"C'est moins que l'an dernier", a assuré la ministre de l'Eudcation nationale lundi matin sur RTL, car il y a "100 000 élèves de moins et autant de professeurs qu'à la rentrée 2024".
Le président russe s'est exprimé devant ses principaux alliés : le président chinois Xi Jinping, le Premier ministre indien Narendra Modi et le président iranien Massoud Pezeshkian.
Plusieurs associations avaient mis en demeure les principaux acteurs de la grande distribution sur l'accessibilité de leur site et de leur application. Les enseignes avaient jusqu'au 1er septembre pour agir, mais le compte n'y est toujours pas. Sans engagement de leur part, les associations engageront des poursuites.
Si le projet a survécu aux pressions des milieux conservateurs, des acteurs de l'éducation restent vigilants quant à une contre-offensive. Ils espèrent également que son application s'accompagnera de formations et de moyens suffisants.
Si l'usage des téléphones dans l'établissement est déjà interdit aux collégiens depuis 2018, une centaine d'établissements ont déjà expérimenté une "pause numérique" consistant à isoler les appareils de l'arrivée au départ des élèves.
Le Premier ministre va recevoir à Matignon les chefs de parti à partir de lundi, une semaine avant d'engager la responsabilité de son gouvernement devant l'Assemblée nationale.
Face à ce mouvement de contestation né sur les réseaux sociaux, une partie de l'opposition a embrayé pour accentuer la pression sur François Bayrou et Emmanuel Macron. Mais la classe politique reste prudente, tant les mots d'ordre sont variés.
Depuis une dizaine d'années, des études sont menées autour des effets de la privation de sommeil à partir de tests sur des coureurs volontaires de l'UTMB. L'ambition est de pouvoir transposer les savoirs acquis à d'autres situations.
Des tests de genre sont imposés aux athlètes féminines à compter de lundi. Imposés par World Athletics, ils sont désormais nécessaires pour qu'elles puissent participer aux compétitions comptant pour le classement mondial.
Ancien journaliste, le réalisateur s'est inspiré de son expérience de correspondant pour mettre sur pied cette comédie attachante. Le sociétaire de la Comédie-Française Jean Chevalier y incarne un aspirant député maladroit et mal-aimé, forcé de se réconcilier avec son père pour sauver l'avenir du pays.
Si le projet a survécu aux pressions des milieux conservateurs, des acteurs de l'éducation restent vigilants quant à une contre-offensive. Ils espèrent également que son application s'accompagnera de formations et de moyens suffisants.
Si l'usage des téléphones dans l'établissement est déjà interdit aux collégiens depuis 2018, une centaine d'établissements ont déjà expérimenté une "pause numérique" consistant à isoler les appareils de l'arrivée au départ des élèves.
Les règles italiennes sont encore plus strictes qu'en France à partir de cette rentrée. Cette interdiction doit permettre d'améliorer la qualité des résultats scolaires mais son application concrète pose de nombreuses questions.
L'appel à bloquer le pays, né sur les réseaux sociaux, trouve un fort écho dans des réseaux issus des "gilets jaunes". Mais l'irruption de partis politiques et d'organisations syndicales brouille le jeu.
Une assemblée populaire a eu lieu mercredi à Annonay pour préparer cette journée d'action. Les sympathisants du mouvement naissant veulent manifester face à un système économique et politique qu'ils jugent défaillant et inégalitaire.