débutez avec les NAS ou vous avez simplement besoin de moins d’espace ? Le DH2300 est fait pour vous. Avec ses 2 baies et peut supporter des disques d’une capacité maximale de 60To, il offre largement de quoi stocker toutes vos données familiales (on parle quand même de 2400 films en 4K ou entre 5 et 7 millions de photos).
Comment ça marche ? Même principe que son grand frère : vous le branchez, vous le configurez en quelques minutes grâce à l’interface simplifiée pensée pour les débutants, et c’est parti. L’IA trie vos photos automatiquement et vous pouvez y accéder depuis tous vos appareils.
Le serveur DH2300 en bref, c’est :
C’est parfait pour un couple ou une petite famille qui souhaite centraliser ses souvenirs numériques sans dépendre d’un service Cloud.
À 167,99€* (disque non inclus) pour le Black Friday, vous économisez 42€ et vous n’avez aucun abonnement à payer.
*Bon à savoir : Les disques durs ne sont pas inclus. Comptez entre 150€ et 500€ supplémentaires selon la capacité souhaitée. (ex: 2x 4 To ~150€, 2x 8 To ~300€, 2x 12 To ~500€).
Attention, rappelons que les offres du Black Friday chez UGREEN ne sont valables que jusqu’au 1er décembre prochain. Et n’oubliez pas : au-delà des offres sur ces serveurs, UGREEN propose jusqu’à -40 % sur une large sélection de produits, de chargeurs ultra compact à des câbles certifiés en passant par des batteries externes et hubs multiports. Alors, prêt à reprendre le contrôle de vos données ?
Après avoir réuni les géants de l’intelligence artificielle en septembre dernier, Donald Trump a souhaité revenir vendredi sur les différentes inquiétudes engendrées par le développement de l’IA. “J’ai entendu vos craintes et sachez que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que vous ne soyez jamais remplacés par Deep Blue, Mistral AI, Neuroflash ou encore Wordlift mais uniquement par ChatGPT, Midjourney ou Sora” a-t-il déclaré lors de son meeting à Mar-a-Lago. “Dans tous les cas, nous n’y sommes pas encore ! Et puis il ne faut pas oublier la devise de notre nation…la devise de notre nation qui est…qui est…” ajoute-t-il, avant de sortir son iPhone pour demander à ChatGPT de terminer sa phrase.
Une déclaration qui a été immédiatement saluée par ses partisans. “C’est vraiment rassurant de savoir qu’on sera remplacés par une IA qu’on comprend” commente Tessa, 32 ans. Même son de cloche pour Bryan, 34 ans. “Depuis que je sais que l’IA qui me volera mon métier sera américaine, ça me donne encore plus envie de trouver du travail”. De son côté, Marleen, une Française de 27 ans, avoue ne pas se retrouver dans ce discours. “Les IA étrangères ont autant le droit que celles américaines de voler notre travail. C’est de l’artificiolophie et c’est vraiment dégueulasse” s’emporte-t-elle avant de brandir une pancarte “Touche pas à mon IA” comportant le logo d’une main à 14 doigts.
Face à cette annonce quelque peu polémique, Donald Trump a toutefois souhaité montrer l’exemple en confiant que chacune de ses décisions politiques récentes avait été intégralement confiée à Grok depuis le 20 janvier 2025.
L’article Donald Trump promet aux travailleurs que l’IA qui les remplacera sera américaine est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.
Voilà un duel de titans où chaque décibel compte. Vous en avez marre de choisir entre précision chirurgicale et puissance déchaînée ? La 98 dB, aussi compacte et élégante qu’un vase contemporain, offre un son d’une pureté cristalline et idéal pour les espaces restreints. La 108 dB, elle, fait trembler les murs avec ses 1100 W RMS et ses basses qui descendent à 14 Hz – un vrai monstre pour les amateurs de concerts à la maison. Après avoir comparé les Devialet Phantom I et II, on décortique les deux philosophies opposées de la 98 dB et de la 108 dB : celle du raffinement élégant et celle de la démesure assumée, pour que votre salon devienne enfin la salle de divertissement dont vous avez toujours rêvé.

Aujourd’hui, deux poids lourds s’affrontent : les enceintes Devialet Phantom Ultimate 98 dB et 108 dB. Une ADN commune, mais des différences bien marquées.
La version 98 dB se distingue par son aspect compact et précis. La 108 dB se montre quant à elle bien plus puissante. Discrétion ou show ? À vous de décider.
| Specs | Phantom Ultimate 98 dB | Phantom Ultimate 108 dB |
|---|---|---|
| ✅ Puissance | 400 W RMS | ✅ 1100 W RMS |
| ✅ Son | 98 dB | ✅ 108 dB |
| ✅ Fréquences | 18 Hz – 25 kHz | ✅ 14 Hz – 35 kHz |
| ✅ Wi-Fi | 5 | ✅ 6 |
| Caractéristiques | Devialet Phantom Ultimate 98 dB | Devialet Phantom Ultimate 108 dB |
|---|---|---|
| Puissance sonore max | 98 dB SPL à 1 mètre | ✅ 108 dB SPL à 1 mètre |
| Puissance d’amplification | 400 W RMS | ✅ 1100 W RMS |
| Réponse en fréquence | 18 Hz – 25 kHz | ✅ 14 Hz – 35 kHz |
| Graves | Contrôlés et propres | Plus profonds, plus musclés |
| Architecture acoustique | 2 voies (1x dôme aluminium large bande, 2x woofers) | ✅ 3 voies (1x tweeter aluminium, 1x médium, 2x woofers latéraux en ABS à haute excursion) |
| Dimensions (L x H x P) | 15.7 x 16.8 x 21.9 cm (compact) | ❌ 24.6 x 25.5 x 34.2 cm (XXL) |
| Poids | 4.3 kg (9.5 lbs) | ❌ 11.1 kg (24.5 lbs) |
| Connectivité sans-fil | Wi-Fi 5, Bluetooth 5.2 | ✅ Wi-Fi 6, Bluetooth 5.3 |
| Processeur | NXP i.MX 8M Nano (commun aux deux / version 2025) | |
| Système d’exploitation | DOS 3 (commun aux deux / version 2025) | |
Assez parlé et place aux faits, rien qu’aux faits. La Devialet Phantom Ultimate 108 dB, c’est le mastodonte qui fait trembler la maison (on abuse à peine). Avec ses 10 dB supplémentaires, c’est l’équivalent d’un mur d’enceintes en concert. 14 Hz dans les graves ? Ce sont des infrabasses qui vrombissent dans la poitrine.
Si la Devialet Phantom Ultimate 98 dB reste un petit bijou compact, la 108 dB sera particulièrement à l’aise dans les grandes pièces. Tous ces chiffres sont bien beaux mais concrètement, ça donne quoi dans votre salon ? C’est ce qu’on va voir.
La Devialet Phantom Ultimate 98 dB représente l’un des meilleurs compromis en termes de puissance dans un format compact (15,5 x 21,9 x 16,8 cm, 4,3 kg). Ses 98 dB suffisent largement dans un salon de taille moyenne, surtout avec ses basses pouvant atteindre 18 Hz. Ses woofers en aluminium et son tweeter large offrent un son clair même à pleine puissance.
En duo stéréo, elle surpasse même certaines barres de son haut de gamme grâce à ses 400 W RMS d’amplification ADH® (à la fois classique et numérique) et à la technologie SAM® qui ajuste les fréquences en temps réel. L’application Devialet permet également d’activer en un clic plusieurs modes dédiés (nuit, « loudness », musique, EQ 6 bandes) pour adapter le son à chaque usage, sans oublier l’interface tactile présente sur le dessus (idem sur la 108 dB).
La Devialet Phantom Ultimate 108 dB déchaîne la puissance : 108 dB, 1 100 W RMS d’amplification ADH® et une réponse en fréquence de 14 Hz à 35 kHz. Son moteur de woofer amélioré et son Wi-Fi 6 garantissent également une bonne stabilité, même lorsque le volume est poussé à fond. Sa technologie HBI® (« Heart Bass Implosion ») génère des pressions d’air dignes d’un studio pro, tandis que le processeur NXP i.MX 8 (présent sur la version 2025) gère le streaming en 32 bits/96 kHz. C’est le must pour les grands espaces.
Avec l’amplification ADH (Analog Digital Hybrid) de nouvelle génération, chaque note est reproduite avec une extrême fidélité, même depuis une seule enceinte. Et à la différence de la 98 dB, la 108 dB adopte une architecture 3 voies avec un tweeter en aluminium de nouvelle génération pour des aigus cristallins, un haut-parleur médium dédié aux voix, ainsi que des woofers avec un ABS à haute excursion qui font vibrer les murs. Même les détails les plus subtils prennent vie, comme le souffle d’un chanteur en concert ou le crissement d’un archet sur un violoncelle.

L’enceinte 108 dB ne se contente pas de frapper fort. Sa réponse en fréquences de 14 Hz à 35 kHz capte les infrabasses et les ultrasons des bandes originales de cinéma. Le son s’étire dans l’espace avec une largeur, une hauteur et une densité impressionnantes. De plus, le Wi-Fi 6 assure une synchronisation millimétrée en stéréo, avec une latence quasi imperceptible. Parfait pour diffuser des contenus sans fil.
Dans le même temps, elle est conçue pour les pièces spacieuses, les soirées cinéma immersives ou les fêtes avec de la musique techno poussée à fond. En d’autres termes, elle offre l’expérience sonore la plus immersive que vous puissiez trouver dans une enceinte de cette taille.
La Phantom Ultimate 108 dB ne se contente pas de faire du bruit. Elle génère des infrabasses à 14 Hz, une fréquence que vous ne captez pas réellement avec vos oreilles, mais que votre corps ressent. On parle de vibrations dans les murs, de plancher qui tremble, de pression dans la poitrine. Sa technologie HBI (Heart Bass Implosion), avec ses woofers latéraux qui se repoussent en parfaite symétrie, transforme votre salon en boîte de nuit.
Avec la 108 dB, on ne parle plus seulement d’écoute. On parle d’une expérience sismique maîtrisée, où chaque impact de basse est ressenti dans tout le corps.
La 98 dB, bien qu’impressionnante avec ses 18 Hz, reste dans la catégorie des « basses profondes mais raisonnables ». Elle fera déjà l’affaire pour des soirées entre potes, même si la 108 dB garantit l’effet « wow » quand on veut retrouver les sensations d’une salle de cinéma dans son salon.
Si la 98 dB se contente d’un tweeter en aluminium et de deux woofers, la 108 dB ajoute un haut-parleur dédié aux médiums. Résultat : les voix humaines deviennent cristallines et les instruments se détachent nettement. Ce n’est plus un simple mur de son, mais une carte postale sonore en haute définition.
À 100 décibels, la 98 dB commence à grincer des dents. La 108 dB, elle, reste dans son élément puisqu’elle peut monter jusqu’à 111 dB en stéréo. Sa gestion thermique supérieure et son amplification 1100 W RMS (contre 400 W RMS pour sa petite sœur) lui permettent de tenir dans la durée sans s’essouffler. La 108 dB est sans aucun doute le modèle qu’on peut utiliser plusieurs heures sans s’en rendre compte.
Malgré leurs nombreuses qualités, les Phantom ne disposent pas de prise HDMI ARC. Un vrai talon d’Achille pour espérer séduire les cinéphiles. Néanmoins, il est possible de les connecter sur TV via une entrée SPDIF combo mini-jack 3,5 mm / optique, ce qui s’avère aussi efficace mais moins pratique qu’un câble unique. L’absence de prise HDMI oblige également à jongler avec le câblage pour profiter d’un son en qualité non compressée.
Ces protocoles fonctionnent bien entendu pour les deux modèles. Seule différence notable : la 108 dB évite les micro-coupures dans les configurations multi-enceintes grâce à son Wi-Fi 6 (contre Wi-Fi 5 sur la 98 dB).
Un écart qui pique, mais justifié par une évolution de taille. La 108 dB délivre une puissance triplée (1 100 W RMS contre 400 W RMS), une connexion plus stable avec le Wi-Fi 6 et le Bluetooth 5.3 (contre Wi-Fi 5 / Bluetooth 5.2 sur la 98 dB), et un système 3 voies (tweeter, médium, woofers redessinés) contre un design à large bande.
Vous obtenez des graves mieux maîtrisés, une scène sonore étendue et une réponse en fréquence élargie (14 Hz-35 kHz contre 18 Hz-25 kHz). Pour un petit espace, la 98 dB suffit mais si vous voulez secouer les murs, le 108 dB en vaut largement la peine.
Artistic excellence. And the acoustic reverence it deserves.
— DEVIALET (@DEVIALET) October 30, 2025
Devialet Phantom Ultimate Opéra de Paris―where sound becomes curtain-raising: https://t.co/W0rqH8lftW#Devialet #DevialetPhantom pic.twitter.com/UetJQ5Gkj5
Il est bien beau notre avis de « pote calé en matériel audio », mais qu’en pensent ceux qui ont mis la main au portefeuille ?
La Phantom Ultimate 98 dB brille par sa clarté sonore et son encombrement minimal. Un utilisateur estime d’ailleurs que « pour un appart, c’est juste parfait. Les aigus sont cristallins, les basses contrôlées, sans encombrer l’espace. » D’autres soulignent sa puissance suffisante pour un salon, avec des voix « nettement plus claires » en mode TV. En stéréo, il « offre un équilibre bluffant entre qualité et taille ».
Du côté des médias spécialisés, Smart Home Sounds estime qu’elle a « un niveau de performance qui pourrait rivaliser avec de nombreuses configurations traditionnelles ». Nos confrères de T3 mettent aussi en avant son aspect esthétique qui est « l’une des caractéristiques les plus attrayantes de la Phantom Ultimate ».
La Phantom Ultimate 108 dB divise ceux qui l’ont testée et ceux qui hésitent. Son impact est décrit comme « une claque dans la poitrine ». Un utilisateur témoigne : « Les basses, vous les sentez dans les os. On dirait que les murs vibrent avec la musique. » En stéréo, elle délivre une scène « plus large, plus haute », idéale pour les amateurs de home cinéma ou de concerts privés.
Et là encore, les testeurs ne tarissent pas d’éloges à son sujet en soulignant « la qualité audio exceptionnelle qui rend la Devialet Phantom Ultimate si spéciale » (The Absolute Sound), ainsi que « ses basses massives mais toujours incroyablement maîtrisées » (Smart Home Sounds).
Les deux modèles partagent toutefois un défaut majeur : l’absence de HDMI ARC. Pour la TV, une connexion optique reste donc la seule option. Un détail qui agace, mais qui ne gâche pas le rendu sonore premium pour autant. La 108 dB reste réservée aux audiophiles prêts à investir une belle somme pour un son « qui tape comme dans un concert privé ».
La Phantom Ultimate 98 dB s’adapte aux espaces compacts. Avec un gabarit réduit (4,3 kg, 168 x 157 x 219 mm), elle s’intègre à merveille dans un salon modeste ou une chambre, tandis que ses tweeters et woofers donnent vie aux voix et aux instruments avec précision. Idéale en stéréo dans des pièces de 20-30 m², elle restitue notamment les violons et les voix féminines avec une clarté éblouissante.
La Phantom Ultimate 108 dB délivre des basses profondes dans un gabarit plus volumineux (11,1 kg, 246 x 255 x 342 mm, 1100 watts). La HBI® synchronise les basses avec une précision extrême, pendant que le Wi-Fi 6 garantit une excellente stabilité en multiroom. Idéale pour les films ou les concerts depuis le salon, il s’agit là d’un modèle suffisant pour une pièce de 50 m², avec des basses qui secouent le plancher.
Finalement, le choix est simple : privilégiez la 98 dB pour une écoute haute-fidélité dans votre salon, et osez la 108 dB si vous voulez transformer votre espace de vie en une vraie salle de concert.
Investir dans une Phantom, c’est un engagement. Mais si vous cherchez du son professionnel pour une écoute régulière, alors oui, c’est ce qu’il vous faut. La 98 dB, c’est la discrétion qui envoie du lourd dans un petit espace.
La 108 dB, c’est la championne de la puissance brute, capable de faire trembler les murs de votre salon. Si vous cherchez juste à écouter les infos du matin, on vous le dit à l’avance : passez votre chemin, vous allez faire un trou dans votre budget pour pas grand-chose.
Le Dolby Atmos, c’est le Saint Graal pour un son immersif. Mais là, on va devoir être clairs : les Phantom ne sont pas compatibles avec le Dolby Atmos. Avant de partir en mode déception, respirez un coup parce que Devialet a pensé à tout. Avec un processeur intégré et une application qui gère le SAM (Speaker Active Matching), vos films, séries et jeux prennent vie avec une spatialisation bluffante. De quoi vous mettre le son dans la figure en 3D, façon Hollywood. D’autant plus que le combo avec une TV est tout simple : branchez le câble optique, et c’est parti pour les sensations fortes. Alors oui, ce n’est pas du Atmos pur et dur, mais vous ne risquez pas d’être déçus pour autant.
La Phantom 108 dB n’est pas juste une enceinte, c’est une bête qui vous fait voyager dans le spectre sonore. Sa réponse en fréquence ? 14 Hz à 35 kHz. En clair, ça capte des sons si bas que vous les sentez plus que vous ne les entendez (14 Hz, c’est quasiment de l’infrabasse) et des aigus si aériens qu’ils flottent dans l’air.
Comparée à sa petit sœur la 98dB (18 Hz à 25 kHz), on aurait presque l’impression de passer d’un concert live à un écouteur de poche. Du coup, si vous cherchez un truc qui vous fait vibrer de la tête aux pieds, la 108 dB fera sûrement votre bonheur.
La règle des 83 % ? Sûrement un truc de « geek du son » pour piger si vos enceintes sont bien placées, vous diriez-vous. Mais c’est en fait assez simple à comprendre : si la distance entre vos deux enceintes fait au moins 83 % de la distance entre elles et vous, vous optimisez l’immersion. Pour les Phantom, c’est facile : on vous conseille 1,5 à 2,5 mètres entre les deux, et 1,5 à 2,5 mètres entre vous et elles.
En clair, c’est une règle d’or pour ne pas se planter dans l’installation. Mais bon, si vous êtes du genre bordélique, pas de panique : même mal placés, ces enceintes Devialet envoient du steak. Par contre, si vous voulez un son aux petits oignons, mieux vaut suivre cette fameuse règle des 83%.
Se demander quelle marque est la meilleure, c’est comme comparer la pizza et le burger : ça dépend du goût de chacun. Même si Devialet est clairement dans le peloton de tête, surtout avec ses Phantom. Néanmoins, le monde du son est une véritable jungle avec des concurrents comme B&W, KEF, Bowers & Wilkins ou même Polk Audio avec son MagniFi Mini AX. Ce qui fait la force de Devialet, c’est son mélange de design épuré, de technologies de pointe (l’ADH, le SAM, le HBI), et une puissance brute qui envoie du lourd.
Mais si votre cœur balance pour des enceintes colonnes qui ont une signature sonore unique, ou que vous cherchez du multiroom intelligent, d’autres marques pourraient tout aussi bien faire le job. En résumé, Devialet est une valeur sûre malgré une forte concurrence sur le marché du premium.
Vous êtes en quête d’un son d’exception, mais vous vous demandez si Devialet est la seule marque de référence ? Alors on vous le dit tout de suite : il y a un tas d’autres marques capables de rivaliser dans bien des domaines. Besoin d’une barre de son avec un caisson de basse intégré pour un home-cinéma à couper le souffle ? Le pack Sonos Arc + Sub vous donnera satisfaction. Envie d’une paire d’enceintes colonnes offrant un son ultra-précis ? Optez pour Bowers & Wilkins et ses 800 Series, c’est du lourd. Et si vous rêvez d’un son multiroom avec une qualité premium, le duo KEF LS50 Wireless II vous donnera des frissons.
Si vous cherchez un objet design, compact et capable de faire trembler les murs avec un seul caisson, Devialet n’a pas d’égal. En résumé, tout dépend de ce que vous cherchez. Mais si vous voulez du pur plaisir brut, un design qui en jette et un son qui vous cloue à votre canapé, la Phantom coche toutes les cases.
La question qui fâche : quelle marque choisir entre Devialet et Sonos pour un son qui déchire ? On va être clair : ces deux marques ne sont pas du même monde. Devialet, c’est le diamant brut des audiophiles. La Phantom, c’est de l’élégance, de la puissance et un son qui donne des frissons. Sonos, c’est l’ami des accros à la domotique. Du multiroom malin, un écosystème fluide et une enceinte qui se place partout en s’adaptant à son espace.
Si vous voulez un son de compétition dans une seule pièce, du grave qui vous secoue et des aigus précis, la Phantom 108 dB sera idéale. Mais si vous rêvez d’un son de qualité dans toute la maison, avec une synchronisation parfaite entre la cuisine, le salon et la terrasse, Sonos vous conviendra mieux. En résumé : Devialet s’adresse à ceux qui veulent en prendre plein les oreilles dans leur salon. Sonos, quant à elle, cible ceux qui ne peuvent pas quitter une pièce sans avoir une enceinte à proximité. Et vous, vous en pensez quoi ?
Vous en avez marre de sortir votre smartphone pour capturer un moment de vie ? Les Ray-Ban Meta Gen 2 vous promettent une révolution de poche. Autonomie doublée à 8 heures, capteur photo 12 MP digne d’un vrai smartphone, et streaming en direct sur Instagram ou Facebook : on teste si ces lunettes connectées méritent leur buzz. Avec leur design Ray-Ban iconique, leur stockage de 32 Go et leur son amélioré, elles visent le créateur de contenu nomade. Mais à 419 € en France, faut-il vraiment craquer ? On décortique le tout pour vous.
Rêvez de filmer un concert ou une recette sans sortir votre smartphone ? Les Ray-Ban Meta Gen 2, à 419 €, relancent le concept avec une batterie doublée et une caméra 3K. Faut-il sauter le pas ?
La Gen 1 proposait déjà une caméra 12 MP et 4 heures d’autonomie. La Gen 2 pousse le curseur : 8 heures de batterie, vidéos en 3K et options 720p à 120 FPS. Un combo alléchant pour les créateurs de contenu, mais le prix pique un peu.
On décortique les atouts et les limites pour vous aider à trancher.
La batt’ a pris un sérieux coup de jeune. La Gen 1 claquerait la porte après 4 heures d’utilisation. La Gen 2, elle, enchaîne les huit heures sans broncher. Fini l’angoisse du black-out en pleine journée. L’étui de rechargement s’y met aussi : 48 heures d’autonomie supplémentaire, c’est 2 jours sans prise électrique. Et pour les pressés, 20 minutes de charge = 50% de batterie dans les verres. 8 heures sur les yeux, 48 heures d’autonomie supplémentaire dans la poche : les Gen 2 veulent pas faire dans la demi-mesure. Testez-les sur un trajet en TGV ou une journée shopping, vous verrez la différence.
Les photos passent du flou artistique au cliché net. Le capteur saute de 5 à 12 MP : fini les selfies façon pixel art. Les vidéos ? La Gen 1 balbutiait en 720p, la Gen 2 envoie du 3K Ultra HD ou 1080p à 30 ips. Même en mode accéléré (jusqu’à 60 ips), l’image reste nette. Les cinq microphones (vs 2 sur la Gen 1) captent le moindre son, idéal pour des appels clairs dans un café bruyant. Le stockage bondit à 32 Go (vs 4 Go) : stockez des centaines de photos ou des dizaines de vidéos HD sans smartphone. Et avec la puce Qualcomm à l’intérieur, les algorithmes de traitement d’image et de son réagissent en temps réel. Pourquoi se contenter de la bascule 4G/5G quand on peut switcher entre modes photo, vidéo et musique en un claquement de doigts ?
| Caractéristique | Ray-Ban Meta Gen 1 | Ray-Ban Meta Gen 2 |
|---|---|---|
| Autonomie (lunettes) | 4 heures | Jusqu’à 8 heures |
| Autonomie (étui) | 32 heures | 48 heures |
| Caméra (Photo) | 5 Mégapixels | 12 Mégapixels |
| Vidéo (Résolution max) | 720p | 3K (1440p) / 1080p |
| Microphones | 2 | 5 |
| Stockage | 4 Go | 32 Go |
| Processeur | N/A | Qualcomm Snapdragon AR1 Gen 1 |
| Poids | ~ 48 g | ~ 51 g |
| Led | LED présente, moins lumineuse (signal plus discret) | LED présente, plus brillante selon certaines sources |
Pas besoin de déballer la notice : le tableau parle de lui-même. La Gen 2 casse les codes sur tous les paramètres. Pour plus de détails, découvrez les différences techniques entre la Gen 1 et la Gen 2.


Vous rêvez de filmer votre quotidien sans lâcher vos activités ? Les lunettes de soleil Ray-Ban Meta transforment votre vision en caméra d’action. Capteur 12MP, vidéo en 3K, diffusion Instagram/Facebook en direct : elles captent votre café matinal, randonnées ou soirées entre potes en POV. Sans smartphone en main. Votre vie, filmée comme un docu Netflix.
Le livestreaming sur Instagram et Facebook jusqu’à 30 minutes est un atout. L’appli Meta AI gère les connexions, un double clic bascule les vues. La résolution est inférieure à un smartphone, mais l’immersion compense. Exemple ? Filmer un tag en direct, les mains libres pour créer sans pause. Une erreur ? L’appli corrige en temps réel via le téléphone.
Le vrai + ? Meta AI. « Hey Meta, prends une photo » active la caméra. Un rappel vocal ? « Hey Meta, dis-moi quand mes œufs sont cuits ». La traduction en direct (bêta) déchiffre panneaux ou conversations. Parfait pour un voyage à Barcelone, menus traduits en direct sur les verres.
Here’s a first look at the navigation feature on the Meta Ray-Ban Display glasses. Aside from one bug of walking backwards and Meta AI mishearing a different address, it has successfully guided me to several locations. Solid connection, accurate and feels natural to use. pic.twitter.com/rPi4roV8eu
— Nathie (@NathieVR) October 2, 2025
Les 5 micros offrent un son immersif en écoute. Pas d’écouteurs qui glissent en courant. En appel, votre voix reste claire même dans le métro. Compatibilité iPhone via Bluetooth : FaceTime non pris en charge, mais les appels standards passent. Batterie : 5h (streaming + musique), 12h en écoute. À 419 €, c’est un investissement, mais pour usages créatifs/nomades, le chargeur tient dans un sac à dos.
Ray-Ban, c’est du lourd. Ces lunettes restent stylées, même avec la tech intégrée. Deux modèles phares : le Wayfarer (icône vintage) et le Headliner (solide et moderne). Pas de gadget moche : la caméra, les micros et l’écran passent inaperçus. Dispo sur le site officiel Ray-Ban, avec options de prescription et verres Transitions® pour s’adapter à la lumière. Vous choisissez la monture, les verres, et même la taille (standard ou large). Essayage virtuel possible pour éviter les mauvaises surprises. Bref, c’est du Ray-Ban pur jus, avec un peu d’âme futuriste en plus.
Là, on vous rassure : la Gen 2 est un marathonien. 8 heures d’utilisation normale, 48 heures en étui de charge. Et si vous êtes en panique, 20 minutes de charge pour 50 %, c’est quand même du niveau boss. Pour une journée de balade, de tournage de vlog, ou de réunions en déplacement, vous êtes tranquilles. Par contre, si vous faites un live de 30 minutes sur Insta (oui, c’est possible), vous sentirez la batterie fondre un peu plus vite. Mais bon, c’est le jeu avec les tech de ce genre. Après, à vous de voir si vous préférez un truc qui tient 4h max comme avant, ou un bijou qui vous suit toute la journée. L’évolution, c’est aussi ça, non ?
Le prix de l’innovation : combien ça coûte ? Pour les lunettes connectées, il faut prévoir le budget. Les Ray-Ban Meta Gen 2 démarrent à 419 € pour le modèle Wayfarer. C’est bien plus qu’un accessoire classique, mais l’investissement offre des lunettes connectées avec une caméra 12 MP, une autonomie de 8 heures et une traduction en direct en 6 langues. C’est 2x plus que la Gen 1, mais aussi 2x plus de fonctionnalités. C’est 2x plus que la Gen 1, mais aussi 2x plus de fonctionnalités. Vous payez pour la tech, le style Ray-Ban indémodable, et l’IA Meta qui vous sert des trucs utiles sans sortir votre smartphone. Un luxe ? Peut-être. Mais quand vous réalisez qu’un appel clair en pleine rue ou une vidéo 3K de qualité pro, c’est possible en un claquement de doigts, vous vous dites que ça se justifie… si vous avez le budget.
Ces lunettes s’adressent aux passionnés de tech et créateurs de contenu, adeptes de captations discrètes. Si vous en faites partie, les améliorations (8h d’autonomie, vidéo 3K) valent le détour. En revanche, oubliez si vous cherchez juste des lunettes de soleil ou un affichage AR dans les verres : ce n’est pas encore ça.
Les Ray-Ban Meta Gen 2 ne sont plus un jouet pour geeks. Un produit mature, mais réservé à une niche exigeante.
Un objet technologique abouti, mais pas pour tout le monde. Alors, tenté ?
Bref, les Ray-Ban Meta Gen 2, c’est le graal high-tech pour créateurs compulsifs ou addicts de gadgets stylés. Un produit mûr, mais réservé aux passionnés prêts à lâcher 499 €. Pour les autres ? Un luxe gadget. Et vous, tenté par l’aventure ou pas encore convaincu ?
Zéro frais caché. Le prix d’achat (entre 299 et 459 $ selon les modèles) inclut toutes les fonctionnalités. Pas de souscription à vie, pas de mise à jour facturée, même les mises à jour logicielles (avec des trucs comme l’hyperlapse ou le slow motion) sont offertes. Vous payez une fois, vous profitez. Point barre.
Oui, sans prise de tête. Les Ray-Ban Meta Gen 2 se connectent en Bluetooth via l’appli Meta View, compatible iOS et Android. Pas besoin de bidouiller : branchez-les, et c’est parti. Vous recevez notifications, musiques, appels téléphoniques.
Non, le streaming vidéo est bridé aux plateformes Meta (Direct Instagram/Facebook). Il n’est pas possible d’utiliser WhatsApp, Zoom, Teams, FaceTime.
Marina Ferrari, Françoise Gatel, Laurent Panifous… Voici quelques noms de nouveaux ministres et ministres délégués du gouvernement Lecornu II. S’ils ne vous disent absolument rien, c’est parce que, selon des proches du Premier ministre, ils ont été générés par une intelligence artificielle. “Pour son premier gouvernement, on a reproché à Sébastien Lecornu d’avoir pris que des personnalités politiques connues et éprouvées. Cette fois-ci, il a décidé de trancher en prenant des personnes inconnues, ou même inexistantes” déclare un proche du Premier ministre.
Afin de ne pas être repéré, le Premier ministre a également généré des photos aléatoires pour les quelques ministres non existants, dont les noms ont été créés de toutes pièce par ChatGPT. “Le Premier ministre a dû faire un nouveau gouvernement en 48 heures, c’est impossible. Comme il sait pertinemment que son gouvernement tiendra au plus quelques semaines, il sait dit que le temps qu’il soit démasqué, il ne serait déjà plus chef du gouvernement” admet une source proche du dossier.
D’autres utilisations de l’IA en politique
Si cette initiative du Premier ministre peut surprendre, il faut savoir que ce n’est pas la première fois que des personnalités politiques utilisent l’intelligence artificielle. En effet, l’ancien Premier ministre Michel Barnier avait également utilisé ChatGPT pour se générer une page Wikipédia, pour faire croire qu’il avait eu une vraie carrière.
L’article La liste du nouveau gouvernement contiendrait des noms générés par IA est apparu en premier sur Le Gorafi.fr Gorafi News Network.
À l’ère du numérique, nos appareils Apple sont devenus de véritables prolongements de notre vie quotidienne. Que ce soit un iPhone pour rester connecté, un MacBook pour travailler ou un iPad pour se divertir, ces outils technologiques représentent un investissement considérable. Face à une panne ou un dysfonctionnement, la question se pose inévitablement : faut-il tenter une réparation soi-même, remplacer l’appareil ou faire appel à un professionnel qualifié ?

Les produits Apple se distinguent par leur design élégant et leur intégration matérielle-logicielle poussée. Contrairement à de nombreux appareils électroniques grand public, les iPhone, iPad et MacBook sont conçus avec une architecture interne complexe où chaque composant est optimisé pour fonctionner en parfaite harmonie avec les autres. Cette sophistication technique, si elle garantit des performances exceptionnelles, rend également les interventions de réparation particulièrement délicates.
Les circuits imprimés miniaturisés, les composants soudés en surface et les systèmes de sécurité intégrés requièrent des compétences spécialisées et un outillage professionnel. Une manipulation inappropriée peut non seulement aggraver le problème initial, mais également endommager irrémédiablement d’autres composants sensibles. C’est pourquoi la réparation Apple devrait être confiée à des techniciens formés et expérimentés.
Certaines défaillances techniques sont parfaitement réparables et ne nécessitent pas l’achat d’un nouvel appareil. Parmi les problèmes les plus fréquents, on retrouve l’écran fissuré ou cassé, qui représente environ 70% des réparations d’iPhone selon les statistiques du secteur. Le remplacement d’un écran par un professionnel coûte généralement entre 150 et 400 euros selon le modèle, soit bien moins que l’achat d’un appareil neuf.
La batterie défectueuse constitue également un motif de réparation très courant. Avec le temps et les cycles de charge, la capacité de la batterie diminue naturellement. Lorsque votre iPhone ou MacBook ne tient plus qu’une demi-journée alors qu’il offrait auparavant une autonomie d’une journée complète, le remplacement de la batterie s’impose comme une solution économique et écologique. Cette intervention, réalisée par un professionnel, redonne une seconde jeunesse à votre appareil pour une fraction du coût d’un remplacement.

La décision de réparer ou remplacer doit prendre en compte plusieurs facteurs. L’âge de l’appareil constitue un critère déterminant : un iPhone de moins de trois ans ou un MacBook de moins de cinq ans mérite généralement d’être réparé, surtout si la panne est localisée. La valeur de revente potentielle entre également en ligne de compte. Un appareil réparé professionnellement conserve une valeur marchande supérieure à un appareil défectueux.
Le coût de la réparation ne devrait idéalement pas excéder 50 à 60% de la valeur actuelle de l’appareil. Au-delà de ce seuil, il peut être plus judicieux d’envisager un remplacement. Néanmoins, cette règle admet des exceptions, notamment lorsque l’appareil contient des données importantes ou présente des configurations spécifiques difficiles à recréer.

L’attrait des tutoriels en ligne et des kits de réparation à prix réduit peut sembler tentant pour réduire les coûts. Cependant, les risques associés aux réparations non professionnelles sont nombreux et souvent sous-estimés. La manipulation d’appareils Apple requiert non seulement des outils spécifiques, mais également une compréhension approfondie de leur architecture interne.
Les batteries lithium-ion, par exemple, présentent des dangers réels si elles sont manipulées incorrectement. Un perçage ou une déformation peut provoquer un incendie ou une explosion. De même, l’utilisation de pièces détachées de contrefaçon ou de qualité inférieure peut compromettre les performances de l’appareil, voire présenter des risques pour la sécurité. Ces composants non certifiés peuvent provoquer des courts-circuits, endommager la carte mère ou affecter d’autres fonctionnalités.
Par ailleurs, toute intervention non autorisée annule généralement la garantie constructeur ou AppleCare+. Même si votre appareil n’est plus sous garantie, une réparation amateur mal exécutée peut rendre impossible toute intervention professionnelle ultérieure, transformant un problème mineur en perte totale de l’appareil.
Les professionnels de la réparation Apple disposent d’une formation spécialisée et d’une expérience concrète sur des centaines, voire des milliers d’appareils. Cette expertise leur permet de diagnostiquer rapidement la source exacte du problème et d’identifier d’éventuels défauts connexes qui pourraient passer inaperçus pour un non-initié. Ils utilisent des équipements de diagnostic professionnels et des outils calibrés pour garantir une intervention précise et sécurisée.
Un réparateur certifié utilise exclusivement des pièces détachées d’origine ou certifiées compatibles, garantissant ainsi la qualité et la longévité de la réparation. Ces composants sont testés selon les standards d’Apple et assurent une compatibilité parfaite avec votre appareil. De plus, les professionnels offrent généralement une garantie sur leurs interventions, vous protégeant contre d’éventuels défauts de fabrication des pièces ou erreurs de manipulation.
Confier son appareil à un professionnel, c’est aussi s’épargner des heures de recherche, de démontage hasardeux et de stress. Alors qu’une réparation amateur peut s’étendre sur plusieurs jours entre les commandes de pièces, les erreurs et les recommencements, un professionnel qualifié effectue généralement l’intervention en quelques heures ou, au maximum, en quelques jours pour les réparations complexes.
Cette efficacité permet de minimiser la période sans votre appareil, particulièrement critique pour les professionnels qui dépendent de leur iPhone ou MacBook pour leur activité. Certains prestataires proposent même des services express ou des appareils de prêt pour garantir la continuité de votre usage numérique.

Au-delà des considérations purement techniques, faire réparer son appareil Apple plutôt que de le remplacer systématiquement présente des avantages environnementaux considérables. L’industrie électronique génère chaque année des millions de tonnes de déchets électroniques, dont seule une fraction est correctement recyclée. Selon l’ONU, prolonger la durée de vie des appareils électroniques constitue l’une des actions les plus efficaces pour réduire l’empreinte écologique du secteur numérique.
La fabrication d’un smartphone nécessite l’extraction de métaux rares, une consommation énergétique importante et génère une empreinte carbone significative. Réparer plutôt que remplacer permet d’éviter ces impacts environnementaux tout en réalisant des économies substantielles. Un iPhone réparé pour 200 euros offre les mêmes fonctionnalités qu’un modèle neuf à 1000 euros, représentant une économie de 80%.
Cette démarche s’inscrit dans une logique d’économie circulaire encouragée par les politiques publiques européennes. Le droit à la réparation, progressivement renforcé par les législations nationales et européennes, vise à favoriser la réparabilité des appareils et à lutter contre l’obsolescence programmée. En choisissant la réparation, vous participez activement à ce mouvement en faveur d’une consommation plus responsable et durable.
Tous les réparateurs ne se valent pas, et il convient d’être vigilant dans le choix de votre prestataire. Les centres de services agréés Apple (Apple Authorized Service Provider) bénéficient d’une formation directe du constructeur et utilisent exclusivement des pièces d’origine. Ils représentent l’option la plus sûre, bien que souvent la plus coûteuse.
Les réparateurs indépendants qualifiés constituent une alternative intéressante, offrant généralement des tarifs plus compétitifs tout en maintenant un niveau de qualité élevé. Vérifiez que le professionnel dispose de certifications reconnues, de bonnes évaluations clients et qu’il offre une garantie sur ses interventions. La transparence sur les pièces utilisées et les tarifs pratiqués constitue également un indicateur de sérieux.
Avant de laisser votre précieux appareil entre les mains d’un réparateur, n’hésitez pas à poser des questions essentielles : quel est le délai d’intervention ? Quelle garantie est offerte sur la réparation ? Les pièces utilisées sont-elles d’origine ou certifiées ? Le devis est-il gratuit et sans engagement ? Ces interrogations légitimes vous permettront d’évaluer le professionnalisme du prestataire et d’éviter les mauvaises surprises.
Assurez-vous également que le réparateur respecte la confidentialité de vos données. Un professionnel sérieux s’engage à ne pas accéder à vos informations personnelles et vous recommandera toujours d’effectuer une sauvegarde avant toute intervention. Certains proposent même de signer un accord de confidentialité pour les professionnels manipulant des données sensibles.
@post_luxembourg POST est le premier et le seul opérateur de téléphonie mobile en Europe à effectuer directement en interne des réparations certifiées et approuvées par Apple, sans avoir recours à des sous-traitants. Plus d’infos sur www.post.lu/reparation #Luxemourg #POSTLuxembourg #Apple #AppleRepair
♬ original sound – POST Luxembourg – POST Luxembourg
Face à un appareil Apple défaillant, la tentation du remplacement immédiat ou de la réparation amateur peut sembler séduisante. Pourtant, confier son iPhone, iPad ou MacBook à un professionnel qualifié s’impose comme la solution la plus sage à bien des égards. Cette approche conjugue expertise technique, garantie de qualité, économies financières et responsabilité environnementale.
Les produits Apple sont conçus pour durer et offrir des performances optimales pendant de nombreuses années. Une réparation professionnelle permet de prolonger significativement leur durée de vie, tout en préservant leur valeur et leurs fonctionnalités. À l’heure où la surconsommation électronique pose des défis environnementaux majeurs, choisir de réparer plutôt que de remplacer devient un geste citoyen autant qu’une décision économique rationnelle.
N’attendez pas qu’un petit problème devienne une panne majeure : consultez un professionnel dès les premiers signes de dysfonctionnement. Votre appareil, votre portefeuille et la planète vous en remercieront.
L’article Réparation Apple : les bonnes raisons de confier son appareil à un pro est apparu en premier sur Raspberry Pi France.
L’Internet des Objets transforme progressivement notre quotidien, créant des ponts entre le monde physique et numérique. Pourtant, le chemin qui mène d’un prototype connecté prometteur à une application mobile pleinement fonctionnelle reste semé d’embûches techniques et stratégiques. Cette transformation exige une compréhension approfondie des enjeux technologiques, des besoins utilisateurs et des contraintes de production.
La définition de l’Internet des Objets (IoT) englobe l’ensemble des dispositifs physiques capables de collecter, transmettre et échanger des données via Internet. Cette définition, apparemment simple, cache une réalité bien plus complexe. Derrière chaque objet connecté se dissimule un écosystème technique sophistiqué composé de capteurs, de protocoles de communication, de plateformes cloud et d’interfaces utilisateurs.
L’enjeu principal ne réside plus dans la capacité à connecter un objet – cette technologie est désormais mature – mais dans la création d’une expérience utilisateur fluide et intuitive. Un thermostat connecté qui nécessite dix manipulations pour ajuster la température ou une montre intelligente dont l’application mobile se déconnecte régulièrement ne répondent pas aux attentes des utilisateurs contemporains, habitués à l’immédiateté et à la simplicité.
Transformer un prototype IoT fonctionnel en produit commercial représente un défi considérable. En phase de prototypage, les équipes se concentrent légitimement sur la preuve de concept : démontrer que la technologie fonctionne. Cependant, cette phase ne constitue que le premier jalon d’un parcours bien plus long.
La transition vers le produit fini nécessite une industrialisation rigoureuse. Les composants électroniques doivent être sourcés de manière pérenne, les coûts de production optimisés, et la fiabilité garantie sur des milliers d’unités. Parallèlement, l’infrastructure logicielle doit évoluer d’un environnement de développement vers une architecture scalable capable de gérer des centaines de milliers de connexions simultanées.
C’est précisément à ce stade que l’expertise d’Openium, expert en développement d’applications mobiles, devient déterminante. La conception de solutions connectées exige une vision holistique où le hardware, le backend et les applications mobiles sont pensés comme un ensemble cohérent plutôt que comme des composants isolés.
Un écosystème IoT performant repose sur plusieurs piliers technologiques interdépendants. Au niveau matériel, le choix des protocoles de communication constitue une décision stratégique majeure. Bluetooth Low Energy, Wi-Fi, LoRaWAN, Sigfox ou encore les réseaux cellulaires LTE-M présentent chacun des avantages et des limitations en termes de portée, de consommation énergétique et de débit de données.
La couche backend joue un rôle central dans la gestion des flux de données. Elle doit assurer la réception des informations transmises par les objets, leur traitement en temps réel, leur stockage sécurisé et leur mise à disposition via des APIs performantes. Les architectures basées sur des services cloud comme AWS IoT Core, Azure IoT Hub ou Google Cloud IoT offrent la scalabilité nécessaire, mais leur configuration optimale requiert une expertise pointue.
L’application mobile constitue la vitrine de tout l’écosystème. Elle doit offrir une interface intuitive, des temps de réponse rapides et une synchronisation fiable avec les objets connectés. La gestion des états de connexion, la mise en cache intelligente des données et la résilience face aux interruptions réseau représentent autant de défis techniques à surmonter.
La multiplication des objets connectés s’accompagne d’une augmentation exponentielle des surfaces d’attaque potentielles. Chaque dispositif IoT représente un point d’entrée possible pour des acteurs malveillants. Les exemples de caméras de surveillance piratées ou de thermostats utilisés dans des attaques DDoS ne manquent malheureusement pas.
Une stratégie de sécurité robuste doit être intégrée dès la conception du prototype. L’authentification mutuelle entre l’objet et le serveur, le chiffrement des communications via TLS, la signature des mises à jour firmware et la gestion sécurisée des identifiants constituent le socle minimal. Au niveau applicatif, l’implémentation de mécanismes d’authentification forte, comme l’authentification biométrique ou à deux facteurs, renforce significativement la protection des données utilisateurs.
La conformité au RGPD ajoute une dimension supplémentaire, particulièrement pour les objets collectant des données personnelles sensibles. Le principe de minimisation des données, la transparence sur leur utilisation et la possibilité pour l’utilisateur d’exercer ses droits d’accès et de suppression doivent être intégrés nativement dans l’architecture.
Dans un marché IoT de plus en plus saturé, la qualité de l’expérience utilisateur devient un avantage compétitif décisif. Les utilisateurs ne tolèrent plus les interfaces complexes ou les processus d’installation laborieux. L’onboarding – la première prise en main de l’objet et de son application – doit être pensé avec un soin particulier.
Les meilleures applications IoT guident l’utilisateur pas à pas dans le processus de configuration, utilisent la détection automatique des périphériques Bluetooth ou Wi-Fi, et proposent des tutoriels interactifs contextuels. L’objectif consiste à réduire le temps entre le déballage du produit et sa première utilisation effective à quelques minutes.
Au-delà de l’installation initiale, l’interface quotidienne doit privilégier la clarté et l’efficacité. Les tableaux de bord surchargés d’informations laissent place à des visualisations épurées qui mettent en avant les données essentielles. Les notifications push, lorsqu’elles sont utilisées, doivent être pertinentes et contextuelles, au risque d’être désactivées par des utilisateurs saturés.
L’intégration de l’intelligence artificielle et du machine learning ouvre des perspectives considérables pour les objets connectés. Au-delà de la simple collecte de données, les systèmes deviennent capables d’apprentissage et d’adaptation aux habitudes des utilisateurs.
Un thermostat intelligent moderne n’attend plus que l’utilisateur programme manuellement ses préférences. Il analyse les patterns de présence, les ajustements manuels effectués et les données météorologiques pour anticiper les besoins et optimiser automatiquement la température. Cette intelligence peut être déployée directement sur l’objet (edge computing) pour des réponses ultrarapides, ou dans le cloud pour des analyses plus complexes.
Les assistants vocaux comme Alexa ou Google Assistant s’intègrent naturellement dans cet écosystème, offrant une interface conversationnelle qui simplifie radicalement l’interaction. La commande vocale devient particulièrement pertinente pour les objets domotiques, permettant un contrôle mains libres naturel et intuitif.
Un aspect souvent sous-estimé concerne la maintenance et l’évolution post-lancement. Un objet connecté n’est jamais véritablement “terminé”. Les mises à jour firmware permettent de corriger des bugs, d’améliorer les performances et d’ajouter de nouvelles fonctionnalités. L’application mobile évolue parallèlement pour rester compatible avec les dernières versions des systèmes d’exploitation mobiles.
Cette dynamique d’amélioration continue nécessite une infrastructure de déploiement OTA (Over-The-Air) robuste. Les mises à jour doivent être déployées progressivement, avec des mécanismes de rollback en cas de problème. La télémétrie embarquée permet de monitorer la santé du parc d’objets déployés et d’identifier rapidement les dysfonctionnements émergents.
La collecte et l’analyse des données d’usage fournissent des insights précieux pour orienter la roadmap produit. Quelles fonctionnalités sont réellement utilisées ? Où les utilisateurs rencontrent-ils des difficultés ? Ces questions guident l’évolution du produit vers une valeur utilisateur maximale.
L’avenir de l’IoT réside dans l’interopérabilité. Les utilisateurs ne veulent plus gérer dix applications différentes pour leurs dix objets connectés. Les standards émergents comme Matter (anciennement Project CHIP) promettent une compatibilité native entre les dispositifs de différents fabricants.
Cette ouverture représente un défi technique mais aussi une opportunité stratégique. En adhérant aux standards industriels, les fabricants facilitent l’intégration de leurs produits dans des écosystèmes plus larges. Un capteur de qualité d’air compatible Matter peut ainsi être intégré dans des scénarios domotiques complexes orchestrés par n’importe quelle plateforme certifiée.
Les APIs ouvertes et bien documentées permettent également à des développeurs tiers de créer des intégrations innovantes. Cette approche “plateforme” démultiplie la valeur du produit en l’insérant dans un réseau d’interactions plus vaste.
Le développement d’un écosystème IoT complet représente un investissement conséquent. Au-delà des coûts de R&D et de production, l’infrastructure cloud génère des coûts récurrents proportionnels au nombre d’utilisateurs actifs. Cette réalité économique influence profondément les modèles commerciaux.
Certains fabricants optent pour un modèle freemium où les fonctionnalités de base restent gratuites, tandis que des fonctionnalités avancées (analyse historique des données, automatisations complexes, stockage cloud étendu) sont proposées via un abonnement mensuel. D’autres privilégient un modèle d’achat unique, mais doivent alors dimensionner leur infrastructure pour absorber les coûts opérationnels sur la durée de vie du produit.
La monétisation des données, lorsqu’elle est réalisée dans le respect de la vie privée et avec le consentement explicite des utilisateurs, peut constituer une source de revenus complémentaire. Les données agrégées et anonymisées sur la consommation énergétique, par exemple, intéressent les fournisseurs d’énergie pour optimiser leurs réseaux.
Un prototype validé avec cent utilisateurs beta testeurs doit pouvoir évoluer pour servir cent mille utilisateurs, voire davantage. Cette scalabilité ne s’improvise pas et doit être anticipée dès les phases de conception architecturale.
L’utilisation de conteneurs Docker et d’orchestrateurs comme Kubernetes facilite le déploiement et la gestion d’infrastructures élastiques qui s’adaptent automatiquement à la charge. Les bases de données doivent être choisies en fonction de leurs capacités de scaling horizontal. Les files d’attente de messages (RabbitMQ, Apache Kafka) permettent de gérer les pics de trafic sans perte de données.
Les tests de charge deviennent essentiels avant tout lancement commercial significatif. Ils permettent d’identifier les goulots d’étranglement et de valider que l’infrastructure tiendra sous une charge réelle. L’observabilité – la capacité à comprendre l’état interne du système à partir des données qu’il génère – constitue un prérequis pour opérer efficacement un service à grande échelle.
Même la solution la plus intuitive génère inévitablement des questions et des demandes de support. La mise en place d’un système d’assistance efficace participe directement à la satisfaction utilisateur et à la réputation du produit.
Une base de connaissances exhaustive, régulièrement mise à jour, permet aux utilisateurs de trouver des réponses aux questions fréquentes de manière autonome. Les tutoriels vidéo complètent utilement la documentation écrite en offrant des démonstrations visuelles des procédures complexes.
Pour les cas plus complexes, un système de ticketing bien organisé avec des temps de réponse garantis rassure les utilisateurs. L’intégration d’un chatbot intelligent en première ligne permet de traiter automatiquement les demandes simples et de qualifier les demandes plus complexes avant de les router vers des agents humains.
La réussite d’un projet IoT repose sur une vision intégrée où chaque composant est pensé en fonction des autres. L’objet connecté ne peut être conçu indépendamment de son application mobile, qui elle-même doit s’appuyer sur une infrastructure backend robuste et évolutive.
Cette approche holistique nécessite une équipe pluridisciplinaire réunissant des compétences en hardware, firmware, développement backend, développement mobile, design UX/UI, et devops. La coordination entre ces différentes expertises constitue souvent le facteur limitant dans les projets IoT complexes.
L’agilité méthodologique permet de naviguer dans l’incertitude inhérente à l’innovation. Des cycles itératifs courts, avec des validations régulières auprès d’utilisateurs réels, permettent d’ajuster rapidement le tir et d’éviter les écueils coûteux d’une mauvaise orientation prise trop tardivement.
Les prochaines années verront l’émergence de technologies qui transformeront encore davantage le paysage IoT. Les réseaux 5G apporteront des débits considérablement accrus et une latence réduite, ouvrant la voie à des applications temps réel exigeantes. L’edge computing déplacera une partie croissante du traitement vers les périphériques eux-mêmes, réduisant la dépendance au cloud et améliorant la réactivité.
La convergence entre IoT et blockchain pourrait résoudre certains défis de sécurité et de traçabilité, particulièrement dans les chaînes d’approvisionnement connectées. Les jumeaux numériques – répliques virtuelles d’objets physiques – permettront des simulations et des optimisations sophistiquées avant tout déploiement réel.
L’Internet des Objets continue sa maturation, passant progressivement du statut de technologie émergente à celui d’infrastructure essentielle de notre quotidien. Les acteurs qui sauront maîtriser la complexité de l’écosystème complet – du prototype à l’application mobile en passant par toutes les couches intermédiaires – seront les mieux positionnés pour capitaliser sur cette révolution connectée qui ne fait que commencer.
L’article Du prototype IoT à l’app mobile : la vision d’Openium sur l’écosystème connecté est apparu en premier sur Raspberry Pi France.
Compatible avec les iPhone 12 à 17, cette nouvelle batterie magnétique signée UGREEN promet une recharge rapide et stable grâce à la nouvelle norme Qi2. Nous l’avons testée dans plusieurs situations. Voici ce qu’elle vaut vraiment.
Les batteries externes MagSafe ne manquent pas sur le marché. Mais avec l’arrivée de la norme Qi2, les promesses changent : plus de vitesse, plus de stabilité, et surtout, moins de câbles à transporter. UGREEN fait partie des premières marques à proposer une batterie magnétique certifiée Qi2 25W, capable de recharger un iPhone 17 à 50 % en 38 minutes, sans aucun fil.
Déjà bien installée dans l’univers des accessoires de recharge, la gamme UGREEN MagFlow s’adresse ici aux utilisateurs d’iPhone 16 (avec iOS 26) et 17, mais aussi à ceux qui cherchent une batterie fiable pour plusieurs types d’appareils, qu’ils soient Apple ou Android (seul le Pixel 10 Pro XL est compatible Qi2 à 25W ; les autres se limitent à 15W).
Après plusieurs jours d’utilisation à la maison, au bureau et en déplacement, on vous dit tout : est-ce que cette batterie MagFlow vaut son prix ? Et surtout, est-elle vraiment taillée pour l’iPhone 17 ?
Dès la première prise en main, la batterie externe magnétique UGREEN MagFlow 10 000mAh 25W donne le ton : compacte (110,8 x 70 x 21 mm), un format rectangulaire arrondi qui tient bien en main, un design sobre et solide, et surtout, une vraie impression de fiabilité. Sur la balance, elle affiche 255 grammes, soit un peu plus que certaines concurrentes MagSafe. La batterie affiche une capacité totale de 10 000 mAh (37Wh), sans précision sur le nombre de cellules. Mais de quoi recharger sans problème votre smartphone.
Le modèle que nous avons testé promet jusqu’à trois appareils rechargés, une puissance filaire de 30W. Mais est-ce vraiment le cas ?
Nous avons testé avec des iPhone 14 Pro, iPhone 13, iPhone 11 Pro et AirPods Pro (ainsi que d’autres produits Apple) : dans aucun cas la batterie n’a permis de recharger trois smartphones simultanément.
Le fabricant précise que la configuration prévue est de pouvoir charger un iPhone, une Apple Watch et des AirPods en même temps. Néanmoins, la batterie peut alimenter deux smartphones maximum par câble.
En résumé : la batterie gère jusqu’à deux sorties filaires simultanées, ou une charge sans fil unique. Le triple chargement n’est possible que pour un smartphone + 2 accessoires à faible puissance (montre, écouteurs…).
Le câble USB-C intégré, qui fait aussi office de sangle de transport, est une excellente idée. Il permet à la fois de recharger la batterie rapidement (30W max) et de l’utiliser pour alimenter d’autres appareils filaires si besoin. À l’usage, ce câble est solide, pratique, et tient bien en place une fois replié. Côté recharge sans fil, la promesse est claire : 25W en Qi2 pour les iPhone 16 et 17, et 15W max pour les modèles précédents compatibles MagSafe (iPhone 12 à 15). La batterie adapte automatiquement la puissance selon l’appareil, y compris pour les AirPods ou d’autres appareils certifiés Qi.



L’autre point fort de cette MagFlow, c’est son affichage numérique, placé discrètement sur le côté. Il indique le pourcentage de batterie restant avec une bonne lisibilité, même en plein jour. Et contrairement à certaines concurrentes qui misent sur 4 petits points LED (trop vagues), ce choix de l’affichage précis est appréciable au quotidien.
Enfin, l’aimantation est solide : avec une force de 9N, l’iPhone reste bien collé à la batterie même si vous le manipulez. En revanche, attention à l’utiliser sans coque ou avec une coque MagSafe. Les coques épaisses ou non compatibles font vite perdre le contact magnétique.
Nous avons utilisé la batterie Power Bank MagFlow pendant une semaine complète, dans des situations classiques : une journée de télétravail, une escapade en train, des déplacements en ville, et même une soirée sans prise à proximité. Résultat : elle tient le choc, avec une vraie polyvalence au quotidien.
Premier constat : le magnétisme est efficace, mais pas trop intrusif. L’iPhone 17 se fixe instantanément et reste bien maintenu, même dans un sac à main ou pendant une consultation prolongée à la verticale. On peut répondre à des messages, lancer une vidéo ou scroller sur Instagram sans voir l’iPhone glisser.



La recharge sans fil est fluide, rapide quand on est sur un iPhone 16 ou 17, plus modérée (15W) sur les générations précédentes.
Dans nos tests, un iPhone 17 Pro Max est passé de 5 à 50 % (+45%) en 35 minutes sans surchauffe notable. On sent que la norme Qi2 fait la différence ici, en évitant les variations de puissance qu’on observe souvent sur d’autres batteries sans fil. Par contre, sur un iPhone 14 Pro, on est passé de 40 à 70% (+30%) en 38 minutes, c’est 30% de mieux que ce que nous avons observé sur le concurrent Anker MagGo Qi2 d’une autonomie et poids similaire (253g). Enfin, sachez que nos confrères de Macworld ont relevé 32 minutes pour passer de 0 à 50% de recharge sur un iPhone 16 Pro et 44 minutes pour la même chose sur un iPhone 15 Pro.
Selon les tests internes réalisés par le fabricant, les temps de charge observés sont les suivants :
Le constructeur précise que ces résultats ont été obtenus dans un environnement de laboratoire à 25 °C, et que les performances peuvent varier selon la température ambiante et celle du téléphone.
Une température trop élevée, par exemple si l’on recharge un smartphone juste après un usage intensif ou une session de jeu, peut activer un mécanisme de protection qui réduit automatiquement la puissance de charge.
Pro tip : l’usage d’une coque de protection sur votre smartphone peut ralentir la recharge par induction jusqu’à 50 % !
La capacité de 10 000 mAh est suffisante pour 1 à 1,5 recharge complète d’un smartphone récent, voire plus si vous rechargez des AirPods ou un appareil moins énergivore. Lorsqu’on branche un appareil en USB-C, la batterie bascule en charge filaire à 30W, ce qui permet de recharger une tablette ou même un petit MacBook en dépannage. Le passage du sans-fil au filaire se fait automatiquement, sans manipulation.
À noter que l’Apple Watch ne se recharge pas directement via Qi/Qi2, sauf en branchant un module certifié MFi via USB-C.
Côté recharge de la batterie elle-même, comptez environ 2 heures pour une charge complète via le câble intégré, à condition d’avoir un adaptateur secteur 30W compatible. Et si vous êtes pressé·e, les premiers 50 % sont atteints rapidement, ce qui peut sauver une journée.


L’encombrement (11 × 7 × 2 cm) et le poids (255 g) ne la rendent pas la plus compacte du marché, même si cela reste acceptable pour une power bank magnétique 25W. On notera également l’absence de support intégré pour tenir le téléphone en mode portrait ou paysage.
Si vous cherchez une batterie magnétique compatible Qi2, la Power Bank UGREEN MagFlow Batterie externe Magnétique 10 000mAh 25W coche (presque) toutes les cases. Elle se distingue par sa vitesse de recharge réelle sur iPhone 16 et 17, son design bien pensé (affichage, câble intégré, finition propre), et sa polyvalence filaire / sans fil sans compromis.
Et si vous hésitez entre les différents modèles de produits UGREEN MagFlow, on vous recommande de jeter un œil à notre article dédié ci-dessous !

La connexion est toujours trop lente ? Flemme de changer de fournisseur ? Devolo, marque venue d’Aix-la-Chapelle, vous donne la solution avec son nouvel adaptateur CPL !
Du Wi-Fi, toujours plus de Wi-Fi ! C’est la tendance à laquelle nos activités nous poussent : télétravail la journée avec moult réunions visio, le streaming en 4K sur grand écran, le gaming en ligne sur le dernier MMORPG sorti… Nous y sommes, à l’ère de l’ultra-connexion. Sauf que les routeurs Wi-Fi peuvent observer des latences, un signal qui passe mal à travers les murs, surtout dans les immeubles anciens, les maisons à plusieurs étages ou les zones isolées.

Mais qu’avons-nous ouï dire ? Que Devolo élargissait sa gamme CPL en sortant son nouveau fleuron, le Magic 2 WiFi 6 next, afin de pulvériser les limites du Wi-Fi domestique ? Mais alors, qu’est-ce qui change vraiment ? À qui cette technologie s’adresse-t-elle ? On a épluché le dossier, chiffres et retours à l’appui !
| Caractéristique Techniques | |
|---|---|
| Dimensions | 133 × 66 × 42 mm (adaptateur LAN) |
| Connectivité | Ethernet, Wi-Fi 6 double bande (2,4 + 5 GHz), Powerline (G.hn) |
| Norme WLAN | Wi-Fi 6 (802.11ax) |
| Norme CPL | G.hn (Vague 2) |
| Débits annoncés | Wi-Fi jusqu’à 3 000 Mb/s (574 + 2 402) CPL brut jusqu’à 2 400 Mb/s |
| Fonctionnalité de maillage | Oui (y compris l’équité du temps d’antenne, le pilotage de la bande, le pilotage du client, etc.) |
| Ports LAN | 2x Gigabit Ethernet par adaptateur |
| MU-MIMO | Oui, bidirectionnel |
| OFDMA | Oui |
| Formation de faisceaux | Oui |
| Pilotage des points d’accès | Oui |
| Fonctions d’économie d’énergie | Technologie PowerSafe |
Pour répondre au mieux à nos besoins croissants de bande passante sur des applications de plus en plus gourmandes, la boîte de ce nouvel adaptateur CPL G.hn promet une connexion sans fil allant jusqu’à 3 000 Mbps. À titre de comparaison, le précédent était à 1 800 Mbps grand maximum ! Niveau stabilité, le Magic 2 serait 10% plus performant que son aîné, permettant de profiter de votre meilleur réseau domestique sans interruption.
La commodité du maillage consiste à s’appuyer sur des technologies intelligentes pour optimiser automatiquement le flux de données pour un degré de fluidité maximal. Vous pourrez compter sur la stabilité de vos appels vidéo, les latences sur les jeux en ligne ne sont plus qu’un mauvais souvenir, et vos soirées cinéma pourront se faire en 4K voire en 8K : la fonction est entièrement automatique.
Les plafonds, les murs et même les conduites d’eau ralentissent considérablement les solutions
Wi-Fi classiques. Pour éviter cela, le principe est le suivant : le CPL (incluant la norme « Homegrid », également appelée norme G.hn) contourne les obstacles via les prises électriques, tandis que le mesh Wi-Fi 6 (standard 802.11ax) gère la couverture et fait “roamer” les appareils vers le meilleur point d’accès (band steering, airtime fairness, client/AP steering, MU-MIMO, OFDMA, WPA3).

Pour assurer cette fonction, le module de pilotage de bande assure que l’adaptateur CPL bascule automatiquement entre les bandes de fréquences 2,4 GHz et 5 GHz.
“On avait un vrai souci dans le bureau sous les combles. Depuis, plus une coupure, même en visio et streaming UHD en simultané”, raconte Sophie, utilisatrice à Lille.
En somme, les utilisateurs bénéficient d’une connexion sans fil, mais le réseau domestique sous-jacent fonctionne de la même façon qu’une connexion par câble. Des coins quasi injoignables retrouvent une bande passante de niveau fibre. Le beurre et l’argent du beurre, ça s’appelle !
Oubliez les notices indigestes et les installations à rallonge ; vous n’avez besoin d’aucune connaissance technique particulière pour installer et utiliser l’appareil. En effet, Devolo joue la carte du “plug & play” :
L’application devolo Home Network (iOS/Android) vous guide tout au long du processus grâce à un assistant d’installation. Elle sert ensuite à surveiller et optimiser votre réseau. En outre, le Magic 2 Wifi 6 est conçu pour fonctionner en parfaite harmonie avec les autres produits de la série Magic, afin de fournir un Wi-Fi encore plus rapide sur votre réseau domestique.
“J’ai mis moins de dix minutes pour couvrir trois étages. Pas besoin d’être ingénieur, c’est pensé pour monsieur tout-le-monde”, témoigne David, en test sur une vieille bâtisse bretonne.
Enfin, deux ports Gigabit Ethernet sont implantés sur chaque module ; vous pourrez ainsi choisir d’alimenter un appareil (console, TV, etc.) à partir de l’un de ses deux ports ou par le biais du Wi-Fi maillé.
Le Magic 2 WiFi 6 next se distingue aussi par une gestion intelligente de la consommation, notamment grâce à la fonction « Target Wake Time », qui met les appareils en veille plus longtemps lorsqu’ils n’ont pas besoin d’une connexion sans fil constante.

De plus, les adaptateurs Magic 2 repassent automatiquement en mode économie d’énergie dès qu’ils ne sont plus en service. Côté sécurité, les utilisateurs bénéficieront d’un chiffrement WPA3 des données !
À l’usage, le Magic 2 WiFi 6 next s’adresse principalement aux maisons à étages, logements anciens ou grandes surfaces où le réseau classique est en souffrance. Pour ceux qui jonglent avec plusieurs appareils et souffrent de zones mortes, c’est souvent le seul remède vraiment efficace. Comptez 270 € le kit de base, jusqu’à 470 € pour le pack multiroom chez la plupart des grands distributeurs !


Si vous vivez en appartement récent, un mesh Wi-Fi standard suffira très probablement. Un adaptateur pour la mise à niveau depuis la version précédente coûte 210 €.
Vous avez testé ce type de solution ou vous hésitez à franchir le pas ? Pensez-vous que cette technologie puisse solutionner tous les problèmes des gamers et des télétravailleurs ? De quel équipement vous êtes-vous dotés ? Dites-nous tout en commentaires !