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Les arguments des athées

9 mars 2025 à 16:58

«Cette page rassemble les principaux arguments avancés par les athées pour expliquer pourquoi ils ne croient pas en Dieu, que ce soit le Dieu des religions ou le Dieu des philosophes. Il est utile de préciser que ce ne sont pas des preuves de l'inexistence de Dieu, mais uniquement des arguments. Il est en effet impossible de démontrer l'inexistence de quelque chose qui, par définition déroge aux lois de la nature. C'est à celui qui avance une telle existence de le prouver et non à celui qui n'y croit pas.»
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Solastalgie - wikipédia

4 mars 2025 à 16:55

La solastalgie est une forme de souffrance et de détresse psychique ou existentielle causée par la conscience des changements environnementaux en cours, en particulier ceux concernant la destruction des paysages, des écosystèmes et de la biodiversité et, par extension, le réchauffement climatique.

Elle se rapproche en cela de l'éco-anxiété, mais en diffère par un ancrage temporel fort, dans le présent par rapport au passé, par l'expérience directe de la perte, parfois décrite comme un travail de deuil du futur qu'on aurait aimé avoir.
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Au Royaume-Uni, le vol à l’étalage a pris une ampleur épidémique

4 mars 2025 à 14:04

Les commerces britanniques subissent 55 000 vols quotidiens, un chiffre en forte hausse. Ces délits, souvent accompagnés de violences, sont notamment pratiqués par des gangs qui dérobent les biens pour les revendre.

« nous signalons les voleurs à l’étalage à la police »
Un message affiché sur un rayon de viande (« nous signalons les voleurs à l’étalage à la police »), dans un supermarché de Manchester (Royaume-Uni), le 30 janvier 2025

Les deux hommes en pull à capuche noir s’acharnent à coups de pied contre un présentoir garni de smartphones. Ils finissent par l’arracher et l’emportent, franchissant nonchalamment la porte à tambour d’un magasin. Ils ne portent pas de masque pour dissimuler leur visage. L’opération a pris moins de cinq minutes.

Cette vidéo, captée en décembre 2024 par les caméras de surveillance d’une boutique de téléphonie mobile sur Oxford Street, la principale artère marchande de Londres, illustre l’ampleur prise par le vol à l’étalage au Royaume-Uni. Le pays a enregistré 20,4 millions d’incidents de ce type entre septembre 2023 et septembre 2024, en hausse de 22 % par rapport à la même période précédente, selon un sondage réalisé par l’association faîtière British Retail Consortium (BRC) auprès de ses membres. Cela leur a coûté 2,2 milliards de livres (2,65 milliards d’euros).

Ces vols s’accompagnent fréquemment de violences. « Le personnel se fait cracher dessus, arroser d’insultes racistes et menacer avec des machettes », indique Helen Dickinson, la directrice de BRC. Durant la période étudiée, les magasins sondés ont fait état de 2 000 actes d’agression quotidiens, contre 1 300 dans les douze mois précédents.
« Liste de courses »

« Les vols peuvent être le fait de personnes souffrant de la hausse du coût de la vie liée à l’inflation ou qui ont besoin de financer leur consommation de drogue », relève Rachel Armitage, chercheuse en criminologie à l’université Beckett de Leeds, qui a effectué un travail ethnographique auprès des auteurs de vol à l’étalage. Mais, selon BRC, la hausse du nombre de vols accompagnés de violences est surtout due à l’activité de gangs qui ciblent les supermarchés au cours d’opérations « kamikazes » durant lesquelles ils vident méticuleusement les étalages.

« Ils arrivent dans les magasins avec une benne à ordures ou un sac à gravats et raflent l’ensemble du rayon confiserie, boucherie ou spiritueux », a détaillé le directeur des affaires publiques de la chaîne Co-op, Paul Gerrard, devant une commission parlementaire. Les membres de ces organisations criminelles « sont souvent munis d’une liste de courses comprenant des biens commandés à l’avance, notamment de la lessive en poudre, des cosmétiques, des rasoirs, de la viande et de l’alcool », relève Rachel Armitage. Ces biens sont ensuite revendus sur eBay ou Facebook ou bien livrés en personne à leur commanditaire.

Le phénomène a été accentué par un changement introduit dans la loi en 2014, faisant des vols d’une valeur de moins de 200 livres (242 euros) un délit mineur. « Ils donnent rarement lieu à plus de trois semaines de prison, contre plusieurs années pour les cambriolages ou les vols de voitures », souligne la juriste. Quant à la police, elle n’intervient presque jamais lorsqu’un commerçant lui annonce un vol à l’étalage, faute d’officiers à disposition.

Mardi 25 février, le Parlement britannique a toutefois commencé à se pencher sur une nouvelle loi, qui rétablirait des pénalités sévères pour les vols de moins de 200 livres. Elle ferait également des agressions contre le personnel une infraction à part entière, pouvant donner lieu à six mois de prison.
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L’obésité et le surpoids continuent leur progression dans le monde, 60 % des adultes et un tiers des enfants seront concernés en 2050 si rien ne change

3 mars 2025 à 23:56

Une étude publiée, mardi, dans « The Lancet » alerte sur l’amplification de la pandémie d’obésité et de surpoids, si rien n’est fait pour inverser la tendance. La hausse toucherait particulièrement l’Asie et l’Afrique.

Sans action politique vigoureuse, environ 60 % des adultes et un tiers des enfants et adolescents dans le monde seront en situation de surpoids ou d’obésité en 2050, selon des projections publiées, mardi 4 mars, dans la revue médicale britannique The Lancet. Issues de travaux du Global Burden of Disease (GBD), un programme mondial de recherche en épidémiologie coordonné par l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) à Seattle, aux Etats-Unis, ces évaluations alertent sur l’amplification à venir de ce fardeau sanitaire.

L’obésité – définie dans les études statistiques par un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 30 chez l’adulte – et le surpoids – IMC supérieur à 25 – sont associés à un risque accru de nombreuses pathologies (diabète de type 2, maladies cardiaques, hypertension artérielle, cancers…) et représentent déjà la cinquième cause de décès dans le monde.

La prévalence du surpoids et de l’obésité a plus que doublé en trente ans, touchant 2,1 milliards d’adultes et près de 500 millions d’enfants et d’adolescents en 2021. L’obésité, à elle seule, affecte plus d’un milliard d’individus selon des données publiées en 2024 dans The Lancet. Dans certains Etats d’Océanie, du Moyen-Orient ou d’Afrique du Nord, la prévalence atteint des sommets : l’obésité touche plus de 70 % des femmes des îles Tonga et pourrait grimper à plus de 87 % en 2050. Les projections sont tout aussi inquiétantes pour l’Egypte qui afficherait le même taux chez les femmes au milieu du siècle. Parmi les pays les plus riches, les Etats-Unis enregistrent, aujourd’hui, la plus forte prévalence de l’obésité, à près de la moitié de la population.

Mais c’est en Asie et en Afrique subsaharienne que les progressions les plus fortes devraient être enregistrées dans les prochaines décennies. En Chine, le surpoids et l’obésité ont déjà progressé d’environ 150 % en trente ans et continueront à grimper pour affecter près des deux tiers de la population en 2050. Des régions historiquement très touchées par la sous-alimentation verront fortement croître la prévalence de l’obésité et du surpoids. Au Nigeria, le nombre d’adultes en surpoids ou en obésité devrait ainsi tripler d’ici à 2050, ce qui en ferait le quatrième pays le plus touché en nombre absolu à cet horizon. Ces prévisions ont été établies en combinant plus d’un millier de sources de données renseignant des évolutions historiques et actuelles par pays avec des projections socio-démographiques jusqu’en 2050.
« Echec monumental de nos sociétés »

Les causes de ces évolutions sont connues : les changements de régime alimentaire, liés notamment à l’urbanisation, le développement de l’alimentation transformée au détriment des produits frais, la consommation accrue de sucre, d’huile et de produits d’origine animale dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, et la sédentarisation. Pour Emmanuela Gakidou, première autrice de l’étude et professeure à l’université de Washington, « cette pandémie sans précédent de surpoids et d’obésité représente un échec monumental de nos sociétés ». Car ces pathologies, qui affectent fortement la qualité de vie et la santé des individus touchés, sont en grande partie évitables.

De fortes hausses attendues d'ici 2050 en Asie et Afrique

La prévalence du surpoids et de l'obésité est un indicateur épidémiologique qui mesure la proportion d'une population donnée présentant un excès de poids à un moment donné.

Parmi les tendances particulièrement alarmantes établies par ces nouvelles données : la progression de l’obésité chez les enfants et les adolescents devrait être plus rapide que celle du surpoids. Plusieurs pays sont déjà touchés par cette transition d’une prédominance du surpoids vers une prédominance de l’obésité, notamment les petites îles d’Océanie, mais aussi le Nigeria, l’Inde, le Brésil ou les Etats-Unis. En 2050, la prévalence de l’obésité chez les garçons de 5 à 14 ans devrait ainsi dépasser celle du surpoids (respectivement 16,5 % contre 12,9 %).

Autre évolution préoccupante : les projections suggèrent que, en 2050, un quart des adultes en situation d’obésité seront âgés de plus de 65 ans. Sachant que l’obésité est un facteur de risque pour une vingtaine de pathologies associées, pour la plupart chroniques, cette tendance chez les individus plus âgés risque de placer encore plus sous tension des systèmes de santé exsangues, en particulier dans les pays à faibles revenus.
Forte dimension sociale

En France, la dernière grande étude anthropométrique remonte à 2016 – la cohorte Constances, plus de 50 000 participants inclus, avait alors établi l’obésité à un peu plus de 15 % de la population adulte. Une autre enquête conduite par la Ligue contre l’obésité, en 2021, avait conclu à une obésité et un surpoids affectant 47,3 % des adultes (dont 17 % pour l’obésité), mais celle-ci était uniquement déclarative. Si les données manquent pour évaluer précisément les tendances françaises, les études convergent, en revanche, sur la forte dimension sociale de l’obésité, appelant à des politiques ciblées en faveur des catégories les plus défavorisées.

Pour enrayer cette spirale mondiale, les auteurs de l’IHME appellent les Etats à se doter en urgence de plans d’action pour la période 2025-2030. Alors que l’obésité et l’insuffisance pondérale sont bien les deux visages d’un même fardeau, celui de la malnutrition, des politiques de prévention peuvent participer à la lutte contre ces deux extrêmes. « Dans les pays à revenus faibles et intermédiaires, il faut répondre autant aux enjeux de surnutrition que de sous-nutrition, avec des interventions allant de la promotion de régimes équilibrés et de programmes de santé maternelle et infantile à l’encadrement de l’alimentation ultratransformée, souligne Jessica Kerr, coautrice de l’étude, du Murdoch Children’s Research Institute à Parkville, en Australie. Beaucoup de pays n’ont qu’une courte fenêtre d’opportunité pour agir. »

Les politiques de prévention en matière de santé publique connaissent pourtant des revers. Si les Etats-Unis réfléchissent à un étiquetage nutritionnel obligatoire sur les emballages alimentaires – une proposition en ce sens a été formulée par la Food and Drug Administration, mi-janvier, juste avant l’investiture de Donald Trump –, l’Union européenne, elle, vient de tourner le dos à un logo harmonisé entre les Vingt-Sept. L’adoption d’une étiquette nutritionnelle figurait parmi les engagements de la Commission européenne en 2020 pour une alimentation saine et durable, mais face à l’hostilité farouche de l’Italie au Nutri-Score, le principal système déployé dans plusieurs pays européens, les commissaires ont tergiversé, puis renoncé à toute initiative sur le sujet. Dans la « vision pour l’agriculture et l’alimentation » présentée le 19 février par la Commission, qui détaille la feuille de route des prochaines années, il n’en est fait aucune mention.

Pour allez plus loin:
https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/wof-files/World_Obesity_Atlas_2023_Report.pdf

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Les 50% les plus pauvre

3 mars 2025 à 13:23

Les Américains tirent plus de revenus que jamais de leurs investissements.

Voici les données du Wall Street Journal :

Au premier trimestre, les Américains ont gagné environ 3,7 billions de dollars d'intérêts et de dividendes à un taux annuel corrigé des variations saisonnières, selon le Département du commerce, en hausse d'environ 770 milliards de dollars par rapport aux quatre années précédentes.

C'est un grand nombre de revenus passifs.

Les gens qui possèdent des actifs financiers sont assis en ce moment. Malheureusement, la majorité de ces biens résident entre les mains des riches :

Les riches s'enrichissent. C'est un fait.

Mais cela ne signifie pas que les gens du bas de l'éventail de la richesse sont complètement laissés pour compte.

En fait, les gains de la pandémie pour réduire les revenus et les Américains qui en valeur nette sont parmi les plus élevés jamais enregistrés.

Voici la croissance de la valeur nette du percentile de richesse entre le début de 2020 et la fin de 2023:

Au cours de cette période de quatre ans, les 50 % les plus pauvres ont vu de loin la croissance nette de tous les groupes.

Pour être juste, cette croissance se démarque d'une base beaucoup plus petite que les cohortes plus riches.

La valeur nette des 50 % les plus pauvres a été décimée dans la grande crise financière, mais regardez la forte augmentation depuis 2020:

Nous ne mettons pas fin aux inégalités de richesse ici, mais les 50 % les plus pauvres sont dans une bien meilleure situation financière, même après avoir pris en compte l'inflation.

Les 50 % les plus pauvres ont également beaucoup plus d'argent liquide à la banque:

Les dépôts à vue sont en hausse de près de 3 fois depuis le début de la pandémie.

Il y a également eu des gains de revenus substantiels pour la moitié inférieure.

The Economist a mis en lumière un nouvel article qui met en lumière l'évolution des revenus au cours de cette période :

Dans un article récent, M. L'auteur et les collègues démontrent que les marchés du travail américains sont à l'origine d'une croissance rapide des salaires, alors que les travailleurs changent d'emploi pour un meilleur salaire, et que les salariés les plus pauvres en bénéficient surtout. Les chercheurs estiment que, depuis 2020, quelque deux cinquièmes de la hausse des inégalités salariales au cours des quatre dernières décennies ont été anéantis.

Voici le graphique qui montre des gains plus importants pour les 10 % les plus pauvres que les 10 % supérieurs de cette époque :

Les employés ont vu leur croissance salariale sur le rythme de la croissance de leur patron depuis 2020.

Tout cela est une bonne nouvelle.

Cet environnement économique a été difficile, mais ce résultat devrait être célébré.

Il y a toujours deux côtés à chaque histoire économique. Il y a évidemment encore des gens dans les 50 % les plus pauvres qui sont laissés pour compte, qui n'ont pas connu ces augmentations de salaire et qui ont été lésés par le pic inflationniste pendant la pandémie.

Mais pris dans leur ensemble, ces chiffres sont encourageants. J'espère que nous continuerons à voir ce truc avancer dans la bonne direction.

Mon inquiétude est que nous allons considérer la pandémie comme une anomalie économique historique ponctuelle, un peu comme la Seconde Guerre mondiale l'a été pour la classe moyenne.
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Les 10 % les plus riches...

3 mars 2025 à 13:20

Les 10 % les plus riches possèdent 87 % des actions de ce pays.

Ils possèdent également 84 % des entreprises privées, 44 % de l'immobilier et deux tiers de la richesse globale.

Ces chiffres ont tous augmenté depuis 1989 et la richesse totale (60,8 % à 67,3%), les actions (81,7 % à 87,2 %), les entreprises privées (78,4% à 84,4%) et l'immobilier (38,2 % à 43,9 %).

Selon le Wall Street Journal, les 10 % les plus riches représentent également 50 % de l'ensemble des dépenses de consommation :

Il y a trois décennies, les 10 % les plus riches représentaient 36 % des dépenses.

Il s'accélère cette décennie :

Entre septembre 2023 et septembre 2024, les hauts revenus ont augmenté leurs dépenses de 12 %. Les dépenses des ménages de la classe ouvrière et de la classe moyenne, quant à elles, ont diminué au cours de la même période.

Les 80 % les plus pauvres ont dépensé 25 % de plus que ce qu'ils ont fait quatre ans plus tôt, dépassant à peine les hausses de prix de 21 % sur cette période. Les 10 % les plus riches ont dépensé 58 % de plus.

Les 10 % les plus riches sont les dépenses bien plus importantes sur une base corrigée de l'inflation dans les années 2020.

Regardez le budget de voyage pour le ménage le plus riche (via un autre morceau du WSJ) :

Il y a trois décennies, les 10 % les plus riches représentaient 36 % des dépenses.

La classe riche existe dans une stratosphère différente et il y a de nombreuses implications ici:

La concentration est partout. Le marché boursier est concentré. Il en va de même de l'économie. Cette concentration pourrait rendre les marchés et l'économie plus risqués, mais elle les rend également plus difficiles à handicaper.

Lorsque vous avez de la richesse concentrée dans les mains de quelques-uns, il est beaucoup plus difficile de comprendre ce qui se passe en utilisant des mesures qui ont pu fonctionner dans le passé.

C'est pourquoi les anecdotes économiques ne sont pas très utiles lorsqu'on essaie d'évaluer les performances de l'économie américaine.

Que se passe-t-il si l'effet de la richesse ralentit ? Les 10 % les plus élevés dépensent davantage en partie parce que leurs actifs financiers ont sensiblement augmenté en valeur. Les stocks sont en hausse. Les prix du logement sont en hausse. L'équité dans les entreprises est en hausse.

Le marché boursier n'est pas l'économie, mais il semble que les deux sont maintenant plus imbriqués qu'ils ne l'étaient dans le passé.

Je ne suis pas sûr de ce qui s'arrête. Les inégalités de richesse ne font qu'empirer dans ce pays et franchement je ne suis pas sûr de ce qui arrête ce train. On a l'impression que c'est insoutenable, mais les riches ne cessent de s'enrichir.

À moins d'une crise financière, je ne vois pas vraiment ce qui ralentit cette tendance. Même alors, je ne suis pas sûr qu'il y ait beaucoup d'impact à long terme. S'il y a une crise financière, devinez qui a les moyens de surmonter une tempête et d'acheter des actifs à bas prix ? Les 10 % les plus riches.

Malheureusement, je ne vois pas les inégalités de richesse s'améliorer de sitôt.

Je suis assez confiant que cela ne fera qu'empirer d'ici.
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Les théoriciens du complot avaient raison sur tout – Et maintenant ?

3 mars 2025 à 11:13

Pendant de nombreuses années, les économistes alternatifs et les « théoriciens du complot » ont soutenu que, selon les preuves, une cabale criminelle organisée avait mis en place un programme de longue haleine visant à exploiter et finalement détruire la culture occidentale. Nous avons suggéré qu’une grande partie de ce programme était financée par nos propres impôts tout en utilisant les institutions gouvernementales et les ONG comme véhicules d’ingénierie sociale.
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