Actualité : Google Maps rattrape enfin Waze : voici l’astuce pour afficher les radars

Si vous possédez un compteur GPS Garmin Edge, vous avez sûrement remarqué dans les paramètres de navigation plusieurs options de géolocalisation : GPS seul, GPS + GLONASS, GPS + Galileo, voire multibande ou SatIQ sur les modèles récents. Cela peut sembler technique, mais ces réglages influencent directement la précision de votre suivi et l’autonomie de votre appareil. Dans cet article, on va clarifier ce qu’est réellement le mode GLONASS et replacer son rôle dans l’écosystème GNSS actuel.
Le GLONASS (Global Navigation Satellite System) est le système de positionnement par satellites développé par la Russie, équivalent au GPS américain. Sa mise en place a commencé dans les années 80, il est devenu opérationnel en 1996, puis a connu un ralentissement avant d’être pleinement réactivé à partir de 2010. Aujourd’hui, il dispose d’une constellation d’environ 24 satellites actifs en orbite, offrant une couverture mondiale.
En pratique, GLONASS est l’un des nombreux systèmes GNSS (Global Navigation Satellite System) existants, au même titre que :
Sur les appareils Garmin Edge, activer GPS + GLONASS permet donc d’augmenter le nombre de satellites visibles et exploitables, ce qui peut améliorer la fiabilité du positionnement.
Les orbites GLONASS et GPS
Sur le papier, GPS et GLONASS affichent des précisions comparables :
La vraie différence réside dans la configuration des orbites :
En pratique, activer GLONASS sur un Garmin Edge est surtout utile :
Sur route dégagée ou terrain ouvert, le GPS seul suffit amplement.
Depuis quelques années, Galileo (le système européen) est aussi intégré dans les Garmin Edge. Son grand avantage est sa précision accrue (autour du mètre) et une bonne complémentarité avec GPS.
Aujourd’hui, la plupart des cyclistes privilégient le mode GPS + Galileo plutôt que GPS + GLONASS, car Galileo offre généralement un meilleur maillage en Europe.
Sur les modèles récents comme le Garmin Edge 1040 ou l’Edge 840, on trouve une option GNSS multibande (ou dual-band).
Concrètement, le GPS et Galileo émettent sur plusieurs fréquences (L1, L5 par exemple). En exploitant ces deux bandes simultanément, l’appareil corrige les erreurs causées par l’ionosphère et limite les imprécisions dues aux réflexions du signal (effet multipath en ville ou sous couvert forestier).
Garmin a récemment introduit une fonctionnalité appelée SatIQ. Elle permet à l’appareil de basculer automatiquement entre :
…en fonction des conditions réelles de réception.
En clair, si vous roulez sur route dégagée, l’appareil reste en mode GPS pour économiser la batterie. Dès que vous entrez en forêt ou en zone urbaine dense, il bascule sur multibande ou all-systems pour maintenir la précision.
C’est aujourd’hui la solution la plus équilibrée, combinant précision et autonomie.
Voici un ordre d’idée basé sur les Edge récents (840 / 1040) :
Mode GNSS | Autonomie approximative |
---|---|
GPS seul | 35-40 h |
GPS + Galileo / GLONASS | 25-30 h |
Multibande (All + Dual) | 20-23 h |
SatIQ (Auto) | Variable, souvent 30 h+ |
À noter : ces chiffres varient selon l’usage (écran, capteurs connectés, navigation active, etc.).
En 2025, le mode GLONASS reste pertinent mais n’est plus le choix par défaut.
En clair, gardez GLONASS comme option, mais privilégiez les modes plus modernes si vous possédez un Garmin Edge récent.
Qu’est-ce que GLONASS sur un Garmin Edge ?
GLONASS est le système de satellites russes. Activé avec GPS, il augmente le nombre de satellites disponibles et améliore la couverture en zones difficiles.
Quelle différence entre GLONASS et Galileo ?
Galileo est le système européen, souvent plus précis en Europe. GLONASS est un peu moins précis mais utile dans certaines zones géographiques.
Le multibande est-il utile en vélo ?
Oui, surtout en VTT, en montagne ou en ville avec des immeubles hauts. Il apporte une précision quasi-centimétrique, mais réduit l’autonomie.
Qu’est-ce que SatIQ ?
C’est une technologie Garmin qui adapte automatiquement le mode GNSS pour optimiser le rapport précision/autonomie.
Quel mode choisir pour la route ?
GPS seul suffit en terrain dégagé, sinon SatIQ est le plus pratique.
Cet article original intitulé Qu’est-ce que le mode GLONASS sur les GPS Garmin Edge (et faut-il l’utiliser en 2025) ? a été publié la première sur SysKB.
On adore la technologie, mais soyons clairs : parfois, les prix atteignent un niveau complètement délirant. En 2025, certaines marques nous proposent des joujoux incroyables, mais qui coûtent l’équivalent d’un bon salaire annuel (voire plus). Alors oui, c’est beau, c’est puissant, c’est luxueux… mais faut pas pousser non plus. Voici une sélection de gadgets de rêve, que je ne verrai probablement jamais autrement qu’en photo.
Prix : ~28 000 €
Une télé gigantesque de 115 pouces avec une technologie micro-RGB de dernière génération. Qualité d’image bluffante, IA intégrée, design ultra-fin… mais sérieusement, qui a un salon de 50 m² juste pour coller un écran ?
Prix : ~140 000 €
Là, on entre dans la stratosphère. Cet écran MicroLED, c’est le top du top. Netteté absolue, couleurs parfaites, taille démesurée. Le genre de télé qui coûte plus cher qu’un appartement.
Prix : ~55 000 €
Des écouteurs ? Non. Une expérience sensorielle ultime. Ce casque audiophile électrostatique avec ampli en marbre est une œuvre d’art. Mais à ce prix-là, je préfère un concert privé de mon groupe préféré.
Prix : ~1 900 €
La carte graphique la plus puissante jamais conçue. Capable de faire tourner n’importe quel jeu en 16K (oui oui). Problème : tu dois vendre un rein pour l’acheter.
Prix : ~2 200 €
Encore plus fin, encore plus puissant, et toujours pliable. Oui, c’est futuriste. Mais à plus de 2 000 €, c’est un peu comme plier ton portefeuille en deux… pour ne plus jamais le rouvrir.
Prix estimé : ~2 600 €
Apple n’a pas encore confirmé, mais on sait déjà que si un iPhone pliable sort, il coûtera un bras. Et un bras Apple, c’est plus cher qu’un bras normal.
Prix : ~28 000 €
Un écran énorme qui fait presque passer la Samsung pour une télé d’étudiant. Clairement pensé pour les milliardaires fans de sport ou de cinéma.
Prix : ~4 800 €
Le PC portable gamer le plus puissant (et le plus cher) de 2025. Carte graphique dernier cri, écran 18 pouces, design premium… C’est un avion de chasse.
Prix : ~1 900 €
Apple a eu une super idée : doubler le stockage et presque doubler le prix. Voilà donc un iPhone qui coûte deux fois plus qu’un bon ordinateur portable.
Prix : estimation très salée
C’est la tablette Android ultime de 2025. Mais certaines éditions limitées avec accessoires premium peuvent facilement faire grimper la facture.
Quel est le produit High-Tech le plus cher de 2025 ?
Le téléviseur Samsung MICRO-LED MS1C 114″, avec un prix autour de 140 000 €, bat tous les records.
Est-ce que ça vaut la peine d’acheter ces produits ?
Honnêtement ? Non. À moins d’être ultra-riche, la différence avec des modèles plus abordables ne justifie pas l’écart de prix.
Quel smartphone 2025 est le plus cher ?
Probablement l’iPhone pliable, estimé à plus de 2 500 €.
Y a-t-il des alternatives plus raisonnables ?
Oui. Tous ces produits ont des versions “standard” beaucoup plus accessibles. On paie ici le luxe, pas seulement la technologie.
Cet article original intitulé 10 produits High-Tech 2025 beaucoup trop chers que je n’achèterai jamais a été publié la première sur SysKB.
Garmin élargit sa gamme d’accessoires pour cyclistes avec une nouvelle génération de pédales Rally intégrant un capteur de puissance. Baptisées Rally 110 et 210, elles se déclinent en plusieurs versions compatibles avec les standards de cales route et VTT. Ces pédales promettent une mesure plus fiable, une autonomie revue à la hausse et une compatibilité renforcée avec les compteurs et montres de la marque. Mais au-delà de la nouveauté produit, il est intéressant de comprendre à quoi sert vraiment un capteur de puissance, et surtout si cela a du sens pour votre pratique du vélo.
Garmin propose deux variantes principales : la Rally 110 et la Rally 210. La différence repose sur la mesure effectuée :
Modèle | Type de mesure | Précision | Autonomie | Poids (par pédale) | Avantages |
---|---|---|---|---|---|
Rally 110 | Simple (jambe gauche uniquement) | ±1 % | 120 h | ~160 g | Plus abordable, facile à utiliser |
Rally 210 | Double (jambe gauche + droite) | ±1 % | 120 h | ~160 g | Mesure plus fine, analyse équilibre et efficacité |
Ces pédales seront / sont commercialisées sur Garmin ou sur Alltricks
Pour exploiter pleinement un capteur de puissance, il faut évidemment pouvoir consulter et analyser les données en temps réel. Cela passe par un compteur GPS vélo ou une montre compatible. La majorité des cyclistes choisissent un compteur vélo dédié, plus lisible et offrant une autonomie plus importante.
Chez Garmin, la gamme Edge est particulièrement adaptée, avec des écrans configurables permettant d’afficher la puissance instantanée, la moyenne sur 3 ou 10 secondes, ou encore la répartition gauche/droite. Après la sortie, toutes les données sont synchronisées dans Garmin Connect ou dans d’autres plateformes comme Strava ou TrainingPeaks pour un suivi détaillé.
Si vous souhaitez choisir le modèle le plus adapté à votre pratique, je vous invite à consulter notre guide complet sur les meilleurs GPS Garmin pour le vélo.
Un capteur de puissance n’est pas forcément indispensable à tout cycliste. Pour un pratiquant occasionnel ou quelqu’un qui roule surtout pour le plaisir, un simple compteur GPS ou un cardiofréquencemètre suffit largement.
En revanche, dès que l’on cherche à structurer ses entraînements ou à mieux gérer ses efforts, la puissance devient un outil très précieux. Ces pédales sont donc particulièrement adaptées :
Le coût reste élevé, surtout pour la version double (210), mais c’est un investissement cohérent pour qui veut franchir un cap dans sa pratique.
Un capteur de puissance permet d’obtenir une donnée objective, en watts, reflétant immédiatement l’effort fourni. Contrairement à la fréquence cardiaque, la puissance n’est pas influencée par la chaleur, la fatigue ou l’hydratation.
Voir l’article : Comment entraîner sa puissance ?
Un cardiofréquencemètre reste utile, mais il présente des limites :
En réalité, les deux sont complémentaires :
La Rally 110 est proposée autour de 649 €, la Rally 210 avoisine les 1050 €.
Non, elles fonctionnent aussi avec d’autres marques via ANT+ et Bluetooth, mais l’intégration est optimale avec un compteur Garmin Edge.
Jusqu’à 120 heures d’utilisation avant remplacement.
Oui, grâce aux corps interchangeables compatibles SPD, elles conviennent aussi aux sorties tout-terrain.
La Rally 110 mesure uniquement la puissance d’une jambe, la Rally 210 mesure les deux pour plus de précision et d’analyse.
Cet article original intitulé Garmin Rally 110 et 210 : Les nouvelles pédales avec capteur de puissance sont enfin là ! a été publié la première sur SysKB.
Le UGREEN DH4300 Plus est un NAS 4 baies orienté grand public. Avec son format cube vertical, et un accès par le dessus, il casse les codes sur ce type d’appareil. Pas de look « informatique« , il s’intègre facilement dans un bureau ou dans un salon grâce à son design sobre et premium. Il mise sur la simplicité d’usage (Logiciel UGOS Pro embarqué), la connectique essentielle et une sortie HDMI 4K si vous l’installez dans le salon. Nous présenterons ici ses spécifications, ses usages de prédilections et aussi ses limites. Nous le comparerons au UGREEN DXP4800 afin d’orienter votre choix selon les besoins en performances, réseau et évolutivité.
UGREEN développe depuis 2024 la gamme NASync intégrant avec le système d’exploitation UGOS Pro. L’objectif est de proposer un stockage réseau moderne et simple à utiliser pour les particuliers et les petites équipes. L’écosystème met l’accent sur la prise en main guidée, la sécurité de base et des applications intégrées (sauvegarde, multimédia, photos, containers, VM, …).
Dans cette gamme, le DH4300 Plus est un NAS à 4 baies adapté à un usage domestique et bureautique. Il se distingue par un format cube vertical avec accès par le dessus, pensé pour une intégration discrète sur un bureau ou dans un salon. L’approche privilégie la sobriété et la réduction de l’encombrement en profondeur. Pour autant son format 4 baies offre un potentiel de capacité absolument énorme pour un usage domestique.
Côté matériel, il s’appuie sur un processeur Rockchip ARM 8 Cores 2.4GHz RK3588, 8 Go de RAM en DDR4, 4 baies SATA, un port 2.5 GbE, une sortie HDMI 4K/60, ainsi qu’un port USB-C en façade et 2 ports USB-A à l’arrière. Le système réside sur une carte eMMC 32 Go et la capacité maximale atteint 120 To selon les disques que vous allez installez=r et le RAID que vous allez configurer.
En comparaison le DXP4800, un autre modèle de la gamme NASync, cible un public plus exigeant en performance et évolutivité : Intel N100 (x86), Mémoire DDR5 extensible, deux ports 2.5 GbE et deux emplacements M.2 NVMe. Les deux modèles partagent donc le même environnement logiciel, mais ne visent pas exactement le même profil d’utilisateur. Je détaille la comparaison un peu plus loin dans cet article.
Le DH4300 Plus adopte un châssis vertical au format cube, avec accès par le dessus. Cette conception réduit l’encombrement en profondeur et rompt avec les tiroirs frontaux des NAS classiques. Elle favorise une intégration discrète dans un bureau ou un salon, tout en conservant un accès direct aux disques.
Le capot supérieur se retire pour atteindre les quatre baies SATA. Les dimensions sont contenues pour un 4 baies (empreinte carrée 155 × 155 mm, 215,7 mm de hauteur). Prévoyez un dégagement vertical suffisant pour ouvrir le capot si le NAS est posé sous une étagère.
L’installation des disques est on ne peut plus simple et je vous montre ici l’installation de mes 4 disques Seagate IronWolf de 4 To vendu un peu plus de 100€ par disque. Formatés en Raid 6 j’obtiendrai une volumétrie utile d’environ 10,8 TB pour stocker mes données essentiellement multimédia.
La connectique du UGREEN DH4300 Plus est répartie de façon logique :
L’ensemble privilégie la sobriété : lignes épurées, câbles regroupés à l’arrière, façade dégagée. Ce form factor convient particulièrement :
J’ai regroupé dans ce tableau toutes les caractéristiques essentielles du DH4300 Plus
Élément | Spécifications UGREEN DH4300 Plus |
---|---|
Processeur | Rockchip RK3588 (ARM, 8 cœurs, jusqu’à 2,4 GHz) |
Mémoire | 8 Go LPDDR4X (soudée, non extensible) |
Disques | 4 baies SATA 3,5″ / 2,5″ (chargement par le haut) |
RAID | JBOD, Basic, 0/1/5/6/10 |
Capacité maximale | 120 To (4 × 30 To) |
Stockage système | eMMC 32 Go |
Réseau | 1 × 2.5 GbE (RJ-45) |
Vidéo | HDMI 4K/60 Hz |
USB – façade | 1 × USB-C 3.2 Gen1 (5 Gb/s) |
USB – arrière | 2 × USB-A 3.2 Gen1 (5 Gb/s) |
Extension | Pas de PCIe / pas de M.2 NVMe |
Alimentation | 12 V / 6 A |
Dimensions | 155 × 155 × 215,7 mm |
Système | UGOS Pro |
UGOS Pro est le système livré avec le UGREEN DH4300 Plus mais aussi tous les NAS de chez UGREEN. L’interface est claire, accessible depuis un navigateur, les applications mobiles iOS/Android et même un client desktop pour votre ordinateur. C’est donc selon vos préférences et vos besoins. La prise en main est guidée par des assistants, ce qui raccourcit la phase d’installation et votre phase d’apprentissage est optimale. On le sait … le temps compte
Avec un port 2.5 GbE, le plafond théorique atteint 312,5 Mo/s. En conditions réelles (RAID adapté, disques sains, jumbo frames éventuels), on vise couramment 250–300 Mo/s en lecture/écriture sur un partage SMB. Un disque unique limitera plutôt autour de 180–220 Mo/s ; le RAID 0/5/10 aide à maintenir des pointes plus élevées et une meilleure tenue en charges mixtes.
Les quatre baies SATA autorisent le RAID 1/5/6/10 selon l’équilibre recherché entre sécurité, capacité et performances.
La capacité max de 120 To avec des disques de 30 To couvre déjà des besoins importants en photo/vidéo et sauvegardes.
Le UGREEN NAS DH4300 Plus permet de regarder vos films selon deux scénarios distincts :
A titre personnel j’utilise le DLNA, c’est le moyen le plus basique et le plus simple pour regarder vos films et séries sur votre TV connectée, et ça fonctionne parfaitement avec ce NAS UGREEN DH4300 !
Bonnes pratiques pour éviter le transcodage
Capacité du DH4300 Plus
Pour les PC/Mac, la planification de tâches vers le NAS assure une protection continue des dossiers critiques. Côté smartphones, la sauvegarde photo/vidéo automatique allège le stockage local. Les copies externes via USB-C en façade simplifient l’ingest ponctuel depuis un SSD ou une clé.
Pour un foyer ou une équipe de 2–5 personnes, le 2.5 GbE fournit des transferts confortables, y compris sur de gros projets. Sur des charges plus intensives (montage multi-postes, nombreux accès concurrents, bases de données), la limite du lien unique peut se faire sentir. Dans ce cas, on envisagera des profils matériels disposant de deux ports réseau et de cache NVMe (voir comparaison plus loin).
Je vous propose le comparatif entre 2 modèles de NAS à 4 baies proposés par UGREEN, le DH et le DXP
Critère | UGREEN DH4300 Plus | UGREEN DXP4800 |
---|---|---|
Format | Cube vertical, accès par le dessus (top-loading) | Boîtier desktop à tiroirs frontaux |
Baies SATA | 4 (3,5″/2,5″) | 4 (3,5″/2,5″) |
Processeur | Rockchip RK3588 (ARM, 8 cœurs) | Intel N100 (x86, 4 cœurs/4 threads) |
Mémoire | 8 Go LPDDR4X (non extensible) | 8 Go DDR5, extensible jusqu’à 16 Go |
Réseau | 1 × 2.5 GbE | 2 × 2.5 GbE |
Emplacements M.2 NVMe | — | 2 × M.2 NVMe (cache/accélération) |
Sortie vidéo | HDMI 4K/60 | HDMI 4K/60 |
Ports USB (total)** | 3 (USB-C + 2 × USB-A) | 3 (USB-C + 2 × USB-A) + lecteur SD 3.0 |
Stockage système | eMMC 32 Go | eMMC 32 Go |
RAID | JBOD, Basic, 0/1/5/6/10 | JBOD, Basic, 0/1/5/6/10 |
Capacité maximale | 120 To (4 × 30 To) | 136 To (4 × 30 To + 2 × 8 To) |
Dimensions (L × l × H) | 155 × 155 × 215,7 mm | 257 × 178 × 178 mm |
Profil type | Foyer / TPE, simplicité, design discret | Utilisateurs exigeants, perfs & évolutivité |
Remarques :
Si vos besoins en termes de volumétrie restent modestes (sauvegarde de postes, bibliothèque photos/vidéos familiale, partage bureautique), un NAS 2 baies peut être plus pertinent / suffisant. Dans l’écosystème UGREEN, le DXP2800 constitue une alternative cohérente en 2 baies pour un usage domestique ou un petit bureau. J’ai consacré toute une série d’article sur le DXP2800, de la présentation jusqu’à son installation pas à pas.
À noter toutefois : si vous anticipez une croissance rapide (vidéos 4K nombreuses, sauvegardes de plusieurs machines, accès simultanés plus fréquents), le passage direct à quatre baies reste souvent plus durable, grâce à des options de RAID plus flexibles et une capacité évolutive sans remplacement immédiat des disques existants. Vous pourriez ainsi démarrer avec seulement 2 disques en RAID1 que vous feriez évoluer par la suite en ajoutant 2 disques complémentaires. Pour un besoin de performance important je vous recommanderai plutôt le DXP4800 de chez UGREEN, il a les mêmes performance que le DXP2800 mais avec 4 baies. Si vous voulez faire de la virtualisation en container ou en VM pour publier différents services sur votre NAS optez même pour le DXP4800 Plus qui est exceptionnel pour le prix.
Pour conclure cet article je vous propose un guide de mise en route rapide.
Lors de cette étape vous recevez un code de confirmation par mail.
Le volume est enfin en cours de création et de formatage. Rassurez-vous votre volume sera rapidement utilisable mais un processus d’optimisation va durer plusieurs heures en arrière plan.
Dans cet article, je vous ai également présenté le UGREEN DH4300 Plus sous un angle très concret : son design vertical pensé pour s’intégrer facilement, ses caractéristiques matérielles (RK3588, 8 Go de RAM, 4 baies SATA, 2.5 GbE, HDMI 4K/60, USB-C en façade), ses cas d’usage privilégiés (sauvegarde multi-postes, partage de fichiers, multimédia en Direct Play) et ses limites assumées (RAM non extensible, pas de NVMe, un seul port 2.5 GbE). On a aussi fait le point sur UGOS Pro et son approche guidée qui, soyons honnêtes, simplifie bien la vie pour un premier NAS à la maison.
Je l’ai comparé au UGREEN DXP4800 pour clarifier le positionnement : même écosystème logiciel, mais une plate-forme x86 plus évolutive (double 2.5 GbE, DDR5 extensible, cache NVMe) pour ceux qui visent du débit agrégé, des accès concurrents plus denses, ou des besoins de transcodage côté serveur.
L’idée est simple :
Côté pratique, on a installé les disques et configuré le stockage pas à pas. Jusqu’à la création du volume. Je me suis arrêté volontairement là — pas de création de partages ni d’autres services — pour garder un chemin clair et reproductible.
Vous pouvez désormais déployer vos partages, installer les apps multimédias (Musique, Théâtre, Photos), activer les sauvegardes PC/Mac et mobiles, puis affiner avec l’accès distant, la gestion des utilisateurs et, si ça vous tente, quelques conteneurs Docker compatibles ARM. Je décris tout cela dans mon article 5 usages pratiques pour profiter au maximum de votre NAS UGREEN !
Si vous avez des questions spécifiques (RAID 5 vs 6, DLNA vs Plex, cache ou pas, etc.), posez-les en commentaire ; je réponds et j’ajoute des sections si besoin. Bref, vous avez maintenant une base solide avec le DH4300 Plus… on passe à la mise en production !
Cet article original intitulé UGREEN DH4300 Plus : NAS 4 baies, format cube et petit prix a été publié la première sur SysKB.
On pensait que l’OLED était le graal des téléviseurs, mais une nouvelle technologie arrive pour rebattre les cartes : le RGB Mini LED. Dévoilée par Hisense lors des salons CES et IFA, cette innovation promet une luminosité record, une colorimétrie jamais vue et des téléviseurs plus fins et plus économes en énergie. De quoi changer durablement le marché des écrans dès 2025.
Contrairement aux téléviseurs OLED qui produisent leur propre lumière pixel par pixel, les écrans LCD nécessitent un rétroéclairage. Sans lui, la dalle LCD resterait noire.
Les téléviseurs LCD ne produisent pas de lumière par eux-mêmes, contrairement aux OLED. Ils ont donc besoin d’un rétroéclairage placé derrière ou sur les côtés de la dalle pour afficher une image. Ce rétroéclairage est composé de LEDs blanches qui diffusent une lumière uniforme à travers plusieurs filtres pour créer les couleurs visibles.
Avec le Direct LED, les constructeurs ont introduit le local dimming, c’est-à-dire un rétroéclairage par zones indépendantes. Cela permet d’éteindre une partie des LEDs dans les zones sombres de l’image et de laisser les autres allumées dans les zones lumineuses.
Résultat : un contraste plus élevé qu’avec un rétroéclairage uniforme. Mais comme les zones restent relativement larges, on observe souvent un phénomène de halo lumineux (blooming) autour des objets clairs sur fond noir.
En résumé, le rétroéclairage LCD classique a permis la démocratisation des grands téléviseurs abordables, mais il reste limité dès qu’il s’agit de rivaliser avec des technologies plus avancées comme l’OLED ou, plus récemment, le Mini LED.
En 2018, le Mini LED a marqué une véritable rupture dans le domaine du rétroéclairage LCD. Il ne s’agit pas d’une nouvelle technologie d’écran à proprement parler, mais d’une évolution majeure du rétroéclairage, qui améliore considérablement les performances des téléviseurs LCD traditionnels.
La principale différence vient de la taille des diodes. Les Mini LEDs mesurent entre 100 et 200 micromètres, soit bien plus petites que les LEDs classiques. Cette miniaturisation permet d’en placer des milliers derrière une dalle, contre seulement quelques centaines auparavant.
Résultat : le téléviseur peut contrôler la lumière de manière beaucoup plus fine et précise.
Avec les anciennes générations de LED, le rétroéclairage fonctionnait par grandes zones, parfois limitées à quelques dizaines. Cela entraînait souvent un problème de blooming (halo lumineux autour des objets clairs sur fond sombre).
Avec le Mini LED, on parle désormais de plusieurs centaines, voire milliers de zones de contrôle. Chaque zone peut être allumée ou éteinte indépendamment, ce qui améliore nettement la qualité d’image, notamment dans les scènes sombres ou à fort contraste.
Grâce à ce contrôle par zones plus précis, les téléviseurs Mini LED offrent des noirs plus profonds que les LCD classiques. Bien sûr, ils ne rivalisent pas encore totalement avec l’OLED (où chaque pixel peut s’éteindre individuellement), mais ils s’en rapprochent nettement tout en conservant une luminosité supérieure.
Le contraste global est donc beaucoup plus élevé, un point essentiel pour profiter des contenus HDR.
Le HDR (High Dynamic Range) repose sur deux éléments : un fort contraste et une luminosité maximale élevée. Les Mini LEDs, plus nombreuses et plus puissantes, permettent d’atteindre des pics lumineux impressionnants (jusqu’à 2000 nits sur certains modèles).
Associé à un meilleur contrôle des zones sombres, cela rend les images beaucoup plus réalistes, avec des détails visibles aussi bien dans les zones claires que dans les zones d’ombre.
Malgré tous ces progrès, les Mini LED conservent une caractéristique fondamentale : elles émettent une lumière initialement bleue.
Pour obtenir une image en couleur, cette lumière doit passer par des filtres et des quantum dots (nanocristaux qui transforment la lumière bleue en rouge ou en vert).
Ce processus fonctionne bien, mais il absorbe une partie de la luminosité et limite la fidélité des couleurs, ce qui laisse encore une marge d’amélioration.
Le RGB Mini LED pousse encore plus loin le principe en intégrant directement la gestion des couleurs dans le rétroéclairage.
Le RGB Mini LED ne se contente pas d’améliorer la qualité d’image, il pulvérise certains records techniques.
Caractéristique | Mini LED classique | RGB Mini LED |
---|---|---|
Gestion des couleurs | Lumière bleue + quantum dots | Directement RGB |
Pic de luminosité | ≈ 4000 nits | Jusqu’à 8000 nits |
Espace colorimétrique | DCI-P3 étendu | 100 % BT2020 |
Consommation d’énergie | Standard | -40 % |
Lumière bleue | Normale | -42 % |
Épaisseur TV | Standard | Plus fin |
La technologie RGB Mini LED n’est pas qu’une prouesse technique : elle apporte des bénéfices concrets pour les utilisateurs au quotidien. Voici les principaux atouts :
Le RGB Mini LED redéfinit ce qu’un téléviseur LCD peut offrir.
L’un des points forts du RGB Mini LED est sa luminosité record : jusqu’à 8000 nits en pic, soit quasiment le double de ce que propose le Mini LED classique.
Le RGB Mini LED n’est pas seulement plus puissant, il est aussi plus efficace :
En supprimant une partie des filtres lourds nécessaires sur les anciens systèmes, le RGB Mini LED permet de concevoir des téléviseurs plus fins et mieux « designés ».
Avec le RGB Mini LED, Hisense s’impose comme le premier constructeur à miser sérieusement sur cette technologie. La marque a profité du CES de Las Vegas puis de l’IFA de Berlin 2025 pour présenter ses premiers modèles et démontrer concrètement le potentiel de ce nouveau type de rétroéclairage.
Le calendrier de lancement est désormais clair. Le très grand modèle Hisense 116 UX (116 pouces) est déjà disponible depuis août 2025, mais il s’agit d’un téléviseur vitrine, vendu autour de 30 000 €, destiné à marquer les esprits plus qu’à inonder le marché.
Les modèles plus accessibles, en 55, 65, 75, 85 et 100 pouces, arriveront eux en 2026, avec des tarifs annoncés comme étant comparables à ceux des téléviseurs OLED actuels. Cela positionnera le RGB Mini LED comme une alternative premium mais compétitive, capable de séduire un public large et pas seulement une élite technophile.
L’autre atout stratégique, c’est l’association avec Dolby Vision 2, qui profitera pleinement de la luminosité extrême et de la colorimétrie étendue du RGB Mini LED. Dolby voit dans cette technologie un support idéal pour dépasser les standards HDR actuels, ce qui confère aux modèles Hisense une crédibilité renforcée auprès des amateurs d’image haut de gamme.
Pas forcément. L’OLED garde l’avantage des noirs parfaits pixel par pixel, mais le RGB Mini LED offre une luminosité bien supérieure et un coût plus accessible.
Le Mini LED classique utilise des diodes bleues et des quantum dots, tandis que le RGB Mini LED gère directement les couleurs au niveau du rétroéclairage.
Hisense prévoit une commercialisation dès 2025 en Europe.
Non. Les grands modèles serviront de vitrine technologique, mais les tailles courantes devraient rester au prix des OLED actuels.
Au contraire : la suppression des filtres lourds réduit la consommation d’environ 40 %.
Cet article original intitulé RGB Mini-LED : La révolution de l’affichage qui veut détrôner l’OLED a été publié la première sur SysKB.
Les lancers avec effet (spin) sont considérés comme l’un des éléments les plus difficiles du baseball. La balle peut changer de trajectoire de 30 à 40 centimètres, ce qui la rend pratiquement imprévisible pour le frappeur. À titre de comparaison, la réaction du joueur doit se faire en 0,4 seconde, soit le temps que met la balle pour voler du lanceur au batteur. Les amateurs de précision technique consultent les sites de paris sportifs pour capter les duels lanceur-batteur.
Les lanceurs de baseball passent des années à maîtriser le contrôle de la rotation. Par exemple, une balle avec effet peut atteindre 2 500 tours par minute, ce qui crée un changement brusque de trajectoire. Les lancers comme les sliders ou les change-ups rendent les sites comme 1xBet de paris sportifs très utiles pour ajuster les mises en direct.
Le contrôle de la rotation est directement lié à l’efficacité des lancers. Plus le nombre de tours par minute est élevé, plus il est difficile de prédire la trajectoire du ballon. Chaque lancer nécessite des calculs précis et une technique parfaitement maîtrisée. Miser sur un strikeout devient plus simple grâce aux paris sportifs en direct aujourd’hui, avec des cotes qui évoluent à chaque pitch.
Voici quelques exemples chiffrés montrant l’effet de la rotation sur le service :
Dès que le lanceur sort ses lancers spéciaux, les paris sportifs 1xBet en direct aujourd’hui deviennent très intéressants à suivre en live.
Les lancers avec rotation constituent toute une stratégie de jeu. Les équipes élaborent des tactiques en fonction de lanceurs spécifiques, capables de changer de style et de maintenir l’adversaire en tension. Après avoir misé sur un duel de lanceurs, certains choisissent un pari foot en ligne pour varier leur soirée.
Cette maîtrise transforme chaque duel en un jeu d’échecs à grande vitesse, où chaque lancer peut piéger l’adversaire ou ouvrir une brèche. Les équipes investissent donc massivement non seulement dans la puissance, mais aussi dans l’intelligence tactique de leurs lanceurs. Si vous suivez le baseball mais aimez aussi le ballon rond, profitez-en pour tenter un pari foot 1xBet en ligne entre matchs de baseball.
Cet article original intitulé Pourquoi les lancers spéciaux sont-ils plus difficiles à frapper au baseball ? a été publié la première sur SysKB.
Depuis plus de dix ans, UGREEN s’impose comme une référence en matière d’accessoires technologiques. Aujourd’hui, la marque revient avec une innovation majeure : la série MagFlow, parmi les toutes premières solutions de recharge magnétique Qi2 certifiées 25W.
Le lancement officiel de toute la gamme MagFlow a eu lieu le 5 septembre à 10h à l’occasion de l’IFA 2025
Mais concrètement, qu’est-ce que ça change pour vous ? Pourquoi ces nouveaux produits pourraient transformer vos habitudes de recharge, que ce soit en voyage, au bureau ou à la maison ? Prenons le temps de plonger dans les usages et de voir ce que ces trois nouveautés peuvent vous apporter au quotidien.
Commençons par le concept même de MagFlow. Le nom combine Magnetic et Flow, l’idée d’une énergie fluide, sans contrainte, qui s’adapte à vos gestes. Plus besoin de tâtonner pour bien poser le smartphone sur un pad : le magnétisme prend le relais, garantissant un alignement parfait. Résultat : la recharge est plus rapide, plus stable, et surtout… sans effort.
Ce choix n’est pas anodin : Apple a introduit le magnétisme MagSafe dès l’iPhone 12. Aujourd’hui, avec la norme Qi2, cette approche devient un standard reconnu par l’industrie. Concrètement, cela signifie que les iPhone 12 à 16 se fixent naturellement sur les chargeurs MagFlow, exactement comme ils le feraient avec un chargeur Apple MagSafe, mais en bénéficiant d’une puissance plus élevée (jusqu’à 25 W).
Avec Qi2 25 W, on passe un cap. Là où le Qi standard plafonnait souvent à 7,5 ou 15 W, cette nouvelle génération apporte une puissance bien supérieure. Concrètement, un iPhone 16 Pro Max atteint 50 % en environ 30 minutes. Vous posez, ça se clipse magnétiquement, et la batterie grimpe sans que vous ayez à réfléchir.
Côté Android, la recharge Qi reste parfaitement supportée, mais le magnétisme ne fonctionne pas toujours nativement : il faut, dans ce cas, utiliser une coque ou un anneau magnétique compatible. Ainsi, un Galaxy ou un Pixel se rechargera bien en Qi, mais sans la fixation magnétique d’un iPhone.
Maintenant, voyons comment UGREEN a décliné cette technologie en trois produits pensés pour vos différents moments de vie.
Imaginez-vous à l’aéroport, en train ou en plein déplacement professionnel. Votre iPhone clignote à 15 %. Habituellement, vous cherchez un câble, vous vous battez avec un chargeur USB bancal, et vous devez rester planté à côté d’une prise murale. Avec la batterie externe magnétique MagFlow 10 000 mAh, c’est une autre histoire.
Vous êtes en déplacement et vous devez participer à une visioconférence Zoom. Pas de panique : fixez la batterie MagFlow derrière votre iPhone et continuez à discuter en toute fluidité. Elle est compacte (110 × 70 mm) et légère (254 g), ce qui la rend parfaite pour un sac de voyage.
Arrivé au bureau, vous enchaînez les mails, les réunions Teams et la gestion de votre agenda. Votre iPhone trône sur le bureau, mais vous devez le garder accessible pour consulter vos notifications. C’est exactement pour ce scénario que le chargeur sans fil magnétique MagFlow 2-en-1 a été conçu.
Vous êtes en open space, casque sur les oreilles, en train de coder ou de rédiger un rapport. Votre iPhone est posé sur le dock, légèrement incliné. Vous recevez un appel FaceTime : inutile de le décrocher de son support, il est déjà bien orienté pour discuter. Pendant ce temps, vos AirPods reprennent de l’énergie sur la base. Tout est à sa place, sans câble qui traîne sur le bureau.
Le soir, vous rentrez chez vous. Votre iPhone est encore à 30 %, vos AirPods sont quasiment à plat, et votre Apple Watch vous signale une recharge nécessaire. Plutôt que de multiplier les câbles et les chargeurs dispersés, la station MagFlow 3-en-1 prend tout en charge sur une seule base.
Placez la station sur votre table de nuit. Avant de dormir, posez simplement vos trois appareils dessus. Au réveil, tout est rechargé et prêt à démarrer la journée. Si vous aimez regarder TikTok ou YouTube au lit, l’inclinaison réglable de l’iPhone vous permet de le faire tout en rechargeant. Et avec la compatibilité StandBy, l’iPhone devient un réveil intelligent.
Depuis 2012, UGREEN accompagne plus de 200 millions d’utilisateurs dans leur quotidien technologique. Du chargeur rapide aux solutions de stockage, la marque s’est toujours distinguée par sa fiabilité et son souci d’intégrer les meilleures normes.
Avec MagFlow, elle franchit une nouvelle étape en démocratisant le Qi2 25 W, une technologie qui devrait devenir la référence des prochaines années. L’ambition est claire : vous libérer des câbles, des chargeurs multiples et des frustrations liées à des recharges lentes ou instables.
En d’autres termes, que vous soyez en déplacement, en train de travailler ou simplement à la maison, il existe un produit MagFlow qui s’intègre parfaitement à votre rythme de vie.
Curieux de voir à quoi ressemblent ces nouveaux produits ? Consultez dès maintenant les pages officielles UGREEN pour plus d’informations et visuels :
Découvrir la série MagFlow sur UGREEN
Cet article original intitulé UGREEN MagFlow : la nouvelle ère du chargement magnétique Qi2 25W a été publié la première sur SysKB.
C’est le bon moment pour changer de TV ou passer au vidéoprojecteur. Boulanger lance une offre directe et simple : 70 € de remise dès 700 € d’achats sur une large sélection TV et vidéoprojecteurs. Pas d’ODR, pas de paperasse, la réduction tombe au panier. On fait le point sur les conditions à connaître et on vous partage une liste de modèles à surveiller.
Au moment où j’écris ces lignes plus de 238 articles sont éligibles !
Élément | Détail |
---|---|
Montant de la remise | -70 € |
Seuil | 700 € d’achats |
Catégories concernées | TV & vidéoprojecteurs |
Dates | Jusqu’au lundi 8 septembre 2025 |
Type d’avantage | Remise appliquée sur panier éligible (pas besoin d’ODR) |
Exclusions | Accessoires, produits exclusivité internet, marketplace, reconditionnés, extensions de garantie |
Où en profiter | En ligne sur la page “70€ dès 700€” et en magasin (selon éligibilité de la sélection) |
Jusqu’à quand est valable l’offre ?
Jusqu’au lundi 8 septembre. Passée cette date, la remise peut disparaître ou être remplacée par une autre opération.
Quels produits sont exclus ?
Les accessoires, les produits en exclusivité internet, ceux vendus via la marketplace, les produits reconditionnés et les extensions de garantie.
Faut-il un code promo ?
Non. La remise est immédiate sur la sélection éligible une fois les 700 € atteints.
La remise marche en magasin ?
Oui si le produit fait partie de l’opération en cours. Demandez au conseiller et vérifiez le prix en caisse si besoin.
Puis-je retourner un produit acheté avec la remise ?
Oui, selon les conditions habituelles de retour de Boulanger. La remise est recalculée si vous ne gardez qu’une partie de la commande.
Y-a T’il d’autres bons plans sur SysKB ?
Oui, en consultant la page dédiées au bons plans vous pouvez découvrir pleins d’autres bons plans comme ceux d’Amazon, de UGREEN, d’Ultenic, de Narwal, de Synology, de Garmin, …
Cet article original intitulé Bons Plans Boulanger : -70€ dès 700€ sur TV & vidéoprojecteurs (jusqu’au 8 septembre) a été publié la première sur SysKB.
Les jeux d’argent en ligne subissent une transformation radicale. Alors que les préoccupations concernant la confidentialité des données et la surveillance augmentent, une nouvelle vague de casinos alimentés par la blockchain propose une expérience totalement différente, sans vérification d’identité traditionnelle. Ces plateformes séduisent de plus en plus d’utilisateurs férus de technologie, en quête à la fois d’anonymat et d’innovation.
L’attrait est évident : rapidité, simplicité, et surtout, confidentialité. Pour les utilisateurs vivant dans des juridictions restrictives ou craignant les violations de données, l’idée d’un casino sans carte d’identité constitue une alternative séduisante. Ces plateformes sont conçues pour garantir que les utilisateurs conservent un contrôle total sur leurs informations tout en profitant de jeux classiques comme le poker, les machines à sous ou la roulette.
Pour beaucoup d’utilisateurs, les avantages l’emportent sur les risques. L’utilisation de contrats intelligents assure la transparence des résultats de jeu, tandis que les registres blockchain permettent d’auditer les transactions sans divulguer d’informations personnelles. Ces fonctionnalités contribuent à instaurer la confiance dans des systèmes qui pourraient autrement sembler opaques.
Fait intéressant, l’essor des plateformes de jeu anonymes a également stimulé l’adoption d’outils renforçant la confidentialité. Les VPN, portefeuilles non dépositaires et navigateurs bloquant le pistage sont désormais des outils standards pour ceux qui explorent le web anonyme.
Au cœur de cette évolution se trouve la technologie blockchain. Grâce aux réseaux décentralisés et aux cryptomonnaies, ces casinos peuvent fonctionner sans collecter de données personnelles ni exiger de procédures KYC (Know Your Customer). Au lieu de télécharger des documents ou de vérifier leur identité, les joueurs n’ont qu’à connecter un portefeuille crypto pour commencer à jouer.
Si les plateformes sans vérification d’identité offrent une plus grande confidentialité, elles modifient aussi la nature de la responsabilité utilisateur. En l’absence de processus KYC, les joueurs doivent faire preuve de discernement dans le choix de leur plateforme. Beaucoup s’appuient sur des avis tiers, la transparence de la blockchain et les audits de contrats intelligents pour évaluer la légitimité. Même si la régulation reste minimale, la surveillance communautaire et les mécanismes de confiance sur la chaîne deviennent des substituts importants. Plutôt que d’être exposés à des risques non maîtrisés, les joueurs informés apprennent à naviguer sur ces plateformes anonymes avec prudence et autonomie.
Alors que les gouvernements du monde entier continuent de durcir la réglementation sur les jeux d’argent en ligne, la popularité des plateformes sans vérification d’identité est appelée à croître. Elles offrent un aperçu d’un avenir où les utilisateurs, et non les entreprises ou les gouvernements, contrôlent leur identité numérique. Pour l’instant, ces casinos blockchain restent un segment de niche, mais en pleine expansion, du paysage des jeux d’argent.
Qu’ils mènent à une plus grande liberté ou introduisent de nouveaux risques dépendra en grande partie de leur évolution, et de la manière dont les utilisateurs choisissent d’interagir avec eux.
Cet article original intitulé Pas de Carte d’Identité, Pas de Problème ? Comment Les Casinos Blockchain Changent la Donne a été publié la première sur SysKB.
Pouvoir accéder à son réseau domestique de n’importe où est un vrai confort. Que ce soit pour récupérer un fichier sur ton NAS, surveiller ta domotique ou simplement sécuriser ta connexion depuis un Wi-Fi public, la Freebox permet de mettre en place ton propre serveur VPN. Pas besoin d’un abonnement externe : la Freebox embarque cette fonction nativement, et il suffit de l’activer.
Dans ce guide, on va voir à quoi sert un serveur VPN sur Freebox, quels protocoles sont disponibles, lequel utiliser de préférence, et surtout comment le configurer pas à pas. On terminera par la partie pratique : se connecter au serveur VPN Freebox depuis un PC ou un smartphone.
Un serveur VPN sur ta Freebox te permet de créer un tunnel sécurisé entre ton appareil (ordinateur, smartphone, tablette) et ta box Internet, où que tu sois.
Les avantages sont nombreux :
Ta Freebox te propose plusieurs protocoles pour mettre en place un serveur VPN. Voici un comparatif clair :
Protocole | Avantages | Inconvénients |
---|---|---|
PPTP | Très simple à configurer, compatible anciens systèmes | Obsolète, vulnérable, à éviter absolument |
OpenVPN Routé | Bon niveau de sécurité, largement compatible | Moins rapide que WireGuard |
OpenVPN Bridgé | Permet d’être sur le même réseau local que chez toi | Plus lourd, configuration plus complexe |
IPsec IKEv2 | Rapide, support natif sur iOS/Windows | Compatibilité variable sur Android/Linux |
WireGuard | Ultra rapide, moderne, simple à configurer, léger | Moins d’options avancées, protocole encore jeune |
Notre recommandation : WireGuard.
C’est le protocole le plus moderne et le plus performant aujourd’hui. Il est supporté par la majorité des systèmes (Windows, macOS, Linux, iOS, Android), et il se configure facilement grâce à des fichiers de configuration ou QR codes générés par Freebox OS.
.conf
pour l’importer sur ton PC..conf
..conf
généré par la Freebox.Maintenant que tout est configuré tu peux profiter de ton accès sécurisé selon tes besoins :
Situation | Sans VPN (connexion directe via 4G/5G) | Avec VPN Freebox (connexion encapsulée) |
---|---|---|
Accès à ton réseau local | Impossible : pas d’accès direct à ton NAS, PC ou caméras | Possible : ton smartphone est “comme à la maison” |
Sécurité sur Wi-Fi publics | Connexion exposée, risque d’interception | Connexion chiffrée → tunnel sécurisé vers la Freebox |
Adresse IP utilisée | IP de ton opérateur mobile (variable, parfois étrangère si roaming) | IP fixe de ta Freebox (IP française si tu es à l’étranger) |
Streaming et services en ligne | Certains services bloqués à l’étranger (ex. MyCanal, banques) | Accessible car tu sors avec ton IP Freebox en France |
Filtres / DNS / Contrôle parental | Dépend uniquement de l’opérateur mobile | Tu utilises les règles et DNS de ta Freebox (ex. Pi-hole) |
Domotique / surveillance | Inaccessible sauf exposition de ports (risqué) | Accessible directement via le VPN, sans ouvrir de ports |
Expérience utilisateur | Tu es “hors de chez toi” | Tu es “virtuellement dans ton salon” |
Oui, c’est une fonction intégrée aux Freebox compatibles, sans surcoût.
Les Freebox Révolution, Delta et Pop disposent du serveur VPN.
Aujourd’hui, WireGuard est le plus rapide et le plus simple à utiliser. OpenVPN reste une alternative en cas de compatibilité spécifique.
Oui, c’est là l’intérêt de la solution, à condition que ton port VPN soit accessible et que ta Freebox ait une IP publique. Tu pourras alors accéder depuis l’étranger à des contenus autorisé uniquement en France, comme les WebTV.
Non. Le VPN Freebox est fait pour accéder à ton réseau privé. Si ton objectif est de masquer ton identité en ligne ou contourner des restrictions de streaming, un VPN commercial est plus adapté et je te recommande ma sélection des meilleurs VPN.
Cet article original intitulé Configurer un serveur VPN sur Freebox pour accéder à son réseau à distance a été publié la première sur SysKB.