L’Iran et trois pays européens – la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne – ont tenu une réunion vendredi 25 juillet à Istanbul pour discuter du programme nucléaire iranien pour la première fois depuis la guerre entre le régime des mollahs et Israël en juin. Une entente avec l’Europe faciliterait un accord avec Washington, estiment les médias réformateurs iraniens. La presse officielle, elle, dénonce les menaces de sanctions.
Abbas Araghchi, ministre des affaires étrangères iranien, s’adresse aux médias après des pourparlers nucléaires avec plusieurs pays européens à Genève, en Suisse, le 20 juin 2025.
Devant les avancées de la Chine en matière d’intelligence artificielle, Donald Trump a présenté mercredi 23 juillet un plan d’action pour assouplir les réglementations en vigueur et doper les investissements dans le secteur. Il souhaite aussi interdire aux États de voter des lois susceptibles de freiner l’innovation, explique “The Christian Science Monitor”.
Après une nouvelle journée d’affrontements au niveau de la frontière thailando-cambodgienne, le bilan s’élève à 33 morts. Près de 180 000 personnes ont fui la région. Bangkok accuse Phnom Penh d’avoir bombardé le Laos, accusation fermement démentie par l’armée cambodgienne.
Sous pression depuis les sanctions occidentales, la filière diamantaire russe voit ses ventes de diamants chuter. Pour diversifier une industrie en perte de vitesse, Moscou parie désormais sur l’or.
Dans ce pamphlet empreint d’humanisme publié dans “Al-Quds Al-Arabi”, quotidien panarabe de référence, le journaliste égyptien Amr Hamzaoui dit refuser le langage de haine et de vengeance ainsi que la justification, par certains propalestiniens, d’actes antisémites au nom des massacres commis quotidiennement à Gaza.
Au même moment, Benyamin Nétanyahou a fait savoir qu’Israël “explorera d’autres options pour ramener les otages”. Sans en préciser les modalités. Malgré l’autorisation accordée par l’État hébreu de largages aériens d’aide humanitaire à Gaza, la situation humanitaire, déjà catastrophique, continue de se dégrader.
Sur les réseaux sociaux, les influenceurs lifestyle nous abreuvent de méthodes pour qu’on s’améliore dans tous les domaines de la vie, jusqu’à devenir irréprochables. Mais parfois, ces techniques vont trop loin. Alors devenir parfait, pourquoi pas, mais à quel prix ? Retrouvez ici tous les articles de notre série.
Vingt mois après son inauguration dans la ville nouvelle de Diamniadio, à une trentaine de kilomètres de la capitale, la Maison de l’ONU, vaste complexe architectural censé regrouper 34 agences onusiennes, est toujours vide. Le quotidien sénégalais “L’Observateur” lève le voile sur les désaccords et les “négociations discrètes” à l’œuvre entre l’État et l’ONU.
“Mes peurs et mes attentes mettaient une pression et une angoisse inutiles sur les épaules de mon fils”, confesse avec émotion ce chroniqueur du “Christian Science Monitor”. La vie et son basketteur en herbe de 10 ans lui ont donné une leçon de parentalité, infiniment plus précieuse qu’un shoot réussi, selon laquelle on n’est jamais trop vieux pour marquer des points.
Sur la côte pacifique mexicaine, le peuple amérindien mixtèque extrait depuis “au moins 1 500 ans” le colorant d’une espèce d’escargot de roche, destiné à teindre des vêtements. Aujourd’hui, ils ne sont plus qu’une poignée à perpétuer cette tradition et à se battre pour la conserver, raconte ce reportage du “Guardian”, alors que le mollusque est en déclin.
Rafael Avendaño collecte, avec son père Mauro Habacuc Avendaño Luis, le colorant d’une espèce d’escargot de mer dans le parc national de Huatulco, au Mexique, le 24 octobre 2021.
FRUITS À CROQUER 2/6. Dans l’État américain du Maine, des passionnés tentent de retrouver des variétés de poires développées par les premiers colons européens, aujourd’hui quasi disparues. Leurs armes : un solide sens de l’observation et, au besoin, des tests génétiques. Ce reportage du “Portland Press Herald” est le deuxième épisode de notre série d’été consacrée aux fruits.
Plusieurs toiles avaient disparu en 1978 d’une propriété de Worcester, près de Boston, lors d’un cambriolage jamais élucidé. Parmi les chefs-d’œuvre dérobés, un paysage d’hiver du peintre flamand Hendrick Avercamp. Il vient de regagner le Massachusetts grâce au travail acharné de l’expert Clifford Schorer. “The Boston Globe” relate l’enquête rocambolesque.
Au musée des Beaux-Arts de Worcester, le 15 mai 2025. Muni d’une torche UV, Clifford Schorer vérifie l’état de la toile du peintre flamand Hendrick Avercamp qu’il vient de retrouver.
Lors de ses voyages au Népal et en Inde, la journaliste indienne Meenakshi J a pu admirer des portes historiques de maisons de maître et de temples aux sublimes ornementations. En en passant le seuil, elle a rencontré des passeurs d’histoires qui racontent les liens forts entre les deux pays.
“La catastrophe humanitaire à laquelle nous assistons à Gaza doit cesser immédiatement”, ont affirmé vendredi 25 juillet les puissances européennes. Alors que l’ONU et les ONG dénoncent un risque de famine imminente et généralisée, Israël a annoncé la reprise des livraisons aériennes d’aide dans le territoire palestinien.
De la viande et du gras de cheval, quelques condiments, et un boyau. C’est la recette simple de ce mets de fête très apprécié en Asie centrale, sorte d’hommage au rôle fondamental des chevaux dans les steppes pendant des siècles. Ce serait aussi le petit truc en plus des athlètes olympiques de la région, détaille “El País”.
Dans les pages d’“El Periódico de Catalunya”, l’auteur galicien Juan Tallón narre le trop-plein du monde moderne, et le “plaisir inénarrable” de le voir se vider de temps en temps. Chaque semaine, “Courrier international” vous propose un billet qui soulève des interrogations sur notre condition moderne en s’appuyant sur des œuvres littéraires, scientifiques et, bien sûr, philosophiques.
En annonçant le 24 juillet la reconnaissance prochaine de l’État de Palestine, Emmanuel Macron ramène la France à une position qu’elle a longtemps occupée au Moyen-Orient. Il s’éloigne, par la même occasion, de la ligne peu claire défendue jusqu’ici, écrit ce journaliste suisse dans le quotidien “Tages-Anzeiger”. Cette décision favorisera-t-elle la paix ?
Les liens affectifs tissés au fil des siècles sont si forts qu’humains, chats et chiens ont fini par se comprendre, et même par vouloir se parler. Les scientifiques explorent ce pan d’une relation privilégiée qui pourrait encore évoluer avec l’IA.
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