Tout est prétexte pour attaquer les pauvres. Le pouvoir et l'argent forment un corps unique où l'un et l'autre circulent et s'échangent entre les mêmes mains, loin du peuple et hors de tout contrôle démocratique.

J'en parle depuis des mois, ça s'appelle la corruption. Les intérêts financiers des milliardaires priment sur les intérêts des millions de pauvres et des classes moyennes. Tant qu'il n'y aura pas de sursaut pour que collectivement nous votions les lois nous-mêmes, ça se reproduira ad nauseam, ad aeternum.

Qu'ils soient de gauche révolutionnaire ou de droit conservatrice, les élus forment des cibles faciles à contrôler car peu nombreux par définition. Un scandale caché, une menace de mort, un pot-de-vin ou encore un traître qui voit midi à sa porte, c'est si simple d'obtenir les faveurs d'un élu aussitôt qu'on a un peu de moyens pour le forcer à revoir sa posture ; et l'hyper-bourgeoisie détient quasiment tous les moyens du monde...

Retenons une chose, s'il faut des milliards pour la guerre alors là aucun problème, mais s'il faut un centime pour les miséreux c'est tout de suite compliqué. Je déteste notre système politique qui se fait passer pour une démocratie.

Merci @Sebsauvage pour ces deux liens.
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