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Reçu aujourd’hui — 9 mars 2025~ sweet ~

À Paris, l’extrême droite, protégée par la police, parasite la manifestation féministe | Mediapart

9 mars 2025 à 05:13

Une fois n'est pas coutume :

Des dizaines de milliers de manifestantes ont défilé contre le patriarcat samedi 8 mars à Paris. Des groupes identitaires d’extrême droite ne sont pas parvenus à infiltrer le cortège officiel, mais les forces de l’ordre leur ont permis de manifester, en toute fin d’après-midi, sur quelques centaines de mètres.

Par Youmni Kezzouf et Ludovic Lamant

8 mars 2025 à 21h53

Perché à une vingtaine de mètres de haut, un activiste encordé tente d’éviter les bourrasques pour habiller d’un gilet violet la statue de la République, sur la place du même nom à Paris. Trois mots repoussoirs se dévoilent sur l’une des faces, sous le soleil du début d’après-midi : « Patriarcat / écocide / féminicide ».

L’action, qui se voulait spectaculaire, a été imaginée par des militantes de #NousToutes et d’Extinction Rebellion, pour donner le ton à la manifestation féministe parisienne du 8 mars : « Nous avons voulu montrer que nous sommes plus haut·es que les fachos », explique dans un sourire Gwen, militante #NousToutes.

« C’est un gros enjeu pour nous, poursuit-elle, de montrer que nous sommes bien présent·es, que nous occupons l’espace, quand on constate l’instrumentalisation et l’invisibilisation de nos luttes par des groupes identitaires fémonationalistes. »

En amont de la manifestation du 8 mars, le collectif #NousToutes avait répété qu’il était hors de question pour elles de défiler aux côtés de groupes identitaires comme Némésis, « qui instrumentalisent les luttes féministes pour nourrir leur propagande de haine et de désinformation ». Des militantes du collectif pro-israélien Nous vivrons étaient aussi parvenues par le passé à infiltrer des défilés, voire à manifester, escortées par les forces de l’ordre, en fin de cortège officiel, lors de la marche du 25 novembre dernier contre les violences faites aux femmes et aux minorités de genre.

Sur la place de la République en début d’après-midi, l’inquiétude face à la récupération de discours féministes par les extrêmes droites, est palpable. « Némésis racistes, cassez-vous ! », lit-on sur la pancarte d’une jeune étudiante, tandis qu’une activiste, à la sono de l’un des premiers camions du cortège, fait entendre : « Fascistes, racistes, jamais féministes ! »

En début d’après-midi, à quelques encablures de là, les militant·es Némésis se sont donné rendez-vous square du Temple, dont l’accès est protégé par des CRS postés aux entrées. Alice Cordier, la présidente, motive les présent·es au mégaphone : « Vous avez énormément de courage d’être là. » Dans l’assistance, quelques militantes du syndicat étudiant d’extrême droite La Cocarde, des jeunes militants zemmouristes et des jeunes femmes qui se masquent le visage avec leurs lunettes de soleil et leurs carrés de soie. Alice Cordier énumère quelques règles, dont celle-ci : « On ne répond pas aux insultes, on n’est pas dans la violence et la haine, pas comme eux. »

Aux alentours de 15 h 20, l’eurodéputée Sarah Knafo (Reconquête!) rejoint les troupes sous les applaudissements. Un passant s’interroge : « C’est qui ? [la maire de Paris Anne] Hidalgo, non ? » Elle prend un micro : « Je suis ravie d’être là, de voir des Françaises qui n’ont pas peur de [l’eurodéputée LFI] Rima Hassan, pas peur des intimidations. »

Le collectif pro-israélien Nous vivrons, qui dénonce l’antisémitisme supposé des féministes françaises, est lui aussi posté non loin de la place de la République, rue Meslay. Tout comme Némésis, ils et elles attendent les consignes de la police pour entrer en action. Mais leur attente va se révéler plus longue que prévu.
Un cortège officiel et joyeux

Pendant ce temps, sur la place de la République, une dizaine de camions de police bloquent l’accès depuis la rue du Temple, pour éviter l’éventuelle échappée de manifestant·es qui pourraient être tenté·es d’intimider Némésis. Mais surtout, au même moment, les services d’ordre des participant·es officiel·les à la manifestation se coordonnent pour bloquer les accès à la place et aux rues adjacentes, afin d’éviter des infiltrations de l’extrême droite.

Avec une bonne heure de retard, le cortège officiel et joyeux – organisatrices, syndicats, associations, partis – finit par s’élancer sur le boulevard Voltaire, vers la place de la Nation. Le barrage semble fonctionner, même si la manifestation donne parfois l’impression de faire du surplace.

Aux environs de la rue du Temple, une centaine d’activistes ont choisi de rester posté·es devant les fourgons de CRS, avec l’objectif de bloquer l’accès de la place à Némésis. Le climat se tend avec le déploiement progressif de colonnes de dizaines de CRS sur la place, pour encadrer la fin du cortège officiel et « sécuriser » l’arrivée des deux collectifs controversés. Les CRS parviennent à repousser les services d’ordre quelques rues au-delà du secteur de République.

À 17 h 09, le collectif Nous vivrons – qui avait reçu le soutien de la ministre de l’égalité Aurore Bergé, pour participer à la manifestation – fait son entrée sur la place, avec des militant·es reconnaissables à leurs bonnets orange, protégé·es d’un service d’ordre en interne, en plus d’une rangée de CRS. « Libérez la République » et « Solidarité avec les femmes du monde entier », entend-on parmi les slogans, tandis que des pancartes de la Licra sont également visibles.

Des skateurs ont déjà repris leurs activités sur la place, tandis que s’active une armada de camions d’éboueurs pour faire disparaître les traces de la manifestation. Némésis finit par débarquer à son tour, à 17 h 24, après avoir patienté quatre heures. Sarah Knafo s’est déjà exfiltrée du cortège. Face à ces militantes identitaires, de l’autre côté des rangées de CRS, deux jeunes femmes leur font face en tendant des pancartes. L’une dit : « Complices identitaires et génocidaires, dehors ! » et l’autre : « Siamo tutti antifascisti », slogan de ralliement de l’antifascisme.

Les militantes de Némésis amorcent le tour de la place et font entendre à leur tour leurs slogans : « Némésis dans ta manif » (alors qu’elles n’ont jamais été dans le cortège officiel), « Libérez-nous de l’immigration », « Le féminisme c’est nous », « Rima [Hassan] destitution » ou encore « Nous ne sommes pas des frontières violables ». « Gauchistes collabos » est un des mots d’ordre préférés du groupuscule. Avec une variante visant nommément un journaliste de Libération, spécialiste de l’extrême droite.

Des passants, postés sur la place de la République, huent : « Fa-chos ! »

Le cortège d’une centaine de personnes tourne sur le boulevard Voltaire et marque une longue pause. La conseillère écologiste de Paris Raphaëlle Rémy-Leleu, avec son écharpe d’élue, vient d’être sortie du périmètre de sécurité, à la demande de quelques CRS. « C’est à pleurer de voir ces gens qui n’ont rien d'autre à dire et à raconter pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles que d’afficher leur racisme, réagit-elle. Et c’est un échec pour ce pays d’avoir laissé des réactionnaires et des fascistes récupérer de manière aussi éhontée des discours [féministes] qui sont profondément à l’encontre ce qu’ils portent et représentent. »

Le cortège de Némésis a poursuivi sa marche jusqu’aux environs de la salle de spectacle du Bataclan– bien avant le terminus de la manifestation officielle, à Nation – à 19 h 35. Avec le soutien de forces de l’ordre plus nombreuses que les manifestant·es, qui se sont chargées d’éloigner les quelques dizaines de militant·es antifascistes qui continuaient de dénoncer la présence du collectif d’extrême droite dans cette manifestation féministe.

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Masterclass de Arfi sur la corruption de nos élites politiques - YouTube

9 mars 2025 à 04:43

Est-ce qu'on est plus corrompu que raciste ? ou l'inverse ?

En ce qui concerne nos derniers dirigeants, la question ne se pose plus.

Si vous pouvez pas vous empêcher de vous faire enrhumer pas des corrompus, arrêtez ! arrêtez au moins de voter ! merci ce bordel, qui va ranger la chambre maintenant ?

https://www.mediapart.fr/journal/france/080325/semaine-8-du-proces-sarkozy-kadhafi-gueant-djouhri-une-amitie-enrichissante

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Reçu avant avant-hier~ sweet ~

Custom FastAPI - Swagger UI

6 mars 2025 à 12:50

Je n'avais pas remis en ligne le service sur les fruits et légumes, ça devait être le bordel dans la grande distribution /o\ désolé pour l'intermittence, je crois que j'ai aussi des soucis de réseau pour ce serveur...

Et je devrais mettre en place un tutorial avec des sources... un jour.

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L’affaire Bétharram fait tache d’huile dans d’autres internats catholiques | Mediapart

5 mars 2025 à 18:48

Depuis que les violences systémiques au sein de l’établissement de la région de Pau font la une de la presse, poussant la congrégation des pères de Bétharram à annoncer mardi 4 mars le lancement d’une commission d’enquête indépendante, des collectifs s’organisent dans la région pour dénoncer les maltraitances perpétrées dans d’autres internats catholiques.

[...]

  • Le collège Saint-Pierre du Relecq-Kerhuon (Finistère)

Comme l’a rapporté Ouest-France lundi 3 mars [...]

Un autre membre du collectif décrit dans Le Télégramme

  • L’institution Notre-Dame-de-Garaison à Monléon-Magnoac (Hautes-Pyrénées)

En juin 2009, la cour d’assises des Hautes-Pyrénées condamne Bernard Gouesbet, 52 ans, à quatorze ans de prison pour des atteintes sexuelles et des viols perpétrés sur plusieurs mineur·es.

La dépêche

Dans la foulée de l’affaire Bétharram, un collectif d’anciens élèves vient de s’organiser pour dénoncer des violences physiques et sexuelles (une plainte pour viol doit être déposée mercredi 5 mars, selon RTL). À la date du 3 mars, le groupe comptait quarante-cinq membres.

Le mouvement a été lancé par Philippe, un ancien élève qui dit avoir subi des violences physiques dans les années 1980, comme l’a rapporté La Semaine des Pyrénées. Depuis, de nombreux médias nationaux – Radio France, Le Figaro ou BFMTV – se sont emparés de l’affaire dans cet établissement où fut scolarisé l’ancien premier ministre Jean Castex.

  • Le collège Saint-François-Xavier à Ustaritz (Pyrénées-Atlantiques)

[...] le collège Saint-François-Xavier est aussi dans la tourmente depuis le dépôt, révélé par Ici Pays basque (ex-France Bleu), d’une plainte pour viol.

Un collectif d’anciens pensionnaires s’est également organisé pour dénoncer les violences commises par des surveillants. « C’était sadique, pervers, des raclées pour rien », dénonce l’un d’entre eux, dans Sud-Ouest.

A noter dans ce cas :

Sur le site internet du collège, l’actuelle directrice Pantxika Lopepe s’est fendue d’une lettre ouverte condamnant « sans réserve toute forme de violence, qu’elle soit physique, psychologique ou sexuelle, et en particulier lorsqu’elle est perpétrée dans un lieu qui aurait dû être un espace de confiance et de construction ». « Aujourd’hui, nous ne savons pas encore si ces violences étaient systémiques ou limitées à des actes isolés, mais nous prendrons le temps d’écouter, de comprendre et d’agir », poursuit-elle aussi, invitant les témoins à contacter l’établissement.

Si on devrait pas en attendre moins pour une déclaration officielle, on doit réclamer les garanties nécessaires qui rendront ce discours crédible.

  • Notre-Dame-du-Sacré-Cœur, dit « Cendrillon », à Dax (Landes)

Plusieurs anciens élèves du collège Notre-Dame-du-Sacré-Cœur de Dax, plus connu sous le nom de « Cendrillon », ont témoigné le 25 février auprès d’Ici Gascogne [...]

Beaucoup d'histoires dramatiques qui remontent à la surface. Combien d'entre nous découvrent leur existence ? Combien d'entre nous font semblant de le découvrir ?

Il serait peut-être temps de faire un état des lieux et de procéder à quelques condamnations (les huiles qui ont évolué dans ce milieu et qui savaient, il y en a beaucoup trop...)

Il y a de quoi s'indigner et se révolter quand on découvre que cela existe, lisez les témoignages des victimes et vous saurez. En tant que citoyen, on ne peut pas se substituer à la justice mais on doit mettre la pression pour qu'elle fonctionne apparemment.

Et on ne parle même pas de l'ASE encore...

On avait pas besoin d'excuse (surtout à ce prix) pour se rassembler dans les rues mais ça en fait une de plus.

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La nature profonde de l'entropie 🌶️ - YouTube

26 février 2025 à 08:17

azy g le démon, on dit indétermination pas incertitude (muahaha)

C'est une dinguerie il en parle trop bien et je me rappelle pourquoi j'aime autant la physique et la théorie de l'information :D

Je me rends compte qu'il y a une erreur d'énoncé ici : https://youtu.be/H71WR50stm4?t=1211

La loi de distribution de Maxwell-Boltzmann n'est PAS une loi normale et il glisse sur cette ambiguité : la distribution en question se base sur des vitesses au carré (c'est une valeur positive, contrairement aux vecteurs vitesses projetés sur un axe (et donc avec un signe + ou -). Le vecteur vitesse moyen est nul contrairement au carré de son intensité :).

Cette loi ne porte PAS sur le vecteur vitesse (qui suit effectivement une loi normale car le vecteur vitesse varie bien de - l'infini à + l'infini et sa moyenne est nulle alors que la vitesse quadratique varie de 0 à + l'infini !

C'est exactement pour cette raison que Maxwell et Boltzmann ont choisi l'invariant v*v qui n'aura JAMAIS une moyenne nulle. C'est très important bien que ça gâche pas cette belle vidéo. L'agitation thermique existe et rien ne l'en empêchera :D.

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Pourquoi je n’utilise pas ChatGPT | Academia

17 février 2025 à 07:48

Merci pour le partage, c'est très intéressant et il y a plein de liens :)

Je suis globalement dans la lignée de cet article et je vais essayer de résumer ma position en quelques points.

Le domaine du numérique promet des gains de temps depuis plus de 70 ans. Si la promesse avait été suivie d’effet nous devrions, soit avoir réduit le temps de travail à 1h par semaine, soit avoir multiplié la “productivité” par un facteur énorme. Si ce n’est pas le cas, c’est que ce fameux “temps gagné” a immédiatement été rempli par autre chose, pas nécessairement plus intéressant ni surtout plus productif. Allons-nous continuer longtemps à tomber dans ce piège ?

En effet, à quoi sert le temps qui est dégagé par la hausse de productivité ?
Je pourrais résumer de façon quasi caricaturale en disant que la droite y voit plus de temps pour travailler et produire (sur du "temps libre" potentiel, ils n'ont pas honte de saboter le principe de base). Et en ajoutant que la gauche n'y voit plus que du temps pour consommer et fabriquer la culture à consommer.

Bon ok c'est complètement caricatural (c'est néanmoins une limite que je fixe pour apprécier les positions de chacun, surtout dans le domaine politique ou ils sont décisionnaires et acteurs en premier lieu).

Bref, mes points par ordre d'importance (j'y reviendrai probablement à un moment) :

  1. Je considère que malgré certaines avancées sociales (donc des droits et des garanties d'équité pour les individus) de ces dernières décennies, on n'aborde pas le paradoxe de nos systèmes consuméristes (produire, produire, produire, pourquoi déjà ?). Et au lieu de ça, on mise sur une avancée téchnologique (un "game changer", une révolution qui se répercutera dans le social ma bonne dame !).

Les répercutions dans le social : j'ai vu un lien d'Antonio Casili, il étudie et parle très bien de cet exclavagisme moderne ou - notamment - les grands groupes vont embaucher des petites mains pour former ou déformer les IA.

C'est la ou l'arnaque est belle : au niveau individuel on se fout de savoir pourquoi on dégage du temps libre car on sait toujours ce qu'on pourra en faire. Exit la réflexion collective sur ce "temps libre" et la valeur ajoutée de cette surproduction (comparée à l'énergie consommée par exemple).

  1. On parle pas d'IA, car la notion d'intelligence n'est pas clairement définie. On parle surtout de chatbot moteur de recherche que je simplifie par chatbotMDR.

Je sais que ça n'empêche pas tout un pan du domaine d'être dédié à des avancées médicales ou d'autres sujets que je juge plus importants mais c'est moins visible et il faut du bon journalisme et de la bonne vulgarisation pour le montrer au public (qui ne voit sûrement que ChefGPT avant tout).

  1. Les cas d'usages : je pourrais m'alarmer direct sur UN exemple dramatique style "j'ai monté tout mon projet grâce à ChefGPT mais ça marche plus, que faire ?" mais ça me semble trop naïf sans connaître la tendance des usages.

Si je me fie à ce qui est fait autour de moi, il y a à boire et à manger mais je ne vois pas beaucoup d'intelligence surtout de la performance (à qui qui aura les plus gros paramètres, le plus petit temps de réponse pour obtenir une "info" à requalifier de toute façon ?).

L'exemple du "résumé d'une réunion" faite par IA est bon, l'exercice n'est pas ultra simple et nécessite une très bonne compréhension du texte même plus.

Le temps que vous prendrez pour faire un prompt précis pour générer un email particulier est probablement du même ordre que d'écrire l'email directement. C'est un cas d'usage qui ne devrait pas en être un, il me semble.

On aurai pu utiliser cet outil pour alimenter notre conception de l'apprentissage et de l'intelligence, d'ailleurs certains le font et ils ne demandent pas des milliards pour exister ou empêcher la fin du monde. Mais ouvrir ce débat au public est "compliqué" il faut croire, il va réfléchir, échanger et s'émanciper peut-être.

  1. C'est une excuse pour alimenter la guerre froide. (point bonus comploplo)
    Et quel meilleur exemple que la percée de DeepSeek qui vient diviser les coûts de production de quelques ordres de grandeur.
    "Il faut investir plus pour pouvoir investir moins", par ici l'argent public.

Bon je pensais que ça sortirait mieux mais finalement c'est encore pour râler ^^".
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Pourquoi faut-il taper sur l'Islam ? - Antichesse (o ^ω^ o)

10 février 2025 à 07:27

C'est lorsqu'il y aura une vague de musulmans qui se dissocieront ouvertement des choses horribles promues par le Coran [...]

T'es à 2 doigts de comprendre l'excuse religieuse utilisée à travers l'islam radical mais tu t'en prends encore aux musulmans (français doit-on le dire).

[...] à l'image de ce qu'ont fait les chrétiens avec la Bible, que j'arrêterai de taper sur l'Islam.

C'est arrivé quand ça ? il ne reste donc aucun chrétien pour vanter la supériorité européenne ?

Pou citer une autre religion, je n'attends pas des juifs qu'ils s'opposent à la politique génocidaire du gouvernement israëlien PARCE QU'ILS sont juifs et que ce serait LEUR responsabilité. Ce n'est plus une question de religion et croire le contraire c'est de l'ignorance. Le pire étant cette véhémence à vouloir s'en prendre à une population pour "régler le problème".

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🌱 [Pierre-Henri Gouyon] Effondrement de la biodiversité : pourquoi on a tout faux ! - YouTube

1 février 2025 à 07:46

Ce monsieur est vraiment passionant !

Quand il dit qu'il est venu faire une conf il y a 20 ans, je me demande si ce n'est pas la première que j'avais vu de lui.

Il avait fini de me convaincre de faire un master physique du vivant et de m'intéresser à la biologie. Un génie donc.

Les sujets sont passionants et c'est grand public.
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Note: saboter les mauvaises IA

30 janvier 2025 à 08:27

Plus besoin, ils s'en occupent eux-même.
Je n'ai pas lu tout l'article de Hareeetz mais une IA pro israëlienne faite pour la propagande des réseaux devient anti-israëlienne...

https://www.haaretz.com/israel-news/security-aviation/2025-01-29/ty-article/.premium/pro-israel-bot-goes-rogue-calls-idf-soldiers-white-colonizers-in-apartheid-israel/00000194-ae81-def2-afdc-eeab470d0000

Et toujours pas d'opposition à leur politique, ici les agents israëliens bossent dans nos institutions...
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