Sandisk opte pour un logo épuré et visionnaire
Le spécialiste des solutions de stockage transforme son identité visuelle pour mieux préparer sa séparation avec Western Digital.
C'est par le biais d'un communiqué de presse que le fabricant SanDisk nous informe qu'un nouveau logo représentera la firme à partir de 2025.
The post En 2025 SanDisk arborera un nouveau logo first appeared on Bhmag.Le SSD SanDisk Extreme est un SSD portable qui est équipé d’une coque renforcée. Cela lui permet de résister aux chutes, aux chocs et aux projections d’eau.
The post Le SSD portable SanDisk Extreme prend du galon et offre 8 To de stockage first appeared on Bhmag.Le SanDisk Extreme Pro USB4 est une nouvelle version plus véloce qui est équipée, comme son nom l'indique, d'un port USB4
The post SanDisk Extreme Pro USB4 : un SSD portable très rapide qui débite du 3.800 Mo/s first appeared on Bhmag.Pour le Black Friday, plusieurs cartes mémoires de marque SANDISK et LEXAR sont dispo à petits prix.
The post Pour le Black Friday, de nombreuses cartes mémoires sont en promotion first appeared on Bhmag.Since 2013, Backblaze has published statistics and insights based on the hard drives in our data center. You'll find links to those reports below. We also publish the data underlying these reports, so that anyone can reproduce them. You'll find an overview of this data and the download links further down this page.
Attention si vous possédez un SSD M.2. de marque Western Digital ou SanDisk, certains modèles ont un problème de compatibilité avec la mise à jour 24H2 de Windows 11
The post Attention : il y a un bug entre Windows 11 24H2 et certains SSD Western Digital et SanDisk first appeared on Bhmag.Si vous avez besoin d'une carte mémoire performante, sachez que les cartes micro SDXC SanDisk Extreme Pro sont en promotion en ce moment sur Amazon.fr.
The post Bon Plan : les micro SDXC SanDisk Extreme Pro sont en promo sur Amazon first appeared on Bhmag.Durant le Prime Day d'Amazon, plusieurs cartes mémoires SanDisk Ultra voient leur prix chuter drastiquement. Les capacités suivantes sont proposées à petitx prix : 128 Go, 256 Go, 512 Go, 1 To et 1,5 To.
The post Prime Day : les cartes mémoires micro SDXC SanDisk Ultra de 128 Go à 1,5 To à prix rikiki first appeared on Bhmag.testdisk et photorec sont deux outils libres (GPLv2+) formidables… que l’on souhaite pourtant ne jamais avoir à utiliser ! En effet, les deux sont dédiés à la récupération de données après une panne matérielle, ou une bévue.
Le premier est axé supports de stockage et leurs partitions, le second orienté récupérations de fichiers (mais il est loin de se limiter aux images).
Cocorico : le développeur de ces outils est français, et il a bien voulu répondre à notre sollicitation d’entrevue :).
Bonjour Christophe ! Pouvez-vous présenter votre parcours ?
Quand j’ai commencé à développer testdisk, mon premier outil de récupération de données, j’étais encore étudiant en école d’ingénieur.
Maintenant, cela fait plus de 20 ans que je suis diplômé de l’ESIEA, j’interviens d’ailleurs dans son Mastère Spécialisé Sécurité et Information des systèmes depuis 2004.
Après avoir travaillé dans la sécurité informatique, j’ai travaillé autours des systèmes Linux, du réseau et de la sécurité.
Depuis un peu plus de 10 ans, je suis directeur d’exploitation pour un hébergeur parisien.
Dans le cadre de mon auto-entreprise, je fais de la récupération de données.
Comment avez-vous démarré ce projet ?
Un ami développeur professionnel sous Windows venait d’acheter un nouveau disque dur et pour éviter d’avoir trop de lettres de lecteurs (C:, D:, E:, …) avait décidé de réduire le nombre de partitions de son disque de données ; ce disque contenait 3 partitions.
Il a sauvegardé les données, supprimé les 3 partitions, en a créé 2 et — au moment de restaurer les données — il s’est rendu compte qu’il avait été trop vite et qu’il lui manquait la sauvegarde d’une des partitions.
Sachant que j’avais des connaissances sur le partitionnement des PC (je m’étais intéressé au fonctionnement des virus de boot qui se logeaient dans le premier secteur des disques durs), il m’a contacté.
Armé d’un éditeur hexadécimal, il nous avait fallu la journée pour reconstruire manuellement la table des partitions et récupérer ces données. Un peu plus tard ayant appris les rudiments de la programmation en C, je me suis dit qu’il devait être possible d’automatiser la récupération des partitions et c’est ainsi qu’est né testdisk
en 1998.
Pour photorec
, il a fallu attendre mon premier appareil photo numérique en 2002. Ayant peur de perdre des photos (effacement par mégarde de photos non sauvegardées, reformatage de la mauvaise carte mémoire…), avant même de partir en voyage, j’ai bricolé un programme en C sous Linux capable de récupérer les photos et vidéos prises par mon appareil photo. C’est ainsi que photorec
est né pour récupérer des photos. Il a gardé son nom même s’il récupère des centaines de formats de fichier différents.
Quels sont les points marquants qui ont, selon vous, marqué l’évolution de ces logiciels ?
Les points principaux ayant permis le succès de ces logiciels sont :
photorec
. Certains sont vraiment exotiques.Un point marquant a été la reconnaissance officielle de l’utilisation de ces logiciels par des organismes étatiques.
testdisk
a été conçu pour un public technique, j’ai eu des retours de différents sociétés de récupération de données de part le monde l’utilisant mais en général, elles ne souhaitent pas communiquer sur leur utilisation de logiciels (libres ou du commerce).
Un tournant a eu lieu en 2014 quand le NIST, dans le cadre du Computer Forensics Tool Testing Program (CFTT), a testé et publié ses résultats sur les capacités de photorec
. En comparant les résultats de chaque outil, on découvre que photorec
a les meilleurs résultats (1ère place ex aequo).
Ainsi, photorec
figure dans le catalogue de logiciels que les agences d’États américains peuvent utiliser.
photorec
apparaît dans les diapositives de la formation SecNum Academie de l’ANSSI.
Pourquoi un seul paquet pour deux logiciels, ou pourquoi pas un seul logiciel ?
Quand on parle de testdisk
et photorec
, il y a aussi fidentify
, un outil en ligne de commande qui permet de tester rapidement l’identification de fichiers en utilisant les mêmes parsers que photorec
, sans oublier qphotorec
, une version graphique de photorec
.
Selon les distributions, vous pouvez avoir un package testdisk
comprenant testdisk
, photorec
et fidentify
et un package qphotorec
pour qphotorec
.
testdisk
utilise un accès en écriture au disque, photorec
n’utilise qu’un accès en lecture. photorec
est plus facile d’utilisation que testdisk
, c’est presque du next/next/next, il ne fait que du « file carving » (récupération de fichiers par identification des entêtes).
Quelles sont les fonctionnalités les plus attendues que vous pensez implémenter ?
La vérification formelle du code des parsers de photorec
est ce qui m’a le plus occupé ces dernières années, je continue de travailler dessus.
Je n’ai pas prévu d’implémenter de nouvelles fonctionnalités dans l’immédiat.
Avez-vous des retours d’utilisateurs, des remerciements de personnes qui ont pu grâce à ces outils retrouver une partie de leur vie numérique, ou de grincheux ?
Perdre une partie de sa vie numérique est très stressant.
De fait, j’ai été confronté à des grincheux très agressifs dont un cas extrême de menaces répétées de mort de la part d’un individu qui n’avait pas pu récupérer ses données. Les hébergeurs de ses messageries successives ont agi rapidement lorsque j’ai signalé ses messages, mais je me suis posé la question à ce moment-là si cela valait bien la peine de m’investir autant pour risquer cette violence numérique.
Les retours positifs des utilisateurs et leurs remerciements sont ce qui a permis de me motiver à continuer de développer sur toutes ces années ce projet.
À une époque, je recevais quotidiennement des mails de remerciements et/ou des donations. C’est moins fréquent désormais, mais c’est peut-être parce que les sauvegardes vers le cloud sont beaucoup plus courantes et qu’ainsi les gens ont moins recours à la récupération de données.
Effectivement, perdre une partie de sa vie numérique est très stressant, avez-vous des conseils à donner sur la sauvegarde ?
Ce sont des conseils très généraux :
Sur ces projets, y a-t-il d’autres contributeurs ?
testdisk
et photorec
reçoivent principalement des contributions ponctuelles. J’en profite pour remercier toutes les personnes qui m’ont aidé pour les traductions, pour avoir partagé des fichiers dans des formats exotiques, ou pour avoir contribué au code.
Merci aussi aux personnes ayant participé à la modération du forum et au modérateur actuel !
Y a-t-il des fonctionnalités importantes qui ne seront pas développées, et pourquoi ?
À moins de recevoir des contributions, je ne pense pas pousser davantage le support mac.
Le chiffrement des disques sous Windows va devenir la norme, comme c’est le cas sous macOS. Je pense que cela va freiner le développement de testdisk
et photorec
. La récupération va devenir bien plus complexe en exigeant un déchiffrement préalable.
Des souvenirs marquants de cette expérience ?
Je crois que l’une des anecdotes qui m’a le plus amusé est celle que j’ai reçue en janvier 2007 : dans un premier mail, l’utilisateur explique qu’un appareil photo a été volé dans sa voiture, mais qu’une semaine plus tard, la police a trouvé le coupable et a pu restituer l’appareil photo. Le contenu avait été effacé, mais grâce à photorec
, l’utilisateur avait récupéré plus de 300 photos.
Currently I am recovering over 300 photos using PhotoRec that my sister in law took over the holidays. Our car was broken into and the camera was stolen. A week later the police found the guy! They found the camera, but it had been wiped.
I had read about recovering photo's from flash cards via a story on slashdot, and now here I am.
Quelques heures plus tard, j’ai reçu la suite de l’histoire :
I have recovered some pictures that look to be taken by the thief […]
I am submitting a CD of the data I have recovered to the Detective involved in the case. My little camera was involved in a much larger theft, so hopefully the pictures they took will help nail them all!
Le voleur avait utilisé l’appareil photo, photorec
a permis de récupérer des photos ayant beaucoup intéressé le détective en charge du dossier : celui-ci espère découvrir les autres personnes impliquées dans un vol de plus grande envergure.
Avez-vous eu des échanges avec des éditeurs de logiciels similaires (opensource ou propriétaires) ?
photorec
a été victime de plusieurs contrefaçons.
Dans un cas, un fabricant de carte mémoire a distribué un logiciel de récupération de données, ce fabricant avait sous-traité le développement qui avait « optimisé » son temps de développement en récupérant le code source de photorec
, remplaçant tous les entêtes de copyright et ajoutant une interface graphique.
Après avoir contacté le fabricant, celui-ci a fait rétablir les copyrights manquants et le code a été distribué en GPLv3.
Dans d’autres cas, des développeurs ont volontairement publié des contrefaçons qu’ils revendaient. Après avoir fait fermer leur hébergement plusieurs fois, ils ont fini par trouver un hébergeur bullet-proof, un hébergeur qui ne répondait plus aux plaintes…
Concernant le forum, avez-vous déjà rencontré des difficultés avec le respect du code de conduite ?
La modération sur le forum est obligatoire, les spammeurs sont très nombreux et inventifs en réutilisant par exemple du contenu d’autres sujets. Aucun code de conduite n’a été formalisé.
Le forum ne tient plus que grâce à la présence d’un modérateur, je ne sais pas si cette partie du projet va perdurer.
Quel est votre modèle économique ?
Le projet est né comme un projet personnel et reste géré comme tel.
Je travaille chez Global Service Provider, une société de services et hébergement informatique, qui me permet de disposer gracieusement (Merci à eux) de machines virtuelles (VM), sauvegarde, monitoring pour le projet.
Diverses donations ponctuelles couvrent les frais des différents noms de domaine, mon équipement informatique personnel…
Au niveau personnel, quels logiciels libres utilisez-vous, sur quel système d’exploitation ?
À l’exception des raspberry pi sous Raspbian, les différents ordinateurs de la maison sont sous Fedora Linux.
J’utilise gnome comme environnement graphique, alpine et roundcube pour la messagerie, vim comme éditeur de texte, du docker avec moby, gcc, python…
Et au niveau professionnel ?
Mon ordi portable est aussi Fedora Linux.
Les serveurs Linux que mon équipe et moi gérons sont principalement sous AlmaLinux et Debian.
J’utilise tous les jours ansible (automatisation des configurations), git (versionning), netbox (gestion de datacenters), oxidized (sauvegarde réseau), mediawiki (documentation)…
Merci pour votre disponibilité, et pour ces merveilleux outils !
Commentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Written steps Thanks Volagi for this procedure!!
How to Adjust SRAM AVID BB7 disk brakes
- Note inboard pad is stationary and one closest to the spokes.
- Dial inboard (larger dial) all the way out CCW (Counter-clockwise) using T25 Torx screwdriver
- Dial outboard dial all the way out CCW.
- Mark inboard dial with sharpie (for step 6)
- Loosen 2 mounting bolts with hex wrench enough so body can move..
- Turn inboard CW (Clockwise) 1 full revolution, using sharpie marking as guide.
- While pushing caliper body towards mounting bracket, turn outboard CW all the way until it stops.
- Tighten mounting bolts, keep washers straight and aligned on bolts so body does not get misaligned.
- Turn outboard dial a few big turns by hand CCW (~1/2 a revolution)
- Keep adjusting CCW until not much noise (1 or 2 spoke ping every revolution or so)
- Then adjust inboard CCW 3 clicks, if needed to reduce noise.
- Then adjust outboard CCW and then CW if needed, until truly no noise. (or just small scrapes). Use finger (carefully) to push up on moving caliper piece to stop wheel from spinning while adjusting.
Here are some tips I've found most helpful when setting these up:
1) Assure wheel is fully seated into the drop outs and that your qrs are firmly tightened.
2) Adjust the caliper first with cable and housing fully disconnected
3) Put a large white sheet or board on the floor beneath the bike to help you visually check pad clearance.