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Google Gems et ChatGPT Apps : à quoi servent vraiment ces nouvelles applications IA ?

L’intelligence artificielle franchit une nouvelle étape : celle de la création simplifiée. Alors que Google intègre l’outil de création d’apps Opal directement dans Gemini, OpenAI riposte avec un nouveau magasin d’applications pour intégrer des services tiers comme Photoshop au sein de ChatGPT....

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"Je suis horrifié" : l'IA de Google efface l'intégralité du disque D d'un utilisateur, le désastre du "vibe coding"

@Sebsauvage et @Pofilo

Je suis d'accord avec vous : le "vibe coding", c'est une énorme connerie, surtout sans avoir les bases nécessaires, et surtout sans relire le code.

MAIS, vous citez dans les problèmes : "pas de backup".

Alors je vous invite à aller lire la source mentionnée en bas de l'article, sur The Register :
https://www.theregister.com/2025/12/01/google_antigravity_wipes_d_drive/

Je cite :
"Luckily, as he explained on Reddit, most of what he lost had already been backed up on another drive. Phew."

Voilà.
Le mec avait des sauvegardes.
Il a sans doute perdu quelques jours de boulot, mais pas tout.
(Permalink)
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Tout ce que vous pouvez désactiver dans WordPress pour qu'il arrête de vous gonfler

WordPress, c’est bien. Mais WordPress qui injecte des scripts d’emojis, des styles Gutenberg, des shortlinks et 47 autres trucs dont vous n’avez pas besoin dans chaque page de votre site… c’est moins bien évidemment. Heureusement, Terence Eden, un dev qui en avait marre de voir son code source ressembler à un plat de spaghetti, a compilé une petite liste de tout ce qu’on peut virer .

Car WordPress a adopté une philosophie de type “Decisions, not options” (des décisions, pas des options) où en gros, au lieu de vous laisser choisir, ils décident pour vous de ce qui est bon pour vous. Un peu comme Macron ^^. Le problème c’est que leurs décisions incluent un tas de fonctionnalités dont la plupart des gens n’ont rien à faire 🥲.

Par exemple les emojis. J’sais pas si vous savez, mais WordPress charge un script de détection d’emojis et une feuille de style dédiée sur CHAQUE page de votre site. Pourquoi tant de haine ? Hé bien parce que si vous tapez :-) dans un article, WordPress veut le transformer en joli emoji. Sauf que si vous utilisez les vrais emojis Unicode (comme tout le monde en 2025), hé ce script ne sert à rien. Et il y a aussi le grand remplacement des emojis dans les flux RSS…. Bref, tout ça, ça dégage.

Ensuite y’a le formatage automatique avec wptexturize qui transforme vos guillemets droits en guillemets typographiques “comme ça”. Et mon préféré, capital_P_dangit qui remplace automatiquement “Wordpress” par “WordPress” avec le P majuscule. Oui, vous ne le saviez pas, mais WordPress corrige l’orthographe de son propre nom dans vos articles. Mais quelle bande de nazes ^^.

Gutenberg, l’éditeur de blocs que j’adore, injecte lui aussi ses styles globaux même si vous utilisez l’éditeur classique. Et c’est pareil pour les styles de la librairie de blocs et l’éditeur de widgets basé sur les blocs. Si vous êtes resté sur le Classic Editor comme beaucoup de gens, tout ça ne sert alors qu’à alourdir vos pages.

Côté métadonnées, WordPress ajoute aussi pleiiiiin de trucs dans le code de vos pages comme les shortlinks, le RSD (Real Simple Discovery, un truc d’il y a 20 ans), des liens vers les flux de commentaires, les liens JSON de l’API REST…

Aux chiottes toutes ces conneries !

Le script de Terence fait aussi sauter l’ajout automatique des tailles d’images (wp_img_tag_add_auto_sizes), les templates de pièces jointes, et les block hooks qui modifient votre contenu. L’idée c’est donc de reprendre le contrôle sur ce que WordPress génère, au lieu de le laisser décider tout seul.

Et grâce à son script, le site de Terence (sans Philippe) obtient d’excellents scores sur PageSpeed Insights , ce qui prouve que tout ce bloat n’est vraiment pas nécessaire. Son script PHP complet fait environ 190 lignes et il est dispo sur son GitLab , bien commenté pour que vous puissiez choisir ce que vous voulez garder ou virer.

Attention quand même, certaines de ces désactivations peuvent casser des fonctionnalités si vous les utilisez vraiment. Par exemple, si vous avez des plugins qui dépendent de l’API REST, la virer complètement serait une mauvaise idée. Même chose pour les blocks Gutenberg si vous utilisez cet éditeur. L’astuce c’est donc de tester chaque modification une par une et de voir ce qui se passe.

Amusez-vous bien et un grand merci à Terence !

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"Je suis horrifié" : l'IA de Google efface l'intégralité du disque D d'un utilisateur, le désastre du "vibe coding"

@Sebsauvage et @Pofilo

Je suis d'accord avec vous : le "vibe coding", c'est une énorme connerie, surtout sans avoir les bases nécessaires, et surtout sans relire le code.

MAIS, vous citez dans les problèmes : "pas de backup".

Alors je vous invite à aller lire la source mentionnée en bas de l'article, sur The Register :
https://www.theregister.com/2025/12/01/google_antigravity_wipes_d_drive/

Je cite :
"Luckily, as he explained on Reddit, most of what he lost had already been backed up on another drive. Phew."

Voilà.
Le mec avait des sauvegardes.
Il a sans doute perdu quelques jours de boulot, mais pas tout.
(Permalink)
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Context7 - Vos assistants IA vont enfin arrêter d'utiliser de la doc obsolète

Scène du crime, mardi matin, vous demandez à Claude Code de vous générer un middleware Next.js qui vérifiera un JWT dans les cookies. Et l’IA vous pond sans sourciller 15 lignes de code bien propres, bien commentées… Elle est parfaitement confiante et vous ça vous rassure. Vous copiez son œuvre, vous collez. Et là, PAF, une erreur de compilation !!

Hé oui, la fonction qu’elle a utilisée n’existe plus depuis Next.js 14. En gros, Claude Code a halluciné tranquillement avec de la vieille doc pourrie de 2020.

Et dire qu’on a passé 20 ans à se foutre de la gueule des devs qui copient-collent du code depuis de vieux posts Stack Overflow alors qu’aujourd’hui, on copie colle sans réfléchir ce que nous donne une IA qui fait exactement pareil ! C’est ça le progrès les amis !

Hé bien Context7 vient régler exactement ce problème ! Il s’agit d’un serveur MCP (Model Context Protocol) développé par Upstash qui branche votre assistant de code sur la documentation officielle à jour, comme ça vous esquivez les fonctions dépréciées, les API fantômes, et les best practices d’il y a trois ans.

Context7 est donc compatible avec Cursor, Claude Code, Windsurf, VS Code, Zed, Gemini CLI, et tous les éditeurs qui supportent le protocole MCP (donc à peu près tout ce qui existe…) et une fois que c’est en place, y’a plus qu’à l’oublier. Si vous hésitez, y’a une démo ici pour tester .

Mais avant de commencer, sachez que vous aurez besoin de Node.js 18+ pour la méthode locale. Et pour la méthode serveur distant, juste un navigateur et votre éditeur de code.

La méthode serveur distant consiste à aller sur context7.com , à vous créer un compte gratuit, à récupérer une clé API, puis à ajouter cette config dans votre éditeur comme ceci :

{
 "mcpServers": {
 "context7": {
 "url": "https://mcp.context7.com/mcp",
 "headers": {
 "CONTEXT7_API_KEY": "votre_cle_api_ici"
 }
 }
 }
}

Pour Cursor, ouvrez les settings (Cmd+,), cherchez “MCP Servers”, et collez ça dans la config JSON. Pour Claude Code, c’est dans .claude/settings.json à la racine de votre projet. Sauvegardez, redémarrez l’éditeur, et c’est bon.

Et deuxième méthode d’install, c’est en local via npx. Après c’est la même clé API mais la config est légèrement différente :

{
 "mcpServers": {
 "context7": {
 "command": "npx",
 "args": ["-y", "@upstash/context7-mcp", "--api-key", "votre_cle_api_ici"]
 }
 }
}

Voilà, avec cette méthode, le serveur MCP tourne sur votre machine ce qui vous offre un peu plus de contrôle. Et une fois que c’est en place, vous utilisez Context7 en ajoutant simplement “use context7” dans vos prompts. Par exemple : “Créez un middleware Next.js qui vérifie un JWT valide dans les cookies et redirige les utilisateurs non authentifiés vers /login. Utilisez context7”.

L’IA va alors interroger le serveur MCP Context7, récupérer la doc officielle Next.js à jour, et générer du code qui marche vraiment. Et la liste des libs supportées grandit régulièrement : Next.js, React, Vue, Svelte, Tailwind, TypeScript, et des dizaines d’autres…

Voilà, ça prend 3 minutes à installer, ça sauve des heures de debug débile sur des APIs qui n’existent plus, et c’est gratuit pour un usage perso !

Et dans six mois vous aurez oublié que c’est installé et vous vous demanderez comment vous faisiez avant…

Merci à itchrisdeb pour l’info !

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ALTCHA - Le CAPTCHA qui ne file pas vos données à Google

Vous savez ce qui est marrant avec reCAPTCHA ? C’est que pendant des années, on nous a fait déchiffrer des plaques d’immatriculation floues, cliquer sur des feux tricolores bizarres, et identifier des vélos volés dans des images pixelisées, tout ça pour prouver qu’on était pas un robot. Alors qu’en fait, on entrainait gratos les IA de Google à reconnaitre ce genre de choses… Du coup, faudrait savoir s’en passer maintenant.

Et ça tombe bien puisqu’il existe une alternative qui change le game : ALTCHA . C’est un système de protection anti-spam et anti-bot open source qui utilise le Proof-of-Work à la place des puzzles visuels. Comme ça, au lieu de faire bosser votre cerveau ramolli pour Google, c’est votre processeur qui fait le boulot, tout ça en local, depuis chez vous, sans envoyer le moindre octet de donnée à Mountain View.

En gros, quand vous validez un formulaire, votre navigateur résout un petit calcul cryptographique. Pour un humain avec un ordinateur normal, c’est transparent et instantané mais pour un bot qui essaie de spammer 1000 formulaires par seconde, ça devient très vite coûteux en ressources. Et le plus beau c’est qu’il n’y a pas besoin de serveurs externes, pas de tracking, pas de cookies, pas de fingerprinting puisque tout se passe en local.

En plus, ALTCHA pèse 30 KB une fois compressé alors que reCAPTCHA c’est 300 KB… Vous vous demandez pourquoi reCAPTCHA est si gros en vrai ? Hé bien c’est parce qu’il est composé d’un tas de scripts de tracking, de fingerprinting, d’analyse comportementale et j’en passe…

ALTCHA est sous licence MIT , donc vraiment libre et ça fonctionne avec tous les navigateurs modernes (Chrome 67+, Firefox 63+, Safari 11+), avec plus de 50 langues dispo et niveau conformité, c’est carré sa Cnil : GDPR, WCAG 2.2 AA, HIPAA, CCPA…etc.

ALTCHA détecte aussi les headless browsers (les navigateurs sans interface graphique utilisés pour automatiser), les scripts automatisés, et même les bots qui utilisent du machine learning. Le système analyse le contenu et le contexte utilisateur pour adapter le niveau de protection et vous pouvez le déployer partout sans problème : AWS, Azure, Kubernetes, Docker, ou juste sur votre serveur web classique. Il y a même un plugin WordPress si vous voulez pas vous embêter avec du code.

En plus, comme c’est à 100% auto-hébergé, vous ne dépendez d’aucun service externe. Alors que quand reCAPTCHA tombe en panne (spoiler : ça arrive régulièrement), votre site est pété.

Bref, si vous en avez marre de faire bosser les visiteurs de votre site gratos pour Google qui en profite pour les tracker, jetez un œil à ALTCHA . Pour une fois que l’Europe arrête de mendier ses outils de sécurité auprès des géants américains et qu’en plus c’est meilleur, ce serait dommage de s’en priver.

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Linus Torvalds - Le vibe coding c'est cool, mais pas pour du code critique

Linus Torvalds vient de donner son avis sur l’IA et le vibe coding et ça ne va pas plaire à tout le monde, ahahaha.

Hé oui car pendant que le monde tech se déchire entre les évangélistes de l’IA qui veulent tout automatiser et les énervés qui refusent l’IA par principe idéologique, Linus débarque dans le game avec un avis… de complet normie.

Lors de l’Open Source Summit à Séoul qui vient d’avoir lieu, Linus a partagé sa vision sur l’IA générative et le fameux “vibe coding”. Et son avis, c’est que l’IA c’est juste un outil de plus !

Ah putain, ça fait plaisir de lire ça ! ( Tout comme cet article d’ailleurs )

Le vibe coding, pour ceux qui débarquent, c’est ce terme inventé par Andrej Karpathy d’OpenAI qui consiste à décrire ce que vous voulez coder à un LLM. Ce dernière génère alors le code, et vous testez si ça marche ou si ça marche pas. Et ensuite vous demandez des ajustements et ainsi de suite !

Autant dire que c’est devenu un sujet chaud pour pleiiiins de raisons.

Bref, Linus se déclare “plutôt positif” sur le vibe coding mais uniquement comme point d’entrée en informatique. Pour des petits projets, des prototypes rapides…etc c’est top car ça permet à des gens qui ne savent pas coder de faire des trucs super ! Mais après pour du code critique en production, il est cash en expliquant que ça risque d’être “horrible, horrible d’un point de vue maintenance”. Et je ne peux pas lui donner tort.

Linus n’utilise pas personnellement d’IA pour coder mais il voit bien que des gens testent l’IA pour travailler sur du code critique dans le noyau Linux et ça il s’en méfie à raison car les mainteneurs du kernel se prennent régulièrement des bugs reports et des security notices complètement bidons générés par des gens qui utilisent mal les IA.

Les crawlers IA posent aussi des problèmes techniques sur kernel.org car ces bots qui aspirent tout le code pour nourrir leurs modèles font ramer les serveurs. Quoiqu’il en soit, Linus est plutôt modéré sur le sujet de l’IA générative pour coder et attend avec impatience le jour où l’IA sera un truc moins hype. En gros, qu’on arrête d’en parler H24 et qu’on l’utilise juste quand c’est pertinent…

C’est vrai que d’un côté, vous avez ces fifous pro-IA à toutes les sauces qui pensent qu’on va tous devenir des prompt engineers et que les devs vont disparaître (spoiler : non). Et de l’autre, les donneurs de leçons en pureté technologique qui refusent l’IA en bloc sans jamais se poser la moindre question.

Du coup, je vous avoue que je suis content de voir qu’au milieu de tout ce bordel, y’a ce bon vieux Linus qui nous explique que c’est juste un stupide outil et qu’il faut simplement apprendre à l’utiliser intelligemment.

Y’aura bien sûr des comiques qui vont dire que Linus s’est “radicalisé” car avoir un avis nuancé en 2025, c’est devenu extrémiste de ce que j’ai pu voir ces derniers jours, mais sachez que Linus a un peu de bagage historique. Il se souvient par exemple, comme je le disais en intro, du même genre de débats quand les compilateurs sont arrivés. A l’époque, y’avait les puristes du pissage de code qui hurlaient que ça allait tuer le métier de “programmeur” alors qu’au final, ça a juste augmenté la productivité, la sécurité et que ça a permis de faire des trucs plus complexes.

Voilà… l’IA, c’est TOUT PAREIL. Ça va changer la manière dont on code au quotidien, mais ça va pas remplacer les devs (pas tout de suite en tout cas). Ça va juste les rendre plus productifs comme n’importe quel nouvel outil dispo dans votre boite à outils.

Et pour les fans de vibe coding qui veulent quand même l’utiliser sérieusement, gardez en tête les limites du truc. N’oubliez pas que vous ne pouvez pas comprendre ce que le code fait si vous ne le passez pas en revue. Et vous ne pourrez pas le débugger proprement, le maintenir sur le long terme, ou encore le sécuriser si vous ne comprenez pas précisément ce qu’il fait. Donc forcez-vous un peu ;-) !

Merci Linus !

Source

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De prompt en vibe coding, le lexique de l’IA générative entre dans l’usage

Et le mot de l’année 2025 est… vibe coding.

Ainsi en a décidé le Collins.
Le dictionnaire britannique qualifie d’argotique (slang) ce terme qui désigne « l’usage de l’intelligence artificielle en langage naturel pour aider à l’écriture de code infomatique ». Il l’attribue à Andrej Karpathy, membre fondateur d’OpenAI et ancien directeur de l’IA de Tesla. Il a également des entrées pour vibe coder (nom) et vibe-code (verbe).

Sur la shortlist figuraient aussi, entre autres :

  • taskmasking
    « Fait de donner une fausse impression d’être productif au bureau ».
  • broligarchy
    « Petite clique d’hommes très riches qui exercent une influence politique ». En première ligne, les milliardaires de la tech présents à l’investiture de Donald Trump pour son deuxième mandat de président des États-Unis.
  • clanker
    « Terme péjoratif pour un ordinateur, un robot ou une source d’intelligence artificielle ». Il trouve son origine dans la franchise Star Wars et dérive du nom clank, qui désigne un cliquetis, un « bruit sec et métallique »

Les « mots de l’année » du Collins ont régulièrement trait aux technologies :

  • Geek en 2013 (Bitcoin et phablet étaient sur la shortlist)
  • Fake news en 2017
  • NFT en 2021 (crypto, metaverse et hybrid working étaient sur la shortlist)
  • AI en 2023

Je prompte, tu promptes, il prompte…

En France, les dictionnaires de référence n’ont pas encore intégré le vibe coding.

Parmi les mots nouveaux du Petit Robert 2026 (publié en mai 2025) figure l’hypertrucage.
Cette recommandation officielle pour « deepfake » vient du Canada, mais elle « se fait une place en français », nous assure-t-on. Preuve en serait de son emploi dans la version française de l’AI Act.
En parallèle, le mot hallucination voit son sens enrichi (« réponse fausse produite par une intelligence artificielle générative, avec une apparence de vérité »).

Le Petit Robert 2026 a également accueilli « apprentissage profond » (recommandation officielle pour deep learning), « clonage de voix »… et le verbe prompter.

Le substantif prompt était arrivé l’année précédente. Comme « solutionnisme (technologique) »/ »technosolutionnisme« , défini comme une « idéologie qui consiste à rechercher des solutions technologiques aux problèmes (sociaux, écologiques, etc.) sans en examiner les causes profondes ».

L’édition 2024 du Petit Robert avait accueilli métavers et minage (au sens de « validation, en échange d’une rémunération, d’un ensemble de transactions effectuées en cryptomonnaie avant inscription sur une blockchain »). Ainsi que disquette, au sens (familier) de « phrase, formule peu flatteuse, souvent lourde, destinée à séduire quelqu’un » (ou de « parole trompeuse ; mensonge »).

Le modèle de langage est entré dans le Petit Larousse

« Prompter » n’est pas encore dans le Petit Larousse, mais « prompt » y est entré cette année. Comme « modèle de langage« . Et l’adjectif haptique, se référant à une « technologie qui reproduit en temps réel la sensation du toucher dans un environnement virtuel »).

L’édition 2025 du Petit Larousse avait accueilli les noms bot et cyberattaque, l’expression « détox digitale » et le verbe cracker (« faire sauter illégalement les dispositifs de protection d’un système informatique »), venu compléter le substantif cracke(u)r. En 2024, « instagrammable », entre autres, avait fait son entrée.

À consulter en complément :

Canva impose le vibe coding pour le recrutement des développeurs
Vibe coding : bonne ou mauvaise vibe ?
Assistants de codage : un marché volatil où les prix sont peu lisibles

Illustration générée par IA

The post De prompt en vibe coding, le lexique de l’IA générative entre dans l’usage appeared first on Silicon.fr.

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Creative Coding Barcelona

Creative Coding Barcelona is a community exploring the creative possibilities of programming. Its mission is to share knowledge and inspiration about computational art and inspire multidisciplinary collaborations


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