Fruit d’un labeur engagé en 2012, le projet NIR (Near InfraRed) imaginé par des chercheurs du centre de recherche Clinatec vise à freiner l’évolution de la maladie de Parkinson directement à la source ! Un dispositif médical capable d’émettre une lumière infrarouge sur les neurones malades serait implanté dans la boîte crânienne du patient.
Certains souvenirs d'enfance nous accompagnent toute la vie. Pour expliquer la longévité de la mémoire, une équipe vient de découvrir une protéine capable "d'engluer" nos souvenirs dans le cerveau.
L’analyse des mouvements faciaux par un outil d'IA intégré à un smartphone pourrait à terme permettre aux ambulanciers de diagnostiquer un accident vasculaire cérébral (AVC) au plus vite au domicile des patients.
L’exercice entraine la génération de nouveaux neurones, qui remodèlent les voies neuronales et peuvent ainsi effacer certaines voies liées à des souvenirs liés à la peur.
Cet implant cérébral a permis à une personne bilingue qui ne peut plus parler de communiquer en anglais et en espagnol grâce à une IA qui reconnait la langue qu’il veut utiliser.
Grâce à l'intelligence artificielle, des chercheurs ont identifié une combinaison de huit protéines qui permettrait de diagnostiquer et prédire la maladie de Parkinson jusqu'à sept ans avant son arrivée. Avec ce nouveau test, les scientifiques espèrent ouvrir la voie à de nouveaux traitements préventifs.
"Plusieurs études ont montré que des variables météorologiques comme le niveau de température, d'ensoleillement ou d'humidité influait sur nos états mentaux et nos comportements", explique le psychiatre Hugo Bottemanne.