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Amazon casse le prix de cette bague connectée avec un suivi santé complet

Autour des capteur optiques, le capteur d'activité électrodermale de l'Amazfit Helio Ring

L'Amazfit Helio Ring est une bague connectée conçue pour le suivi de santé et la récupération, disponible à 99,90 euros sur Amazon au lieu de 299,90 euros, dans toutes les tailles.
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Quand l'IA vous aide à hacker la mémoire des jeux

Les vieux de la vieille connaissent forcement Cheat Engine puisque c'est LE logiciel culte pour tripatouiller la mémoire des jeux , trouver l'adresse où est stockée votre santé, votre or, vos munitions, et la modifier à la volée. Sauf que manuellement, c'est un travail de fourmi... Trouver un pointeur stable qui ne change pas à chaque redémarrage du jeu, ça peut prendre des jours, voire des semaines de bidouillage.

Hé bien quelqu'un a eu l'idée un peu folle de brancher Claude directement sur Cheat Engine et visiblement le résultat est au rendez-vous.

Le projet s'appelle cheatengine-mcp-bridge et c'est un pont entre les IA compatibles MCP (Claude, Cursor, Copilot) et Cheat Engine. Concrètement, ça veut dire que vous pouvez maintenant demander à Claude de faire le boulot de reverse engineering à votre place, en langage naturel.

Dans cet outil, y'a trois couches qui communiquent ensemble : l'IA qui reçoit vos questions en langage humain, un serveur Python qui traduit tout ça en commandes techniques, et un script Lua côté Cheat Engine qui exécute les opérations sur le processus ciblé.

Et les possibilités sont dingues puisque l'outil expose pas moins de 39 "tools" MCP différents. Vous pouvez lire la mémoire (entiers, floats, strings, pointeurs), suivre des chaînes de pointeurs complexes du genre [[base+0x10]+0x20]+0x8, scanner des valeurs, analyser du code désassemblé, identifier des objets C++ via les infos RTTI, et même poser des breakpoints hardware. Il y a même le support du DBVM, le mode hyperviseur de Cheat Engine qui permet un traçage niveau Ring -1 , beaucoup plus difficile à détecter pour les protections anti-cheat classiques.

Avec ce MCP, vous lancez un jeu, vous demandez à Claude "Scanne l'or, j'en ai 15000". L'IA trouve alors 47 résultats. Vous dépensez un peu d'or dans le jeu, vous dites "Maintenant j'en ai 14900". Claude filtre et garde 3 adresses. Ensuite vous demandez "C'est quoi qui écrit sur la première adresse ?", et hop, breakpoint hardware posé automatiquement. Ensuite, un petit "Désassemble moi cette fonction", et vous avez tout le code de la fonction AddGold devant les yeux.

Tout ce processus qui prenait des heures de tatonnement se fait maintenant en mode conversation.

Pour l'instant c'est en lecture seule, pas d'écriture mémoire possible (probablement une sage précaution) et l'outil utilise les registres de débogage hardware DR0 à DR3, ce qui limite à 4 breakpoints simultanés mais garantit une compatibilité maximale avec les protections anti-cheat basiques.

Côté prérequis, c'est Windows only (à cause des canaux nommés ), Python 3.10 minimum, et Cheat Engine 7.5 ou plus récent. Et l'installation demande quelques étapes également... Il faut d'abord activer DBVM dans les settings de Cheat Engine, charger le script Lua, et configurer le chemin du serveur MCP dans votre IDE. Et n'oubliez pas de désactiver l'option "Query memory region routines" sinon vous risquez un joli écran bleu CLOCK_WATCHDOG_TIMEOUT.

C'est un projet encore frais mais j'ai trouvé ça cool, d'où le partage ici. Bon évidemment, on reste dans le domaine du reverse engineering et du modding de jeux et comme toujours, c'est destiné à un usage éducatif et de recherche donc ne venez pas pleurer si vous vous faites bannir d'un jeu en ligne, hein.

Mais en tout cas, pour les passionnés de rétro-ingénierie, les créateurs de trainers, ou simplement les curieux qui veulent comprendre comment fonctionne un jeu sous le capot, c'est un outil incroyable ! L'IA qui se met au hacking de jeux, on n'arrête vraiment plus le progrès.

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Wattage - Surveillez l'état de santé de votre batterie Linux comme un chef

Je trouve que ce qui manque sous Linux, c'est un petit outil sympa pour garder un œil sur l'état de sa batterie de portable. Alors oui, y'a des trucs par-ci par-là, mais rien de vraiment moderne et surtout complet. Mais c'était sans compter sur Wattage vient combler ce vide aussi immense que votre amour pour mon site ^^.

C'est donc une petite appli GTK4/libadwaita toute fraîche qui vous affiche tout un tas d'infos sur votre batterie. Et quand je dis tout un tas, c'est vraiment tout un tas du genre le nombre de cycles de charge, la capacité actuelle, le voltage, l'état de santé, les métriques d'énergie, les infos constructeur, etc.

L'appli est codée en Vala, ce qui veut dire qu'elle compile en C et que c'est plutôt rapide. Elle va récupérer toutes ses données directement dans /sys/class/power_supply, le dossier système où Linux stocke les infos de vos périphériques d'alimentation.

Le truc cool avec Wattage, c'est qu'elle supporte plusieurs batteries ou sources d'alimentation en même temps, donc si vous avez un setup un peu particulier avec plusieurs batteries, hop, tout s'affiche proprement dans l'interface.

L'interface justement, elle est assez minimaliste et bien fichue puisque vous avez toutes vos stats batterie dans une seule fenêtre, sans menus compliqués, ni options inutiles.

Voilà, alors plutôt que de vous fier uniquement à l'indicateur système classique qui vous dit juste le pourcentage, vous pourrez maintenant voir l'état réel de votre batterie. Comme ça, si elle commence à décliner, ou si le nombre de cycles grimpe trop, vous le saurez. Même chose si la capacité maximale baisse par rapport à la capacité d'origine... Plus rien ne vous échappera.

C'est développé par v81d, dispo sur GitHub , et sous licence GPL v3 et comme tout bon logiciel Linux moderne, Wattage est dispo sur Flathub , donc vous pouvez l'installer sur à peu près n'importe quelle distribution en deux clics. Ubuntu, Fedora, Arch, Mint... tant que vous avez Flatpak installé, vous êtes bons.

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Magic: The Gathering pourrait chambouler son univers avec une Liliana en blanc

Une histoire pré-sortie pour l’extension Lorwyn: Eclipsed de Magic: The Gathering semble annoncer un bouleversement majeur dans la mythologie du jeu de cartes à collectionner. L’épisode 7 (rédigé par Seanan McGuire) poursuit les aventures de Tam, étudiante de Strixhaven blessée après avoir rencontré des difficultés sur Lorwyn. Elle est finalement secourue par les planeswalkers Oko ... Lire plus

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Comment Boston Dynamics compte construire un cerveau pour Atlas

Boston Dynamics que vous connaissez tous pour ses chiens robots tueurs de la mort, vient de sortir une vidéo de 40 minutes. Pas de saltos arrière ou de robots qui dansent mais plutôt une loooongue session où ça parle stratégie IA et vision à long terme. Et comme j'ai trouvé que c'était intéressant, je partage ça avec vous !

Zach Jacowski, le responsable d'Atlas (15 ans de boîte, il dirigeait Spot avant), discute donc avec Alberto Rodriguez, un ancien prof du MIT qui a lâché sa chaire pour rejoindre l'aventure et ce qu'ils racontent, c'est ni plus ni moins comment ils comptent construire un "cerveau robot" capable d'apprendre à faire n'importe quelle tâche. Je m'imagine déjà avec un robot korben , clone de ma modeste personne capable de faire tout le boulot domestique à ma place aussi bien que moi... Ce serait fou.

Leur objectif à Boston Dynamics, c'est donc de créer le premier robot humanoïde commercialement viable au monde et pour ça, ils ont choisi de commencer par l'industrie, notamment les usines du groupe Hyundai (qui possède Boston Dynamics).

Alors pourquoi ? Hé bien parce que même dans les usines les plus modernes et automatisées, y'a encore des dizaines de milliers de tâches qui sont faites à la main. C'est fou hein ? Automatiser ça c'est un cauchemar, car pour automatiser UNE seule tâche (genre visser une roue sur une voiture), il faudrait environ un an de développement et plus d'un million de dollars.

Ça demande des ingénieurs qui conçoivent une machine spécialisée, un embout sur mesure, un système d'alimentation des vis... Bref, multiplié par les dizaines de milliers de tâches différentes dans une usine, on serait encore en train de bosser sur cette automatisation dans 100 ans...

L'idée de Boston Dynamics, c'est donc de construire un robot polyvalent avec un cerveau généraliste. Comme ça au lieu de programmer chaque tâche à la main, on apprend au robot comment faire. Et tout comme le font les grands modèles de langage type ChatGPT, ils utilisent une approche en deux phases : le pre-training (où le robot accumule du "bon sens" physique) et le post-training (où on l'affine pour une tâche spécifique en une journée au lieu d'un an).

Mais le gros défi, c'est clairement les données. ChatGPT a été entraîné sur à peu près toute la connaissance humaine disponible sur Internet mais pour un robot qui doit apprendre à manipuler des objets physiques, y'a pas d'équivalent qui traîne quelque part.

Du coup, ils utilisent trois sources de data.

La première, c'est la téléopération. Des opérateurs portent un casque VR, voient à travers les yeux du robot et le contrôlent avec leur corps. Après quelques semaines d'entraînement, ils deviennent alors capables de faire faire à peu près n'importe quoi au robot. C'est la donnée la plus précieuse, car il n'y a aucun écart entre ce qui est démontré et ce que le robot peut reproduire. Par contre, ça ne se scale pas des masses.

La deuxième source, c'est l'apprentissage par renforcement en simulation. On laisse le robot explorer par lui-même, essayer, échouer, optimiser ses comportements. L'avantage c'est qu'on peut le faire tourner sur des milliers de GPU en parallèle et générer des données à une échelle impossible en conditions réelles. Et contrairement à la téléopération, le robot peut apprendre des mouvements ultra-rapides et précis qu'un humain aurait du mal à démontrer, du genre faire une roue ou insérer une pièce avec une précision millimétrique.

La troisième source, c'est le pari le plus ambitieux, je trouve. Il s'agit d'apprendre directement en observant des humains.

Alors est-ce qu'on peut entraîner un robot à réparer un vélo en lui montrant des vidéos YouTube de gens qui réparent des vélos ? Pas encore... pour l'instant c'est plus de la recherche que de la production, mais l'idée c'est d'équiper des humains de capteurs (caméras sur la tête, gants tactiles) et de leur faire faire leur boulot normalement pendant que le système apprend.

Et ils ne cherchent pas à tout faire avec un seul réseau neuronal de bout en bout. Ils gardent une séparation entre le "système 1" (les réflexes rapides, l'équilibre, la coordination motrice, un peu comme notre cervelet) et le "système 2" (la réflexion, la compréhension de la scène, la prise de décision). Le modèle de comportement génère des commandes pour les mains, les pieds et le torse, et un contrôleur bas niveau s'occupe de réaliser tout ça physiquement sur le robot.

C'est bien pensé je trouve. Et dans tout ce bordel ambiant autour de la robotique actuelle, eux semblent avoir trouver leur voie. Ils veulent transformer l'industrie, les usines...etc. Leur plan est clair et ils savent exactement ce qu'ils doivent réussir avant de passer à la suite (livraison à domicile, robots domestiques...).

Voilà, je pense que ça peut vous intéresser, même si c'est full english...

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Galaxy Ring 2 : Samsung reporterait indéfiniment le lancement de sa seconde génération de bague connectée

Décidément, Samsung fait un gros tri d’hiver dans les produits jugés les plus « bankable ». Après le report sine die du robot domotique Rollie, voilà que le géant sud-coréen envisage de repousser indéfiniment la sortie de la seconde génération de sa bague connectée, la Galaxy Ring 2. Alors que …

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Un joueur accomplit l’impossible dans Elden Ring : vaincre le Géant de feu niveau 1 à mains nues

La communauté des joueurs hardcore d’Elden Ring vient d’assister à un exploit absolument stupéfiant. Un YouTuber a réalisé ce qui semblait relever de la pure fiction : terrasser le redoutable Géant de feu au niveau 1, sans équiper la moindre arme, utilisant uniquement ses poings nus. Un défi d’une difficulté stratosphérique que personne n’avait osé ... Lire plus

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La PlayStation 5 écrase la concurrence lors du Black Friday britannique

Le week-end commercial le plus attendu de l’année a révélé une domination écrasante de Sony sur le marché britannique des consoles. Bien que la Switch 2 demeure le système à la croissance la plus rapide aux États-Unis et affiche des chiffres impressionnants au Japon, son passage au Royaume-Uni pendant le Black Friday s’est avéré plus ... Lire plus

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Samsung signe une offensive massive avec sa meilleure opération commerciale de l’année

L’année touche à sa fin, mais le géant sud-coréen ne ralentit pas. Au contraire, l’entreprise déploie une campagne promotionnelle d’une ampleur inhabituelle, avec des remises significatives sur plusieurs produits phares. De quoi attirer un large public, surtout après une génération d’appareils qui a su convaincre grâce à des améliorations tangibles. La stratégie semble claire : ... Lire plus

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Meshy 6 - La génération de modèles 3D par IA atteint un niveau sculptural

Je viens de tester Meshy et leur nouveau modèle Meshy 6 dispo en preview est très impressionnant ! Donc je ne pouvais pas passer à côté d’un petit article sur mon site. Pour vous faire un topo rapidos, c’est un générateur de modèles 3D par IA qui permet de créer des assets 3D à partir d’une image, d’une photo, d’un assemblage de plusieurs images ou simplement d’une description textuelle (un prompt quoi). Et le résultat est foufou !

Meshy 6 Preview a été lancé mi-octobre et c’est un bond qualitatif énorme par rapport à la version précédente. On parle de détails au niveau “sculptural”, avec des surfaces plus riches, des structures géométriques plus précises, des expressions plus réalistes pour les personnages. Pour les modèles hard-surface (objets mécaniques, architecture…), les bords sont également plus nets et les formes plus claires.

Concrètement vous uploadez une image ou vous tapez une description, et en quelques secondes vous avez un modèle 3D exploitable. Y’a aussi une fonction de texturing IA qui permet de coloriser vos modèles ou d’appliquer la texture de la photo que vous avez uploadée. C’est vraiment bien foutu et vous pouvez même générer des images multi-angles avant la conversion 3D pour un résultat plus précis, ou faire du batch processing pour créer jusqu’à 10 assets d’un coup.

Côté exports, tous les formats standards sont supportés : GLB, FBX, OBJ, STL, USDZ, BLEND… avec les PBR maps (Diffuse, Roughness, Metallic, Normal) pour une intégration directe dans vos outils de prod. Y’a même du rigging automatique et une bibliothèque de plus de 500 animations pour les personnages.

Maintenant le hic c’est qu’en mode gratuit (100 crédits/mois), vous pouvez générer des modèles mais pas les télécharger (en tout cas avec Meshy 6). C’est un peu frustrant mais si vous allez fouiller dans la console développeur de votre navigateur, vous pouvez facilement récupérer le fichier .glb qui est chargé pour la prévisualisation. Ensuite vous le convertissez en STL ou autre format si ça vous amuse. Je dis ça, je dis rien… ^^

Pour ceux qui veulent faire les choses proprement, y’a également un plan Pro à 20$/mois et un plan Studio à 60$/mois avec tous les exports débloqués. La boîte cartonne avec 15 millions de dollars de revenus annuels, 5 millions d’utilisateurs et plus de 40 millions de modèles générés. Ils sont clairement devenus la référence du marché 3D GenAI.

Bref, que ce soit pour du prototypage rapide, du jeu vidéo, de l’impression 3D ou juste pour vous amuser, Meshy 6 vaut vraiment le coup !

Encore merci à Bot_0x pour la découverte !

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Pulse : monitoring Docker (et Proxmox)

Merci Holaf pour la découverte.

Je n’ai plus de Proxmox depuis des années à la maison, je le teste avec Docker : Ubuntu, Synology et UNRAiD.

Ça fait penser à Beszel mais en plus puissant et complet bien entendu.

Pulse s’utilise en toute logique avec un serveur et des agents. Le tout s’installe en Docker ou en dur.

C’est très musclé et sécurisé, ça permet la découverte de réseaux pour ajouter des nodes Proxmox notamment. Je l’utilise de manière très simple pour ce test :

services:
  pulse:
    image: rcourtman/pulse:latest
    container_name: pulse_serveur
    ports:
      - 7655:7655
    volumes:
      - /mnt/user/appdata/pulse:/data
    restart: always

On peut ensuite définir un compte d’accès

pulse
pulse1
pulse2

Je souhaite ajouter des clients Docker

pulse3

Il faudra pour ça générer un token par client

pulse4
pulse5

Et tout est ensuite expliqué pour l’installer ou le retirer. C’est très bien fait.

pulse6

Mais pour ma machine sous UNRAiD je préfère passer par un container Docker

docker run -d \
  --name pulse-docker-agent \
  -e PULSE_URL="http://192.168.0.195:7655" \
  -e PULSE_TOKEN="a297b11d70d16c15e4eb9241ace555a19bff4279c98ffaa92de5bd9d0bc9bab7" \
  -e PULSE_TARGETS="http://192.168.0.195:7655|a297b11d70d16c15e4eb9241ace555a19bff4279c98ffaa92de5bd9d0bc9bab7" \
  -v /var/run/docker.sock:/var/run/docker.sock \
  --restart always \
  ghcr.io/rcourtman/pulse-docker-agent:latest

Et je l’ai tout de suite dans ma liste de clients

pulse7
pulse8
pulse9

Pour un NAS Synology je passe aussi par Docker. En revanche je suis leur recommandation pour ajouter un client sur la machine Ubuntu.

curl -fsSL http://192.168.0.195:7655/install-docker-agent.sh | bash -s -- --url http://192.168.0.195:7655 --token bc6f2c3e562d5c030a1b2b925a6f145050e214359542b3670a79a4a94a971c18

root@StreamBox:/home/aerya# curl -fsSL http://192.168.0.195:7655/install-docker-agent.sh | bash -s -- --url http://192.168.0.195:7655 --token bc6f2c3e562d5c030a1b2b925a6f145050e214359542b3670a79a4a94a971c18

== Pulse Docker Agent Installer ==
[INFO] Primary Pulse URL : http://192.168.0.195:7655
[INFO] Install path      : /usr/local/bin/pulse-docker-agent
[INFO] Log directory     : /var/log/pulse-docker-agent
[INFO] Reporting interval: 30s
[INFO] API token         : provided
[INFO] Docker host ID    : cf13d13b-a0e2-4bc6-b755-2535f80b4932
[INFO] Targets:
[INFO]   • http://192.168.0.195:7655

[INFO] Downloading agent binary
/usr/local/bin/pulse-docker-agent                                                          100%[=======================================================================================================================================================================================================================================>]   6.85M  --.-KB/s    in 0.03s   
[ OK ] Agent binary installed
[ OK ] Cleared any previous stop block for host

== Configuring systemd service ==
[ OK ] Wrote unit file: /etc/systemd/system/pulse-docker-agent.service
[INFO] Starting service
Created symlink /etc/systemd/system/multi-user.target.wants/pulse-docker-agent.service → /etc/systemd/system/pulse-docker-agent.service.

== Installation complete ==
[INFO] Agent service enabled and started
[INFO] Check status          : systemctl status pulse-docker-agent
[INFO] Follow logs           : journalctl -u pulse-docker-agent -f
[INFO] Host visible in Pulse : ~30 seconds

Et j’ai bien mes 3 clients

pulse10
pulse11

Pulse est un outil sécurisé, très simple, très beau, trés complet, très léger. J’adopte !

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Pulse : Le monitoring Proxmox qui ne perd pas le rythme

Bon week-end à tous… enfin, presque ! Parce qu’ici, on n’est pas là pour enfiler des perles, mais pour garder le rythme – celui que j’ai tenté de reprendre depuis quelques jours avec vBlog.io ! Quoi de mieux, d’ailleurs, que de découvrir un petit outil open source qui a du flow ? ^^
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NSX-T : Filtrer les FQDN autorisés/interdits sur DFW

J'étais passé à coté lors de la sortie de NSX-T 3.1 et ça valait le coup d'en parler : vous pouvez désormais créer vos propres listes blanches de domaines accessibles à vos machines dans vos règles NSX. Voyons ça de plus près.
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