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Reçu hier — 2 novembre 2025
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Une étude révèle que cette combinaison de médicaments pourrait freiner le vieillissement et prolonger la vie de 73 % !

Des chercheurs californiens ont réussi à prolonger la vie chez des souris âgées grâce à une approche inédite combinant deux molécules, déjà bien connues. Cette percée pourrait ouvrir la voie à de futurs traitements capables de ralentir le vieillissement humain.

Micron lance le SOCAMM2 192 Go, la mémoire basse consommation taillée pour l'IA et la Soca Dance ?

24 octobre 2025 à 07:44

Micron continue d'avancer dans le domaine de la mémoire pour centres de données IA avec l'arrivée du SOCAMM2, un module basse consommation qui affiche une capacité record de 192 Go dans un format compact. Ce nouveau modèle offre 50 % de capacité en plus que la première génération, tout en améliorant l'efficacité énergétique de plus de 20 %. […]

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Une évolution en douceur pour la mémoire DDR5 Pro OC 6400 CL32 de Crucial

22 octobre 2025 à 05:49

Loin de faire la course à la fréquence la plus élevée, Crucial prend son temps et annonce tout juste un nouveau kit Pro OC qui monte à 6400 MT/s en CL32, qui profite aussi d'un nouveau radiateur. Et ce dernier évolue doucement par rapport au modèle précédent, avec un style qui reste assez proche en noir comme en blanc, tout en restant aussi compact. Pas d'éclairage RGB imposant sur le dessus, il sera donc facile d'installer les barrettes sous n'importe quel radiateur processeur. Les kits, en 2 x 16 Go, sont compatible XMP 3.0 et EXPO. Leur fréquence de fonctionnement est de 1.35 V avec des timings de 32-40-40-103. […]

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Pénurie historique de mémoire : les prix de la DDR5 et des SSD explosent

17 octobre 2025 à 09:39

Adata tire la sonnette d'alarme : l'industrie de la mémoire traverse une pénurie historique qui touche simultanément les DRAM, la NAND Flash, les SSD et même les HDD. Simon Chen, président de la marque, confirme que la vague de commandes liées à l'explosion de l'IA prend de court les fondeurs en amont, incapables de suivre la cadence imposée par les CSP (Cloud Service Providers). Ces derniers raflent la production disponible avec des volumes sans commune mesure avec ceux des fabricants de modules mémoire. […]

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The Memory Field: Could Quantum Biology Involve Accessing Information Stored in Space Itself? - The International Space Federation (ISF)

14 octobre 2025 à 21:16

L’article propose que la vision classique du stockage de la mémoire dans le cerveau, basée sur les synapses comme unités de stockage numérique, est insuffisante pour expliquer des cas comme l’hyperthymésie, où des individus se rappellent de décennies de souvenirs avec une fidélité « cinématographique ».[1]

Limites du modèle neurocomputational

Les auteurs soulignent que la capacité de stockage théorique du cerveau, même dans une version généreuse, est dépassée par le volume et la richesse du rappel de certaines personnes à mémoire autobiographique exceptionnelle (HSAM). Selon cette critique, les connexions synaptiques serviraient davantage d’index ou de points d’accès que de véritables lieux de stockage de l’information.[1]

Hypothèse : l’espace-temps comme support mémoire

L’article avance que la physique moderne considère l’espace-temps comme un substrat actif, capable de conserver des “empreintes quantiques” laissées par les interactions des particules et, par extension, par la dynamique neuronale. Ainsi, la mémoire ne serait pas uniquement contenue dans le cerveau, mais aussi inscrite dans le tissu de l’espace-temps lui-même, accessible par résonance.[1]

Microtubules et résonance cellulaire

Des structures subcellulaires comme les microtubules seraient à la fois des résonateurs naturels et des moyens d’accès à ces empreintes dans le champ quantique. La formation du souvenir impliquerait l’imprégnation d’un “pattern” dans ce champ et le rappel se ferait par syntonisation résonante.[1]

Intrication et effet mémoire gravitationnel

Le texte évoque la possibilité que l’Intrication quantique et l’effet de mémoire gravitationnelle participent au processus : chaque mouvement de matière laisse une trace permanente dans l’espace-temps, et le cerveau pourrait y accéder en retrouvant la configuration résonante correspondante.[1]

Implications et technologies futures

Cette approche n’exclut pas le rôle des neurones, mais propose un changement de paradigme : la synapse est un guide et l’espace-temps le support. Cela ouvrirait la voie à de nouvelles technologies biomimétiques de stockage par résonance et champ quantique, ainsi qu’à des approches thérapeutiques visant la restauration de la mémoire par résonance subcellulaire.[1]

En résumé, l’article explore l’idée que la mémoire pourrait être une propriété fondamentale de l’espace-temps, accessible grâce à une interface biologique sophistiquée impliquant microtubules, résonance quantique et Intrication, au-delà des limites computationnelles classiques du cerveau.[1]

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