Si le Royaume-Uni, l’Australie, le Canada et le Portugal ont déjà reconnu la Palestine dimanche 21 septembre, la France et quatre autres pays vont leur emboîter le pas ce soir, tandis que quatre autres, dont la Finlande et la Nouvelle-Zélande, ont exprimé leur volonté de franchir le pas.
Depuis l’annonce de la “mobilisation partielle”, le 21 septembre 2022, les autorités russes n’ont jamais relâché leur pression pour enrôler les citoyens. Moscou continue d’envoyer des hommes au front en utilisant de nouvelles stratégies, allant parfois jusqu’au chantage ou aux menaces d’expulsion de son territoire.
La révélation de plusieurs affaires de corruption par le cercle proche de la présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, semble marquer un virage significatif dans le traitement des malversations au sein des institutions. Si certains médias saluent ces efforts sans précédent pour lutter contre l’impunité politique, ils préviennent qu’il en faudra plus pour assainir les rangs du pouvoir.
Avant le discours du président de la République, ce lundi soir, à l’ONU, la presse internationale commente les évolutions récentes de cette reconnaissance française. Entre espoirs et doutes, la crainte de la voir rejoindre soixante-quinze ans d’échecs diplomatiques est perceptible dans de nombreux articles.
Le 21 septembre, devant le Parlement nord-coréen, Kim Jong-un a ouvert la porte, sous conditions, à une reprise du dialogue avec les États-Unis de Donald Trump. Du côté de Séoul, le président sud-coréen a signifié que le démantèlement de l’arsenal nucléaire de Pyongyang n’est pas nécessairement une condition pour reprendre les discussions.
Partant du constat que la dépendance aux smartphones nuit à la qualité du sommeil des enfants, la ville de Toyoake a fait voter un arrêté municipal qui enjoint à la population de restreindre à deux heures par jour le temps passé sur les écrans.
Interdite à la baignade depuis 1927 en raison d’une pollution extrême, la rivière de Chicago a accueilli ce week-end plusieurs centaines de nageurs. Un événement symbolique, rendu possible par des décennies d’efforts de dépollution.
La presse israélienne a logiquement les yeux tournés vers l’Assemblée générale de l’ONU et la reconnaissance d’un État de Palestine par plusieurs États occidentaux alliés historiques d’Israël. Mais les interprétations divergent fortement.
Des forces israéliennes ont mis en œuvre de vastes mesures de sécurité dans la ville de Hébron, en Cisjordanie, alors que des colons israéliens (hors champ) y effectuent une tournée provocatrice, le 13 septembre 2025.
La cérémonie organisée, le 21 septembre, en hommage à l’influenceur Charlie Kirk, érigé en martyr par Donald Trump et ses ministres, montre à quel point le christianisme conservateur s’est fondu dans le camp républicain, souligne cet article du “New York Times”.
Les examens de langues ne sont plus obligatoires depuis 2004 pour l’équivalent britannique du brevet des collèges. En conséquence, l’apprentissage du français, de l’espagnol et de l’allemand s’est effondré sur les deux dernières décennies, au grand dam de la presse londonienne.
En 2024, plus d’un tiers (35 %) des lycées publics anglais n’enseignait aucune des principales langues européennes, à savoir le français, l’espagnol et l’allemand.
Lancée le 21 septembre par le Royaume-Uni, la vague de reconnaissance d’un État de Palestine par plusieurs pays influents constitue une marque de soutien historique à la cause du peuple palestinien. Toutefois, prévient la presse palestinienne, sans actions sur le terrain pour contrer le gouvernement israélien, elle restera symbolique.
Des personnes assistent à une cérémonie de lever du drapeau palestinien devant la Mission palestinienne au Royaume-Uni, dans l’ouest de Londres, le 22 septembre 2025. Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a déclaré dimanche que le Royaume-Uni reconnaissait officiellement l’État de Palestine.
Après son succès propulsé par TikTok, la chanteuse britannique signe un troisième album très intime. Avec “I’m Only F**king Myself”, sorti le 19 septembre, Lola Young évoque très directement ses problèmes d’addiction. Et prouve que son succès n’est pas circonscrit aux réseaux sociaux, relève la presse britannique.
Après le survol de drones russes au-dessus de la Pologne et de la Roumanie et l’intrusion de Mig dans l’espace aérien estonien, la réaction de l’Alliance atlantique n’a pas été à la hauteur, estime ce journal allemand de gauche : faute de réponse ferme, le danger d’une guerre augmente.
Des chercheurs ont utilisé l’intelligence artificielle pour concevoir des génomes viraux viables. Ils les ont ensuite utilisés pour synthétiser des bactériophages capables de tuer des microbes résistants aux antibiotiques.
Des syndicats de gauche transalpins ont appelé à une grève générale de vingt-quatre heures, lundi 22 septembre, pour protester contre l’aggravation de la situation humanitaire dans la bande de Gaza et l’inaction de l’Union européenne. Une initiative qui divise la presse locale.
L’ensemble de la presse des Philippines titre, ce lundi 22 septembre, sur la grande journée de manifestations contre la corruption des élites qui ont secoué la veille les grandes villes de l’archipel. Un galop d’essai, prévient le “Philippine Daily Inquirer”.
La France va annoncer ce 22 septembre devant l’Assemblée générale des Nations unies, à New York, qu’elle reconnaît l’existence d’un État palestinien. Neuf autres pays, parmi lesquels le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie, l’accompagnent dans cette démarche diplomatique qui figure ce lundi à la une de nombreux titres de presse dans le monde.
D’ici 2030, le PIB par habitant du Guyana dépassera celui de l’Espagne. Grâce à la croissance exceptionnelle qu’il connaît, ce “Koweït d’Amérique du Sud” est sur le point de rejoindre le club des vingt-cinq économies les plus prospères du monde.
Vingt ans après son dépôt aux Archives nationales, une enveloppe scellée censée contenir les derniers mots de Tomas Garrigue Masaryk, premier président de la Tchécoslovaquie, avant sa mort, en 1937, a enfin été ouverte. Si l’événement a été très médiatisé, rappelant la vénération des Tchèques pour le fondateur de leur pays, la découverte n’a toutefois pas été à la hauteur des attentes.
Vingt ans après son dépôt aux Archives nationales, une enveloppe scellée censée contenir les derniers mots de Tomas Garrigue Masaryk, premier président de la Tchécoslovaquie, avant sa mort, en 1937, a été ouverte le 19 septembre 2025.
Pour endiguer les fusillades entre trafiquants de drogue, qui sont devenues courantes dans certains quartiers de la capitale belge, le ministre de l’Intérieur annonce le déploiement de soldats. Dans la presse, on doute de l’efficacité de la mesure et on s’inquiète de sa portée symbolique.