Avez-vous déjà rêvé d’apprendre une nouvelle langue de manière plus naturelle et intuitive ? Eh bien, Google pourrait bien avoir la solution avec sa toute nouvelle expérience Google Labs : Little Language Lessons. Accrochez-vous, car cet outil alimenté par Gemini pourrait révolutionner votre façon d’apprendre les langues ! Qu’est-ce que Little Language Lessons ? Imaginez un tuteur […]
Stocker ses données est devenu un enjeu central, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Deux grandes solutions s’affrontent : le cloud public et le stockage NAS local.
Le cloud, avec des services comme Google Drive, Dropbox ou iCloud, séduit par sa facilité d’accès. Les données sont accessibles depuis n’importe quel appareil connecté à Internet, la synchronisation est automatique et les sauvegardes sont gérées par le fournisseur.
De plus, ces services proposent souvent des applications mobiles intuitives permettant de gérer ses fichiers à distance en quelques clics. Cependant, cette solution implique de confier ses fichiers à des acteurs tiers, souvent hors d’Europe, soulevant des questions de confidentialité et de souveraineté des données.
À l’inverse, un NAS permet d’héberger ses données chez soi ou dans son entreprise. De nombreux utilisateurs de Raspberry Pi ont d’ailleurs transformé leur mini-ordinateur en véritable serveur NAS grâce à des solutions comme OpenMediaVault ou Nextcloud.
Certains modèles de NAS grand public intègrent même des fonctions avancées comme la gestion de vidéosurveillance ou la synchronisation multi-sites. Cette approche offre un contrôle total sur les fichiers, des économies sur le long terme, et évite de dépendre d’abonnements récurrents. Elle demande toutefois un minimum de configuration initiale.
L’avantage du NAS réside également dans sa capacité à s’adapter à l’évolution de vos besoins en ajoutant simplement de nouveaux disques de stockage.
Pour les utilisateurs recherchant un compromis entre sécurité et simplicité, certains services européens comme pCloud proposent des solutions hybrides. Leurs serveurs conformes aux normes RGPD assurent la confidentialité tout en offrant la praticité du cloud.
En 2025, il n’existe pas de solution universelle. Le choix entre NAS et Cloud dépendra surtout de vos priorités : confidentialité maximale ou confort d’utilisation.
Stocker ses données est devenu un enjeu central, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Deux grandes solutions s’affrontent : le cloud public et le stockage NAS local.
Le cloud, avec des services comme Google Drive, Dropbox ou iCloud, séduit par sa facilité d’accès. Les données sont accessibles depuis n’importe quel appareil connecté à Internet, la synchronisation est automatique et les sauvegardes sont gérées par le fournisseur.
De plus, ces services proposent souvent des applications mobiles intuitives permettant de gérer ses fichiers à distance en quelques clics. Cependant, cette solution implique de confier ses fichiers à des acteurs tiers, souvent hors d’Europe, soulevant des questions de confidentialité et de souveraineté des données.
À l’inverse, un NAS permet d’héberger ses données chez soi ou dans son entreprise. De nombreux utilisateurs de Raspberry Pi ont d’ailleurs transformé leur mini-ordinateur en véritable serveur NAS grâce à des solutions comme OpenMediaVault ou Nextcloud.
Certains modèles de NAS grand public intègrent même des fonctions avancées comme la gestion de vidéosurveillance ou la synchronisation multi-sites. Cette approche offre un contrôle total sur les fichiers, des économies sur le long terme, et évite de dépendre d’abonnements récurrents. Elle demande toutefois un minimum de configuration initiale.
L’avantage du NAS réside également dans sa capacité à s’adapter à l’évolution de vos besoins en ajoutant simplement de nouveaux disques de stockage.
Pour les utilisateurs recherchant un compromis entre sécurité et simplicité, certains services européens comme pCloud proposent des solutions hybrides. Leurs serveurs conformes aux normes RGPD assurent la confidentialité tout en offrant la praticité du cloud.
En 2025, il n’existe pas de solution universelle. Le choix entre NAS et Cloud dépendra surtout de vos priorités : confidentialité maximale ou confort d’utilisation.
Stocker ses données est devenu un enjeu central, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Deux grandes solutions s’affrontent : le cloud public et le stockage NAS local.
Le cloud, avec des services comme Google Drive, Dropbox ou iCloud, séduit par sa facilité d’accès. Les données sont accessibles depuis n’importe quel appareil connecté à Internet, la synchronisation est automatique et les sauvegardes sont gérées par le fournisseur.
De plus, ces services proposent souvent des applications mobiles intuitives permettant de gérer ses fichiers à distance en quelques clics. Cependant, cette solution implique de confier ses fichiers à des acteurs tiers, souvent hors d’Europe, soulevant des questions de confidentialité et de souveraineté des données.
À l’inverse, un NAS permet d’héberger ses données chez soi ou dans son entreprise. De nombreux utilisateurs de Raspberry Pi ont d’ailleurs transformé leur mini-ordinateur en véritable serveur NAS grâce à des solutions comme OpenMediaVault ou Nextcloud.
Certains modèles de NAS grand public intègrent même des fonctions avancées comme la gestion de vidéosurveillance ou la synchronisation multi-sites. Cette approche offre un contrôle total sur les fichiers, des économies sur le long terme, et évite de dépendre d’abonnements récurrents. Elle demande toutefois un minimum de configuration initiale.
L’avantage du NAS réside également dans sa capacité à s’adapter à l’évolution de vos besoins en ajoutant simplement de nouveaux disques de stockage.
Pour les utilisateurs recherchant un compromis entre sécurité et simplicité, certains services européens comme pCloud proposent des solutions hybrides. Leurs serveurs conformes aux normes RGPD assurent la confidentialité tout en offrant la praticité du cloud.
En 2025, il n’existe pas de solution universelle. Le choix entre NAS et Cloud dépendra surtout de vos priorités : confidentialité maximale ou confort d’utilisation.
Dans mes activités de Maker, il m'arrive de tourner des pièces sur un tour Proxxon PD210 (ancien modèle) en vue de réaliser des assemblages.
Proxxon PD210
Préambule
Plus récemment, j'ai décidé de monter un Binoculaire fixe sur les bras de support d'écran pour ordinateur. J'ai donc eu besoin de réaliser un axe (en laiton) avec un filet M7 d'un côté et un filet M10 de l'autre. Le problème c'est qu'une filière de mauvaise qualité à complètement détruit/saboter mon axe du côté M10.
Quelle frustration d'avoir la dernière étape (filetage M10) qui ruine tout un travail!
Solution
Apprendre à faire du filetage métrique au tour! Sur le fond, c'est possible puisque le Proxxon PD210 dispose d'un mécanisme d'avance automatique.
Il faut juste régler l'avance pour obtenir le pas souhaité qui est de 1.5mm pour du Métrique 10.
Cette vidéo permet de se familiariser avec la technique et les bonnes pratiques à employer.
Identifier le pas
Le tableau ci-dessous permet d'obtenir les différentes informations pour le filetage métrique d'un axe (une vis). Nous verrons une autre fois pour les écrous.
Pour une vis en métrique 10, le diamètre de départ de la vis est 10mm.
Vient ensuite le tableau de correspondance diamètre/pas. Durant la sélection:
Commencer par la sélection du Diamètre (du Métrique) par la première colonne de préférence.
Opter éventuellement pour un diamètre en colonne 2 ou en colonne 3 en dernier ressort.
Sélectionner le "PAS GROS" en priorité. Réserver un pas-fins en seconde option.
Dans l'image ci-dessous, le "PAS GROS" pour le diamètre 10mm est 1.5mm.
Filetages Métriques et pas de vis
Configurer l'avance
Maintenant que nous avons notre diamètre de départ (10mm) et notre pas (1.5mm), il faut configurer les engrenage pour que l'avance automatique correspond exactement à un pas de 1.5mm
Configuration avec avance 0.1mm (idéale pour les passes automatiques)
Les bandes noires (gauche + haut) définissent la vitesse du mandrin. Dans l'image ci-dessus, c'est la configuration H-2 (1710 tours/minutes). Note: pour tourner un filet il est préférable de diminuer la vitesse de rotation.
Proxxon PD210 - rotation speed
Ensuite, il faut configurer les engrenages du Proxxon pour obtenir l'avance souhaitée (soit un pas de 1.5mm).
Voici le tableau qui va nous aider à sélectionner les engrenages adéquats.
Proxxon PD210 - Avance automatique Métrique
Pour une avance de 1.5mm par tour (le pas), il faut configurer:
W sur 15 dents. L'engrenage W sur le mandrin n'est pas amovible.
Z1-Z2 permet d'identifier l'engrenage double 15-dents-vers-30-dents.
Z1 de 15 dents est branché sur le mandrin 15 dents.
Z2 de 30 dents (la 2ieme partie de l'engrenage double) sera connecté sur l'engrenage L.
L de 20 dents est monté sur la vis d'entraînement du chariot.
Avec cela, j'espère que mon métrique 10 sera réussi.
Les filets impériaux
Nombres de pays utilisent toujours les le pouce comme unité de base. C'est le cas des éléments mécanique usinés aux Etats-Unis où pour les domaines particuliers comme l'Archerie.
Pour compléter cette documentation, voici la configuration impériale (US) avec le nombre de filets par pouce. Vous avez peut-être déjà croisé la notation #40.
Proxxon PD210 - Avance automatique Impériale
Cela ne nous renseignent pas encore sur les diamètres des vis.
Investissement décidément bien utile
Fort de toutes ces informations, j'ai fait une tentative de filetage finalement fructueuse. J'ai donc tourné une nouvelle pièce avec filetage M10 & M8 au tour.
2ieme axe fileté au tour (en bas)
Ce qui permet, cette fois, de finaliser l'assemblage
Assemblage de l'axe tri-oculaire sur les bras d'écran
Raison de cet article
Cet article est aussi un projet de documentation. Je n'ai pas la documentation du tour et les grilles d'information dans le couvercle n'est pas des plus lisible. C'est donc l'occasion de reproduire les grilles dans un format parfaitement lisible.
A l'occasion, je m'attarderais sur le filetage intérieur (comme les écrous).
Face aux changements constants de l’écosystème numérique, les sites web ne peuvent en aucun cas demeurer statiques. Ils doivent plutôt faire l’objet de maintenances régulières. Ainsi, à l’instar de tous les CMS, un site Drupal nécessite également un contrôle particulier. À quel moment peut-on auditer son site Drupal ? Explorez cet article pour en savoir plus !
Lors d’une montée de version ou une refonte importante
La refonte d’un site internet consiste à le modifier en profondeur que ce soit sur le plan graphique ou structurel. Quel que soit l’objectif poursuivi par cette montée, il est primordial d’effectuer un audit. En effet, cette opération permet d’évaluer le parcours de conversion, les modules et tous les éléments préexistants.
Cet audit garantit que les évolutions n’altèrent ni les performances ni la compatibilité du site web. Pour être accompagné dans cette démarche, vous pouvez faire appel à un partenaire expérimenté. Ainsi, si vous voulez auditer votre site Drupal, Parker+Parker est l’entreprise qu’il vous faut. En connaissance de cause, vous pourrez par la suite connaître les modifications à apporter et les erreurs à éviter.
En cas de doute sur la sécurité ou les performances
La sécurité d’un site web est une priorité aussi bien pour les moteurs de recherche que pour les utilisateurs. De ce fait, un audit de sécurité s’impose sur les CMS, notamment Drupal dès que vous détectez des vulnérabilités potentielles. Par ailleurs, lorsque vous remarquez que le site devient lent, ou inaccessible, auditez-le, car il pourrait être victime de cyberattaques.
À intervalles réguliers, pour maintenir une bonne hygiène technique
Que vous receviez des alertes ou non, il est conseillé de faire un audit périodique. Cette opération permet de cerner les défaillances de votre site et de mettre à jour les modules. Un audit régulier permet de vérifier la performance et d’améliorer l’expérience utilisateur. Cette approche s’intègre dans une logique de gouvernance responsable.