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Reçu aujourd’hui — 27 juin 2025Raspberry Pi France

Comment connecter son PC Windows à un Raspberry Pi : guide complet et mise en pratique

27 juin 2025 à 16:15

Que vous soyez débutant curieux ou power-user en quête d’une configuration sans écran, relier un PC Windows à un Raspberry Pi reste l’une des opérations les plus fréquentes et les plus utiles. L’objectif : administrer votre nano-ordinateur à distance, saisir des commandes, transférer des fichiers, voire profiter d’un bureau graphique complet sans monopoliser clavier, souris et moniteur dédiés.

Dans cet article, nous parcourons chaque étape préparation de la carte micro-SD, récupération de l’adresse IP, ouverture d’une console SSH, prise de contrôle graphique en RDP/VNC ou via Raspberry Pi Connect, partage Samba et terminons par un rappel de bonnes pratiques de sécurité.

Vous bénéficierez ainsi d’une procédure robuste, actualisée en 2025, et immédiatement opérationnelle sur Raspberry Pi OS « Bookworm » 64 bits et Windows 10/11.

Préparer le Raspberry Pi pour une connexion « headless »

Tout commence par le flashage de la carte micro-SD. Depuis mars 2024, Raspberry Pi Imager intègre un menu d’options avancées dissimulé derrière la combinaison Ctrl + Shift + X.

Dans cette fenêtre, un clic suffit à activer le serveur SSH avant même le premier démarrage ; vous pouvez également définir le nom d’hôte, le fuseau horaire, les identifiants Wi-Fi et surtout remplacer l’utilisateur « pi » historique par un compte personnel doté de son propre mot de passe. Cette automatisation évite de brancher un écran pour un simple paramétrage initial.

Une fois l’image écrite, insérez la carte dans le Raspberry Pi, raccordez-le au réseau (Ethernet si possible pour une détection immédiate) et alimentez-le.
Sous Windows, ouvrez Windows Terminal ou PowerShell et exécutez arp -a : la table ARP affiche alors la liste des équipements récemment vus sur le réseau et permet d’identifier l’adresse IP du Pi grâce à son nom d’hôte.

Si plusieurs cartes apparaissent, un utilitaire tel qu’Advanced IP Scanner ou l’application mobile Fing peut lever le doute. Une méthode alternative consiste à consulter l’interface d’administration de votre box pour retrouver l’adresse attribuée par DHCP.

Ouverture d’un shell sécurisé avec SSH

Depuis Windows 11, le client SSH est natif ; il suffit donc de taper ssh utilisateur@adresse_ip_du_pi dans le terminal, d’accepter la clé d’hôte et de saisir le mot de passe pour se retrouver instantanément dans le shell du Raspberry Pi.

Pour un usage fréquent, l’authentification par clé améliore à la fois la sécurité et le confort : la commande ssh-keygen -t ed25519 génère la paire de clés, tandis que ssh-copy-id déjà présente sur Raspberry Pi OS installe la clé publique côté serveur.

Cette approche élimine la saisie répétitive du mot de passe et bloque les tentatives par force brute ; elle est d’ailleurs recommandée par la documentation officielle.

Les utilisateurs de Windows 10 ou ceux qui privilégient une interface graphique pourront se tourner vers PuTTY. Le principe reste identique : renseignez l’adresse IP, conservez le port 22, choisissez le type de connexion SSH, puis importez votre clé privée si besoin. Si vous rencontrez des difficultés avec votre PC, n’hésitez pas à consulter le site spécialisé Azertytech.com pour vous aider.

PuTTY demeure un classique, notamment pour ses réglages fins de tunnels et de port-forwarding, utiles lorsqu’on souhaite ouvrir des services internes comme Grafana ou Nextcloud sans exposer ces ports directement.

Contrôle graphique : RDP, VNC et Raspberry Pi Connect

Accéder au bureau complet du Raspberry via Windows est possible dès que le serveur X RDP ou VNC est actif. Le paquet xrdp, disponible dans les dépôts officiels depuis plusieurs années, s’installe par sudo apt install xrdp.

Une fois lancé, il suffit de démarrer l’application Connexion Bureau à distance (mstsc.exe) sous Windows, de taper l’adresse IP du Pi, puis les identifiants créés lors du flashage.

Les performances sont correctes sur Ethernet, mais certains utilisateurs rapportent un écran noir avec Wayland ; en cas de souci, repassez en session X11 ou désactivez la composition matérielle.

Pour une compatibilité maximale, RealVNC Server demeure la référence.

Activable en une ligne de commande ou via le menu raspi-config â–¶ Interfaces â–¶ VNC, il autorise la connexion depuis VNC Viewer sur Windows.

La licence Lite reste gratuite jusqu’à trois appareils, avec chiffrement de bout en bout activé par défaut.
VNC s’avère moins sensible au type de session graphique, ce qui le rend pratique sur les modèles d’entrée de gamme ou dans les installations multimédia basées sur Kodi.

Depuis mai 2025, la Fondation Raspberry Pi propose enfin sa propre solution propriétaire, Raspberry Pi Connect.
Sorti de bêta en version 2.5, l’outil combine un tunnel chiffré et un frontal web : après sudo apt update && sudo apt install raspberrypi-connect, créez un identifiant sur connect.raspberrypi.com puis associez votre machine à votre compte.

Un simple navigateur suffit ensuite pour ouvrir une session graphique ou un shell, même hors réseau local ; la bande passante est optimisée grâce au codec AV1 basse latence.

Partage de fichiers entre Windows et Raspberry Pi

Pour échanger des documents ou déployer du code, plusieurs méthodes coexistent. Le protocole SFTP, inclus dans SSH, reste le plus simple ; il suffit d’ouvrir FileZilla ou WinSCP, d’indiquer l’adresse IP, le port 22 et vos identifiants pour glisser-déposer n’importe quel répertoire. Toutefois, lorsque l’on souhaite exposer un dossier à tous les PC Windows du réseau, le service Samba s’impose.

L’installation passe par un sudo apt install samba, suivi d’une courte configuration du fichier /etc/samba/smb.conf.

On définit un partage appelé, par exemple, [public], en précisant le chemin et les droits. Un redémarrage du service puis la commande sudo smbpasswd -a utilisateur activent le compte.

Le dossier apparaît alors dans l’Explorateur via l’URI adresse_ip_du_pipublic, exactement comme n’importe quel partage Windows.

Recommandations de sécurité et maintenance

Connecter son Raspberry Pi à distance ouvre évidemment la porte à d’éventuelles attaques réseau. Commencez par désactiver l’ancien compte « pi » s’il n’est plus utilisé ; un simple sudo userdel -r pi suffit.

Imposer l’authentification par clé SSH renforce la barrière dès la couche transport, tandis que l’activation de Fail2ban bannit automatiquement les adresses IP multipliant les tentatives.

Si vous exposez RDP ou VNC sur Internet, privilégiez un tunnel VPN ; à défaut, changez le port par défaut dans /etc/xrdp/xrdp.ini ou /etc/vnc/config.d/common.custom et limitez l’autorisation pare-feu à des adresses précises.

Enfin, maintenez votre système à jour via la séquence sudo apt update && sudo apt full-upgrade au moins une fois par mois pour profiter des derniers correctifs kernel et OpenSSL.

Pourquoi ce tandem Windows + Raspberry Pi est idéal pour l’expérimentation

Au-delà des aspects pratiques, contrôler son Pi depuis Windows libère un ordinateur de bureau ou un écran HDMI ; la consommation électrique est réduite et il devient possible de multiplier les projets : station météo Grafana, passerelle Home Assistant, nœud WireGuard ou même serveur Jellyfin.

Grâce aux interfaces décrites ci-dessus, vous compilez vos programmes sur VS Code Windows, les poussez en SFTP, testez graphiquement via RDP/VNC, puis enclenchez une surveillance Prometheus, le tout sans bouger de votre chaise.

Et si votre réseau se complexifie, il suffit de déployer un second Pi, de répéter la procédure d’activation SSH depuis Raspberry Pi Imager, et de le piloter en quelques minutes.

Conclusion

De l’activation SSH en un clic à la prise de contrôle graphique depuis un simple navigateur, Windows et Raspberry Pi offrent un écosystème à la fois riche et cohérent pour l’administration à distance. En suivant pas à pas les techniques détaillées ci-dessus, vous disposerez d’une plateforme stable, sécurisée et extensible, prête à accueillir vos futures expérimentations IoT, DevOps ou multimédia. Pour compléter votre installation  : câble Ethernet Cat 6, carte micro-SD endurance ou boîtier actif à refroidissement intégré.

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Transformer un Raspberry Pi en station météo connectée

27 juin 2025 à 15:21

Le Raspberry Pi, micro-ordinateur de la taille d’une carte de crédit, est devenu en quelques années un outil polyvalent prisé des amateurs de technologie comme des professionnels. Grâce à sa modularité, il est possible de l’adapter à de nombreuses applications, dont celle de station météo connectée. 

Cette solution économique et personnalisable permet de suivre en temps réel différents paramètres climatiques via des capteurs dédiés, avec des données accessibles sur une interface à distance. Le présent article explore les étapes et les considérations techniques nécessaires permettant de transformer un Raspberry Pi en véritable observatoire météorologique domestique ou éducatif.

Connexion réseau et affichage des données

Une fois les capteurs installés et testés, le système doit être configuré pour collecter, traiter et afficher les données. Le Raspberry Pi utilise souvent un système d’exploitation Linux, principalement Raspberry Pi OS, qui permet l’utilisation de scripts Python pour interagir avec les capteurs. Ces scripts envoient ensuite les données vers une base ou les affichent en direct. Dans certains cas, ces systèmes peuvent être intégrés à des plateformes plus larges permettant de choisir un tout nouveau casino en ligne fiable, illustrant ainsi la convergence entre technologie domestique et solutions connectées grand public.

Plusieurs solutions logicielles peuvent servir à la visualisation, telles que Grafana pour les graphiques ou InfluxDB pour la base de données temporelle. Ces outils, gratuits et modulables, permettent de créer un tableau de bord à distance accessible via un navigateur web personnel. Il devient ainsi simple de consulter sur un smartphone ou un ordinateur les relevés de température, taux d’humidité ou encore les variations de pression atmosphérique.

Dans ce contexte d’interfaces numériques personnalisées, il est intéressant de noter que certains dispositifs à la croisée de la messagerie instantanée et du divertissement investissent ces usages techniques. Par exemple, des plateformes émergentes intègrent désormais les fonctions d’observation environnementale avec des services tiers, y compris des options ludiques. Les solutions mobiles qui hébergent ces usages montrent comment la technologie moderne concilie analyse locale et divertissement connecté dans un seul et même écosystème numérique.

Configuration matérielle et composants nécessaires

Pour mettre en place une station météo fonctionnelle à partir d’un Raspberry Pi, certains composants matériels sont indispensables. Le cœur du dispositif est bien entendu le Raspberry Pi lui-même, recommandé en version 3 ou 4 pour une meilleure performance et connectivité. Suivent ensuite les capteurs qui mesureront chacune des données environnementales recherchées.

Parmi les capteurs prisés, on trouve le DHT22 pour la température et l’humidité, le BMP280 pour la pression atmosphérique et le capteur de luminosité BH1750. Ces capteurs sont généralement compatibles avec le bus I2C ou GPIO du Raspberry Pi, ce qui facilite leur intégration. Il est également envisageable d’ajouter des modules plus avancés, tels qu’un anémomètre ou un pluviomètre, en fonction des objectifs de mesure.

Approche logicielle et automatisation

La collecte de données météorologiques ne se limite pas à l’affichage en temps réel. Des automatisations peuvent être implémentées afin d’envoyer des alertes par courrier électronique ou par notification mobile si certains seuils sont dépassés. Par exemple, une chute rapide de la pression peut être interprétée comme un signe avant-coureur d’intempéries, ce qui déclenche une alerte paramétrée au préalable par l’utilisateur.

Ces automatisations sont généralement gérées via des scripts Python intégrés à des tâches cron dans le système d’exploitation, qui exécute régulièrement les commandes. Ce type d’architecture permet aussi d’exporter les données vers des services en ligne ou un serveur distant à des fins de sauvegarde. L’environnement peut ainsi être couplé à une solution cloud pour disposer d’un historique long terme utile à l’analyse climatique ou à la prédiction locale.

Utilisation domestique, pédagogique ou scientifique

Une station météo fondée sur le Raspberry Pi peut s’adresser à plusieurs types d’utilisateurs. Dans un cadre domestique, elle permet d’obtenir un relevé microclimatique précis de son propre jardin, souvent plus pertinent que les relevés régionaux standards. Elle peut ainsi contribuer à l’optimisation des activités de jardinage, au pilotage d’un arrosage automatique, ou à la gestion du chauffage intelligent.

Dans un cadre pédagogique, l’appareil devient un support didactique de premier plan. Il permet d’initier les élèves à la programmation, à la physique de l’atmosphère, à l’électronique et aux mathématiques appliquées. Plusieurs établissements scolaires utilisent ce dispositif pour créer des projets interdisciplinaires autour de la météorologie et des sciences technologiques.

Enfin, certains laboratoires ou amateurs éclairés utilisent les données issues de ces stations pour faire de la recherche participative, en contribuant à des réseaux de mesure collaboratifs. Les informations issues de plusieurs Raspberry Pi correctement configurés peuvent alimenter un réseau régional d’observation météorologique.

Sécurisation et maintenance du dispositif

Comme tout appareil connecté, une station météo opérée sur Raspberry Pi n’est pas exempte de vulnérabilités. Il convient de mettre en place une politique de sécurité élémentaire, notamment en assurant les mises à jour régulières du système d’exploitation, en protégeant les accès SSH au micro-ordinateur et en chiffrant les échanges si des données sont envoyées sur le cloud.

La maintenance physique est également importante. Les capteurs exposés au froid, à l’humidité et à la poussière doivent être nettoyés ou remplacés périodiquement pour garantir la fiabilité des mesures. Il est par ailleurs recommandé de vérifier l’étanchéité du boîtier et l’état de l’alimentation lors de chaque changement de saison.

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Reçu hier — 26 juin 2025Raspberry Pi France

Comment optimiser votre Raspberry Pi pour les performances de jeu

26 juin 2025 à 10:40

Le Raspberry Pi est un ordinateur compact, abordable et incroyablement performant qui a captivé l’imagination des passionnés de technologie du monde entier. Bien qu’il n’atteigne pas la puissance des consoles de jeu ou des ordinateurs de bureau, il reste une plateforme de jeu fiable et ludique, notamment pour les titres rétro et les jeux légers. Avec les bons réglages et la bonne configuration, vous pouvez améliorer considérablement ses performances de jeu. Voici comment tirer le meilleur parti de votre Raspberry Pi pour jouer.

Utilisez une carte MicroSD haute vitesse ou un stockage externe

La vitesse de stockage joue un rôle essentiel dans la réactivité globale du système. Une carte microSD lente peut entraîner des performances lentes et des temps de chargement longs, notamment lors de la navigation dans les menus de jeu ou du lancement de fichiers volumineux. Il est recommandé d’utiliser une carte microSD haute vitesse offrant de bonnes performances en lecture/écriture. Le démarrage depuis un disque SSD connecté en USB peut également offrir une amélioration significative de la vitesse et de la stabilité. Ceci est particulièrement utile si votre bibliothèque de jeux comprend des fichiers volumineux ou complexes qui nécessitent un accès plus rapide.

De même, certains utilisateurs réutilisent leurs Raspberry Pi non seulement pour les jeux rétro, mais aussi pour les divertissements en ligne, comme les casinos en ligne. Ces plateformes bénéficient d’un stockage réactif et d’une connectivité Internet, ce qui rend les performances fluides et les temps de chargement rapides tout aussi importants.

Pour les fans de jeux de cartes, cela inclut l’exploration du bonus sur les sites de poker en ligne, où les joueurs peuvent profiter de récompenses de bienvenue, d’offres de cashback et de freerolls. Ces avantages ajoutent non seulement de la valeur, mais rendent également l’expérience plus attrayante, surtout lorsqu’ils sont associés à un système efficace et fiable.

Que vous vous plongiez dans des classiques pixelisés ou que vous tentiez votre chance aux tables, un Raspberry Pi bien optimisé garantit que chaque clic, rotation ou main se déroule avec une précision fluide et satisfaisante.

Commencez avec le bon système d’exploitation

Une expérience de jeu réussie commence par une base logicielle adaptée. Si le système d’exploitation standard du Raspberry Pi est excellent pour une utilisation générale, il n’est pas le choix le plus efficace pour le jeu. Les systèmes d’exploitation spécialisés, conçus spécifiquement pour le jeu, comme ceux conçus pour l’émulation ou les lanceurs de jeux légers, offrent une meilleure expérience. Ces systèmes sont rationalisés, minimisent les tâches en arrière-plan et sont préconfigurés pour la prise en charge des manettes et la gestion des fichiers de jeu. Choisir l’un de ces systèmes d’exploitation spécialisés permet de consacrer une plus grande partie de la puissance de traitement du Raspberry Pi au jeu plutôt qu’aux processus inutiles.

Overclocker le processeur (avec prudence)

Pour optimiser les performances de votre Raspberry Pi, l’overclocking est une option éprouvée. En augmentant la fréquence d’horloge du processeur, vous pouvez réduire les latences et augmenter la fréquence d’images dans les jeux les plus exigeants. Cependant, l’overclocking doit être abordé avec prudence il est important de l’associer à des solutions de refroidissement adéquates, comme un dissipateur thermique et un ventilateur, pour éviter toute surchauffe. Ajuster les paramètres via les fichiers de configuration système permet d’obtenir un overclocking sûr, mais il est important de toujours surveiller la température du système pour éviter tout bridage thermique ou tout dommage matériel. Correctement effectué, ce réglage peut faire une différence notable.

Ajuster les paramètres de l’émulateur

Les émulateurs sont la pierre angulaire du jeu rétro sur Raspberry Pi, et leur optimisation est essentielle pour une expérience de jeu fluide. Tous les émulateurs ne fonctionnent pas de la même manière, même sur une même console ; il est donc nécessaire d’expérimenter. Réduire la résolution interne, désactiver les améliorations graphiques et choisir des cœurs d’émulateur plus légers peuvent améliorer les performances sans compromettre la qualité visuelle. De nombreuses plateformes d’émulateurs incluent des paramètres permettant de régler le saut d’images, la latence audio et le mappage des commandes, chacun pouvant être ajusté pour s’adapter à votre matériel et à vos préférences de jeu.

Optimiser l’affichage et la sortie audio

Pour une expérience de jeu optimale, il est essentiel d’optimiser les graphismes et le son. Connecter votre Raspberry Pi à un écran ou un téléviseur prenant en charge un faible décalage d’entrée permet de réduire la latence et les artefacts visuels. Définir une résolution d’écran fixe et désactiver les effets visuels non essentiels peut également améliorer les performances. Côté audio, pensez à utiliser un adaptateur audio USB externe ou une enceinte Bluetooth pour un son plus clair et plus immersif. Si la prise audio intégrée est utilisable, elle manque souvent de la richesse et de la clarté nécessaires aux jeux riches en musique ou en son.

Utilisez une manette de jeu de qualité

Une équipe réactive et contrôleur confortable cela fait une grande différence dans le gameplay. Si la saisie au clavier peut convenir à certains jeux, l’utilisation d’une manette offre une expérience plus authentique et plus agréable. De nombreuses manettes populaires, filaires ou sans fil, sont compatibles avec le Raspberry Pi et se configurent facilement. Les manettes Bluetooth offrent plus de flexibilité, tandis que les options filaires peuvent réduire le lag d’entrée. Quel que soit votre choix, une manette fiable améliore la jouabilité, notamment pour les jeux d’action ou de plateforme qui requièrent de la précision.

Conclusion

Optimiser votre Raspberry Pi pour le jeu est un processus enrichissant qui allie perfectionnement technique et passion du jeu. En choisissant soigneusement votre système d’exploitation, en ajustant les paramètres et en investissant dans de bons périphériques, vous pouvez transformer ce modeste appareil en une puissante petite console. Il ne sera peut-être pas compatible avec les derniers titres à succès, mais pour le jeu rétro et les loisirs légers, un Raspberry Pi bien optimisé offre une expérience étonnamment satisfaisante. Avec un peu de patience et de curiosité, votre Pi peut devenir la pièce maîtresse d’une configuration de jeu personnalisée, aussi agréable à construire qu’à utiliser.

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Les meilleurs systèmes d’exploitation (OS) pour Raspberry Pi

26 juin 2025 à 09:20

Ce qui rend le Raspberry Pi si particulier, c’est l’écosystème vibrant qui l’entoure. Forums, blogs, dépôts GitHub, partout, des makers partagent images disque, scripts et bonnes pratiques. Or, toutes les distributions ne profitent pas du même niveau de soutien communautaire. Avant de flasher votre clé USD SSD, jeter un œil à la vitalité du projet d’OS que vous visez peut faire la différence entre un bricolage vite abandonné et une plateforme évolutive continuellement enrichie par des mises à jour et des tutoriels.

Les meilleurs OS avec interface graphique pour votre Raspberry Pi

Transformer votre Raspberry Pi en véritable mini-ordinateur de bureau est tout à fait possible à condition de choisir un système d’exploitation adapté. Tous les OS ne se valent pas en matière de légèreté et de compatibilité. Dans cette section, découvrez les meilleures distributions avec interface graphique, activement maintenues en 2025 et utilisables au quotidien.

Raspberry Pi OS Desktop : Le meilleur système pour débuter sur Raspberry

Raspberry Pi OS Desktop anciennement connu sous le nom de Raspbian est le système d’exploitation officiel développé par la Fondation Raspberry Pi. Basé sur Debian, il est conçu sur mesure pour exploiter au mieux les ressources limitées des différentes versions de Raspberry Pi. Il propose une interface graphique légère, intuitive et adaptée aux débutants comme aux utilisateurs confirmés avec une sélection de logiciels préinstallés couvrant les besoins essentiels : navigateur Chromium, éditeur de texte, suite bureautique, outils de programmation, etc.

Depuis fin 2023 et consolidé en 2025, Raspberry Pi OS a intégré Wayland comme serveur d’affichage par défaut, en remplacement de X.Org, avec l’environnement labwc, un gestionnaire de fenêtres minimaliste inspiré de Openbox. Cette évolution améliore la réactivité du bureau et réduit la consommation de ressources tout en restant compatible avec les modèles modestes comme le Raspberry Pi 3. Le système conserve par ailleurs ses atouts de robustesse : une excellente stabilité, un large support communautaire et des mises à jour régulières synchronisées avec les cycles de Debian stable.

Son champ d’application est vaste, mais il excelle particulièrement dans les contextes éducatifs, les projets d’initiation à Linux et les usages bureautiques ou multimédia légers. Raspberry Pi OS Desktop reste la référence incontournable pour exploiter votre Raspberry Pi dans une configuration conviviale et performante.

Twister OS : Transformer votre Raspberry Pi en mini-PC façon Windows

Twister OS est une distribution non officielle conçue pour offrir à votre Raspberry Pi une expérience visuelle proche de celle d’un PC traditionnel. Inspiré de Raspberry Pi OS Lite, il repose sur un environnement Xfce entièrement personnalisé pour ressembler à Windows XP, 7, 10, 11 ou même macOS, selon le thème sélectionné. Tout est pensé pour que l’utilisateur se sente en terrain familier, y compris les sons système, les icônes, et les animations.

 

Au-delà de son apparence, Twister OS se distingue par l’intégration native de plusieurs outils puissants comme Box86 et Wine qui permettent de faire tourner certains logiciels x86 ou Windows directement sur l’architecture ARM du Raspberry Pi. Il embarque également CommanderPi, un tableau de bord système pour l’overclocking, la gestion de la température ou encore la configuration avancée de l’appareil. L’ensemble donne une impression de système complet, tout-en-un, prêt à l’emploi.

Twister OS s’adresse avant tout à ceux qui veulent transformer leur Raspberry Pi en mini-PC de bureau polyvalent. Idéal pour de la navigation, des outils bureautiques, un peu de jeu rétro ou du multimédia, il séduit par son côté ludique et sa richesse fonctionnelle. Recommandé pour les modèles à partir du Pi 4, voire Pi 5, il combine esthétique, accessibilité et fonctionnalités avancées.

Manjaro ARM : une distribution Arch Linux simplifiée pour Raspberry Pi

Manjaro ARM est une distribution basée sur Arch Linux, pensée pour offrir la puissance et la flexibilité d’un système rolling release tout en simplifiant considérablement l’expérience d’installation et d’utilisation. Grâce à ses versions optimisées pour Raspberry Pi, Manjaro ARM permet de profiter d’un système toujours à jour avec des environnements de bureau modernes comme Xfce (léger et rapide) ou KDE Plasma (plus visuel, mais plus gourmand).

Contrairement à Arch Linux qui nécessite une installation manuelle fastidieuse, Manjaro propose des images prêtes à l’emploi incluant les pilotes, les outils système essentiels, et un installeur graphique. Les utilisateurs peuvent ainsi bénéficier de la philosophie Arch (simplicité, contrôle, logiciels récents) sans se heurter à une courbe d’apprentissage abrupte. Le gestionnaire de paquets Pacman, couplé à l’accès au très vaste AUR (Arch User Repository) offre une liberté inégalée pour installer presque tout ce qui existe sous Linux.

Manjaro ARM s’adresse avant tout aux utilisateurs intermédiaires à avancés, qui cherchent un système à la fois moderne, évolutif et personnalisable sur Raspberry Pi 3, 4 ou 5. Il conviendra parfaitement à un usage bureautique, développement ou même multimédia tout en offrant une réactivité exemplaire grâce à son cœur Arch allégé.

Ubuntu MATE : l’expérience Ubuntu classique sur Raspberry Pi

Ubuntu MATE est une déclinaison d’Ubuntu spécialement adaptée aux machines aux ressources limitées, comme le Raspberry Pi. Grâce à l’environnement de bureau MATE, dérivé de l’ancien GNOME 2, il conserve une interface traditionnelle tout en restant plus léger et plus fluide que les versions standard d’Ubuntu utilisant GNOME 3 ou GNOME Shell. Le système est sobre, efficace et familier, avec une barre des menus, un explorateur de fichiers simple, et un accès direct aux logiciels essentiels.

Conçue pour offrir la stabilité des versions LTS d’Ubuntu, Ubuntu MATE combine la fiabilité de Debian avec les outils modernes de l’écosystème Ubuntu : Snap, APT, PPA et centre de logiciels. Il est donc possible de profiter de la richesse des paquets Ubuntu sur un Raspberry Pi sans sacrifier les performances. L’image officielle est compatible avec les Raspberry Pi 2, 3, 4 et 5, en version 32 ou 64 bits selon les modèles.

Ce système conviendra particulièrement à ceux qui aiment l’expérience Ubuntu ou qui souhaitent un environnement simple pour naviguer, rédiger, programmer ou gérer des projets sur Raspberry Pi. Stable, maintenu à long terme et facile à prendre en main, Ubuntu MATE est un excellent compromis entre accessibilité et puissance.

Les meilleurs OS légers pour Raspberry Pi en usage serveur, IoT

Pour les projets embarqués, domotiques ou serveurs personnels, l’interface graphique est superflue. L’objectif, c’est d’aller à l’essentiel : fiabilité, légèreté et simplicité de gestion à distance. Plusieurs systèmes d’exploitation sont spécifiquement conçus pour ce type d’usage sur Raspberry Pi. Dans cette section, vous découvrirez les meilleurs OS en ligne de commande, capables de transformer votre Pi en serveur silencieux, stable et ultra-réactif.

Raspberry Pi OS Lite : l’OS idéal pour vos projets en ligne de commande

Raspberry Pi OS Lite est la version minimaliste et sans interface graphique du système d’exploitation officiel développé par la Fondation Raspberry Pi. Basé sur Debian, il est conçu pour fonctionner en ligne de commande uniquement, ce qui lui confère une légèreté exemplaire : il consomme très peu de ressources, démarre rapidement, et peut tourner sans difficulté sur tous les modèles de Raspberry Pi, y compris les plus anciens ou les plus modestes comme le Pi Zero.

Malgré son apparente sobriété, Raspberry Pi OS Lite conserve tous les outils et pilotes nécessaires au bon fonctionnement du matériel. Il prend en charge nativement le GPIO, les modules caméra, le Wi-Fi, les HATs et bien plus encore, ce qui en fait un excellent choix pour les projets éducatifs, l’expérimentation en Python ou la domotique. Il est également adapté aux serveurs headless, accessibles en SSH, que ce soit pour héberger un site web, automatiser des tâches ou piloter un réseau de capteurs.

Raspberry Pi OS Lite est la base idéale pour apprendre Linux, développer des projets techniques ou déployer des installations fiables et reproductibles.

DietPi : l’OS ultra léger pour Raspberry Pi (moins de 30 Mo de RAM)

DietPi est l’un des systèmes d’exploitation les plus légers jamais conçus pour Raspberry Pi. Basé sur Debian, il a été entièrement repensé pour minimiser la consommation de ressources : une fois démarré, DietPi peut fonctionner avec moins de 30 Mo de RAM, ce qui en fait une solution idéale pour les modèles les plus modestes comme le Raspberry Pi Zero ou les projets embarqués nécessitant une empreinte minimale.
dietpi-software meilleur os lite raspberry

Mais sa légèreté ne rime pas avec complexité. DietPi propose une interface en ligne de commande intuitive, accompagnée de menus interactifs permettant d’installer plus de 200 logiciels en quelques clics (via dietpi-software) : serveurs web, clients torrent, gestionnaires de fichiers, outils domotiques ou encore Pi-hole, l’un des cas d’usage les plus populaires pour bloquer la publicité en réseau local. Tout est pensé pour une configuration rapide, optimisée, sans lignes de commande compliquées.

Que vous souhaitiez monter un petit NAS personnel, un serveur web low-power ou un système domotique silencieux, DietPi vous permet de transformer votre Raspberry Pi en machine dédiée, rapide, stable et étonnamment réactive. Maintenu activement, il est également compatible avec de nombreux autres appareils ARM, ce qui en fait une excellente base pour tous vos projets techniques.

Ubuntu Server arm64 : la base idéale pour vos projets Raspberry Pi

Ubuntu Server (arm64) est une version officielle et allégée d’Ubuntu, spécialement conçue pour les architectures ARM 64 bits comme celles du Raspberry Pi 3, 4 et 5. Sans interface graphique, ce système se concentre sur l’essentiel pour offrir une base stable, maintenue à long terme (LTS) et adaptée aux déploiements professionnels ou personnels. Il intègre nativement Cloud-init pour l’automatisation ainsi que le support des snaps pour installer rapidement des applications comme Nextcloud, LXD ou MicroK8s.

Grâce à son cycle de support de 5 ans, Ubuntu Server est une solution de confiance pour monter des projets durables : serveur web, serveur de fichiers, gestionnaire domotique ou même infrastructure en conteneurs avec Docker ou Podman. L’écosystème Ubuntu facilite l’intégration de nombreux outils modernes tout en conservant une compatibilité totale avec les paquets Debian et APT.

Alpine Linux : l’OS ultra léger pour Raspberry Pi en usage serveur ou IoT

Alpine Linux est une distribution minimaliste, réputée pour sa légèreté, sa sécurité et sa rapidité d’exécution. Contrairement aux distributions classiques basées sur glibc, Alpine utilise musl (libc allégée) et BusyBox (suite d’outils UNIX compressés) qui lui permet de démarrer avec une empreinte système incroyablement faible (moins de 100 Mo sur disque et à peine quelques dizaines de Mo en mémoire). C’est un choix privilégié pour ceux qui veulent un système efficace sur Raspberry Pi.

L’un des atouts majeurs d’Alpine Linux est son mode “diskless”, dans lequel le système est entièrement chargé en RAM au démarrage. Cela réduit fortement l’usure des cartes SD tout en accélérant les performances d’exécution, ce qui est particulièrement utile pour les applications embarquées ou les projets sensibles à la fiabilité. Alpine est également largement utilisée comme base dans les environnements conteneurisés (Docker) et se révèle idéale pour des usages comme pare-feu, routeur, passerelle réseau ou IoT sécurisé.

Alpine s’adresse aux utilisateurs expérimentés car son fonctionnement diffère des distributions plus traditionnelles (structure système, gestion des paquets avec apk, compatibilité logicielle limitée à musl). Mais pour ceux qui recherchent une solution ultra-optimisée, robuste et modulaire, Alpine Linux sur Raspberry Pi est une base exceptionnelle pour des systèmes autonomes ou critiques tournant 24/7.

Armbian Server : l’OS optimisé pour Raspberry Pi et serveurs légers

Armbian Server est une distribution spécifiquement optimisée pour les Single Board Computers (SBC) comme le Raspberry Pi. Contrairement aux distributions classiques, Armbian propose des images allégées, stables et sans interface graphique, conçues pour offrir des performances maximales sur du matériel à ressources limitées. Grâce à des optimisations comme le support natif du ZRAM, des scripts d’initialisation simplifiés et un noyau ajusté, Armbian est particulièrement adapté aux environnements serveur, industriels ou embarqués.

Son outil intégré armbian-config permet de configurer rapidement le système sans effort : activation du SSH, configuration réseau, réglages matériels, installation de logiciels ou mise à jour du noyau, tout se fait via une interface en ligne de commande interactive, pensée pour faciliter les déploiements en série ou à distance. Cette approche modulaire en fait un excellent choix pour les professionnels de l’embarqué ou les administrateurs système.

Armbian est idéal pour créer des infrastructures multisites, des passerelles réseau, des systèmes domotiques ou des serveurs autonomes avec une empreinte RAM et CPU minimale. Si vous cherchez une base fiable, sobre et maintenable pour des usages techniques avancés, Armbian coche toutes les cases.

Quel OS choisir pour votre Raspberry Pi en 2025 ?

Le choix du système d’exploitation dépend avant tout de l’objectif de votre projet, mais aussi du modèle de Raspberry Pi que vous utilisez. Pour une utilisation bureautique ou multimédia, un OS avec interface graphique et maintenu est indispensable. À l’inverse, pour un serveur ou un projet IoT, la légèreté, la stabilité et l’automatisation priment.

Dans tous les cas, privilégiez des distributions actives, bien documentées et compatibles avec votre matériel. Si vous êtes débutant, les systèmes officiels comme Raspberry Pi OS ou Ubuntu MATE restent des valeurs sûres. Si vous cherchez performance et optimisation maximale, tournez-vous vers DietPi, Alpine ou Armbian.

Usage principal

OS recommandé

Pourquoi ce choix ?

Bureautique légère / PC d’appoint

Raspberry Pi OS Desktop

Léger, stable, officiel, bien documenté

Interface façon Windows/macOS

Twister OS

Visuellement familier, outils intégrés, idéal en usage quotidien sur Pi 4/5

Environnement Arch Linux simplifié

Manjaro ARM (Xfce)

Rolling release, interface moderne, accès AUR

Expérience Ubuntu classique

Ubuntu MATE

Bureau fluide, compatible Ubuntu LTS, simple à prendre en main

Serveur minimaliste (headless)

Raspberry Pi OS Lite

Stable, léger, GPIO natif, parfait pour l’apprentissage ou les scripts

Ultra-optimisé (RAM < 50Mo)

DietPi

Interface CLI + menu, automatisation, configuration rapide et propre

Déploiement pro / automatisé

Ubuntu Server (arm64)

Cloud-init, support LTS, Docker, Nextcloud, Snap…

Usage sécurisé / RAM (diskless)

Alpine Linux

Musl, BusyBox, boot en RAM, idéal IoT ou firewall

Déploiement multi-pi / industriel

Armbian Server / Minimal

Base Debian/Ubuntu, armbian-config, ZRAM, stabilité pro

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World of Geek : l’événement devient un média digital 100 % geek

18 juin 2025 à 14:34

Né à Fréjus comme salon dédié à l’univers geek, World of Geek franchit aujourd’hui un cap décisif. Il devient le site web indépendant worldofgeek.fr. Son ambition est de fédérer les passionnés de jeux vidéo, de mangas, d’animés, de tech et de pop culture. Tout cela autour de contenus éditoriaux riches, dynamiques et totalement immersifs. Découvrez le nouveau site worldofgeek.fr.

Un média indépendant et spécialisé


Initialement pensé comme un rendez-vous physique, World of Geek accueillait à Fréjus fans de cosplay, gamers et amateurs de science-fiction. Aujourd’hui, le projet prend une nouvelle dimension. Il passe du monde réel au numérique. Il s’ancre dans l’actualité geek et accompagne au quotidien une communauté de plus en plus grande. Ainsi, le nouveau site worldofgeek.fr propose une navigation organisée autour de six grandes thématiques :

  • Jeux vidéo : tests, sorties, guides et analyses ;
  • Mangas et animés : critiques, nouveautés et actualités ;
  • Événements: conventions, tournois, festivals ;
  • High-tech: hardware, nouveautés et accessoires gaming ;
  • News: toute l’actu geek décryptée
  • Esport: compétitions, équipes, tendances.

Chaque article est rédigé par des auteurs impliqués de l’équipe WorldOfGeek, dans un ton vivant et accessible.

Une couverture large et à jour

Du Summer Game Fest 2025 au BLAST.tv Major Austin, en passant par la ZLAN ou le SpeeDons, le site ne rate aucun événement marquant. On y trouve aussi des classements et des dossiers comme les consoles les plus vendues de l’histoire ou l’agenda geek de chaque mois. Les amateurs de manga ne sont pas oubliés. Ils ont droit à des sujets sur le live-action de One Piece, des tops cosplay et les tendances animées à suivre.

Un site à suivre de près pour ne rien manquer

World of Geek ne se contente pas d’informer. Il rassemble, partage et valorise l’univers geek dans toutes ses nuances. En quelques clics, les passionnés peuvent accéder aux dernières news ou découvrir de nouveaux talents. Ils peuvent aussi suivre l’actu esport ou préparer leurs prochains rendez-vous culturels.

Pour ceux qui vibrent pour le pixel, les planches japonaises ou les performances esport, worldofgeek.fr est plus qu’un site. C’est un point de ralliement, une plateforme qui parle la langue des geeks.

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NAS vs Cloud : comparatif pour bien choisir une solution de stockage

17 juin 2025 à 08:27

Stocker ses données est devenu un enjeu central, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Deux grandes solutions s’affrontent : le cloud public et le stockage NAS local.

👉 Découvrez dès maintenant notre comparatif NAS vs Cloud pour bien choisir votre solution de stockage.

Le cloud, avec des services comme Google Drive, Dropbox ou iCloud, séduit par sa facilité d’accès. Les données sont accessibles depuis n’importe quel appareil connecté à Internet, la synchronisation est automatique et les sauvegardes sont gérées par le fournisseur.

De plus, ces services proposent souvent des applications mobiles intuitives permettant de gérer ses fichiers à distance en quelques clics. Cependant, cette solution implique de confier ses fichiers à des acteurs tiers, souvent hors d’Europe, soulevant des questions de confidentialité et de souveraineté des données.

À l’inverse, un NAS permet d’héberger ses données chez soi ou dans son entreprise. De nombreux utilisateurs de Raspberry Pi ont d’ailleurs transformé leur mini-ordinateur en véritable serveur NAS grâce à des solutions comme OpenMediaVault ou Nextcloud.

Certains modèles de NAS grand public intègrent même des fonctions avancées comme la gestion de vidéosurveillance ou la synchronisation multi-sites. Cette approche offre un contrôle total sur les fichiers, des économies sur le long terme, et évite de dépendre d’abonnements récurrents. Elle demande toutefois un minimum de configuration initiale.

L’avantage du NAS réside également dans sa capacité à s’adapter à l’évolution de vos besoins en ajoutant simplement de nouveaux disques de stockage.

Pour les utilisateurs recherchant un compromis entre sécurité et simplicité, certains services européens comme pCloud proposent des solutions hybrides. Leurs serveurs conformes aux normes RGPD assurent la confidentialité tout en offrant la praticité du cloud.

En 2025, il n’existe pas de solution universelle. Le choix entre NAS et Cloud dépendra surtout de vos priorités : confidentialité maximale ou confort d’utilisation.

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NAS vs Cloud : Comparatif Pour Bien Choisir sa Solution de Stockage

17 juin 2025 à 07:24

Stocker ses données est devenu un enjeu central, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Deux grandes solutions s’affrontent : le cloud public et le stockage NAS local.

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Le cloud, avec des services comme Google Drive, Dropbox ou iCloud, séduit par sa facilité d’accès. Les données sont accessibles depuis n’importe quel appareil connecté à Internet, la synchronisation est automatique et les sauvegardes sont gérées par le fournisseur.

De plus, ces services proposent souvent des applications mobiles intuitives permettant de gérer ses fichiers à distance en quelques clics. Cependant, cette solution implique de confier ses fichiers à des acteurs tiers, souvent hors d’Europe, soulevant des questions de confidentialité et de souveraineté des données.

À l’inverse, un NAS permet d’héberger ses données chez soi ou dans son entreprise. De nombreux utilisateurs de Raspberry Pi ont d’ailleurs transformé leur mini-ordinateur en véritable serveur NAS grâce à des solutions comme OpenMediaVault ou Nextcloud.

Certains modèles de NAS grand public intègrent même des fonctions avancées comme la gestion de vidéosurveillance ou la synchronisation multi-sites. Cette approche offre un contrôle total sur les fichiers, des économies sur le long terme, et évite de dépendre d’abonnements récurrents. Elle demande toutefois un minimum de configuration initiale.

L’avantage du NAS réside également dans sa capacité à s’adapter à l’évolution de vos besoins en ajoutant simplement de nouveaux disques de stockage.

Pour les utilisateurs recherchant un compromis entre sécurité et simplicité, certains services européens comme pCloud proposent des solutions hybrides. Leurs serveurs conformes aux normes RGPD assurent la confidentialité tout en offrant la praticité du cloud.

En 2025, il n’existe pas de solution universelle. Le choix entre NAS et Cloud dépendra surtout de vos priorités : confidentialité maximale ou confort d’utilisation.

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NAS vs Cloud : Comparatif Pour Bien Choisir sa Solution de Stockage

16 juin 2025 à 22:12

Stocker ses données est devenu un enjeu central, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Deux grandes solutions s’affrontent : le cloud public et le stockage NAS local.

👉 Découvrez dès maintenant notre comparatif NAS vs Cloud pour bien choisir votre solution de stockage.

Le cloud, avec des services comme Google Drive, Dropbox ou iCloud, séduit par sa facilité d’accès. Les données sont accessibles depuis n’importe quel appareil connecté à Internet, la synchronisation est automatique et les sauvegardes sont gérées par le fournisseur.

De plus, ces services proposent souvent des applications mobiles intuitives permettant de gérer ses fichiers à distance en quelques clics. Cependant, cette solution implique de confier ses fichiers à des acteurs tiers, souvent hors d’Europe, soulevant des questions de confidentialité et de souveraineté des données.

À l’inverse, un NAS permet d’héberger ses données chez soi ou dans son entreprise. De nombreux utilisateurs de Raspberry Pi ont d’ailleurs transformé leur mini-ordinateur en véritable serveur NAS grâce à des solutions comme OpenMediaVault ou Nextcloud.

Certains modèles de NAS grand public intègrent même des fonctions avancées comme la gestion de vidéosurveillance ou la synchronisation multi-sites. Cette approche offre un contrôle total sur les fichiers, des économies sur le long terme, et évite de dépendre d’abonnements récurrents. Elle demande toutefois un minimum de configuration initiale.

L’avantage du NAS réside également dans sa capacité à s’adapter à l’évolution de vos besoins en ajoutant simplement de nouveaux disques de stockage.

Pour les utilisateurs recherchant un compromis entre sécurité et simplicité, certains services européens comme pCloud proposent des solutions hybrides. Leurs serveurs conformes aux normes RGPD assurent la confidentialité tout en offrant la praticité du cloud.

En 2025, il n’existe pas de solution universelle. Le choix entre NAS et Cloud dépendra surtout de vos priorités : confidentialité maximale ou confort d’utilisation.

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Quand faut-il auditer un site Drupal ?

12 juin 2025 à 09:24

Face aux changements constants de l’écosystème numérique, les sites web ne peuvent en aucun cas demeurer statiques. Ils doivent plutôt faire l’objet de maintenances régulières. Ainsi, à l’instar de tous les CMS, un site Drupal nécessite également un contrôle particulier. À quel moment peut-on auditer son site Drupal ? Explorez cet article pour en savoir plus !

Lors d’une montée de version ou une refonte importante

La refonte d’un site internet consiste à le modifier en profondeur que ce soit sur le plan graphique ou structurel. Quel que soit l’objectif poursuivi par cette montée, il est primordial d’effectuer un audit. En effet, cette opération permet d’évaluer le parcours de conversion, les modules et tous les éléments préexistants.

Cet audit garantit que les évolutions n’altèrent ni les performances ni la compatibilité du site web. Pour être accompagné dans cette démarche, vous pouvez faire appel à un partenaire expérimenté. Ainsi, si vous voulez auditer votre site Drupal, Parker+Parker est l’entreprise qu’il vous faut. En connaissance de cause, vous pourrez par la suite connaître les modifications à apporter et les erreurs à éviter.

 En cas de doute sur la sécurité ou les performances

La sécurité d’un site web est une priorité aussi bien pour les moteurs de recherche que pour les utilisateurs. De ce fait, un audit de sécurité s’impose sur les CMS, notamment Drupal dès que vous détectez des vulnérabilités potentielles. Par ailleurs, lorsque vous remarquez que le site devient lent, ou inaccessible, auditez-le, car il pourrait être victime de cyberattaques.

À intervalles réguliers, pour maintenir une bonne hygiène technique

Que vous receviez des alertes ou non, il est conseillé de faire un audit périodique. Cette opération permet de cerner les défaillances de votre site et de mettre à jour les modules. Un audit régulier permet de vérifier la performance et d’améliorer l’expérience utilisateur. Cette approche s’intègre dans une logique de gouvernance responsable.

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