Dernier membre des commandos du 13-Novembre encore vivant, Salah Abdeslam voudrait entamer une démarche de justice restaurative auprès des parties civiles, affirme sur franceinfo mardi son avocate.
L'ancien président de la République est sorti de prison lundi, dans l'affaire du financement libyen, mais il reste sous contrôle judiciaire. Dans sa décision, la cour d'appel de Paris formule plusieurs conditions à cette remise en liberté.
C'est un verdict décisif pour le secteur de la création musicale et littéraire qui demande une régulation plus forte en Europe, face à la mainmise des géants de la tech sur leur production.
Selon France Inter, Salah Abdeslam n'a en revanche jamais, à ce jour, eu de parloir avec une victime de terrorisme. Mais il a entretenu des correspondances avec certaines d'entre elles.
Jean-Paul Chagnollaud, politologue et président de l'Institut de recherche et d'études méditerranéennes sur le Moyen-Orient, était l'invité du "11h/13h" de franceinfo. Il est venu commenter l'invitation de Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, en France par Emmanuel Macron et leur rencontre prévue dans l'après-midi du 11 novembre.
Le jeune homme a été tué le 1er novembre en rentrant de soirée, percuté par une voiture. Le conducteur, déjà connu pour plusieurs délits routiers, fuyait un contrôle de police.
C'est un verdict décisif pour le secteur de la création musicale et littéraire qui demande une régulation plus forte en Europe, face à la mainmise des géants de la tech sur leur production.
La dessinatrice fait partie des signataires de la tribune intitulée "Le festival de la bande dessinée d'Angoulême est en danger de mort", publié lundi dans "l'Humanité".
Selon son avocate, Salah Abdeslam, condamné à la perpétuité pour les attentats du 13-Novembre, a "exprimé" la demande d'entrer en contact avec des parties civiles, dans une démarche de justice restaurative.
Jean-Paul Chagnollaud, politologue et président de l'Institut de recherche et d'études méditerranéennes sur le Moyen-Orient, était l'invité du "11h/13h" de franceinfo. Il est venu commenter l'invitation de Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, en France par Emmanuel Macron et leur rencontre prévue dans l'après-midi du 11 novembre.
L'assaillant a agi devant un tribunal. Le Premier ministre du Pakistan a accusé l'Inde de soutenir les auteurs de cette attaque, et l'Afghanistan de les abriter.
Selon l'avocate du terroriste, condamné à la perpétuité pour les attentats du 13-Novembre, il aimerait "pouvoir discuter, ouvrir une porte aux parties civiles".
Les témoignages recueillis par franceinfo attestent de la persistance des symptômes chez les survivants des attaques terroristes survenues à Paris en 2015. Si deux tiers des personnes exposées ont eu recours à une aide en santé mentale dans l'année qui a suivi, dépasser le cauchemar vécu s'avère impossible pour beaucoup.