Actualité : Cette IA devenue virale a appris à mentir à ses utilisateurs
![](../themes/icons/grey.gif)
Franchement….faire un copié collé du dossier de presse de coyote en guise d’introduction est indigne….
J’ai été client de coyote pendant 13 ans, j’ai fais remonter des dizaines de critiques constructives…. jamais de réponse…. pas de fidelisation du client… coyote n’en a rien à faire de ses clients… coyote est une machine à cash rien de plus…
J’utilise désormais waze et franchement je ne vois pas la différence à part sur mon compte en banque….
Aujourd’hui, on part pour un tour dans la matrice du streaming avec Miru, un ovni débarqué tout droit du futur qui combine le meilleur de qBittorrent, Taiga et MPV, le tout condensé dans un pack 100% JavaScript, pour des sessions de streaming d’animés dont vous me direz des nouvelles.
Sur Miru, pas de pubs, pas de tracking, pas de collecte de données, c’est du 100% libre avec de la qualité, des téléchargements à la vitesse de la lumière et des releases toutes fraîches. L’outil est plutôt joli avec une interface de site de streaming sauf qu’en coulisses, c’est BitTorrent qui turbine avec des fonctionnalités très cools :
Et c’est également prêt à l’emploi sur AUR et au format Deb pour linux ou avec les .exe et le .dmg pour Windows et macOS. Et bien sûr les sources sont ici.
Évidemment, y’a à boire et à manger sur cet outil donc avant d’attaquer votre binge watching, assurez-vous quand même de regarder uniquement des choses tombées dans le domaine public ou libre de droits. Ce serait dommage de vous faire griller par Hādōpī.
En réponse à MereGrand.
cela pourrait intéresser les personnes qui n’ont pas les moyens de se payer un abonnement.
OpenCanary, c’est le pot de miel nouvelle génération pour attraper tous ces satanés cybercriminels. Ce petit logiciel va simuler plein de services réseau, comme un serveur web, un partage Windows, un serveur SSH…etc Bref, un vrai buffet à appâts numériques et dès qu’un hacker tombe dans le panneau et interagit avec, paf, vous recevez une alerte !
L’outil est hyper léger et s’installe facilement, même sur un Raspberry Pi ou un VM. Et comme c’est du logiciel libre, vous pouvez l’adapter à vos besoins et surtout vous éviter une solution proprio payante.
Alors comment ça fonctionne ? Et bien c’est simple comme bonjour :
C’est pas beau ça ?
En plus, vous pouvez même envoyer les alertes par mail, SMS ou même les agréger dans un outil de monitoring. Bon, je vous cache pas qu’il faut quand même un minimum de connaissances techniques pour faire tourner le bouzin. Mais si vous n’avez pas peur de mettre les mains dans le cambouis et de jouer avec la ligne de commande, c’est à la portée de n’importe quel barbu un peu motivé.
Et puis c’est quand même super fun de tendre des pièges aux méchants hackers et de les voir se faire avoir comme des bleus. Mais attention hein, faut pas non plus tomber dans la paranoïa et transformer son réseau en véritable champ de mines. Faudra doser pour que ça reste digeste sinon, vous allez avoir beaucoup de bruit dans vos alertes.
En tout cas, moi je dis bravo aux petits gars de Thinkst qui nous ont pondu cet outil. Pour les plus motivés, voici le lien Github du projet : https://github.com/thinkst/opencanary.
Amusez-vous bien et happy hacking !
Vous cherchez une solution pour partager des fichiers de manière sécurisée et confidentielle ? Ne cherchez plus, Send est là pour vous !
Cet outil open source, fork de Firefox Send, vous permet d’envoyer des fichiers chiffrés qui s’autodétruisent après un temps défini. C’est le rêve de tout paranoïaque de la vie privée comme vous !
Avec Send, vous pouvez dire adieu aux services de partage de fichiers qui fouinent dans vos données. Ici, tout est chiffré de bout en bout et vos fichiers seront protégés tel le précieux anneau unique. Même Sauron ne pourra pas y accéder ^^ !
L’interface est simple comme bonjour. Vous glissez-déposez vos fichiers, définissez une limite de téléchargements et une date d’expiration, et boom ! Vous obtenez un lien à partager avec vos amis, collègues ou agents secrets.
Le code est disponible sur GitHub ce qui vous permettra de monter votre propre instance de Send si vous le souhaitez. Et si c’est la flemme, rassurez-vous, y’a plein d’instances disponibles.
Pour l’installer :
git clone https://github.com/timvisee/send.git
npm install
npm start
http://localhost:8080
Alors n’attendez plus, c’est par ici : https://github.com/timvisee/send.
Aujourd’hui, on va causer d’un sujet qui nous tient tous à cœur (du moins je l’espère 😅) : les outils de crise sous Linux ! Parce que quand ça part en sucette et que les serveurs rament, pas question de perdre un temps précieux. C’est que souvent, quand la caca-strophe pointe le bout de son nez, vous vous rendez compte que vous n’avez pas les bons outils installés. Et là, c’est le drame… SSH qui rame, les serveurs qui répondent plus, les paquets qui veulent pas s’installer, le firewall qui fait des siennes… Un vrai calvaire !
Alors, quels sont ces fameux outils qu’il est impératif d’avoir sous la main quand le caca touche le ventilo ? Je dirais que y a déjà les classiques comme ps
, vmstat
, top
et compagnie pour avoir un aperçu rapide de ce qui cloche. Rien que ça, ça peut déjà vous sauver les miches.
Mais si vous voulez jouer dans la cour des grands, va falloir sortir l’artillerie lourde. Je parle bien sûr des outils de tracing comme perf
, bpftrace
, opensnoop
, execsnoop
et toute la clique. Ça vous permettra de tracer en live ce qui se passe sur votre système, de débusquer les coupables et de mettre fin au carnage. Le top du top !
Voici comment procéder à grand coups d’apt install…
Commande : sudo apt install procps util-linux sysstat iproute2 numactl
Commande : sudo apt install tcpdump nicstat ethtool
Commande : sudo apt install linux-tools-common linux-tools-$(uname -r) bpfcc-tools bpftrace trace-cmd
Selon vos serveurs, installez les outils d’analyse pour :
Par contre, méfiez-vous, c’est pas donné à tout le monde de dompter ces bêtes-là. Ça demande un peu de bouteille et de la jugeote. Mais une fois que vous les maîtrisez, vous serez parés pour affronter les pires galères. Les plantages intempestifs, les I/O de l’enfer, les fuites mémoire vicieuses… plus rien ne vous résistera !
Bref, croyez-moi, le mieux c’est d’avoir tout ce bazar installé d’office sur vos machines. Comme ça, pas de mauvaise surprise le jour J. Évidemment, ça a un petit coût en espace disque. Mais franchement, c’est que dalle comparé au temps que vous allez perdre à galérer pour installer tout ça en pleine crise.
Sur ce, je vous laisse méditer là-dessus. Et n’oubliez pas, dans le monde merveilleux de l’informatique, il vaut mieux prévenir que guérir ! Allez, à plus les linuxiens et un grand merci à Brendan Gregg pour son article éclairant à ce sujet.
— Article en partenariat avec Surfshark —
Woaw, écrire un article sur les scams utilisés par les VPN en 2024, en partenariat avec une boite VPN ? Et ouais, on n’a peur de rien ici. Ni de ma part, ni de celle de Surfshark VPN qui n’est pas le dernier à mettre les pieds dans l’assiette. Pour preuve, les nombreux articles sur leur site dans lesquels ils se comparent de manière frontale aux autres acteurs du milieu. Ou leurs campagnes de guérilla marketing … genre payer un gars pour faire ses besoins devant le public afin d’attirer l’attention sur le respect de la vie privée.
Si vous vous demandiez pourquoi la mascotte du service est un requin, vous savez : ça mord. Pour en revenir aux arnaques les plus fréquentes, elles touchent plusieurs aspects qui vont du mensonge sur le service proposé, aux frais cachés en passant par le non-respect de la confidentialité. On va détailler un peu tout ça.
Un grand classique (pas uniquement des VPN d’ailleurs). On vous propose de payer un prix fixe et ensuite vous êtes tranquille. Prix qui s’avère souvent très intéressant, mais pas pour autant négligeable puisqu’il est censé vous couvrir à vie. Sauf qu’un VPN ce n’est pas la même chose qu’un logiciel que vous allez télécharger et qui sera installé en local sur votre machine. Au pire si l’abonnement à vie disparait, et ses mises à jour avec, vous pouvez encore utiliser l’outil tel quel.
Pour le VPN c’est très différent puisqu’il ne pourra plus accéder aux serveurs & co. À votre avis, que se passera-t-il le jour ou votre VPN « à vie » doit payer plus cher en frais d’utilisation/maintenance qu’il ne rentre d’argent venant de nouveaux clients ? Pouf, un coup de baguette magique et il disparaitra. Retenez que « abonnement à vie » veut dire « abonnement de la durée de vie du service » … qui peut s’arrêter n’importe quand.
Un VPN qui vous demande trop d’informations personnelles devrait vous alerter. S’il est légitime de devoir fournir certaines infos (adresse mail, etc.) d’autres sont complètement inutiles. Par exemple votre adresse physique ou votre numéro de téléphone n’ont pas à vous être demandé. Dans le cas de vos informations bancaires … difficile de ne pas les récupérer pour eux puisque vous devez bien payer à un moment.
Heureusement, une option de paiement par cryptomonnaie (que Surfshark propose) est le plus souvent présente, ce qui vous permet d’avoir une couche de sécurité supplémentaire. Le VPN ne peut alors pas lier directement votre abonnement à un nom ou des coordonées bancaires.
Récupérer vos données peut aussi être un signe que le VPN marchande vos infos avec des tiers (genre data brokers). C’est quasi 100% du temps le cas avec les VPN gratuits, mais ne pensez pas que payer un abonnement vous en prémunit. D’où l’intérêt d’opter pour un service qui est audité régulièrement par des organismes indépendants. Là encore Surfshark n’a jamais été pris en défaut concernant sa politique de non-conservation des logs.
Il arrive que le service VPN qui vous est proposé ne soit pas aussi sain qu’il y parait. Et qu’en téléchargeant l’outil, vous preniez avec lui un malware ou autre cochonnerie. Si vous pensez que cela ne doit concerner qu’un petit nombre d’applications, vous vous trompez. Une étude de CSIROscope (datée de 2017) montrait que sur presque 300 applis de VPN gratuits sur Android, prêt de 40% étaient contaminées.
On a aussi le cas de la revente de comptes ou les faux VPN qui copient au plus proche des applications légitimes afin de leurrer les internautes. Dans les 2 cas, l’objectif est de récupérer vos données, voire vos coordonnées bancaires. Idem pour les VPN censés chiffrer vos données alors qu’elles sont surveillées et enregistrées en clair sur leurs serveurs.
Je passe sur les fraudes habituelles que l’on rencontre dans d’autres domaines : paiement sans recevoir le service, frais cachés, prix de l’abonnement qui varie, retrait automatique sur votre compte, faux témoignages sur les plateformes d’avis, remboursement qui ne se fait jamais, etc. Vous l’avez compris, les arnaques sont nombreuses.
Déjà, renseignez-vous un peu partout avant de passer à l’action, voyez ce que les gens en disent dans les stores d’applis, sur des plateformes comme Trustpilot & Co. Cherchez à savoir si le VPN a connu des failles de sécu ou des critiques par le passé, etc. Ensuite, ne prenez votre abonnement que depuis le site officiel et vérifiez bien que l’URL est la bonne (sans typos, etc.).
Si vous passez par Google, faites attention à ne pas cliquer par habitude sur le 1er lien (qui pourrait être une annonce renvoyant vers un site tiers ou du phishing). Ayez des outils de sécu à jour (antivirus & Co), cela pourrait vous éviter de télécharger un fichier infecté. Et réfléchissez à 2 fois si l’offre vous parait trop alléchante.
Avec Surfshark VPN, vous pouvez y aller les yeux fermés, ils ont toutes les assurances nécessaires. Existe depuis des années, des centaines d’avis un peu partout sur le web, un système d’abonnement simple, audité plusieurs fois par des boites comme Deloitte, etc. C’est d’ailleurs pour cela que je vous le recommande depuis longtemps. Vous pouvez aussi profiter du paiement en crypto (pour la raison citée plus haut).
À l’heure où j’écris ces lignes, vous pouvez bénéficier d’une offre à 87€ TTC pour 27 mois d’utilisation, soit moins de 3.25€/mois. Ce qui comprend non seulement le VPN, mais aussi les différents outils de sécurité comme l’antivirus Surfshark, la création d’identités alternatives, les alertes, un moteur de recherche privé ou encore le surf sans publicités ni traqueurs.
Swizzin est une solution pour Ubuntu et Debian pour ceux qui galèrent pendant des plombes à installer et configurer un seedbox. Cet outil est hyper léger et modulaire ce qui lui permet de fonctionner même sur un Raspberry Pi !
L’empreinte est minimale, vous installez uniquement les apps dont vous avez besoin et le choix est vaste : de autodl à ZNC en passant par Deluge, rTorrent, ruTorrent, Transmission, qBittorrent, Plex, Sonarr, Radarr, Jackett, NZBGet, SABnzbd, Nginx, Let’s Encrypt, Tautulli, Rclone…etc y a de quoi faire.
L’installation, c’est quelques commandes à copier-coller en tant que root et c’est parti mon kiki !
bash <(curl -sL s5n.sh) && . ~/.bashrc
Selon votre CPU (amd64 ou arm64) et les packages choisis, votre seedbox sera alors opérationnelle en quelques minutes à peine. Pas besoin d’être un crack en informatique, tant que vous savez utiliser SSH et lire de la doc, vous êtes parés.
La philosophie derrière ce projet est vraiment cool puisqu’on est loin des usines à gaz bourrées de fonctions inutiles. Là c’est plutôt stabilité, rapidité et simplicité. Autre gros point fort : la personnalisation. Grâce à l’outil en ligne de commande « box« , vous pourrez gérer votre seedbox au doigt et à l’œil, installer et supprimer des packages, mettre à jour le système, gérer les utilisateurs… c’est un vrai bonheur.
Vous l’aurez compris, ce système est entièrement ouvert et customisable et avec un peu de motivation, vous pourrez ajouter vos propres scripts et applications. C’est l’avantage du logiciel libre !
Bref, si vous cherchez une seedbox simple et efficace pour télécharger et héberger vos fichiers « 100% légaux » évidemment, foncez sur Swizzin.