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Recyclage : le grand mensonge de la filière plastique | France Inter

10 novembre 2024 à 08:56

Podcast. Et s’il suffisait de recycler pour réduire nos déchets ? Ce fantasme, largement alimenté par les industriels, est un écran de fumée dont le mythe perdure. De l'ère du tout-jetable au recyclage chimique, récit d'une fuite en avant qui sert d'alibi pour produire toujours plus de matière plastique.


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Recyclage : le grand mensonge de la filière plastique | France Inter

10 novembre 2024 à 08:56

Podcast. Et s’il suffisait de recycler pour réduire nos déchets ? Ce fantasme, largement alimenté par les industriels, est un écran de fumée dont le mythe perdure. De l'ère du tout-jetable au recyclage chimique, récit d'une fuite en avant qui sert d'alibi pour produire toujours plus de matière plastique.


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Coca-Cola et Schweppes temporisent sur les microplastiques trouvés dans leurs bouteilles | Mediapart

22 août 2024 à 16:50

« Nous nous portons garants de la sécurité de nos produits », a réagi jeudi Coca-Cola auprès de l’AFP, estimant que d’après les agences sanitaires, « il n’existe aujourd’hui aucune preuve scientifique suggérant que l’ingestion de particules de plastique est préoccupante pour la santé humaine ».

Me voila rassuré.

En vrai non, la suite de ces histoires de microplastiques, c'est qu'on va se rendre compte que n'importe quelle bouteille plastique du commerce transmet des microplastiques dans le liquide contenu.

Par la suite, on aura les preuves scientifiques claires et précises que les microplastiques sont dangereux pour la santé... voir malheureusement (on en reparle dans 10 ans ?) cela deviendra le scandale de santé majeure du XXIe siècle.


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Autour du lac Léman, des plages remplies de particules de microplastiques – Libération

21 août 2024 à 11:22

L’étude, baptisée «Pla’stock», a révélé une moyenne de 7 600 particules de microplastiques (de 0.3 mm à 5 mm de longueur) par mètre carré. Un chiffre «préoccupant en comparaison avec d’autres études menées», estiment la Cipel et l’ASL. Plus précisément, les analyses montrent qu’environ 60 % des particules sont des fibres textiles synthétiques, relâchées lors du lavage des vêtements ou par l’usure. Les 40 % restants sont issus de la fragmentation de macroplastiques, qui menace l’écosystème lémanique. «Ces derniers, visibles à l’œil nu, ont été recensés par 100 bénévoles formés», poursuivent les organisations. Mais bien que la moitié des plages étudiées accumulent des macroplastiques, l’étude montre «une légère baisse des quantités en regard des précédents recensements».

Source info : https://www.sammyfisherjr.net/Shaarli/?7O3v7A


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