Des saucisses à 6 euros, du vin chaud à 8 euros, des galettes de pommes de terre à 20 euros : en Allemagne, les marchés de Noël semblent de plus en plus chers, note Malte Göbel dans les colonnes du magazine allemand “Der Spiegel”. Mais est-ce vraiment le cas ?
Le Casspir, un véhicule blindé, s’est tristement illustré dans l’Afrique du Sud de l’apartheid, pour mater les townships comme pour mener les guerres du régime afrikaner. Désormais fleuron de l’industrie militaire du pays, il est autant utilisé par des régimes répressifs pour éteindre toute contestation intérieure que dans la guerre qui ensanglante le Soudan, déplore “The Friday Paper”.
Un véhicule blindé Casspir entièrement redécoré par l’artiste sud-africain Ralph Ziman et exposé dans les jardins du musée d’art Iziko, au Cap, en février 2017.
Outil de gloire et de cohésion sociale pour le régime de Pyongyang, les défilés militaires devraient être considérés comme des spectacles servant à nourrir le patriotisme et rien de plus, estime un ancien soldat sur “NK News”, un site d’information consacré à la Corée du Nord.
Cette image fournie le 11 octobre 2025 par l’agence officielle de presse nord coréenne montre la parade militaire célébrant le 80e anniversaire de la fondation du parti des travailleurs à Pyongyang.
À la fin du mois de décembre 2025, 47 condamnés auront été mis à mort aux États-Unis, soit près du double de l’année précédente. Un nouveau pic d’exécutions facilité par les juges conservateurs nommés par Donald Trump à la Cour suprême, souligne l’hebdomadaire britannique “The Economist”.
Depuis le mois de septembre, l’offensive américaine dans la région a déjà fait une centaine de morts. Alors que Washington accroît la pression sur Caracas, trois îles appartenant au royaume des Pays-Bas et situées à quelques dizaines de kilomètres des côtes vénézuéliennes craignent de subir les conséquences de ces opérations, officiellement destinées à lutter contre le trafic de drogue.
Un hélicoptère de l’armée américaine survole un navire accusé de transporter du pétrole vénézuélien, intercepté le 20 décembre 2025 à l’est de la Barbade, dans les Caraïbes (photo d’illustration).
Le gouvernement du Premier ministre, Benyamin Nétanyahou, poursuit son œuvre colonisatrice en Palestine, portée par l’extrême droite : après le projet controversé d’extension d’une colonie stratégique avalisé en août dernier, près de vingt colonies sont désormais considérées comme légales au regard du droit israélien.
Des colons israéliens érigent des structures pour une nouvelle école de séminaire juif, dans l’avant-poste de colons de Homesh, en Cisjordanie occupée, le 29 mai 2023.
Les personnes sans logement étaient au nombre de 14 476 au Portugal en 2024. Un échec pour Marcelo Rebelo de Sousa, le président sortant, malgré les mesures engagées.
L’industrie russe des prothèses connaît une hausse de production sans précédent, avec un afflux massif de blessés et des investissements publics record. Mais comme le révèle “Verstka”, des militaires et civils amputés font toujours face à des mois d’attente, des appareils inadaptés et une dépendance aux composants étrangers.
Au début des années 2000, des chercheurs avaient observé que l’absence d’une protéine sur un gène entraînait un développement démultiplié de la masse musculaire. Le site sportif “The Athletic” s’est penché sur les conséquences chez les athlètes de cette altération, qui constitue à la fois une bénédiction et une malédiction.
Les cours du métal précieux ont atteint un niveau historique lundi 22 décembre, dépassant 4 400 dollars l’once. Les investisseurs s’inquiètent du blocus décrété par les États-Unis sur les pétroliers en lien avec le Venezuela. Et anticipent de nouvelles baisses des taux d’intérêt américains.
Ils sont à peine un millier de chrétiens (sur plus de 2 millions de Gazaouis) à célébrer Noël, pour la troisième année de suite, dans un contexte loin d’être propice à la fête. Beaucoup disent aspirer à une paix durable, deux mois après l’entrée en vigueur d’un fragile cessez-le-feu.
Contrairement aux crèches de Noël, depuis toujours beaucoup plus multiethniques, l’image du vieux bonhomme joufflu, à la barbe, mais aussi la peau blanche, paraît inamovible. “Lentement mais sûrement”, les choses changent cependant, se réjouit “Le Devoir”, qui constate que les pères Noël noirs sont de plus en plus nombreux au Québec, et surtout aux États-Unis.
Cahin-caha, la Bulgarie en pleine crise politique poursuit sa route vers la monnaie unique, que le pays va adopter au 1er janvier. Banques et officiels redoublent d’efforts pour rassurer la population, mais l’appréhension est palpable : surtout pour ce qui concerne la nuit du Réveillon.
Depuis 2024 et le plafonnement du nombre de permis d’études, Ottawa s’oriente vers une politique d’accueil “durable” et sélective des étudiants étrangers. Il s’agit avant tout d’attirer les “meilleurs talents”, expliquent les experts interrogés par le “Times Higher Education”.
Quatre ans après le vote d’une loi interdisant les fermes-usines de saumons, la province argentine de Terre de Feu, soutenue par le gouvernement de l’ultralibéral Javier Milei, a réautorisé leur implantation la semaine dernière. Les organisations environnementales dénoncent des risques majeurs pour l’environnement de ce territoire austral.
Les candidats participaient aux épreuves écrites d’un concours pour devenir agents d’une unité auxiliaire de la police, l’un des postes les plus bas de la hiérarchie policière du pays, raconte la presse indienne. Ils étaient assis à même le sol, sans chaise ni bureau.
Fête cardinale du calendrier irlandais, Noël agit comme un puissant aimant sur une diaspora dispersée aux quatre coins du globe. Chaque mois de décembre, l’aéroport de Dublin devient le décor d’un rituel immuable : celui du retour. Entre ferveur populaire, record de fréquentation et réalité économique plus rudes, la presse irlandaise raconte un Noël fait à la fois d’embrassades et de renoncements.
La “Cellule Norbert Zongo pour le journalisme d’investigation en Afrique de l’Ouest” (“Cenozo”) alerte sur la crise hydrique qui affecte les producteurs de fruits et de légumes installés à proximité des barrages de la capitale du Burkina Faso. Une conséquence de la pression anthropique et du changement climatique.