Si vous n’avez jamais entendu l’expression « informatique durcie », c’est plutôt logique : celle-ci n’est utilisée que dans certains milieux particuliers.

Elle fait référence au départ au matériel informatique que l’on concevait pour un besoin militaire et qui exigeait une résistance accrue en toutes circonstances. Aujourd’hui, les professionnels travaillant dans le secteur industriel en sont particulièrement friands tout comme les particuliers désirant du matériel solide.

Dans cet article, nous vous présentons 5 choses que vous devriez avoir en tête sur l’informatique durcie en 2024.

Il existe plusieurs niveaux de robustesse

Tous les professionnels n’ont pas les mêmes exigences en termes de robustesse en fonction du milieu dans lequel ils travaillent. C’est pourquoi on trouve plusieurs niveaux aujourd’hui et principalement trois :

• Semi-durci,
• Durci
• Ultra-durci.

Parmi les solutions de l’expert IP Systèmes par exemple, il y a des PC portables durcis ou encore des tablettes ultra-durcies. Autant dire que les chutes ou bien les vibrations ne leur font pas peur, tout comme les tempêtes de neige et de sable.

Pour monsieur tout le monde, c’est également intéressant puisqu’on peut même immerger ce type de matériel informatique dans l’eau (indice IP67). Si vous avez des enfants, c’est plutôt rassurant !

Un ordinateur durci possède aussi une meilleure durée de vie

Si vous faites du commerce de détail en extérieur (kiosque public par exemple), vous aurez besoin d’équipements informatiques fiables sur la durée. C’est dans ce type de contexte que les fabricants n’hésitent pas à innover en proposant des PC fanless. Comme leur nom l’indique, ceux-ci n’utilisent pas de ventilateurs pour dissiper la chaleur.

On dit alors qu’ils disposent d’un « refroidissement passif ». C’est très pratique puisque la poussière s’infiltre beaucoup moins et même si elle s’invitait à l’intérieur du boîtier, son impact serait très limité sur le fonctionnement de l’ordinateur.

Résultat : les composants de ce dernier s’usent beaucoup moins vite, d’où une durée de vie bien plus longue en moyenne. Rappelons au passage que les ventilateurs peuvent se casser et qu’ils sont sensibles aux vibrations, ce qui est contraignant pour les sportifs. Ceux-ci seront ainsi ravis de pouvoir emporter avec eux du matériel informatique durci de pointe sans risquer la casse !

Un investissement sur le long terme

On ne va pas se mentir : acheter une tablette durcie ou un PC portable durci nécessite un budget conséquent. On parle en effet de coûts pouvant être deux à trois fois supérieurs que ce que l’on trouve en grande surface.

Toutefois, comme nous l’avons évoqué précédemment, cela n’a rien à voir au niveau de la durée de vie. Par conséquent, si vous avez des besoins spécifiques, vous finirez par vous y retrouver sans trop de difficultés sur le long terme.

Des fonctionnalités qui peuvent être augmentées

Vous avez toujours rêvé d’une tablette tactile munie d’une batterie amovible de 10 000 mAh capable de tenir plus de 10 heures en continu, même dans les conditions les plus extrêmes ? Avec l’informatique durcie, c’est possible !

Comme les fabricants sont moins limités par les restrictions tarifaires puisqu’ils s’adressent à un public exigeant, ils sont plus à même de proposer des caractéristiques uniques. Ainsi, même lors d’une longue randonnée en montagne, le risque d’être pris au dépourvu s’en retrouve réduit !

Une ergonomie également retravaillée

Enfin, les ordinateurs durcis ne se limitent pas à leur plus grande robustesse qui leur confère une meilleure durée de vie : ils sont également plus pratiques à l’usage. Par exemple, pour les PC portables durcis, il y a souvent une poignée afin de pouvoir les transporter partout.

Il en va de même pour les tablettes qui tiennent bien mieux en main avec la présence d’accessoires utiles. L’ergonomie étant un facteur très important chez les professionnels et les personnes en quête de confort d’usage, l’informatique durcie prend aussi cela en compte.

Les Air Fryers ont envahi toutes (ou du moins presque toutes) les cuisines et ont monopolisé l’attention des marques d’électroménager. Et s’il ne fait aucun doute qu’ils représentent un véritable gain de temps, d’argent et d’espace : cela ne veut pas dire qu’ils sont exempts de tout reproche.

Depuis leur explosion en 2023 (+80% sur le nombre de ventes total), les Air Fryers n’ont cessé d’occuper la première place des articles électroménagers les plus populaires. Toutes les marques de produits électroménagers se sont lacées dans les Air Fryers. Certaines sont spécialisées dedans comme Cosori ou Ninja et d’autres beaucoup plus grand public comme Philips ou Seb présentent également des modèles de friteuses sans huile.

Alors que vous cherchiez à acheter une friteuse sans huile mais hésitiez encore ou (pire) que vous en possédiez déjà une et épiez les moindres articles sur internet pour défendre votre bébé : nous nous sommes armés de nos meilleurs arguments (et d’un peu de mauvaise foi) pour vous convaincre que « Non, l’Air fryer n’est pas un indispensable dans votre cuisine »?

Les Air fryers ne conviennent pas aux familles nombreuses

Un problème de taille des Air fryers est connu de tous : le contenu de ses bacs. Il n’est pas difficile de se rendre compte de la quantité limitée d’aliments que l’on peut cuire dans l’appareil. Les plus grands modèles possèdent des cuves qui ne dépassent que rarement 10L tandis qu’un four traditionnel possède une contenance moyenne de 50L. Un déficit problématique si vous voulez cuire des grandes quantités de nourritures.

Familles nombreuses, colocations, diner avec des amis, oubliez tout de suite la friteuse sans huile… Même les modèles XXL ne pourront pas contenir assez pour un repas prévu à plus de six personnes. Un inconvénient de taille pour cet appareil qui se veut être le remplaçant du four traditionnel.

La cuisson n’est pas aussi parfaite qu’une friteuse à huile ou qu’un four

Au-delà d’une taille limitée, les Air fryers souffrent aussi d’une cuisson parfois décevante. Si ce défaut n’est pas de l’avis de tous, il n’en demeure pas moins une réalité. Voici deux exemples pour le prouver.

Cuire des frites à l’Air fryer est évidemment plus efficace qu’avec un four, croustillant à l’extérieur et moelleux à l’intérieur. Mais, une différence de gout existe avec la friteuse à huile traditionnelle. Exit ce gout d’huile réconfortant que beaucoup chérissent ou la double cuisson dans la graisse de bœuf. Les puristes des frites risquent d’être déçus avec l’Air fryer, à l’inverse de ceux qui veulent manger plus sainement. 

Autre exemple, si vous voulez cuisiner autre chose que des frites. Cuire un poulet est meilleur avec un four qu’avec un Air fryer. La raison est le jus qui tombe au fond du Air fryer alors qu’il reste dans le plat avec un four, rendant la chair plus tendre. Bien sûr, la cuisson de la friteuse sans huile est loin d’être mauvaise et le poulet restera tendre, mais le rendu final est plus savoureux avec un four traditionnel.

Un Air fryer prend beaucoup de place sur le plan de travail

Bouilloire, grille-pain, cafetière, micro-onde… Les appareils s’accumulent et prennent de la place sur votre plan de travail. Ajouter un Air fryer va encore plus encombrer votre cuisine. Surtout si vous optez pour un modèle avec une grande capacité pour pouvoir cuisiner pour plusieurs personnes.

Pour peu que vous ajoutiez un multicuiseur ou un Thermomix, trouver de la place pour éplucher ses carottes ou peler ses tomates devient vite une tannée. Si l’on prend le modèle 8L de Moulinex, idéal pour 4 personnes, il faudra compter ‎45 centimètres de longueur et de profondeur, l’équivalent du mini lave-vaisselle Bob. Ainsi, réfléchissez bien à la taille de votre cuisine et la place sur votre plan de travail avant d’acheter votre Airfryer.

La PlayStation est désormais facile à trouver et va même avoir un petit lifting avec un tout nouveau modèle à partir du mois de novembre. C’est après 3 ans d’existence que les rumeurs autour d’une PS6 commencent à arriver : on fait le point.

On s’en souvient comme si c’était hier. Au début de la PS5, nous guettions chacun de ses réapprovisionnements, mettions des alertes sur des comptes Twitter dédiés et avons même failli l’acheter sur Cdiscount à un tarif exorbitant… Aujourd’hui, cette pénurie est terminée et les scalpers peinent à écouler leur stock ! En effet, on trouve facilement les dernières consoles de salons comme la PS5, la Nintendo Switch ou la XBOX Series X sur tous les sites d’e-commerce (Fnac, Amazon, par exemple).

Et alors que Microsoft a déjà donné la direction de XBOX en dévoilant deux nouveaux modèles, on attend désormais la réponse de Sony sur l’orientation de la future PS6. Aucune information officielle n’a pour le moment été révélée par la firme japonaise, mais les rumeurs commencent déjà à pointer le bout de leur nez. Design ? Estimation d’année de lancement ? Tarif envisagé ? Focus.

La PS6 déjà en préparation

Cette information pourrait en agacer plus d’un. Surtout maintenant que les PS5 sont facilement trouvables. Il semblerait que Sony ait bel et bien commencé à travailler sur la PS6.

En effet, une offre d’embauche a été publiée en septembre 2021 par le constructeur japonais. Elle indiquait dans sa fiche de poste : « recherche et développement : contribuer à identifier et développer le portefeuille technologique des futures plateformes PlayStation. ». Ce qui laisse sous-entendre que la console est actuellement développée par les équipes du fabricant asiatique.

On sait aussi qu’un nouveau SoC AMD est en préparation, afin de déployer toute la puissance nécessaire pour faire tourner les jeux à venir. La firme cherche d’ailleurs un ingénieur de vérification sur LinkedIn pour compléter son équipe chargée de la conception des puces pour la Xbox et sa concurrente made in Sony : la PlayStation.

Nous ne savons pas vraiment de quoi il s’agit, mais les suppositions vont bon train. S’il y a très peu de chances que ce nouveau SoC AMD se cantonne à la PS6, ce n’est pas complètement impossible qu’il soit également destiné à la PS5 Pro.

Le début d’une nouvelle ère

Après 36 ans de bons et loyaux services, Masayasu Ito, le vice-président exécutif de PlayStation, a décidé de prendre sa retraite. Il a notamment eu un rôle fondamental dans le succès des PS4 et PS5 mais sera remplacé par Lin Tao, l’actuelle vice-présidente de la finance. Cette dernière devrait ainsi apporter un regard plus jeune sur le développement de la future PS6. Espérons qu’elle ait la même réussite que son prédécesseur.

Photos et concepts du design

Sachant qu’il est bien trop tôt pour avoir des informations sur son design, il faut comme d’ordinaire se consoler avec les concepts de certains internautes. Créatifs pour certains, tangibles pour d’autres, ces exercices de style nous font entrevoir un futur possible pour la machine de Sony.

Ce concept de l’artiste She Yin s’inspire grandement du design minimaliste de la première PlayStation, mais ressemble aussi à une platine vinyle design (ou une plaque de cuisson selon l’un des membres de la rédaction). C’est en tout cas un grand écart avec l’apparence actuelle de l’imposante PS5.

Prix et date de sortie

Il faudra faire preuve de patience, avant d’espérer avoir une date de déploiement officielle pour la PS6. Pour l’instant, ce n’est pas cette console qui occupe tous les esprits chez Sony, mais plutôt la PS5 Slim, PS5 Pro et actuellement la nouvelle version de la PS5.

Pourtant, le constructeur nippon vient à demi-mot de dévoiler la période de lancement des prochaines séries de console. En effet, le géant japonais a envoyé un document aux autorités de la concurrence pour signifier son mécontentement au sujet du rachat d’Activision Blizzard par Microsoft. Dont le jeu phare Call of Duty est au cœur des tensions.

2 sources, 2 périodes différentes

Ce rachat pourrait, selon Sony, mettre à mal l’entreprise en elle-même et plus généralement l’industrie du jeu vidéo. Dans ce document, le fabricant a annoncé qu’il aura perdu les droits du FPS Call of Duty lorsque sa prochaine console sortira… C’est-à-dire en 2027, lors de la fin de l’accord entre le constructeur japonais et son rival d’outre-Atlantique, concernant le partage des licences de jeux-vidéo Call of Duty et Activision en général.

Durant le procès autour du rachat d’Activision par Microsoft, la firme américaine proposait un accord à PlayStation qui lui permettrait de profiter de la licence de FPS Call of Duty pendant 10 ans et sur sa « prochaine console attendue dans 5 ans ». Le géant de la tech estime alors ainsi que la prochaine PS (potentiellement la 6e) pourrait sortir en 2028. Soit 8 ans après le déploiement de la PS5.

Un prix plus élevé que la PS5 ?

En ce qui concerne le tarif, la commercialisation des dernières machines next-gen nous a montré qu’on ne pouvait pas s’attendre à un produit en dessous des 500€. On peut donc prévoir un tarif avoisinant les 600€ pour la PS6. L’époque où les consoles étaient vendues sous la barre des 400 € nous semble bien loin.

Une PS6 avant la PS5 Pro ?

Tom Henderson, un initié de l’industrie, révélait sur son compte Twitter entendre plus de rumeurs des projets PS6 que d’éventuelles versions Pro ou Slim.

Ainsi, Sony pourrait sortir la 6ᵉ génération de sa console avant des versions améliorées de la 5. La 6ᵉ version de la PlayStation cohabiterait ainsi pendant quelques années avec sa petite sœur et devrait proposer les mêmes jeux-vidéo en parallèle.

Ce que l’on attend de la PS6

Pour le moment, nous ne pouvons pas vous fournir de véritable fiche technique par manque d’informations. Nous vous faisons part de ce que l’on attend pour la PlayStation 6.

Questions Fréquentes sur la PS6

La révolution des véhicules électriques transforme radicalement notre approche de la mobilité. À ce titre, il est intéressant de comprendre les différences technologiques notables entre les systèmes de transmission des véhicules électriques (VE) et ceux des véhicules à moteur à combustion interne (MCI), notamment en ce qui concerne les embrayages. Aujourd’hui, nous vous proposons une analyse détaillée des spécificités des embrayages dans les VE, non les sans comparer avec les transmissions manuelles et automatiques utilisées dans les véhicules diesel et à essence, afin d’en mettre en lumière les avantages.

Fonctionnement des embrayages dans les véhicules à
combustion

Pour rappel, dans un véhicule à combustion, l’embrayage est un composant fondamental servant à coupler et découpler le moteur à la boîte de vitesses. Les conducteurs le connaissent bien, car ce dispositif leur permet de glisser d’une vitesse à une autres sans faire caler le moteur (et accessoirement essuyer les moqueries d’un copilote facétieux). On distingue ainsi les systèmes manuels des boîtes automatiques : les premiers nécessitent de la part du conducteur la manipulation d’un levier de vitesses en coordination avec la pédale d’embrayage, tandis que les seconds utilisent des convertisseurs de couple ou des embrayages pilotés électroniquement pour automatiser le processus.

Transition vers les véhicules électriques : quel rôle pour les
embrayages ?

Les véhicules électriques fonctionnent un peu différemment. En effet, la plupart d’entre eux utilisent des moteurs électriques capables d’atteindre presque instantanément leur couple maximal. Ce qui signifie, concrètement, qu’une boîte de vitesses traditionnelle ne leur sert à rien, exceptés certains modèles de véhicules électriques malgré tout équipés d’embrayages, pour une gestion optimisée du couple ou la nécessité de basculer entre différentes sources de propulsion (notamment pour les véhicules hybrides).

C’est de ces cas de figure en particulier dont nous allons parler par la suite !

Comparaison technique entre les embrayages des VE et des
véhicules MCI

Dans les véhicules MCI, l’embrayage est généralement une pièce mécanique robuste,
constituée d’un disque d’embrayage, d’un plateau de pression et un mécanisme de
débrayage. Ce système permet une transition progressive entre l’état engagé et l’état
désengagé, essentielle pour les changements de vitesses manuels. Par exemple,
lorsqu’un conducteur accélère ou décélère, il doit souvent changer de vitesse, ce qui
nécessite un engagement et un désengagement répétés de l’embrayage, générant
friction et usure.

En revanche, dans un véhicule électrique, le rôle de l’embrayage est tout autre. Dans le cas où il s’agit de gérer une boîte de vitesses à rapport unique, ce n’est pas pour des changements de vitesse multiples et fréquents que l’embrayage est sollicité, mais plutôt pour des tâches plus spécifiques, telles que la gestion de deux moteurs. En effet, dans les véhicules hybrides, par exemple, un embrayage servira à connecter ou à déconnecter un moteur électrique à un moteur à combustion, selon les besoins de puissance ou d’efficacité énergétique, adaptant ainsi la propulsion sans nécessiter de changements de vitesses manuels.

D’un autre côté, on a les VE dont les systèmes d’embrayage visent à optimiser la gestion du couple entre différents composants du groupe motopropulseur. Ces embrayages doivent répondre très rapidement aux commandes électroniques pour ajuster le couple transmis, offrant une conduite plus douce et plus efficace sans l’usure typique causée par les changements de vitesse dans un véhicule MCI.

Cette capacité à répondre rapidement et avec précision à des variations de charge sans subir l’usure mécanique due aux fréquents changements de vitesse contribue à prolonger la durée de vie des embrayages des VE, contrairement à ceux des véhicules MCI. Une telle différence technique constitue un avantage potentiel en termes de maintenance et de performances en faveur des véhicules électriques.

Quelle technologie de transmission pour l’avenir ?

Les embrayages des véhicules électriques, bien que moins fréquents que dans les véhicules MCI, jouent un rôle crucial dans les configurations hybrides et certaines applications spécifiques. Leur évolution continue pourrait bien influencer la conception des prochains modèles de VE, surtout dans un contexte où l’efficacité énergétique et la réduction des émissions sont primordiales. Quoi qu’il en soit, les embrayages des VE, bien qu’utilisés différemment, prouvent que même des composants traditionnels peuvent être repensés et optimisés pour nous faire entrer dans l’ère d’une mobilité plus durable.