Une foule s’est rassemblée samedi 28 juin à Téhéran, pour assister aux funérailles de 60 personnalités tuées lors de la guerre contre Israël et les États-Unis. Une cérémonie sous haute tension alors que Donald Trump a menacé le pays de nouvelles frappes s’il relançait son programme atomique et que le régime des mollahs a annoncé qu’il n’autoriserait plus d’inspections de ses sites nucléaires.
Les funérailles nationales de plusieurs hauts gradés iraniens tués dans les bombardements israélo-américains lors de la “guerre des douze jours”, le 28 juin 2025, à Téhéran.
Depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, les bénévoles russes pallient les défaillances logistiques de l’armée en collectant de l’argent et du matériel par le biais des chaînes Telegram. Mais comme l’observe le média indépendant russe “Verstka”, depuis l’année dernière, les dons s’essoufflent en raison de la lassitude des citoyens.
Riri Williams (Dominique Thorne) n’a pas de superpouvoirs, mais cela ne l’empêche pas d’être une super-héroïne : Ironheart.
La presse américaine se félicite de voir une héroïne afro-américaine dans la série Marvel homonyme, sortie le 25 juin sur Disney+.
Ils ont conquis le monde entier, sous toutes les formes. Chacun a sa propre histoire. Le journal allemand “Die Zeit” nous convie à un tour du monde de ces pâtes farcies qu’on rassemble, en français, sous le nom de “raviolis”.
Dans une enquête parue le 27 juin, le quotidien d’opposition à Benyamin Nétanyahou rassemble les témoignages de soldats de Tsahal qui assurent qu’on leur demande d’ouvrir le feu sur les Gazaouis rassemblés lors des distributions de nourriture. Des accusations rejetées par le gouvernement israélien et la controversée Fondation humanitaire de Gaza (GHF).
Des Palestiniens se dirigent vers un point de distribution d’aide humanitaire tenu par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), à Gaza, le 25 juin 2025.
Construites illégalement par des colons puis par la guérilla, ces autoroutes du crime servent aujourd’hui à transporter du bétail, de la cocaïne et des armes jusqu’au cœur de la forêt primaire.
Les 300 000 réfugiés du camp de Kakuma, dans le nord-ouest du Kenya, subissent de plein fouet les conséquences du gel de l’USAID. Avec les baisses de financements américains, le Programme alimentaire mondial a dû réduire les quantités de nourriture distribuée aux habitants du camp. Plusieurs médias constatent que l’insécurité alimentaire sur place ne fait que s’aggraver.
Après avoir fait la fête, n’allez pas au lit mais au bureau. Les habitués du Wake Up Club d’Utrecht le font. Une fois tous les deux mois, ils peuvent se lâcher à partir de 6 heures du matin. Une façon idéale de commencer la journée, tout en danse et en café, expliquent-ils au quotidien néerlandais “De Volkskrant”.
Au Wake Up Club d’Utrecht, dès 6h du matin, les fêtards matinaux peuvent profiter d’une piste de danse, de café et d’un petit-déjeuner pour seulement 21,50 euros par personne. Le Wake Up Club se tient plusieurs fois par an au Ping Pong Club, à Utrecht, aux Pays-Bas.
Aux États-Unis, de plus en plus d’initiatives locales voient le jour pour transformer les golfs abandonnés en réserves naturelles. Une manière de restaurer la biodiversité mais aussi de mieux préparer les habitants au changement climatique et à ses effets, explique ce reportage du “Christian Science Monitor” à San Geronimo.
Dans un monde dominé par les réseaux sociaux et l’influence, il est parfois difficile de ne pas se laisser happer par le narcissisme ambiant, admet ce journaliste de “The Atlantic”. Selon lui, l’enjeu est de savoir se montrer altruiste, sans pour autant hypothéquer son propre bien-être. L’“ego tranquille”, concept façonné en 2008 par deux psychologues, est un savant mélange de charité, d’humilité, de conscience de soi et d’espoir.
Avec des bureaux au Niger, aux États-Unis et en Suisse, Mariam Issoufou, 46 ans, est l’une des architectes les plus demandées d’Afrique. Ses bâtiments en terre crue, bien qu’inspirés de l’architecture traditionnelle, sont aussi durables que radicalement inventifs. L’hebdomadaire sud-africain “Mail & Guardian” brosse son portrait.
À Singapour, une exposition revisite jusqu’au 17 août 2025 l’histoire du Paris des Années folles. Et redonne leur place à des artistes comme le Japonais Tsuguharu Foujita, la Singapourienne Georgette Chen ou le Vietnamien Lê Phô. Venus conquérir la Ville Lumière, ils ont dû lutter contre des préjugés culturels et coloniaux, écrit le quotidien local “The Business Times”.
Georgette Chen, “Autoportrait” (huile sur toile, 1934). Figure de l’art moderne singapourien, cette peintre s’est formée à Paris (1927-1933) et a longtemps vécu dans la capitale française avant de retourner en Orient.
La République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda ont signé vendredi à Washington un accord de paix destiné à mettre fin à plus de trente ans de conflit.
Le secrétaire d’État américain Marco Rubio (au centre) préside à la signature d’un accord de paix avec la ministre des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo, Thérèse Kayikwamba Wagner (à droite), et son homologue rwandais Olivier Nduhungirehe (à gauche), au département d’État à Washington, le 27 juin 2025. (Photo Mandel NGAN / AFP)
Des Gazaouis transportent des colis d’aide distribués par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), près du camp de réfugiés de Nusseirat, dans le nord de la bande de Gaza, le 25 juin 2025. (Photo par Eyad BABA / AFP)
Cette salade estivale doit obligatoirement porter les couleurs du drapeau bulgare : le blanc du fromage en saumure, le vert des concombres et le rouge des tomates mûres. Elle se consomme à l’apéritif, avec un verre d’eau-de-vie ou une anisette.
Alors que le président français a annoncé le 23 juin son souhait de faire inscrire la French touch au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco, le chroniqueur allemand du “Spiegel” s’insurge : il faut cesser ces muséifications à tour de bras et privilégier la sauvegarde des formes culturelles qui sont en voie d’extinction.
Installée dans son siège, l’autrice espagnole Bárbara Mingo Costales pose les yeux sur ses compagnons de voyage et laisse vagabonder son imagination. Chaque semaine, “Courrier international” vous propose un billet qui soulève des interrogations sur notre condition moderne en s’appuyant sur des œuvres littéraires, scientifiques et, bien sûr, philosophiques.
Point de passage vers les États-Unis, la ville de Tijuana, au Mexique, est aujourd’hui vidée de ses migrants. La politique migratoire, encore plus sévère depuis l’arrivée de Donald Trump, a drastiquement fait chuter leur nombre. Entre résignation et espoir, certains ont malgré tout fait le choix de rester. Reportage du “New York Times”.
La cinquième ville de Hongrie accueillera cet automne l’unique Marche des fiertés provinciale. Alors que le pouvoir veut interdire les Pride, en particulier celle de la capitale, prévue samedi 28 juin, les habitants se divisent entre solidarité et rejet de la communauté LGBTQI, constate le quotidien de gauche “Nepszava” sur place.
Confrontée à la concurrence féroce d’autres États américains et de nombreux pays plus attractifs fiscalement, la Californie a adopté vendredi une loi musclant sensiblement ses crédits d’impôts, dans l’espoir de faire revenir les tournages à Los Angeles.