Dans un courrier officiel au président français, rendu public mardi, le Premier ministre israélien a accusé Emmanuel Macron de nourrir l'antisémitisme en appelant à la reconnaissance internationale de l'Etat de Palestine.
Le quadragénaire était connu pour sa participation à des vidéos diffusées en ligne, dans lesquelles il était filmé en train de subir des humiliations physiques et psychologiques durant des heures. La justice a ouvert une enquête.
Cette proposition du président russe intervient au lendemain de la réunion qui s'est déroulée à la Maison Blanche entre Volodymyr Zelensky, plusieurs dirigeants européens et Donald Trump.
Il a en revanche évoqué la possibilité d'un soutien aérien, au lendemain des réunions à la Maison Blanche avec Volodymyr Zelensky et la "Coalition des volontaires".
Le quadragénaire était connu pour sa participation à des vidéos diffusées en ligne, dans lesquelles il était filmé en train de subir des humiliations physiques et psychologiques durant des heures. La justice a ouvert une enquête.
Cette proposition de rencontre intervient en marge de la réunion qui s'est déroulée lundi à la Maison Blanche entre Volodymyr Zelensky, plusieurs dirigeants européens et Donald Trump.
Sept dirigeants et responsables européens se sont rendus à Washington pour défendre l'Ukraine, parmi lesquels Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, ou encore la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
Une plaque rendant hommage à 11 Villeurbannais, Justes parmi les Nations, a été démontée de son socle le 17 août au soir. Le maire de la ville dénonce un acte antisémite.
"A ce stade, il n'y a rien de suspect, les auditions sont en cours et une autopsie sera pratiquée", assure le parquet de Nice. La ministre déléguée Clara Chappaz a annoncé avoir saisi l'Arcom et la plateforme Pharos.
Le président américain a aussi dit que Volodymyr Zelensky devait "faire preuve de souplesse", alors qu'une rencontre avec son homologue russe Vladimir Poutine a été évoquée lundi à Washington.
Ces militaires "figuraient sur les listes de prisonniers 'grièvement blessés et gravement malades' à échanger conformément aux accords d'Istanbul lors du deuxième cycle de négociations" entre les deux pays.