Vue lecture

Si l’humanité disparaissait, voici la créature qui prendrait immédiatement le contrôle du monde

Imaginez un monde où les pieuvres règnent en maîtres absolus. Cette vision, digne d'un film de science-fiction, pourrait-elle devenir réalité ? Des scientifiques avancent une hypothèse surprenante : en cas d'extinction de l'humanité, ces céphalopodes pourraient bien dominer la Terre. Plongeons...

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🌱 Agroécologie : recueil de 15 controverses éclairées par la science – Le Lierre

Un recueil de fiches explicatives sur l'agroécologie, qui en donne une sorte d'état des connaissances scientifiques sur le sujet, afin d'en faire une base pour des échanges que l'on voudrait constructifs.

Via « On est tous contaminés » : la bombe sanitaire des pesticides, entretien de Bouffe de là, émission sur Au Poste.


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Ce que l’on sait de « Tapinoma magnum », la fourmi noire et brillante qui envahit l’Europe

La fourmi noire Tapinoma magnum envahit l’Europe, formant des supercolonies dévastatrices pour les milieux urbains, agricoles et naturels. Sans danger immédiat pour la santé, ces insectes prolifiques bouleversent les écosystèmes, menacent la biodiversité et pèsent lourdement sur l’économie. Face...

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Les 5 bonnes nouvelles sur l'environnement qui redonnent de l'espoir

En matière d’environnement, il faut l’avouer, les bonnes nouvelles sont rares. Mais cela ne veut pas dire qu’il n’y en a pas. Ces informations positives passent malheureusement souvent inaperçues. Futura a décidé de vous faire découvrir les 5 bonnes nouvelles sur l’environnement de l’année 2025...

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Les chercheurs pensaient étudier des dents fossiles, ils ont mis au jour quelque chose de bien plus étrange

La nature ne cesse de surprendre, même là où on ne l’attend plus. Dans une grotte des Caraïbes, des scientifiques ont mis au jour une découverte aussi improbable qu’inédit. Une première mondiale, enfouie depuis des dizaines de milliers d’années.

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Lionceaux euthanasiés, babouins abattus : dans les zoos, le tabou des mises à mort d’animaux en bonne santé – Libération

Les zoos abattent des animaux en parfaite santé, et la raison n'est pas seulement le manque de place, on parle aussi de diversité génétique, etc. Évidemment, la pratique est tabou, et pas du tout vendeuse auprès du grand public.

Il y a quand même cette phrase qui m'a faite rigoler :
> Il a découvert l’abattage de gestion au début de sa carrière. A l’époque, son parc tuait des antilopes en parfaite santé pour nourrir les lions. Un choc.

Ben, tu crois que ça se passe comment dans la nature ? Ils vont à la supérette acheter leur salade bio ?

Et pour celleux qui pensent, de manière tout à fait logique "il suffit de réintroduire les animaux dans leur milieu naturel", on en est malheureusement plus là :
> Une question légitime, reconnaît François Huyghe. Mais ce n’est souvent pas envisageable. A cause de l’état déplorable de notre planète lié aux activités humaines, certaines espèces ne peuvent plus survivre en milieu naturel, notamment en zone intertropicale», déroule le spécialiste.

Bienvenue dans Blade runner.

A noter que la sensibilité diffère selon les pays (spoiler : la France est un pays con) :
> Ainsi, le zoo de Copenhague assume allègrement la pratique du culling. Elle est même mise en scène : le cadavre de Marius [un girafon] a fait l’objet d’une autopsie en public. En 2025, le même établissement a tué un zèbre, avant de le donner aux lions sous le regard des spectateurs. Pour eux, rien de choquant : il s’agit de pédagogie. Même légèreté en Suisse, où un parc présente du gibier que l’on peut ensuite manger au restaurant attenant. Des pratiques impensables en France. «Dans l’Hexagone, les soigneurs n’ont pas le droit de traverser le parc en journée avec un plateau de viande, pour ne pas heurter les visiteurs», pointe Richard.

[...]

> Une sensibilité qui rejoint un tabou plus large : la mort. «Les gens viennent dans les zoos pour rêver, pour s’émerveiller devant les beautés de la nature. Ce sont des moments joyeux en famille. Ils ne veulent pas qu’on leur parle de la mort de telle bestiole», analyse Jean-Marc Charpentier. Pourtant en milieu naturel, la mort d’une proie est souvent insoutenable. Tripes par terre, giclées de sang, agonie… Une réalité à laquelle la plupart des Occidentaux ne sont plus confrontés et qu’ils ne veulent pas voir.

Bref, l'homme ne veut pas voir la mort, et s'y ajoute (je n'ai pas recopié tout l'article non plus) le problème de la "mignonitude à géométrie variable" : un bébé tigre ou un girafon, c'est triste. Un têtard, on s'en branle. Ils sont pourtant dans les statistiques.
(Permalink)
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Lionceaux euthanasiés, babouins abattus : dans les zoos, le tabou des mises à mort d’animaux en bonne santé – Libération

Les zoos abattent des animaux en parfaite santé, et la raison n'est pas seulement le manque de place, on parle aussi de diversité génétique, etc. Évidemment, la pratique est tabou, et pas du tout vendeuse auprès du grand public.

Il y a quand même cette phrase qui m'a faite rigoler :
> Il a découvert l’abattage de gestion au début de sa carrière. A l’époque, son parc tuait des antilopes en parfaite santé pour nourrir les lions. Un choc.

Ben, tu crois que ça se passe comment dans la nature ? Ils vont à la supérette acheter leur salade bio ?

Et pour celleux qui pensent, de manière tout à fait logique "il suffit de réintroduire les animaux dans leur milieu naturel", on en est malheureusement plus là :
> Une question légitime, reconnaît François Huyghe. Mais ce n’est souvent pas envisageable. A cause de l’état déplorable de notre planète lié aux activités humaines, certaines espèces ne peuvent plus survivre en milieu naturel, notamment en zone intertropicale», déroule le spécialiste.

Bienvenue dans Blade runner.

A noter que la sensibilité diffère selon les pays (spoiler : la France est un pays con) :
> Ainsi, le zoo de Copenhague assume allègrement la pratique du culling. Elle est même mise en scène : le cadavre de Marius [un girafon] a fait l’objet d’une autopsie en public. En 2025, le même établissement a tué un zèbre, avant de le donner aux lions sous le regard des spectateurs. Pour eux, rien de choquant : il s’agit de pédagogie. Même légèreté en Suisse, où un parc présente du gibier que l’on peut ensuite manger au restaurant attenant. Des pratiques impensables en France. «Dans l’Hexagone, les soigneurs n’ont pas le droit de traverser le parc en journée avec un plateau de viande, pour ne pas heurter les visiteurs», pointe Richard.

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> Une sensibilité qui rejoint un tabou plus large : la mort. «Les gens viennent dans les zoos pour rêver, pour s’émerveiller devant les beautés de la nature. Ce sont des moments joyeux en famille. Ils ne veulent pas qu’on leur parle de la mort de telle bestiole», analyse Jean-Marc Charpentier. Pourtant en milieu naturel, la mort d’une proie est souvent insoutenable. Tripes par terre, giclées de sang, agonie… Une réalité à laquelle la plupart des Occidentaux ne sont plus confrontés et qu’ils ne veulent pas voir.

Bref, l'homme ne veut pas voir la mort, et s'y ajoute (je n'ai pas recopié tout l'article non plus) le problème de la "mignonitude à géométrie variable" : un bébé tigre ou un girafon, c'est triste. Un têtard, on s'en branle. Ils sont pourtant dans les statistiques.
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