Article modifié le 23 novembre 2025

Vous vous êtes sûrement déjà demandé comment la musique que vous sélectionnez depuis Spotify, Deezer ou Apple Music arrivait jusqu’à vos enceintes ou votre casque. Il n’y a pas d’explication universelle. Le principe est le même chez tous les services de streaming concurrents, mais chacun applique la recette à sa façon. Comme il est compliqué de synthétiser l’ensemble des informations incomplètes qu’ils mettent à disposition, le mieux est encore de se tenir informé régulièrement. Voici la liste des sites et des blogs à suivre que j’ai découvert pour tenter d’en apprendre plus.

Des informations techniques difficiles à trouver

Lorsque j’ai voulu en savoir un peu plus sur le fonctionnement technique des plateformes de streaming, je me suis rendu compte de l’absence totale d’explications. Aucun service de streaming ne fait l’effort de décrire en vidéo ou avec des schémas le flux global qu’emprunte la musique jusqu’à nos oreilles.

Le chemin c’est une chose, mais il y a aussi tout le fonctionnement des applications mobiles, comment sont gérées les informations liées aux titres, aux albums, aux artistes. Ou encore la façon dont ces applis en savent plus que l’on ne croit sur nous pour nous proposer des recommandations musicales pertinentes.

J’ai donc fait le tour des sites des principaux services de streaming afin d’en apprendre un peu plus. Auatnt dire que les informations sont éparpillées et incomplètes. Il y a des services qui ne partagent aucune information, d’autres qui font un effort de vulgarisation et les derniers livrent pêle-mêle des documents scientifiques pas faciles à absorber.

Dans les services qui ont arrêté de communiquer, il y a le blog technique de Last.fm. Pourtant, le contenu était intéressant, mais c’est silence radio depuis 2014… Le blog Napster a également cessé toute publication depuis plus de deux ans, dommage.

Les blogs des services de streaming

• Spotify – Le leader du streaming propose un blog très technique qui s’appelle Spotify R&D Engineering. Comme son nom l’indique, on comprend que l’on va rentrer dans les détails. Cela parle beaucoup de développement technique, de code, de plateformes logicielles, etc. Il y a des articles plus génériques sur des sujets intéressants comme les recommandations.

• Soundcloud – Le service de streaming le plus ouvert a un blog dédié à ceux qui s’intéressent au développement chez SoundCloud. Il y a toutefois des articles qui traient des mises à jour de l’app en expliquant les évolutions et les choix techniques.

• Deezer – Le service de streaming français propose à mon avis le blog technique sur le streaming le plus intéressant : deezer.io. Les contenus sont variés et les explications le plus souvent facilement compréhensibles. En outre, certains sujets sont repris en podcast pour ceux qui préfèrent s’informer de cette façon. Le podcast s’appelle, c’est bien trouvé : Deez is la tech.

• Amazon – Le blog amazon.science traite de tous les sujets liés à la marque Amazon, que ce soit les robots des plateformes logistiques ou le contrôle vocal via Alexa dans la voiture. Il y a peu de sujets liés au service de streaming Amazon Music mais on peut en trouver quelques-uns, à propos du fonctionnement intelligent des recommandations par exemple.

• Google – C’est la même chose qu’Amazon chez Google. Le blog Google Nest Community est un peu plus spécialisé mais ça parle autant d’alarme que de thermostat, et un peu moins de lecteur audio en streaming.

Les ressources scientifiques

Les ingénieurs ultra-qualifiés qui travaillent pour ces plateformes de streaming développent et inventent sans cesse. Certains déposent des brevets, d’autres réalisent des publications scientifiques. Il est possible de les retrouver en ligne… quand on connaît le lien ! Voici les bases de données des ressources scientifiques de trois services de streaming :

• Deezer Research
• Amazon Science Publications
• Google Research Publication Database

Enfin, lorsque vous aurez ingurgité tous ces sites et ces documents et que vous maîtriserez le fonctionnement des plateformes de streaming, vous pouvez aussi faire un tour sur les blogs des fabricants. J’ai retenu deux blogs notables car ils publient régulièrement des informations que l’on ne trouve pas ailleurs : le blog Bluesound et le Sonos Tech Blog.

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Article modifié le 23 novembre 2025

Il y a un peu plus d’un mois, le 7 mai dernier, Sonos mettait à jour son application vers une toute nouvelle version, la 8.0. Celle-ci a fait grand bruit, pas forcément pour de bonnes raisons. Analysons ce qu’il s’est passé et le contenu de cette mise à jour de l’app Sonos.

Une pluie de critiques à remettre dans son contexte

Cet article fait suite à celui-ci que je vous invite à lire : Toutes les applications mobiles des enceintes sans fil sont-elles vraiment nulles ? Il a été publié un mois avant la sortie de l’app Sonos 8.0, avec les maigres informations que je possédais à ce moment.

Je pressentais déjà que les critiques négatives allaient fuser. Et ça, sans juger de la qualité de la mise à jour puisqu’elle n’était pas disponible. Tout simplement parce que, comme je l’expliquais dans l’article précédent, baucoup d’utilisateurs n’aiment pas le changement. Auxquels s’ajoutent ceux qui pensent être des spécialistes de l’ergonomie…

Cela n’a pas raté. Malheureusement, l’aversion au changement et la critique pour critiquer ont été accompagnées de remarques négatives fondées à cause d’une application incomplète. Cependant, il ne faut pas oublier que les réseaux sociaux et les forums sont des loupes, ils ne sont pas représentatifs. Sonos a des centaines de milliers d’utilisateurs. Ce sont, comme partout, les plus virulents et les plus mécontents qui s’expriment. Pas ceux qui n’ont aucun problème.

Pourquoi sortir une application incomplète ?

Car le nœud du problème est là : le 7 mai, Sonos a sorti une nouvelle application mobile incomplète. On peut donc comprendre la colère légitime d’une partie des utilisateurs qui ont perdu du jour au lendemain une ou plusieurs fonctions qu’ils avaient l’habitude d’utiliser depuis des années.

C’était le cas des timers et des alarmes permettant d’allumer/éteindre automatiquement ses enceintes Sonos, pour se réveiller le matin par exemple. Ou encore de l’impossibilité d’ajouter un titre “à lire ensuite”. Ou bien l’accès impossible à un dossier partagé sur son réseau pour accéder à sa bibliothèque musicale personnelle.

Ces absences qui faisaient partie des plus demandées ont été remises dans l’app au bout de quelques jours ou semaine.

Alors pourquoi Sonos a “imposé” une nouvelle app mobile incomplète ? La raison est toute simple : cette version 8.0 était obligatoire pour pouvoir utiliser le nouveau casque Ace sorti au même moment.

Pas seulement. Jusqu’au 7 mai, l’app Sonos était en réalité la même app sortie en 2009, sans cesse améliorée, mais toujours sur la même base technique. Avec la version 8.0, Sonos a tout repris de zéro. Afin d’être plus au goût du jour en termes de développement, et de pouvoir accueillir le futur sereinement.

Il fallait faire un choix : repousser la sortie du casque ou repousser la sortie de l’app. Sonos a choisi de garder la date officielle pour le casque et de délivrer la nouvelle app dans une première version 8.0 incomplète.

Peut-on blâmer Sonos ?

En tant qu’utilisateur de plus ou moins longue date, oui on peut être légitimement énervé de perdre des fonctions du jour au lendemain. Par ailleurs, en plus des manques, elle n’est pas exempte de bugs plus ou moins bloquants. Ceux-ci sont corrigés au fur et à mesure une ou deux fois par semaine. On a pu lire certains utilisateurs perdre la fonction Trueplay, voir certaines enceintes disparaître de leur système mais pas d’autres, faire face à des ralentissements bloquants lors de la navigation…

L’utilisateur final n’a pas à comprendre comment marche le développement logiciel dans une entreprise. Son système fonctionne, il doit fonctionner tout le temps. Les personnes peu au fait de la technologie ont pu réellement se sentir abandonnées face aux manques et autres bugs.

Il est tout de même dommage que Sonos n’ait pu arriver à faire coïncider son planning de développement produit, pour le casque, et celui concernant l’app. Dans quelques semaines, tout sera rentré dans l’ordre.

Je pense que cela peut laisser une marque indélébile qui s’ajoutera à celle concernant la communication hésitante lors de la sortie de l’app S2 et du maintien des anciens produits sous S1. Cela touchera peu de personnes dans la réalité, surtout ceux présents sur les réseaux, qui ont une certaine visibilité néanmoins. Tous les autres, infiniment plus nombreux, auront vite oublié.

J’imagine que cela aurait été impossible, mais présenter l’app 8.0 sous l’appelation S3 aurait pu être une bonne idée. Cela aurait permis aux utilisateurs d’essayer Sonos S3 sans obligation, avec les manques et les bugs, tout en pouvant rester ou revenir sous S2 s’ils le souhaitaient.

Qu’est-ce que j’attends de l’app Sonos 8.0 ?

Pour ma part, je n’ai rencontré aucun bug avec la version 8.0. Je l’ai installée bien entendu le premier jour car j’ai reçu un casque Sonos Ace en test. Je trouve la nouvelle app un peu plus lente dans sa navigation par rapport à la précédente. Surtout au début, moins maintenant. Une fois que l’on a compris que le logo Sonos en haut à gauche permet de revenir en arrière, c’est plutôt logique. La réorganisation des sections me va bien.

Il manque certaines fonctions à ce jour tel que la possibilité d’affecter une zone par défaut à une entrée auxiliaire line-in, ou de configurer les Amp et Port en double mono. Le moteur de recherche qui opère aussi dans sa bibliothèque personnelle a définitivement disparu. Je pense qu’il y a peu de chance qu’il revienne, mais sait-on jamais !

Et puis j’aimerais bien que la page d’accueil de l’app désormais personnalisable le soit encore plus. Que l’on puisse modifier la liste complète des services musicaux et que l’on puisse modifier aussi les favoris Sonos que l’on veut afficher ou pas (radios, playlists, titres).

Une nouvelle web app pour les ordinateurs

La version 8.0 signe la fin des applications de bureau Sonos pour PC et Mac. Celles-ci n’ont pas évolué depuis de nombreuses années. Je sais que leur présentation plaisait beaucoup, avec ce tableau de bord complet en un écran : les zones à gauche, en cours de lecture au milieu et les sources musicales à droite.

Beaucoup plus simple et plus universel, Sonos se contrôle depuis un ordinateur maintenant via un simple navigateur web. En tapant l’adresse https://play.sonos.com, on obtient une app avec une mise en page différente de celle des smartphones et tablettes. Elle se rapproche un petit peu des anciennes applications de bureau avec l’affichage permanent de toutes les zones, cette fois-ci sur la droite de l’écran.

L’avantage d’une web app, c’est de pouvoir l’afficher facilement n’importe où : sur des iPad qui ne seraient plus mis à jour ainsi que sur des écrans domotique. J’ai un écran tactile domotique Crestron qui sait afficher une page web par défaut. Si je mets l’adresse de cette web app, j’ai alors un écran tactile avec Sonos en plein écran !

Bon, il y a tout de même un petit truc qui me gêne avec cette web app. Que ce soit sur une tablette, un ordinateur ou l’écran tactile Crestron, je suis obligé de me ré-identifier tous les 3 jours. Ca gâche pas mal l’expérience et j’espère que Sonos va désactiver ce besoin de se logger et relogger et garder les infos en mémoire. A la rigueur une fois tous les 3 mois, pourquoi pas. Mais pas tous les 3 jours !

Et vous, qu’est-ce que vous pensez de la nouvelle app Sonos 8.0 ? Partagez votre avis dans le forum Multiroom !

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Article modifié le 23 novembre 2025

Après le lecteur réseau amplifié 1 zone Model M1, Marantz présente une centrale multiroom 4 zones. Le hub Model M4 reprend l’esthétique des appareils HiFi de la marque en proposant du multiroom qualitatif. A nouveau, c’est une déclinaison haut de gamme d’un produit existant chez Denon.

Marantz de retour dans le multiroom

Marantz est un fabricant japonais reconnu pour ses produits HiFi restants dans des gammes de prix accessibles. Il y a des modèles exclusifs dont le tarif peut sembler très élevé, mais on est loin de la HiFi ésotérique à six chiffres, ou plus encore. Marantz, c’est du haut de gamme raisonnable.

La marque n’est pas novice dans le multiroom puisqu’elle fut même pionnière dans ce domaine avec la première centrale multizones sur courant porteur. Présentée en 2006, la gamme Marantz DAvED permettait de créer des zones simplement en branchant les récepteurs sur les prises de courant. La centrale ZR6001SP transmettait le son de ses sources de cette façon. C’était une innovation intéressante vite abandonnée, le courant porteur, ou CPL, n’étant pas la façon la plus fiable de transmettre de la musique malheureusement.

Par la suite, Marantz a proposé des amplificateurs de puissance multicanaux pour le multiroom. Plus tard, le protocole multiroom HEOS de la marque sœur Denon a commencé à être implanté dans différents types de produits, en commençant par les amplificateurs audio/vidéo.

4 zones HEOS

Le Marantz Model M4 arbore le design des tous derniers appareils HiFi de la marque avec ces extrémités de façade caractéristiques et ce cercle central. Ce dernier indique uniquement l’état des quatre zones. On trouve simplement un bouton marche/arrêt. Tout se passe sur l’application mobile HEOS.

Chaque zone est amplifiée par 2x100W de puissance, à l’image du streamer Model M1. Avec le M4, les canaux peuvent se ponter pour plus de watts. Marantz a prévu six entrées pour autant de sources externes : 4 analogiques et 2 numériques optiques. Il y a également quatre ports USB pour que chaque zone puisse avoir accès à ses propres contenus.

On trouve quatre sorties lignes, pour utiliser des amplificateurs plus puissants ainsi que des sorties triggers qui allumeront de concert ces appareils externes. Les sorties lignes peuvent également être utilisées pour relier un ou deux caissons de basse dans chaque zone. Marantz précise que les entrées numériques sont compatibles Dolby Digital, ce qui laisse la possibilité de diffuser le son d’un téléviseur vers toutes les zones.

Le Model M4 étant destiné à être installé dans un endroit central de la maison, il trouvera souvent sa place dans un rack technique. Marantz livre dans le carton les équerres de fixation pour rack 19″.

En bref, le Marantz Model M4 est la version haut de gamme du Denon HEOS Drive HS2. Ce dernier est un hub multiroom HEOS 4 zones moins puissant, et aussi moins cher.

Source : StereoNET

Fiche technique du Marantz Model M4

• Centrale multiroom 4 zones
• Puissance : 8x100W @8 ohms, 8x125W @4 ohms
• Type d’amplification : classe D
• Connnectivité : 4x entrée RCA, 2x entrée optique, 4x USB-A, 4x sorties ligne, 4x triggers 12V, 2x Ethernet
• Protocoles : HEOS, Spotify Connect, AirPlay 2, UPnP
• Autres : canaux pouvant être bridgés
• Dimensions (l x h x p) : 442 x 106 x 415 mm
• Poids : n.c.

Prix : 3500 €

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Article modifié le 23 novembre 2025

La gamme d’appareils audio connectés Meridian est très resserée. Elle s’ouvre aujourd’hui vers plus de polyvalence avec la première enceinte connectéede la marque. Il y a bien eu l’enceinte F80 par le passé, mais elle ne présentait aucune connectivité réseau. alors que cette Meridian Ellipse fait le plein avec tous les protocoles les plus courants.

Ceci n’est pas juste une autre enceinte connectée

C’est ainsi que Meridian présente l’Ellipse. Elle a été développée sans compromis à partir des mêmes technologies qui se trouvetn dans les enceintes colonnes actives de la marque telles que les DSP8000XE et DSP9. L’Ellipse inaugure à ce propos une nouvelle plateforme R2 développée spécifquement pour elle. Les DSP, c’est-à-dire les traitements audio numériques, chers à Meridian sont ici au nombre de 12. Ils gèrent entre autres choses le grave, le focus, l’adéquation avec la pièce, l’alignement temps/fréquence ou l’élévation de la scène sonore.

Avec 41 cm de large, l’Ellipse est assez imposante. Meridian en a profité pour créer un châssis inerte aux vibrations reposant sur trois pieds. Le fonctionnement en stéréo fait appel à un couple de haut-parleurs large bande de 90 mm entourant une unité de grave de 10×15 cm. La puissance totale est de 80 Watts pour une réponse en fréquence descendant assez bas (40 Hz) pour ce type d’enceinte.

Connectivité universelle

L’app Meridian Connect permet de piloter différents appareils Meridian connectés compatibles. Cependant, elle n’a rien à voir avec une app de pilotage multiroom comme on les connaît. Plutôt que d’intégrer les servcies de streaming, Meridian se repose sur les protocoles les plus courants. Ainsi, l’Ellipse fonctionnera dans un maximum de systèmes : Spotify Connect, Tidal Connect, AirPlay 2, Chromecast, UPnP et Roon.

L’enceinte Ellipse dispose de deux entrées auxiliaires. La première est un mini-jack mixte analogique et optique. Le seconde est un port DAC/USB jouant le rôle d’entrée pour un ordinateur, un baladeur ou un smartphone. Cette enceinte Meridian est donc complète avec des performances qui devraient être au rendez-vous. Reste son prix cohérent avec la marque, moins avec nos porte-monnaies à plus de 2000 €…

Source : Meridian

Fiche technique de la Meridian Ellipse

• Enceinte connectée
• Haut-parleurs : 2x large bande 90 mm, 1x woofer 150×100 mm
• Puissance : 2x25W pour les large bande, 1x30W pour le woofer
• Connnectivité : 1x entrée analogique/optique mini-jack 3,5 mm, 1x USB-C (DAC), Ethernet, WiFi, Bluetooth
• Protocoles : Spotify Connect, Tidal Connect, AirPlay 2, Chromecast, UPnP, Roon
• Autres : télécommande MSR2 en option
• Dimensions (l x h x p) : 410 x 219 x 163 mm
• Poids : 3,9 kg

Prix : 2250 €

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Sur YouTube, la chaîne The Headphone Show a comparé la qualité audio réelle d’Apple Music, Tidal, Spotify, Qobuz et Amazon Music. Les tests se sont déroulés sur Mac et iOS. Les résultats révèlent des différences surprenantes entre les services, avec des performances inégales même sur les appareils Apple.

Qobuz et Tidal dominent la qualité audio

Les tests techniques utilisant des fichiers audio spécifique et un analyseur Audio Precision ont permis de vérifier si chaque service diffuse véritablement de l’audio sans perte (lossless) et si la lecture reste bit-perfect.

Qobuz s’impose comme la référence absolue : il change automatiquement la fréquence d’échantillonnage du DAC pour éviter le rééchantillonnage, diffuse des fichiers lossless authentiques et offre une sortie bit-perfect sur Mac et iOS sans aucune manipulation requise.

Tidal obtient également d’excellents résultats avec une lecture bit-perfect sur Mac. Sur iOS, bien que techniquement imparfait avec des taux d’erreur de 11% à 33%. L’ajout d’un léger dithering reste négligeable et n’affecte pas la qualité d’écoute de façon perceptible.

Les deux services proposent du contenu haute résolution jusqu’à 192 kHz et garantissent une expérience optimale. Pour les utilisateurs exigeants recherchant la meilleure qualité possible, Qobuz représente le choix ultime tandis que Tidal constitue une excellente alternative avec des performances quasi-identiques.

Apple Music déçoit, Amazon Music à oublier ?

Apple Music surprend négativement malgré son intégration native. Le service ne change pas automatiquement la fréquence d’échantillonnage, nécessitant soit des ajustements manuels constants, soit l’installation d’un outil tiers gratuit (Lossless Switcher). Dans le cas contraire, la Hi-Res sera convertie vers le plus petit dénominateur commun.

Comme Tidal, il applique du dithering sur Mac, mais le catalogue haute résolution s’avère nettement plus limité que la concurrence : des albums disponibles en 192 kHz ou 88,2 kHz chez Qobuz et Tidal restent bloqués à 44,1 kHz sur Apple Music. Certains fichiers test à 192 kHz ne lisent qu’à 48 kHz sur iPhone, révélant des incohérences inexpliquées.

Quant à Amazon Music, il accumule les problèmes : absence de changement automatique de fréquence, catalogue incohérent où certains morceaux affichés “HD” sont compressés, et surtout, ajout de 3% de distorsion harmonique sur iOS. Ces défauts dépassent largement ceux des équipements audio de mauvaise qualité…

En résumé, les acteurs historiques de la Hi-Res que sont Qobuz et Tidal respectent leurs engagements. Les “suiveurs” Apple Music et Amazon Music veulent bien faire en étant eux aussi Hi-Res, mais ils ne le sont pas réellement, ou tout du moins de façon perfectible. Avec des tarifs resserrés entre 10,99 € et 12,49 € par mois pour ces quatre services, ce critère n’est même plus un problème.

Source : The Headphone Show

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L’application de lecture audio Hi-Res Volumio 4 débarque après un an de développement, avec une refonte complète de l’infrastructure technique basée sur Debian Bookworm. L’interface reste identique, mais les fondations modernisées ouvrent la voie à de futures évolutions majeures.

Une révolution invisible mais essentielle

Volumio 4 se compare à un changement de moteur : l’extérieur reste familier, mais l’intérieur a été entièrement reconstruit. La migration vers Debian Bookworm constitue le cœur de cette mise à jour, offrant une base moderne et pérenne pour les développements futurs.

Cette refonte technique s’accompagne d’une nouvelle application mobile qui transforme l’expérience utilisateur. La connexion entre l’appareil et l’app est désormais plus stable, même sur des réseaux instables, tandis que la configuration initiale a été simplifiée.

L’équipe de développement a consacré des mois à rebâtir le système tout en maintenant sa compatibilité. Cette version est disponible dès maintenant pour Raspberry Pi et PC, avec un déploiement prévu au premier trimestre 2026 pour les produits Volumio et les partenaires OEM.

L’installation nécessite un reflashage complet, il n’est pas prévu de pouvoir mettre à jour en version 4 directement depuis Volumio 3.

Améliorations concrètes et leçons retenues

Les améliorations touchent tous les aspects de l’utilisation quotidienne. La lecture de CD via USB est devenue silencieuse, éliminant les bruits parasites. Le Bluetooth a été complètement réécrit, offrant une latence réduite et une meilleure compatibilité sans sacrifier la qualité audio.

Un nouveau plugin permet d’envoyer le son vers des enceintes Bluetooth, et les télécommandes Bluetooth fonctionnent désormais nativement. Le support NVME améliore drastiquement les performances de lecture, tandis que la dernière version de MPD gère plus efficacement les bibliothèques volumineuses.

L’équipe a appris de l’échec du lancement de Volumio 3, où les plugins n’étaient pas prêts. Cette fois, tous les plugins populaires sont disponibles dès le premier jour, avec de nouvelles possibilités pour les développeurs.

Installation et premier avis

En revanche, Raspberry Pi 1 et Zero ne sont plus supportés faute de binaires compatibles. Je viens donc tout juste de l’installer sur une carte SD pour un Raspberry Pi 4. Les plugins sont nombreux et certains auxquels je n’avais pas fait attention pourraient m’intéresser.

La navigation semble effectivement plus rapide sans changement dans l’interface. Et c’est ce que je reproche un peu à Volumio. Le moteur a été changé mais une évolution majeure de l’interface, plus actuelle, plus moderne, serait la bienvenue.

Source : Volumio

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Bang & Olufsen dévoile Beosound Premiere, une barre de son sculptée en aluminium qui intègre la nouvelle technologie Wide Stage et dix haut-parleurs pour un son spatial immersif. Disponible dès décembre 2025 à partir de 4900 euros, elle propose également une édition limitée à 25 exemplaires gravés à la main.

Une sculpture sonore en aluminium pur

La troisième barre de son B&O Beosound Premiere adopte une silhouette tridimensionnelle sculptée dans l’aluminium massif. Fabriquée en collaboration avec les experts de Factory 5 à Struer au Danemark, elle arbore une finition satinée mate obtenue par grenaillage.

Le boîtier intègre dix haut-parleurs personnalisés, dont un tweeter orienté vers le haut placé au centre, orné de 1925 perforations usinées rendant hommage à l’année de fondation de la marque en 1925. Avec cette barre de son, Bang & Olufsen célèbre les haut-parleurs plutôt qu’il les dissimule.

L’éclairage d’ambiance constitué de 90 leds crée une interaction intuitive, illuminant la barre de son d’une lueur en mouvement qui réagit aux réglages. Il établit une connexion visuelle avec le produit, une idée qui colle parfaitement à l’esprit de la marque danoise.

Technologie Wide Stage et son spatial Dolby Atmos

La technologie brevetée Wide Stage utilise un traitement du signal spécialement conçu pour créer l’illusion d’enceintes externes supplémentaires, élargissant et rehaussant la scène sonore au-delà des dimensions physiques de la barre.

Les dix haut-parleurs fonctionnent en synergie pour déployer un son tridimensionnel qui enveloppe l’auditeur sous tous les angles. Le décodeur Dolby Atmos 7.1.4 s’adapte aux besoins de l’utilisateur et permet d’ajouter d’autres enceintes Bang & Olufsen via le protocole Beolink Surround pour une expérience encore plus immersive. Par ailleurs, la barre analyse automatiquement son environnement pour optimiser la diffusion sonore selon l’espace.

Trois finitions seront disponibles, au fil du temps : aluminium naturel (décembre 2025), gold tone (février 2026) et black anthracite (mars 2026). Les grilles de façade seront interchangeables, en tissu gris ou en bois de chêne.

La Beosound Premiere Haute Edition sera produite en série limitée à 25 exemplaires. Elle présente un motif gravé dans la masse nécessitant 17 heures d’usinage. Elle est fournie avec une télécommande Beoremote One dans un coffret en bois, le tout pour 13000€…

Certifiée Cradle to Cradle Bronze et garantie 5 ans via Beocare, la Besound Premiere illustre l’engagement durable de la marque.

Prix : 4900 €

Source : Bang & Olufsen

Galerie photo Bang & Olufsen Besound Premiere

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Devialet lance une édition exclusive de l’enceinte Mania aux couleurs du Palais Garnier pour les fêtes. Cette version Opéra Rouge, associant grenat et or 24 carats, est le fruit d’un partenariat avec l’Opéra National de Paris initié en 2017.

Une robe d’exception inspirée du Palais Garnier

Cette édition exclusive Devialet Mania Opéra Rouge se distingue par une palette chromatique directement inspirée de l’emblématique Palais Garnier. Le grenat habille l’ensemble de l’enceinte, tandis qu’un bordeaux profond vient souligner la poignée et les haut-parleurs de graves.

L’ossature plaquée or constitue la véritable signature de cette version : réalisée dans un alliage d’or 24 carats avec une finition brossée, elle reprend les codes esthétiques de la gamme Opéra de Paris.

Au-delà de l’aspect visuel, cette édition Rouge conserve l’intégralité des performances techniques de la Mania classique. Cette version allie mobilité et qualité sonore dans un écrin digne de la plus belle salle de concert parisienne.

La version Opéra Rouge s’inspire de l’édition limitée Palais Garnier dévoilée il y a quelques mois, qui fait appel à un tissu pourpre inspiré de celui des sièges de la salle d’Opéra. Celle-ci est disponible en version limitée numérotée, accompagnée d’un étui de transport Cocoon tout aussi exclusif.

Calibrage acoustique en temps réel

La Mania Opéra Rouge embarque le calibrage ASC (Active Stereo Calibration) s’appuyant sur quatre microphones stratégiquement positionnés pour analyser l’environnement acoustique en temps réel. Elle adapte ainsi automatiquement le rendu sonore selon sa position.

L’architecture stéréo croisée à 360° déploie un champ sonore enveloppant, tandis que la technologie brevetée SAM (Speaker Active Matching) garantit des basses profondes et précises.

La plateforme DOS 2 s’occupe des connexions Wi-Fi et Bluetooth 5.0, avec les compatibilités Spotify Connect et AirPlay.

Cette édition limitée, disponible depuis le 5 novembre dans les boutiques Devialet et chez les revendeurs agréés, est livrée avec sa station de recharge en finition dorée. L’étui Cocoon est en option.

Prix : 1090 €

Source : Devialet

Galerie photos Devialet Mania Opéra Rouge

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Triangle fait évoluer ses enceintes sans fil haut de gamme Capella dans une version 2, qui conservent l’élégance de la première génération tout en intégrant un nouveau hub de connectivité. Le fabricant français enrichit également la palette de coloris avec trois nouvelles finitions originales pour une intégration dans tous les intérieurs.

Un hub modernisé pour une connectivité optimale

Le Stereo Hub 2 constitue le cœur du système et exploite toujours le protocole WiSA pour transmettre l’audio en haute résolution sans fil entre les différents composants.

Cette nouvelle version apporte des améliorations avec l’ajout d’une prise RJ45 qui vient compléter le WiFi pour garantir une connexion réseau plus stable selon les configurations. Les entrées comprennent toujours de l’analogique, du numérique et du HDMI ARC, mais une sortie mono RCA fait son apparition pour intégrer un caisson de basses au système.

La télécommande profite d’une refonte complète avec une recharge USB-C. Triangle a équipé ce hub d’un processeur plus performant qui améliore la réactivité générale, tandis que les capacités de streaming s’étoffent avec Spotify Lossless, Tidal Connect et Roon. Il y a toujours AirPlay 2 et Google Cast.

Le châssis du Stereo Hub 2 aux lignes originales s’accorde harmonieusement avec les coloris des enceintes pour un ensemble cohérent.

Des enceintes raffinées aux performances abouties

Les Capella 2 conservent leur configuration deux voies avec le tweeter à pavillon TZ2530MG de 25 mm en alliage magnésium-aluminium et un woofer de 165 mm doté d’une membrane en cellulose naturelle. L’évent bass-reflex dirigé vers le bas exploite intelligemment l’espace sous l’enceinte grâce au support intégré. Quant au système interne DVAS, il vise à réduire les vibrations de l’ébénisterie.

Le système de calibrage automatique évolue avec une égalisation désormais possible par canal individuel pour chaque enceinte et le caisson de basses optionnel, le tout piloté via l’application mobile dédiée, soit avec le micro d’un iPhone, soit avec le micro Zen en option.

Les amateurs de design apprécieront les cinq finitions disponibles : bleu astral et blanc astral hérités de la première génération, complétés par un noir sidéral, un vert anglais et une version chêne, toujours associées au piétement aluminium champagne. Cet ensemble connecté s’adresse aux mélomanes recherchant la signature Triangle dans un format compact et élégant.

Prix : 2499 €

Source : Triangle

Galerie photos Triangle Capella 2

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Article modifié le 23 novembre 2025

Bluesound dévoile la nouvelle génération de sa Pulse Flex, son enceinte sans fil tout-en-un la plus populaire, redessinée après dix ans de succès. Disponible dès décembre, elle combine un design minimaliste, toujours le son haute résolution ainsi que le multiroom BluOS pour s’adapter à toutes les pièces.

Design modernisé et intégration simplifiée

La Pulse Flex fait peau neuve avec un design entièrement repensé qui privilégie le minimalisme. Ses contours arrondis et son format compact lui permettent de s’intégrer naturellement dans le salon, la cuisine, les chambres ou le bureau, et tout autre espace où la musique trouvera sa place.

Il est possible d’utiliser l’enceinte seule, en paire stéréo, ou comme enceintes surround arrière avec les PowerNode, Pulse Cinema ou Cinema Mini pour créer un système home cinéma immersif.

Sous un habillage élégant, l’enceinte conserve l’ADN technique de Bluesound avec des composants spécialement conçus pour la marque. Trois finitions sont proposées : Black Charcoal, White Pearl et White Tan. Elle est accompagnée d’accessoires optionnels comme le support mural WM100, le pied réglable FS230 et des grilles en tissu interchangeables pour personnaliser l’apparence. L’emplacement à l’arrière pour la batterie, comme sur le modèle précédent, est bien présent. Mais Bluesound n’en parle pas encore.

L’objectif était de rendre la signature sonore réputée de Bluesound plus accessible sans compromettre les détails et la qualité.
Matt Simmonds, chef de produit Bluesound

Performances audio et connectivité étendue

Le système audio comprend un amplificateur SmartDSP délivrant 50 watts de puissance totale. Il alimente un woofer de 10 cm et un tweeter de 21 mm. Bien que ce soit le plus petit modèle de la marque, la Pulse Flex prend en charge l’audio haute résolution jusqu’à 24 bits/192 kHz, le décodage MQA et la lecture DSD256.

L’intégration BluOS offre l’accès à plus de vingt services de streaming musical, radios internet et bibliothèques personnelles via l’application BluOS Controller. Cela comprend Spotify Connect, Tidal Connect, Qobuz Connect, Roon et AirPlay 2.

La connectivité inclut le WiFi, l’Ethernet Gigabit, le Bluetooth aptX HD et deux entrées filaires : une USB-C et un mini-jack combo optique/analogique. Des boutons tactiles de préréglage, l’apprentissage par télécommande infrarouge et la compatibilité avec les assistants vocaux complètent l’expérience utilisateur.

Prix : 299 €

Source : Bluesound

Galerie photos Bluesound Pulse Flex 2025

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Octavio a présenté au salon PAVS 2025 une version limitée de son enceinte Maestro. Réalisée en collaboration avec l’artiste lillois SKWAK, l’enceinte est personnalisée à la main. Il n’y a donc pas deux enceintes semblables, vous pouvez réellement vous offrir une œuvre unique.

L’Octavio Maestro sur le devant de la scène

Dernièrement, Octavio a mis à jour son lecteur Stream dans une version G2 : nouvelle application et nouveaux protocoles. Quant à l’enceinte Maestro, je l’ai testée en 2023, quelques mois après sa sortie. Depuis, son prix a été revu à la baisse puisqu’elle est régulièrement proposée à 299 €, soit la moitié de son tarif de lancement.

Au Paris Audio Video Show 2025, Octavio a créé la surprise en présentant une version vraiment spéciale de cette Maestro. La société située dans les Hauts-de-France s’est associée avec un artiste local du nom de SKWAK. Son style mélangeant street art et culture pop très reconnaissable se retrouve sur l’enceinte d’Octavio.

Chaque enceinte sera réalisée à la main par l’artiste ! Sur la base d’une Maestro en finition noire, cela implique un délai de fabrication de 4 à 6 semaines. Le certificat d’authenticité garantira la provenance de cette enceinte œuvre d’art. Le tarif de ce modèle spécial est de 599 €.

Source : Octavio

Mon avis sur l’édition SKWAK

L’enceinte Maestro est un modèle connecté performant, pratique à utiliser, doté de haut-parleurs de qualité provenant de chez Davis Acoustics. Petit bonus : le bouton physique d’extinction à l’arrière, pratique quand on ne l’utilise pas pendant un temps prolongé. Avec cette finition personnalisée, cela ajoute de la valeur à la Maestro tout en pouvant séduire des personnes qui s’intéressent autant à l’art graphique qu’à la musique. Le tarif est vraiment raisonnable pour un modèle unique. Même s’ils étaient industrialisés, cela me fait penser aux panneaux en série limitée qui ont pu être proposés pour l’enceinte murale IKEA x Sonos.

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Wrensilva propose des consoles audio fabriquées à San Diego, en Californie, qui fusionnent platine vinyle et streaming Sonos dans un meuble en bois haut de gamme. Le positionnement est clair : réconcilier les amateurs de vinyle avec la commodité du numérique, sans compromis sur le design ou la qualité sonore.

Une équipe de musiciens passionnés

Chez Wrensilva, les consoles sont fabriquées par des gens qui vivent la musique au quotidien. On ne parle pas d’ouvriers qualifiés standard, mais d’ingénieurs du son, d’anciens luthiers et de musiciens. Adam Baumhardt, qui dirige la production, a passé des années à construire des guitares acoustiques. Mitchel Harden, directeur de production, est ingénieur du son et teste littéralement ses propres mixages sur les systèmes qu’il fabrique.

C’est un détail qui change tout : quand vous concevez un objet audio en testant votre propre travail dessus, l’exigence n’est plus la même. Scott Salyer, co-fondateur, compare d’ailleurs le processus de fabrication à une production d’album : un effort collaboratif où chaque détail compte.

Résultat : des consoles construites à la main avec des bois locaux triés sur le volet comme l’acajou blond ou le noyer naturel, des emplacements pour les disques garnis de cuir, des pieds en métal brossé et des tissus doublés pour les caches haut-parleurs.

Sonos intégré pour un système complet

Wrensilva a choisi de fusionner analogique et numérique. Chaque console M1 embarque une platine vinyle haut de gamme à entraînement par courroie, montée sur un socle flottant pour l’isoler les vibrations.

Le sélecteur rotatif pour les sources permet de basculer sur l’une des deux entrées auxiliaire ou en Bluetooth. Mais c’est l’intégration Sonos qui change la donne : du vinyle, on peut passer à Spotify puis diffuser la musique dans toute la maison vers des enceintes Sonos. J’imagine qu’un lecteur Sonos Port est intégré à l’intérieur de la console.

Du côté de la signature sonore, Wrensilva revendique une approche radicale : s’effacer complètement. Pas de restitution audio marquée, pas de son “maison”. L’objectif est de restituer la musique telle qu’elle a été enregistrée. Wrensilva collabore avec des pointures du monde de la musique comme Giles Martin (Abbey Road) ou Joe Harley (Blue Note) pour y parvenir.

Malheureusement, il ne sera pas possible de profiter chez nous des consoles Wrensilva : elles ne sont commercialisées qu’aux Etats-Unis, à partir de 16900$ pour le haut de gamme M1. Mais il existe aussi des modèles plus petits. L’encombrement et le poids de ces consoles compliquent sérieusement l’exportation !

Source : Wrensilva

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Le Google Home Speaker, annoncé pour le printemps 2026 au prix de 99,99 €, pourrait bousculer le monde de la maison connectée grâce à l’intelligence artificielle conversationnelle Gemini. Ce modèle se positionne comme un concurrent direct du HomePod mini en remplaçant le modèle Nest Audio. Il sera possible de faire un essai de six mois à Google Home Premium, permettant d’accéder à Gemini Live, des automatisations complexes et des fonctionnalités de sécurité avancées.

Une intégration matérielle durable et sonore avancée

Le Google Home Speaker est une mini enceinte connectée et intelligente dans la lignée des enceintes Google Nest Audio précédentes. Plus ronde, elle se rapproche du design du HomePod mini, mais sans la zone tactile sur le dessus. Ils seront au même prix.

L’accent a été mis sur la durabilité, l’enceinte étant fabriquée à partir de 39 % de matériaux recyclés, incluant les plastiques, métaux et terres rares. Elle est également enveloppée d’un fil innovant issu d’un processus de tricotage 3D unique, visant à réduire le gaspillage de tissu.

Sur le plan des performances, le haut-parleur délivre un son uniforme à 360°, avec des réglages acoustiques optimisés. L’appareil supporte la création de groupes d’enceintes avec d’autres dispositifs Nest ou Google Cast.

Il peut être couplé au Google TV Streamer pour créer une expérience immersive home cinéma traitant le son spatial. Mais Google ne dit pas si cette configuration est limitée à 2 enceintes ou peut fonctionner avec 5 Google Home Speaker ?

Pour garantir la confidentialité, l’appareil est équipé du traditionnel interrupteur physique de coupure du microphone sur le socle, complété par un anneau lumineux qui signale visuellement lorsque l’enceinte écoute ou répond. Elle remplace les quatre petites leds auxquelles on était habitué.

Google Home Speaker 2026, Gemini et Google Home Premium : l’intelligence au service du foyer

Le Google Home Speaker est doté de Gemini, un assistant vocal plus conversationnel que l’ancien Google Assistant, conçu pour s’attaquer aux tâches quotidiennes de manière fluide. L’achat de l’enceinte comprend six mois d’essai à l’abonnement Google Home Premium Standard (puis ensuite 10 € /mois) qui débloque une version plus performante de Gemini pour la maison.

Cette version Premium permet d’accéder à Gemini Live offrant une aide experte et permettant de parler librement avec l’enceinte, d’interrompre l’assistant et de poser des questions de suivi, comme on le ferait avec une vraie personne.

Le plan Google Home Premium Standard inclut, en plus de Gemini Live, la capacité de créer des automatisations complexes en décrivant simplement le résultat souhaité (“Aide moi à créer”) et des fonctionnalités de détection de sons (alarme fumée/CO, bris de verre).

Le plan Google Home Premium Advanced (20 €/mois ou 200 €/an) ajoute la recherche rapide dans l’historique vidéo des Nest Cams et la possibilité de demander des résumés quotidiens des événements survenus pendant son absence.

Source : Google

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Lyngdorf Audio enrichit sa gamme d’enceintes encastrables Discreet avec le D-5 IC N, un modèle de plafond clos avec un caisson MDF de faible profondeur. Le tweeter orientable permet une diffusion sonore optimale vers la zone d’écoute, idéale pour l’audio immersif.

Un caisson MDF optimisé pour les espaces restreints

Le D-5 IC N remplace le précédent modèle D-5 IC dans la série Discreet de Lyngdorf Audio. Elle est destinée aux installations sur mesure dans les home cinémas et salons. La lettre “N” désigne un caisson éde faible profondeur (“narrow”) spécialement conçu pour s’intégrer dans des espaces de montage réduits dans les faux plafonds.

Cette conception compacte place également les deux haut-parleurs au plus près l’un de l’autre afin d’optimiser le rayonnement sonore. Le caisson en MDF rigide garantit une qualité acoustique constante et élimine la nécessité d’un boîtier arrière supplémentaire ou d’une cavité murale fermée.

Cette approche simplifie considérablement l’installation proprement dite, tout en assurant des performances sonores cohérentes, moins dépendantes de la construction et de l’espace disponible. La grille frontale magnétique, de forme carrée, est blanche. Elle peut être peinte.

Un tweeter orientable pour l’audio immersif

La caractéristique distinctive du D-5 IC N réside dans son tweeter incliné et ajustable, une spécificité technique majeure pour les enceintes de plafond. Il est ainsi possible de diriger le son vers la zone d’écoute plutôt que de diffuser simplement vers le bas.

L’enceinte s’avère particulièrement adaptée comme haut-parleur de hauteur dans un home cinéma, qu’elle soit installée à l’avant, sur les côtés ou à l’arrière des auditeurs. Le rayonnement du tweeter peut être affiné après l’installation pour un réglage acoustique précis.

La série Discreet compte désormais sept enceintes et deux caissons : les D-500, D-500 Center, D-5, D-5 IC N, D-6, D-60 et D-60 C comme enceintes d’installation, ainsi que les DW-1 et DW-10 comme caissons de graves encastrables peu profonds.

Source : Lyngdorf

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Sonance dévoile la série PowerPipe X, une gamme repensée de caissons de basses cachés qui seront disponibles début 2026. Quatre modèles, avec haut-parleur de 20, 25, 30 et 38 cm offrent des performances accrues par rapport à la génération précédente et une installation simplifiée.

Des performances inédites pour des basses invisibles

La nouvelle gamme PowerPipe X Series réinvente le concept développé il y a 20 ans, en proposant des caissons entièrement dissimulables dans les cloisons, sous le plancher ou dans les meubles. Seule la grille d’évent reste potentiellement visible.

Le système repose sur un coffret en MDF qui renferme le haut-parleur à l’intérieur. La sortie passe uniquement par un évent scellé. Ce dernier peut recevoir différents types de tubes faisant office d’évent bass-reflex selon les besoins d’intégration.

Les performances acoustiques atteignent désormais des niveaux jamais obtenus pour des solutions cachées : le modèle phare PPX15 (38 cm) descend jusqu’à 29 Hz avec une sensibilité de 88 dB, tandis que le plus compact PPX8 (20 cm) atteint 44 Hz avec 85 dB de sensibilité.

Les quatre modèles permettent de couvrir tous les usages, de la simple diffusion musicale d’ambiance aux installations home cinéma exigeantes. Chaque référence se décline en version standard et marine (PPX-M) sans différence de caractéristiques acoustiques, garantissant la même qualité sonore quel que soit l’environnement d’installation.

Quatre évents pour une intégration sur mesure

L’offre se distingue par ses possibilités d’intégration avec quatre types d’évents distincts. Le TOE KICK, fourni d’office, a été entièrement repensé avec une jonction droite ou à 90° et un débit d’air augmenté grâce à des flexibles de 10 cm de diamètre pour les deux premiers modèles, de 15 cm pour les plus puissants. Pour une intégration sur mesure, il existe des grilles à fixation magnétique aux finitions personnalisées : coloris, impression laser, en bois…

Le VXQ constitue la nouveauté majeure avec des grilles disponibles en 10, 15 ou 20 cm, identiques à celles de la gamme d’enceintes encastrables Sonance Visual eXperience.

Le SA s’intègre aux systèmes Small Aperture avec sa petite grille ronde de 10 cm, tandis que le HVAC adopte une discrétion maximale en imitant les grilles de chauffage et ventilation.

Enfin, les tubes flexibles ont été raccourcis et rendus plus souples pour faciliter le passage dans les espaces restreints. Cette simplification de la gamme réduit la complexité pour les installateurs tout en multipliant les possibilités de placement, confirmant le concept “conçus pour disparaître” de ces caissons de basse signés Sonance.

Source : Sonance

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Qobuz Connect est une fonction qui permet de piloter directement les appareils audio compatibles depuis l’application de streaming. La transmission s’effectue en Hi-Res 192 kHz/24 bits sans passer par le smartphone, avec synchronisation multi-appareils. Faites du multiroom avec l’application Qobuz !

Écouter la musique depuis l’application Qobuz

Qobuz Connect représente une nouvelle méthode d’écoute proposée par le service de streaming français, en plus de la sortie audio de l’appareil utilisé, du Bluetooth, d’AirPlay et de Google Cast. En effet, l’app Qobuz permet de choisir où l’on écoute la musique.

Par défaut, la musique sort par la prise audio de l’appareil concerné, que ce soit un ordinateur, un lecteur réseau ou autre. Avec un smartphone, ce pourra être le haut-parleur de celui-ci (à déconseiller) ou le Bluetooth vers un casque sans fil.

Mais il est également possible de choisir un point de lecture dans sa maison tel qu’une enceinte sans fil ou un streamer. Cela passe par Google Cast ou AirPlay 2 via un menu accessible en bas à gauche de l’écran de lecture.

Dans tous les cas, la musique est réceptionnée et lue par l’application Qobuz sur le smartphone avant d’être transmise par l’une des méthodes ci-dessus, et avec les contraintes qualitatives que cela implique.

Qu’est-ce que Qobuz Connect ?

Cette nouvelle fonction établit une liaison directe entre les serveurs Qobuz et l’appareil audio connecté sélectionné, qu’il s’agisse d’un streamer, d’une enceinte sans fil, d’un amplificateur ou d’une barre de son.

Le principe diffère radicalement des solutions existantes. Contrairement au Bluetooth, à AirPlay ou à Google Cast où le flux transite obligatoirement par le smartphone, Qobuz Connect permet aux serveurs d’envoyer la musique directement vers l’appareil final.

Le téléphone ou la tablette ne joue plus qu’un rôle de télécommande. Le principe est identique à celui des concurrents Spotify Connect et Tidal Connect.

Cette architecture change la donne pour les amateurs et passionnés équipés de matériel HiFi connecté. Jusqu’à présent, ces utilisateurs devaient composer avec les applications des fabricants comme MusicCast chez Yamaha, BluOS chez NAD ou encore les solutions tierces type Audirvana et Roon.

Ces interfaces intègrent Qobuz mais avec des présentations hétérogènes et surtout sans accès intégral au contenu éditorial qui fait toute la différence du service français.

Quel est l’intérêt de Qobuz Connect ?

L’avantage principal réside dans la conservation de l’interface native Qobuz avec toutes ses fonctionnalités éditoriales, ses playlists thématiques et son moteur de recommandation. Fini les applications constructeurs parfois approximatives ou les abonnements supplémentaires à des solutions tierces coûteuses. L’utilisateur retrouve l’environnement qu’il connaît sur smartphone en conservant la qualité Hi-Res jusqu’à 192 kHz/24 bits.

La fonction supporte également le mode remote qui autorise le contrôle depuis plusieurs appareils simultanément. Concrètement, vous lancez la lecture depuis un smartphone dans le salon puis basculez sur l’application desktop sur l’ordinateur du bureau pour ajuster le volume ou changer de titre.

Tout reste synchronisé en temps réel entre les différentes instances où le compte est identifié. La file d’attente, la position de lecture et les réglages de volume sont partagés instantanément.

C’est plutôt pratique dans un usage familial ou lorsqu’on se déplace dans différentes pièces. Les boutons physiques de l’appareil audio (enceintes sans fil, ampli connecté, etc.) restent fonctionnels pendant l’utilisation de Qobuz Connect, ce qui évite de systématiquement sortir le smartphone pour une action simple comme mettre en pause ou passer au morceau suivant.

Comment utiliser Qobuz Connect ?

L’activation s’effectue via l’icône de sélection audio située en bas à gauche sur mobile et en bas à droite sur ordinateur. Un menu liste alors tous les appareils compatibles détectés sur le réseau local, que la connexion soit filaire Ethernet ou Wi-Fi. Chaque appareil affiche ses capacités de lecture Hi-Res maximales avant même la sélection.

Une fois l’appareil choisi, le basculement est immédiat. Le nom de l’équipement apparaît clairement sur l’écran de lecture de l’application Qobuz. Sur l’appareil lui-même ou son application dédiée comme HEOS, un logo Qobuz Connect confirme la lecture active.

L’icône Hi-Res sous la jaquette valide que la qualité d’origine est préservée sans recompression ni downsampling.

Le contrôle du volume s’effectue indifféremment depuis l’interface Qobuz, les boutons physiques du smartphone ou de la tablette, ou directement sur l’appareil audio. Cette redondance est confortable.

La lecture continue même si l’application Qobuz est fermée sur l”appareil de contrôle puisque le flux provient directement des serveurs Qobuz vers l’appareil final. C’est logique mais ça méritait d’être précisé.

Quels sont les appareils compatibles Qobuz Connect

La liste des partenaires Qobuz Connect est accessible sur le site officiel Qobuz. Les marques historiques du segment HiFi comme Denon, Marantz, NAD, Bluesound ou encore WiiM figurent parmi les premiers compatibles. Les streameurs dédiés et les amplificateurs réseau équipés d’une connectivité Ethernet ou WiFi sont naturellement privilégiés.

Des appareils connectés plus anciens pourraient éventuellement ne pas bénéficier de cette fonction. Dans ce cas, les méthodes traditionnelles comme le Bluetooth, AirPlay ou Google Cast restent disponibles mais avec leurs limitations respectives en termes de qualité audio. La compatibilité s’affiche directement dans l’application lors de la sélection de sortie, ce qui évite les mauvaises surprises.

En conclusion

Qobuz Connect comble un manque réel pour les utilisateurs équipés de matériel HiFi connecté qui souhaitaient profiter pleinement de l’écosystème Qobuz sans passer par des applications tierces. La fonction tient ses promesses techniques avec la préservation de la qualité Hi-Res jusqu’à 192 kHz/24 bits et le mode remote multi-appareils. Le basculement d’un lecteur Connect à un autre reste fluide.

Le principal frein au lancement concerne la compatibilité matérielle encore limitée mais la dynamique semble positive avec l’engagement des constructeurs majeurs. Cette évolution positionne Qobuz au niveau de Spotify Connect et Tidal Connect qui proposent des fonctions similaires depuis plusieurs années. Pour les passionnés attachés au contenu éditorial et à la qualité sonore maximale, c’était une mise à jour très attendue jusqu’à ce printemps 2025. Elle simplifie réellement l’usage quotidien sans compromis technique.

Plus d’infos : Qobuz Connect

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Article modifié le 8 octobre 2025

Tivoli Audio lance la troisième génération de sa radio de table Model One Digital équipée d’une connectivité sans fil universelle : AirPlay 2, Google Cast, Spotify Connect, Tidal Connect. Un appareil qui combine nostalgie et technologie, disponible dans trois coloris.

Une radio connectée anti-obsolescence

L’appareil arbore l’esthétique signature de la marque : coffret en bois avec placage véritable et plaque de façade en aluminium. Contrairement aux enceintes sans fil standardisées, ce mini poste de radio conserve le plaisir d’une molette physique et refuse l’uniformité des écrans tactiles.

Le Model One Digital de troisième génération trouve sa place là où d’autres ne rentrent pas : comptoir de cuisine, table de chevet, salle de bain, etc. C’est un objet qui évoque les anciens postes de radio type transistor que l’on a plaisir à retrouver au sein de son intérieur. Ceci sans faire l’impasse sur le streaming.

La Model One Digital (Gen. 3) mesure 11,4 x 22 x 14 cm pour 1,5 kg. Elle intègre un amplificateur en classe AB, associé à un traitement DSP 56 bits, et un haut-parleur large bande. Elle supporte l’audio haute résolution jusqu’à 48 kHz/24 bits, c’est-à-dire au-delà de la qualité du CD standard.

Beaucoup d’entrées dans un si petit format

Digne des versions précédentes, la Model One Digital n’oublie pas la radio hertzienne avec un double tuner FM et DAB. Elle embarque également le Bluetooth ainsi qu’une entrée audio analogique sur prise mini-jack.

Du côté de la musique en réseau, on trouve AirPlay 2, Google Cast, Spotify Connect et TIDAL Connect. Cela signifie que l’on “caste” la musique de son smartphone vers la Tivoli. Mais qu’elle s’insère aussi parfaitement dans un système multiroom, pour suivre le son de la TV du salon dans la cuisine par exemple.

Les mises à jour du firmware automatiques garantissent sa longévité. Après les expériences concluantes avec les modèles SongBook MAX et Model One BT, Tivoli démontre sa capacité à créer un écosystème audio connecté cohérent aux accents rétro.

Prix : 349 €

Source : Tivoli Audio

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La Boite Concept lance le PR Alta, un système audio tout-en-un qui intègre une platine vinyle, une enceinte amplifiée et un rangement de 90 disques dans une colonne verticale de 120 cm. Conçu avec Iratzoki Studio, ce monolithe en verre fumé, noyer et aluminium embarque la technologie de basses APR 2.0, une connectivité complète AirPlay/Google Cast et une double amplification développée par Micromega.

Un monolithe vertical qui libère l’espace

Le PR Alta rompt avec l’étalement horizontal des chaînes Hi-Fi classiques. Cette colonne sculpturale empile trois fonctions audio dans un meuble vertical combinant verre fumé, noyer massif et aluminium usiné. Le design signé Iratzoki Studio mise sur la transparence pour conserver une présence discrète dans le salon. Les ailettes en noyer foncé rappellent l’esthétique d’autres produits de la marque.

Là où les installations traditionnelles imposent amplificateurs séparés et câblage encombrant, le PR Alta propose une intégration totale qui préserve l’harmonie visuelle sans compromis sur les fonctionnalités attendues d’une chaîne audio complète. Cette sobriété se traduit par un meuble sonore capable de stocker 90 vinyles, le tout avec une empreinte au sol minimale.

Une technologie de gestion des basses issue d’un brevet de 1976

Le format compact dissimule une puissance acoustique élevée grâce à l’Active Pression Reflex 2.0. Cette technologie revisite un brevet déposé en 1976 après sept années de développement pour l’adapter aux contraintes actuelles. Deux haut-parleurs scellés dans une bague hermétique fonctionnent en piston via un pilotage numérique pour reproduire des basses profondes dans un volume réduit.

L’amplification hybride développée avec le français Micromega associe Classe D pour l’impact des graves et Classe AB pour la finesse des aigus. Cette double architecture offre profondeur en bas du spectre et clarté cristalline dans les hautes fréquences.

Le défi technique majeur résidait dans l’isolation des vibrations entre la partie enceinte et la platine. Un système antivibration sur trois pieds avec patins absorbants dirige les résonances parasites vers l’arrière du meuble afin de protéger le travail du bras de lecture. La cellule Ortofon OM10 livrée avec contrepoids préréglé évite toute manipulation complexe à l’installation.

Un meuble à l’apparence vintage, mais connecté !

L’ergonomie se résume à un bouton unique en aluminium massif qui gère volume et changement de source d’un geste rotatif. Il traverse le panneau en noyer sur le dessus du PR Alta. Mais si l’on fait basculer cette trappe magnétique, on accède alors au nom des sources et à un emplacement permettant de cacher le câblage.

C’est aussi ici que se trouver le lecteur réseau multiroom M1 Air Espace intégré. Il donne accès à AirPlay 2 et à Google Cast. En outre, quatre autres sources sont gérées via les entrées filaires : HDMI ARC, RCA, optique et auxiliaire. Enfin, le Bluetooth est également présent.

Prix : 3190 €

Source : La Boite Concept

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Avec sa série Visual Experience Thin-Line, Sonance propose des enceintes encastrables ultra-plates nécessitant seulement 75 mm d’espace d’encastrement en profondeur. Ces modèles intègrent les technologies VX des Sonance classiques, ce qui en fait des enceintes encastrables premium.

Innovation acoustique dans un format ultra-compact

La série VX Thin-Line repousse les limites en réduisant l’épaisseur de 3 mm supplémentaires par rapport à la génération précédente, tout en préservant la signature sonore caractéristique des enceintes Sonance. Cette amélioration technique permet d’installer les VX Thin-Line dans des espaces auparavant inaccessibles où l’espace est limité.

75 mm d’encastrement, cela signifie que l’espace minimum dans le faux plafond doit être de 62 mm puisqu’il faut retirer l’épaisseur de la plaque de plâtre (13 mm). On économise surtout 25 mm, les enceintes encastrables classiques mesurant en moyenne 100 mm de profondeur. Ces 25 mm gagnés peuvent faire la différence dans bien des situations. Tout cela, sans rogner sur la qualité des enceintes de la gamme VX.

Les technologies Sonance VX

Les modèles Thin-Line comprennent l’intégralité des technologies Visual Experience (VX) des versions de taille normale. Les transducteurs VX offrent une qualité d’écoute supérieure, tandis que les guides d’ondes garantissent une tonalité cohérente et une couverture améliorée dans tout l’espace sonorisé.

Les grilles VX sont disponibles en versions micro-trim et sans rebord, en finition blanc brillant Sonance pouvant être peintes, pour s’intégrer discrètement dans la plupart des intérieurs.

La gamme comprend des versions encastrables au plafond, dans les murs, ainsi qu’un modèle stéréo (SST) offrant un point d’écoute stéréo unique avec une seule enceinte. L’installation reste identique au processus en une étape que les intégrateurs connaissent déjà avec la gamme Visual Experience, facilitant ainsi l’adoption de cette solution très pratique.

Cette série répond aux exigences de la construction moderne sans sacrifier la qualité sonore.
Skylar Gray, directeur produit Sonance

Source : Sonance

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Amazon lance quatre nouveaux appareils Echo en octobre 2025 : deux enceintes toujours en forme de boules et deux écrans intelligents. Les Amazon Echo 2025 Dot Max, Echo Studio, Echo Show 8 et Echo Show 11 embarquent des puces maison AZ3 et AZ3 Pro avec traitement IA de nouvelle génération pour Alexa+.

Echo Dot Max : trois fois plus de basses

Amazon renouvelle sa gamme audio avec deux propositions distinctes. Le petit Echo Dot Max inaugure un format inédit pour la série Dot en intégrant pour la première fois deux haut-parleurs distincts. Cette configuration combine un woofer à grande excursion optimisé pour les graves avec un tweeter. Le fabricant revendique près de trois fois plus de basses que l’Echo Dot de cinquième génération.

Cette conception produit un son qui remplit la pièce avec adaptation automatique à l’espace. Le résultat final place ce modèle compact dans une catégorie de puissance supérieure à ses prédécesseurs, tout en conservant l’encombrement réduit caractéristique de la gamme Dot.

Echo Studio : Dolby Atmos et configuration 5.1 sans fil

L’Echo Studio est encore plus radical en réduisant son volume de 40% par rapport à la première génération. Malgré cela, Amazon affirme délivrer le meilleur son jamais obtenu dans une enceinte connectée de cette taille. La configuration acoustique associe un woofer à grande excursion pour les basses immersives et trois haut-parleurs large bande pour créer un environnement sonore enveloppant.

Le design sphérique adopte un tissu tricoté en 3D garantissant une transparence acoustique optimale, tandis que l’anneau lumineux habituel gagne un nouveau système de communication visuelle.

La compatibilité avec l’audio spatial et le Dolby Atmos est toujours présente. La véritable innovation réside dans la fonction Home Cinema Alexa qui permet de connecter jusqu’à cinq Echo Studio ou Echo Dot Max à un Fire TV Stick compatible. Cette configuration crée un système audio 5.1 en quelques minutes, là où les installations traditionnelles nécessitent un budget bien supérieur et des connaissances techniques. Alexa gère automatiquement l’adaptation des enceintes à la pièce.

Amazon Echo 2025 : de nouvelles puces maison pour plus d’intelligence embarquée

Le cœur technologique des enceintes Amazon Echo 2025 repose sur deux puces en silicium maison, AZ3 et AZ3 Pro. Elles intègrent un accélérateur d’intelligence artificielle conçu pour les modèles IA de nouvelle génération et Alexa+. L’Echo Dot Max utilise l’AZ3 pour améliorer la détection des conversations, un aspect critique de l’IA ambiante. L’Echo Studio embarque l’AZ3 Pro qui supporte les modèles de langage avancés. Ces puces alimentent des microphones avancés qui filtrent le bruit de fond et améliorent la détection du mot d’activation de près de 50% d’après Amazon.

Prix Echo Dot Max 2025 : 109,99 €

Prix Echo Studio 2025 : 239,99 €

Source : Amazon

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