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Programmatic file downloads in the browser - DEV Community

30 mai 2024 à 07:45

Comment déclencher un téléchargement dans le navigateur purement en local depuis le code JavaScript, en utilisant l'objet Blob.

J'ai vérifié, ça fonctionne même en local en ouvrant simplement un fichier HTML dans votre navigateur, pas besoin de serveur HTTP.
Je me dis que ça peut être très utile par exemple pour partager une espèce de mini application qui pré-calcule un truc et permet de l'exporter en CSV ou JSON. Un calculateur de salaire par exemple, un ou petit outil pour estimer un risque.

Je me copie-colle le snippet en dessous.

const blob = new Blob(
  [ /* CSV string content here */ ],
  { type: 'text/csv' }
);

function downloadBlob(blob, filename) {
  const url = URL.createObjectURL(blob);

  const a = document.createElement('a');

  a.href = url;
  a.download = filename || 'download';

  const clickHandler = () => {
    setTimeout(() => {
      URL.revokeObjectURL(url);
      this.removeEventListener('click', clickHandler);
    }, 150);
  };

  a.addEventListener('click', clickHandler, false);

  a.click();
}

downloadBlob(blob, 'result.csv');

Permalink

Programmatic file downloads in the browser - DEV Community

30 mai 2024 à 07:45

Comment déclencher un téléchargement dans le navigateur purement en local depuis le code JavaScript, en utilisant l'objet Blob.

J'ai vérifié, ça fonctionne même en local en ouvrant simplement un fichier HTML dans votre navigateur, pas besoin de serveur HTTP.
Je me dis que ça peut être très utile par exemple pour partager une espèce de mini application qui pré-calcule un truc et permet de l'exporter en CSV ou JSON. Un calculateur de salaire par exemple, un ou petit outil pour estimer un risque.

Je me copie-colle le snippet en dessous.

const blob = new Blob(
  [ /* CSV string content here */ ],
  { type: 'text/csv' }
);

function downloadBlob(blob, filename) {
  const url = URL.createObjectURL(blob);

  const a = document.createElement('a');

  a.href = url;
  a.download = filename || 'download';

  const clickHandler = () => {
    setTimeout(() => {
      URL.revokeObjectURL(url);
      this.removeEventListener('click', clickHandler);
    }, 150);
  };

  a.addEventListener('click', clickHandler, false);

  a.click();
}

downloadBlob(blob, 'result.csv');

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Flex

Par : ackboo
29 mai 2024 à 13:00
Je ne suis jamais venu chez vous (car vous ne m'avez jamais invité), mais je suis à peu près certain que vous avez un petit PC relié à votre téléviseur, pour regarder YouTube, jouer à quelques jeux sur Steam, ou streamer un ou deux films par semaine en toute légalité.

YggTorrent passe en mode privé – La résistance continue

Par : Korben
17 mai 2024 à 21:57

Votre repaire préféré Ygg (anciennement YggTorrent) vient de tirer le rideau et de passer en mode privé ! Fini le téléchargement à tout-va pour les passants, désormais il faudra montrer patte blanche et s’identifier pour accéder à la caverne d’Ali Baba du torrent made in France qui attire des millions de visites chaque mois.

Pourquoi ce revirement soudain ?

La pression des ayants droit et de la justice française devenait insoutenable pour ce site qui a pris la relève de l’iconique T411 en 2017. Entre les blocages DNS et IP, les injonctions judiciaires et les menaces de poursuites, les admins de Ygg ont préféré la jouer profil bas et verrouiller la boutique. La plateforme a même été récemment listée par la puissante Motion Picture Association (MPA) de Hollywood dans son bilan annuel des sites pirates les plus « notoires ». Désormais, seuls les 6 millions de membres enregistrés pourront profiter des torrents bien garnis, à l’abri des regards indiscrets.

Cette décision radicale témoigne de l’acharnement des autorités contre le partage non-autorisé. Mais est-ce vraiment efficace de traquer sans relâche les sites de P2P ? Pas sûr, car comme le soulignent avec malice les responsables de Ygg, les internautes ont plus d’un tour dans leur sac pour contourner la censure :

  • VPN : ces réseaux privés virtuels masquent votre adresse IP et chiffrent votre trafic, vous permettant de surfer incognito et d’accéder aux sites bloqués. Selon certaines statistiques, près d’un tiers des Français utiliseraient déjà un VPN !
  • Changement de DNS : en modifiant vos paramètres DNS, vous pouvez court-circuiter les blocages mis en place par votre fournisseur d’accès. Les serveurs alternatifs comme ceux de Google ou OpenDNS sont très prisés.
  • Sites miroirs et proxys : tel un château de cartes, à chaque domaine bloqué, dix autres réapparaissent pour prendre le relais. YggTorrent en a fait les frais, contraint de changer plusieurs fois d’adresse ces derniers mois.

Alors, blocage ou pas blocage, les aficionados du téléchargement trouveront toujours un moyen de gruger le système. Un éternel jeu du chat et de la souris qui ne semble pas prêt de s’arrêter, au grand dam des majors et des artistes. Mais au fond, est-ce si étonnant dans un pays champion du monde du piratage ? À bon entendeur…

Source

Kim Dotcom et la saga Megaupload – Une affaire sans fin

Par : Korben
13 mai 2024 à 13:13

Kim Dotcom, ce nom vous dit quelque chose ? Normal, ça fait plus de 12 ans que ce personnage haut en couleur fait les gros titres avec les mésaventures judiciaires de Megaupload, son célèbre site de partage de fichiers fermé en fanfare par le FBI en 2012, que je regrette chaque jour… lol. Depuis, c’est un véritable feuilleton politico-judiciaire qui se joue entre les États-Unis, la Nouvelle-Zélande et l’Allemagne.

Lancé en 2005, Megaupload était à l’époque LE site incontournable pour partager et télécharger des fichiers, avec des millions d’utilisateurs à travers le monde. Mais ce succès a attiré l’attention des ayants droit de l’industrie du divertissement qui voyaient d’un très mauvais œil ce business florissant. Tu m’étonnes !

Résultat, un beau matin de janvier 2012, la police débarque chez Kim Dotcom en Nouvelle-Zélande, saisit ses biens et ses serveurs. C’est le début d’une longue saga judiciaire. Les autorités américaines accusent Megaupload de violer les lois sur la propriété intellectuelle en permettant le téléchargement illégal de contenus protégés par le droit d’auteur.

Mais pour Kim Dotcom, il s’agit d’un complot politique orchestré par le gouvernement américain sous influence des lobbies d’Hollywood. Il faut dire que l’affaire tombe à pic après l’échec du SOPA, cette loi anti-piratage très controversée. Kim Dotcom est donc poursuivi depuis des années pour violation de droits d’auteur et blanchiment d’argent mais il contre-attaque sur le terrain juridique et médiatique, dénonçant un acharnement politique. Il accuse notamment le gouvernement néo-zélandais d’être à la botte des États-Unis.

Plus de 10 ans après, les procédures judiciaires sont donc toujours en cours. Les anciens associés de Kim Dotcom ont fini par passer un accord avec la justice en 2022, plaidant coupable en échange de peines réduites (2 ans et demi de prison environ). Mais Kim Dotcom, lui, refuse tout compromis et jure de se battre jusqu’au bout.

De nouveaux rebondissements ont eu lieu récemment. La justice américaine a déposé de nouvelles demandes secrètes auprès des tribunaux, faisant craindre à Kim Dotcom une nouvelle attaque en règle, comme une perquisition ou une révocation de sa liberté sous caution. Il dénonce un système judiciaire biaisé, avec des juges promus pour avoir statué contre lui par le passé.

Bref, difficile de démêler le vrai du faux dans ce dossier complexe mais une chose est sûre, le combat de Kim Dotcom, aussi controversé soit-il, montre que cette guerre au téléchargement illégal est loin d’être finie. Je dirais même sans fin…

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