Les campagnes d’emailing génèrent chaque jour une masse considérable de données, mais leur interprétation reste souvent approximative. Bien qu’il soit l’indicateur phare des tableaux de bord marketing, le taux d’ouverture ne reflète pas toujours la performance réelle d’une stratégie de communication.
Pour les responsables marketing et CRM, il est essentiel de bien comprendre ce que mesure ce chiffre et de savoir l’interpréter avec nuance afin d’affiner la pertinence des campagnes. Découvrez ici comment analyser efficacement vos résultats !
Récap sur ce que représente le taux d’ouverture et ses limites
Le taux d’ouverture indique le pourcentage de destinataires ayant chargé les images d’un email, ce qui signale son affichage effectif. Les statistiques sont collectées grâce au chargement d’un pixel de suivi intégré, mais l’efficacité de la communication dépend de nombreux paramètres techniques.
En réalité, de nombreux destinataires des messageries sécurisées utilisent des filtres anti-tracking qui créent des écarts et faussent la précision des résultats. Avant d’interpréter vos chiffres, il est utile de les comparer aux standards du marché.
Le taux d’ouverture moyen emailing reste un excellent point de repère pour situer vos campagnes. Cette référence offre une première base d’évaluation, mais elle doit toujours être replacée dans le contexte de votre fréquence d’envoi et du type de contenu adressé.
Identifier des repères fiables pour évaluer ses résultats
Les moyennes observées varient selon les secteurs : les campagnes B2C affichent souvent des taux supérieurs à celles du B2B. Quant aux newsletters communautaires à forte valeur ajoutée, elles peuvent dépasser les 30 %.
L’évaluation doit donc suivre l’évolution de vos propres performances et se baser sur des indicateurs cohérents et homogènes plutôt que de se limiter à des moyennes globales qui ne reflètent pas toujours la réalité de vos audiences.
Améliorer la performance et croiser les indicateurs
L’objet du message, la clarté du pré-header et le bon timing d’envoi constituent les leviers les plus immédiats pour stimuler l’ouverture. La délivrabilité joue également un rôle clé : un bon contenu mal distribué ne produira aucun effet.
Un excellent taux d’ouverture n’a de sens que s’il conduit à un engagement réel. L’analyse doit inclure les clics, la durée de lecture et les conversions afin d’obtenir une vision complète de la performance.
Il aura fallu beaucoup trop de temps pour que ça se produise, et je l’aurai travaillé au corps une paire de fois le gaillard, mais voilà, ceci est le premier billet invité de l’unique, l’irremplaçable Pierre-Marie ! Parce que c’était à la fois trop con comme cible de jeu, mais surtout trop rigolo vu le mix de technos abordées, parce qu’on va parler de Pokemon, de Sunshine/Moonlight (le titre ne ment pas), de wakeonlan, de Kubernetes, de Fission. Oui, tout ça en même temps. Vous comprenez mon enthousiasme ?
La puissance des algorithmes de ciblage
Au détour de mon scrolling sur X, je suis tombé sur un post parlant de jeux vidéos (l’algorithme est bien foutu) et sur une injonction à s’inscrire sur PokeMMO.
Pas fan hardcore de Pokémon, j’ai quand même bien poncé les deux premières gen et me suis tenté à la troisième.
Je fais partie des gens qui n’attendent plus grand chose de Game Freak qui, selon moi, ressort en boucle les mêmes jeux sans vraiment d’innovation.
Au contraire, côté développement non officiel, on retrouve des jeux dérivés comme Pokémon Showdown, qui malgré que ce ne soit pas mon style de jeu, attire une grande communauté et qui aurait pu donner des idées à Nintendo pour renouveler la licence.
J’ai, par exemple, plus apprécié le rom hack Pokémon Adventures Red Chapter basé sur l’excellent manga Pokémon La Grande Aventure que le remake Let’s Go Evoli.
Bref, je suis donc allé voir ce qu’était ce PokeMMO, et me suis motivé pour me lancer dessus. Ça tombe bien, je pars 2 semaines en vacances et il faudra bien occuper mes soirées au coin de la clim. (article commencé au mois de Juillet). PokeMMO propose un installer pour Windows, Linux, iOS, Android et même un package pour OS alternatif (j’ai vu pas mal de gens qui installaient ça sur une console portable de type Retroid).
Personnellement, j’ai à ma disposition une PsVita et une Switch, toutes deux libérées et qui me servent lors de mes sessions retrogaming. L’option téléphone/tablette est pour moi rédhibitoire ne possédant pas de manette compatible et aimant beaucoup trop les boutons physiques pour jouer au tactile.
Installer Android sur Switch me semblant trop fastidieux, j’ai décidé de partir sur une autre voie. Étant obligé d’être connecté pour jouer quoi qu’il arrive (le O de MMO, hein), je me penche sur Moonlight, que j’avais déjà testé il y presque 10 ans. Il y a des clients pour Switch et PsVita (et pour beaucoup d’autres OS/appareils) donc ça pourrait correspondre à mes besoins.
Installation de Sunshine/Moonlight
Moonlight, pour vulgariser, c’est un client non-officiel pour le protocole Nvidia Gamestream qui vient se connecter à un ordinateur distant pour le contrôler à distance. Il a la force de supporter les contrôleurs locaux et de transmettre au PC distant à la manière d’un Steam Link. Pour pouvoir streamer vers un client Moonlight, il faut un serveur sur la machine cible. Le logiciel Nvidia GeForce Experience permet cela mais la « nouveauté » par rapport à mon essai d’il y a 10 ans, c’est le serveur Sunshine qui permet de s’affranchir du logiciel de Nvidia.
L’installation de Sunshine se fait via l’installateur dédié à la distribution cible en quelques secondes. Une fois installé, Sushine se configure via une interface web accessible en local. Elle permet de gérer les différents clients (appairage, suppression…), les différentes applications et les options de streaming (encodage, bitrate…).
Le première étape est de créer un couple utilisateur/motdepasse pour protéger l’accès à cette interface.
Interface de configuration de Sunshine: Creation du mot de passe
Par défaut, Sunshine propose deux applications: Bureau et Steam Big Picture (même si Steam n’est pas installé sur le système)
Interface de configuration de Sunshine: Applications
J’installe donc PokeMMO et le configure comme Application dans Sunshine. Je reprends simplement les valeurs trouvées dans le raccourci Bureau qui a été crée lors de l’installation. Il détecte même la miniature automatiquement.
Interface de configuration de Sunshine: Création de l’application PokeMMO
J’installe le client Moonlight sur les deux appareils. Le client détecte automatiquement le PC supportant Sunshine et affiche un code d’appairage à entrer dans Sunshine.
Interface de Moonlight: Détection
Interface de configuration de Moonlight: Appairage
Interface de Sunshine: appairage
L’appairage se déroule sans problème et je peux tester le stream en local.
Interface de Moonlight: Écran d’accueil
Je lance l’application Bureau et ça me permet de confirmer qu’il est bien possible d’ouvrir une session Windows à distance.
Interface de Moonlight: Bureau
Pour le stream distant, il faut juste s’assurer que Upnp est activé sur le routeur et cocher une case dans la configuration de Sunshine.
Interface de configuration de Sunshine: Activation de l’Upnp
(ndr: sinon il faut définir les ports et ouvrir manuellement/créer les redirections de port; l’IP fixe pour le PC de jeu est fortement recommandée dans ce cas)
Fini ?
On aurait pu s’arrêter là, mais bon, je suis pas fan de laisser tourner le PC H24 pendant 2 semaines juste pour l’utiliser quelques heures. Moonlight propose une fonctionnalité bien pratique de Wake On LAN pour démarrer un ordinateur à distance, mais voilà, ça ne fonctionne qu’en réseau local (en même temps c’est dans le nom).
Il faut donc trouver le moyen de le faire fonctionner à distance. J’ai plusieurs dispositifs à ma disposition.
Mon routeur PfSense permet de d’envoyer des paquets WoL mais uniquement via l’interface, pas d’API disponible. Il faudrait se connecter à l’interface via VPN pour lancer la commande. C’est trop lourd et pas assez flexible.
Solution suivante, utiliser le cluster k3s qui tourne à la maison.
Utilisation de k3s
On teste la faisabilité du process en lançant un pod temporaire contenant la commande wakeonlan mais ça ne fonctionne pas car l’appareil ciblé n’est pas sur le LAN du cluster k3s comme l’est le pod.
En cherchant un peu, on trouve qu’il faut configurer le pod pour qu’il tourne dans le réseau hôte, le réseau des nœuds.
Reste à trouver le moyen de lancer ça simplement, via un appel HTTP par exemple. Je viens justement de déployer un système de micro-services : Fission. Fission permet de déployer des fonctions de micro-services à la manière d’un système Serverless comme Lambda. Ça me permettrait de recevoir une requête HTTP avec en paramètre l’adresse MAC cible et d’envoyer la requête WoL avec un simple code python.
Installation de Fission
L’installation de Fission est simple si on passe par leur chart Helm. On a juste à surcharger quelques valeurs grâce au fichier values.yml suivant.
## Fission chart configuration
##
## routerServiceType to consider while creating Fission Router service.
## For minikube, set this to NodePort, elsewhere use LoadBalancer or ClusterIP.
##
routerServiceType: ClusterIP
## defaultNamespace represents the namespace in which Fission custom resources will be created by the Fission user.
## This is different from the release namespace.
## Please consider setting `additionalFissionNamespaces` if you want more than one namespace to be used for Fission custom resources.
##
defaultNamespace: fission
La documentation fission nous apprend qu’on peut modifier les spécifications des pods. Il y a même un tutoriel pour déployer un exemple.
# On créé un dossier dédié
mkdir wol-fn
cd wol-fn
# On initialise le dossier specs
fission spec init
# On créé l'environnement qui fera touner le code python
fission -n fission env create --spec --name python-wol --image ghcr.io/fission/python-env --builder ghcr.io/fission/python-builder
# On créé le dossier de la fonction
mkdir wol
# On créé un fichier requirements.txt avec le module python dont nous avons besoin
echo "wakeonlan" > wol/requirements.txt
# On créé le fichier contenant le code python à exécuter
touch wol/wol.py
from flask import request
from wakeonlan import send_magic_packet
import re
def main():
mac = request.args.get('mac')
if mac is None:
return "Please send a MAC address"
else:
if re.match("[0-9a-f]{2}([-:]?)[0-9a-f]{2}(\\1[0-9a-f]{2}){4}$", mac.lower()):
send_magic_packet(mac)
return "Sending magic packet to 255.255.255.255 with broadcast 255.255.255.255 MAC %s port 9" % (mac)
else:
return "%s is not a valid MAC format" % (mac)
On créé la spécification pour la fonction qui décrit quel code doit être exécuté et le trigger HTTP qui détermine quelle URL déclenche son exécution.
# On créé la spécification pour la fonction
fission -n fission function create --spec --name wol-fn --env python-wol --src "wol/*" --entrypoint wol.main
# On créé la spécification pour la route.
# Avec les annotations permettant de créer l'ingress rule sur Traefik
fission -n fission route create --spec --name wol-fn-get --method GET --url /wake --function wol-fn --createingress --ingressrule "test.domain.tld=/wake" --ingressannotation "kubernetes.io/ingress.class=traefik" --ingressannotation "traefik.ingress.kubernetes.io/router.entrypoints=websecure" --ingressannotation 'traefik.ingress.kubernetes.io/router.tls="true"' --ingressannotation "traefik.ingress.kubernetes.io/router.tls.certresolver=letsencrypt"
On a maintenant un dossier contenant la fonction et son environnement standard.
La directive hostNetwork permet comme vu plus haut de faire tourner le pod sur le réseau hôte.
Avec juste cette modification, on a une erreur à l’exécution du code parce que le pod n’arrive pas à aller chercher l’archive contenant le code de la fonction sur le stockage partagé de Fission.
{
"level": "error",
"ts": "2025-08-22T15:55:03.884Z",
"logger": "generic_pool_manager.generic_pool.fetcher_client",
"caller": "client/client.go:114",
"msg": "error specializing/fetching/uploading package, retrying",
"error": "Internal error - error fetching deploy package: failed to download url : Get \"http://storagesvc.fission/v1/archive?id=%2Ffission%2Ffission-functions%2Ffc6798a9-95c3-47cb-8797-28f842162f83\": dial tcp: lookup storagesvc.fission on 9.9.9.9:53: no such host",
"url": "http://X.X.X.X:8000/specialize",
"stacktrace": "github.com/fission/fission/pkg/fetcher/client.sendRequest\n\tpkg/fetcher/client/client.go:114\ngithub.com/fission/fission/pkg/fetcher/client.(*client).Specialize\n\tpkg/fetcher/client/client.go:56\ngithub.com/fission/fission/pkg/executor/executortype/poolmgr.(*GenericPool).specializePod\n\tpkg/executor/executortype/poolmgr/gp.go:467\ngithub.com/fission/fission/pkg/executor/executortype/poolmgr.(*GenericPool).getFuncSvc\n\tpkg/executor/executortype/poolmgr/gp.go:553\ngithub.com/fission/fission/pkg/executor/executortype/poolmgr.(*GenericPoolManager).GetFuncSvc\n\tpkg/executor/executortype/poolmgr/gpm.go:242\ngithub.com/fission/fission/pkg/executor.(*Executor).createServiceForFunction\n\tpkg/executor/executor.go:239\ngithub.com/fission/fission/pkg/executor.(*Executor).serveCreateFuncServices.func1\n\tpkg/executor/executor.go:143"
}
On voit qu’il cherche à contacter storagesvc.fission et qu’il n’arrive pas à résoudre ce hostname, ce qui est normal étant donné qu’il s’agit d’un nom interne au cluster et que le pod tourne désormais sur le hostNetwork. La directive dnsPolicy: ClusterFirstWithHostNet permet de forcer d’essayer la résolution en interne au cluster avant de tenter en externe sur le hostNetwork et résout ce problème.
Il ne reste qu’à déployer.
# On vérifie la syntaxe
fission spec validate
# On déploie
fission spec apply --wait
# On test via Fission CLI
fission -n fission function test --name wol-fn --method GET -q "mac=a1:b2:c3:d4:e5:f6"
# On test via HTTP depuis l'extérieur
curl "https://test/domain.tld/wake?mac=a1:b2:c3:d4:e5:f6"
Pour faire simple, ajouter l’URL en raccourci sur le téléphone et en un clic, le PC est démarré. Personnellement, je l’ai intégré dans mon Home Assistant avec un bouton dédié.
Home Assistant Dashboard
Finalisation de la configuration
Celui qu’on adore détester
Il reste deux ou trois détails à régler. Par défaut, depuis Windows 10, quand on arrête le système, il se place en réalité dans un mode de veille prolongée pour permettre un démarrage plus rapide. Hors le *Wake On LAN* ne fonctionne pas sur ce mode de sommeil. Microsoft documente ça très bien ici. Il y est également expliqué comment désactiver ce mode pour pouvoir rétablir un mode d’extinction « normal ».
Je vous les remets à l’identique:
Dans Panneau de configuration, ouvrez l’élément Options d’alimentation
Sélectionnez le lien Choisir ce que les boutons d’alimentation font
Désactivez la case à cocher Activer le démarrage rapide (recommandé)
Sélectionnez Enregistrez les paramètres.
Une fois cette modification effectuée, le Wake On LAN est complètement fonctionnel.
La fin
Et donc, puisqu’on a abordé le sujet, comment se passe l’extinction ? Vous vous rappelez ? le but de tout ce foutoir, c’était d’éviter de garder le PC allumé pendant deux semaines. On a parlé du démarrage, mais quid de l’arrêt ?
Le plus simple est de lancer une session Bureau dans Moonlight et d’aller cliquer sur le menu Démarrer puis le bouton Arrêter comme à la maison. Mais on peut aussi déclarer des applications dans Sunshine et il exécutera la commande associée à cette application.
J’ai donc créer une application nommée Shutdown qui lance la commande suivante shutdown /s /f /t 0.
Interface de configuration de Sunshine: Shutdown Application
Quand elle est lancée depuis le client Moonlight, elle éteint le PC distant.
Feedback et Conclusion
Puisque je suis rentré depuis, je peux débriefer ces 2 semaines d’utilisation, ça fonctionne super, le seul défaut que j’ai eu est qu’une fois le Shutdown n’a pas fonctionné et je ne l’ai pas vu tout de suite. Les fois suivantes, j’ai juste eu à bien vérifier le status dans le menu.
Interface de Moonlight: PC démarré
Interface de Moonlight: PC éteint
À part ça, super expérience ! Bien sur je n’ai pas cherché à jouer à des jeux très performants, mais ça a suffi à mes besoins, même en 4G. Je n’ai pas non plus poussé jusqu’à tenter de jouer sur la 4G en voiture, mais je pense que ça aurait pu marcher.
Je continue à l’utiliser, même à la maison, pour jouer dans le canapé plutôt que devant le PC.
Interface de Moonlight: PokeMMO
Alors, avouez que c’est pas mal en termes de bricolages inutiles donc indispensables, il était donc nécessaire de partager ça avec le plus grand nombre ? (enfin au moins les lecteurs de ce blog)
En utilisant quotidiennement des IA comme ChatGPT, Gemini ou Claude, j'ai souvent été confronté à une problématique : comment partager des captures d'écran ou travailler en public sans exposer mes messages ou les réponses de l'IA ? C'est pour répondre à ce besoin que j'ai développé ma propre extension Chrome : AI Chat Blur.
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Dans le monde des affaires d’aujourd’hui, la capacité à intégrer et à optimiser les processus internes est cruciale pour rester compétitif. Le logiciel de planification des ressources d’entreprise (ERP) est devenu un outil essentiel pour de nombreuses organisations cherchant à améliorer leur efficacité.
En particulier, l’ERP Navision de Microsoft, maintenant connu sous le nom de Microsoft Dynamics NAV, s’est révélé être un catalyseur significatif pour améliorer la productivité des entreprises. Dans cet article, nous explorerons comment cet ERP influence positivement les performances organisationnelles.
Qu’est-ce que l’ERP Navision et comment fonctionne-t-il ?
L’ERP Navision de Microsoft est une solution complète de gestion d’entreprise conçue pour automatiser et rationaliser les processus dans des domaines tels que la finance, la production, la gestion des stocks, et la gestion de la chaîne d’approvisionnement. Initialement développé par une société danoise, Navision est devenu une partie intégrante de la suite Dynamics de Microsoft après son acquisition en 2002. L’ERP fonctionne en centralisant les données de l’entreprise, ce qui facilite une prise de décision éclairée et rapide.
L’intégration des processus : un avantage concurrentiel majeur
L’un des principaux avantages de l’ERP Navision est sa capacité à intégrer divers processus métier au sein d’une seule plateforme. Cette intégration permet aux entreprises d’éliminer les silos d’information, de réduire les erreurs humaines et d’améliorer la communication entre les départements.
Par exemple, la synchronisation des données financières avec les opérations de production peut permettre une meilleure gestion des coûts et une allocation plus efficace des ressources. En conséquence, les entreprises peuvent réagir plus rapidement aux changements du marché et améliorer leur réactivité globale.
Automatisation des tâches et réduction des coûts
Grâce à ses capacités d’automatisation, l’ERP Navision permet aux entreprises de réduire le temps consacré aux tâches manuelles répétitives, telles que la saisie de données ou la génération de rapports.
Cette automatisation libère du temps pour les employés, qui peuvent alors se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée, comme l’analyse stratégique et l’innovation. De plus, en réduisant le besoin de travail manuel intensif, les entreprises peuvent réaliser d’importantes économies de coûts, augmentant ainsi leur rentabilité.
Amélioration de la prise de décision grâce à des analyses en temps réel
L’une des caractéristiques les plus puissantes de l’ERP Navision est sa capacité à fournir des analyses en temps réel. En offrant une visibilité complète sur les opérations de l’entreprise, Navision permet aux décideurs de prendre des décisions éclairées basées sur des données précises et à jour. Cela est particulièrement utile dans les environnements dynamiques où les conditions du marché peuvent changer rapidement. Avec Navision, les entreprises peuvent surveiller les performances, identifier les tendances émergentes et ajuster leurs stratégies en conséquence.
Une solution flexible et personnalisable pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises
L’ERP Navision est hautement personnalisable, ce qui permet aux entreprises de l’adapter à leurs besoins spécifiques. Que ce soit pour une petite entreprise ou une grande multinationale, Navision peut être configuré pour soutenir des processus uniques et répondre à des exigences particulières de l’industrie.
Cette flexibilité est essentielle pour les organisations qui cherchent à maintenir un avantage concurrentiel en ajustant leurs opérations en fonction des évolutions du marché et des exigences réglementaires.
Conclusion : Navision, un atout essentiel pour la productivité des entreprises
En conclusion, l’ERP Navision de Microsoft joue un rôle crucial dans l’amélioration de la productivité des entreprises en intégrant les processus, en automatisant les tâches, et en fournissant des analyses en temps réel.
Sa flexibilité et sa personnalisation en font une solution idéale pour diverses industries cherchant à optimiser leurs opérations et à rester compétitives sur le marché mondial. Pour les entreprises qui souhaitent transformer leurs opérations et maximiser leur efficacité, l’ERP Navision représente un investissement stratégique indispensable.
Vous cherchez un moyen simple et rapide de partager une page web sur vos réseaux sociaux ou services préférés ? Bonne nouvelle : j'ai récemment publié une nouvelle extension Chrome appelée Quick Social Share, et elle est faite pour ça !
Face aux changements constants de l’écosystème numérique, les sites web ne peuvent en aucun cas demeurer statiques. Ils doivent plutôt faire l’objet de maintenances régulières. Ainsi, à l’instar de tous les CMS, un site Drupal nécessite également un contrôle particulier. À quel moment peut-on auditer son site Drupal ? Explorez cet article pour en savoir plus !
Lors d’une montée de version ou une refonte importante
La refonte d’un site internet consiste à le modifier en profondeur que ce soit sur le plan graphique ou structurel. Quel que soit l’objectif poursuivi par cette montée, il est primordial d’effectuer un audit. En effet, cette opération permet d’évaluer le parcours de conversion, les modules et tous les éléments préexistants.
Cet audit garantit que les évolutions n’altèrent ni les performances ni la compatibilité du site web. Pour être accompagné dans cette démarche, vous pouvez faire appel à un partenaire expérimenté. Ainsi, si vous voulez auditer votre site Drupal, Parker+Parker est l’entreprise qu’il vous faut. En connaissance de cause, vous pourrez par la suite connaître les modifications à apporter et les erreurs à éviter.
En cas de doute sur la sécurité ou les performances
La sécurité d’un site web est une priorité aussi bien pour les moteurs de recherche que pour les utilisateurs. De ce fait, un audit de sécurité s’impose sur les CMS, notamment Drupal dès que vous détectez des vulnérabilités potentielles. Par ailleurs, lorsque vous remarquez que le site devient lent, ou inaccessible, auditez-le, car il pourrait être victime de cyberattaques.
À intervalles réguliers, pour maintenir une bonne hygiène technique
Que vous receviez des alertes ou non, il est conseillé de faire un audit périodique. Cette opération permet de cerner les défaillances de votre site et de mettre à jour les modules. Un audit régulier permet de vérifier la performance et d’améliorer l’expérience utilisateur. Cette approche s’intègre dans une logique de gouvernance responsable.