Que valent le kit solaire Anker SOLIX et son système de stockage Solarbank 2 E1600 Pro ? 

Aujourd’hui, Vonguru a le privilège de tester un kit solaire en avant première grâce à Anker SOLIX et son nouveau système de stockage SolarBank 2 E1600 Pro fraîchement disponible sur le site de la marque, et ce, depuis le 14 juin dernier. Un lancement tout à fait estival avec ce beau temps ! Et quoi de mieux qu’une petite villa dans le sud de la France en plein été pour réaliser ce type de test ?

Pour réaliser notre article, nous avons donc reçu deux panneaux solaires et leurs fixations au sol, une batterie SolarBank 2 E1600 PRO, sa batterie additionnelle et un compteur intelligent. Le tout, bien sûr, est signé Anker SOLIX. S’il y a plusieurs combinaisons possibles selon les envies, les besoins et les finances, notre kit solaire complet vaut tout de même la sommes de 3 098 € hors promotion.

En parlant de promotion, SOLIX propose jusqu’au 30 juin de belles remises alors profitez-en ! Vous retrouverez également ces produits directement sur Amazon.

Unboxing

Grosses livraisons ! Transpalettes et compagnie, ce fut un sacré raffut à la maison ! Nous avons commencé par recevoir une batterie SolarBank 2 E1600 PRO via UPS, puis sa batterie additionnelle dans un second temps. Est arrivés ensuite le compteur intelligent et bien sûr, le clou du spectacle, les panneaux solaires et leur kit de fixation pour sol via un transporteur privé.

Une fois livré, nous avons, mon mari et moi, transporté les panneaux aussi délicatement que possible sur notre terrasse afin de réaliser le déballage de tout ce beau monde. Croyez-moi, c’est lourd !

Une fois le tout déballé, les cartons chargés et mis au recyclage (en veillant bien sûr à ne RIEN avoir oublié dans lesdits cartons), nous avons pu commencer l’installation, mais avant, parlons caractéristiques, fonctionnalités et contenu.

Caractéristiques techniques 

Solarbank 2 E1600 Pro

Fonctionnalités

• Deux types de centrales à la capacité augmentée composent cette nouvelle série d’Anker SOLIX. À savoir Solarbank 2 Plus et Solarbank 2 Pro (premier kit solaire avec batterie au monde à atteindre 2 400 W).
• La série Solarbank 2 est un système Plug&Play. C’est à dire accessible à tous, sans besoin de compétences techniques. L’installation est simplifiée, réalisable en moins de deux heures.
• Conçue en aluminium, elle résiste aux conditions extrêmes et est certifiée IP65. À noter également son fonctionnement entre -20°C et 55°C.
• Quatre modules solaires peuvent être branchés en parallèle pour maximiser l’énergie solaire. Dans des conditions optimales, les utilisateurs peuvent injecter 600 watts dans leur réseau électrique domestique et stocker à vitesse maximale le reste dans la Solarbank 2 Pro.
• Grâce aux batteries additionnelles (empilables), disponibles en option – jusqu’à cinq batteries pour la version Pro – les utilisateurs peuvent stocker 9,6 kWh. La version Plus atteint également cette capacité.
• Avec la technologie lithium-fer-phosphate, les batteries conservent 80 % de leurs performances initiales même après plus de 6 000 cycles de charge, offrant ainsi une durée de vie de plus de 15 ans.
• Les Solarbanks 2 sont garanties pendant 10 ans. Les versions Plus et Pro intègrent à la batterie principale un micro-onduleur qui convertit directement l’énergie solaire en électricité utilisable, évitant ainsi les câbles additionnels.
• Anker SOLIX propose également des panneaux solaires adaptés, tels que le RS50B (540W) et le RS40P (445W). Ces panneaux sont prévus pour une intégration optimale avec les systèmes Solarbank 2. Le panneau RS50B, avec une capacité maximale de 540W, est conçu pour résister aux intempéries (IP68). Le constructeur offre une garantie de 12 ans avec une durée de vie de 25 ans.

Contenu

• Solarbank 2 E1600 Pro
• Anker SOLIX BP1600 batterie additionnelle
• Câbles de recharge Schuko 5m
• 8 câbles d’extension pour panneau solaire 3m
• Kit d’outils
• 2 x 540 panneaux solaires
• Anker Solix compteur intelligent
• Fixations pour panneaux solaires
• Instructions de sécurité
• Guide de démarrage rapide
• Manuel numérique

Installation

Pour une installation complète, propre et bien faite, la marque compte 2 heures. De notre côté, mon mari a mis un peu plus de deux heures, mais il était « accompagné » de notre fils de 4 ans et demi qui s’est fait une joie de lui rendre la tâche un poil plus difficile.

Tout arrive bien emballé, bien compartimenté. Parlons pour commencer de l’installation des panneaux solaires et de leurs fixations pour sol. Un Quick Start est fourni avec tout le nécessaire de montage, outils compris. Flashez le QR Code et lisez les instructions. Attention cependant, parfois la traduction est un peu bancale, avec de l’allemand un peu partout.

D’ailleurs, en vous rendant sur cette page du site Anker SOLIX, vous retrouverez tous les documents et autres téléchargements nécessaires aux divers montages, installations et utilisations de vos produits. Voici les premières étapes concernant l’installation de nos deux panneaux solaires :

Commencez par trouver la page concernant votre mode d’installation. Pour nous, au sol :

Scannez ensuite le code QR et téléchargez l’application Anker. Après 20 minutes environ, vous obtiendrez les données du système d’alimentation solaire de balcon sur votre application Anker.

Parlons maintenant de l’installation de la batterie SOLIX Solarbank 2 E1600 Pro et de sa batterie additionnelle. Si Anker a pensé à pratiquement tout dans son bundle, il vous faudra cependant vous munir en plus d’un tournevis cruciforme, d’un marteau et d’une perceuse.

Parlons maintenant du compteur intelligent qui pour le coup, m’a demandé un certain temps, tant j’ai lu et relu la notice. L’électricité, ce n’est pas trop mon truc, mais cette fois je n’ai pas fait appel à un électricien même si dans la notice, on vous conseille tout de même de le faire : n’hésitez donc pas à solliciter un professionnel. Si cette pièce n’est pas indispensable à l’utilisation de notre kit solaire, vous verrez dans la partie suivante qu’elle est cependant très très utile !

Test, utilisation & application

La grande nouveauté ici, en comparaison avec la première version, c’est la présence du micro onduleur directement dans la batterie. Vous l’aurez compris, plus besoin d’en installer un par panneau et surtout, moins de câbles !

La marque nous recommande de stocker les batteries en intérieur. Pour l’instant, elles ont donc élues domicile dans ma véranda, puisque les panneaux sont, toujours pour l’instant également, posés sur ma terrasse. À terme, nous prévoyons de les faire poser sur le toit du bureau, en même temps que l’installation de nos 8 autres panneaux solaires, qui je l’espère, seront en place avant la fin de l’été. Une fois tout cela fait, j’espère pouvoir mettre les batteries à l’abri, soit dans une caisse réalisée en palette, soit directement dans le vide sanitaire.

Empilables, les batteries ne prennent vraiment que peu de places ! Vous n’aurez donc je pense aucun mal à leur trouver une place de choix.

Autre petite chose à noter et à réaliser, sachez qu’il vous faudra déclarer votre installation à ENEDIS. Un tuto est disponible sur le site (à la page téléchargement indiqué plus haut), cela prend à tout casser 10 minutes, et en cas de soucis, les équipes ENEDIS seront à votre écoute. Une fois l’accord donné, vous pourrez utiliser votre installation d’auto consommation sans problème. Dans le formulaire, n’oubliez d’ailleurs pas d’indiquer que vous disposez de batteries de stockage !

Parlons maintenant de la configuration sur l’application que vous retrouverez sur Android et iOS. Il vous suffira de la télécharger et de vous laisser guider. Tout vous sera indiqué et je n’ai rencontré aucune difficulté pour appairer chaque appareil. Il faudra réaliser une mise à jour une fois le tout paramétrer et ensuite, vous aurez accès à toutes vos données !

Bien sûr au départ, il faudra se montrer patient et attendre patiemment que le soleil fasse son œuvre.

Parlons maintenant des données fournies par l’application. On retrouvera en temps réel la capacité du solaire de nos panneaux en fonction du taux d’ensoleillement, la sortie totale, le nombre de W envoyés à la batterie sans oublier son pourcentage de charge.

Le mode personnalisé est également important puisque vous pourrez ici lui dire combien de Watt vous voulez à quel moment en direct chez vous, et combien de Watt vous voulez pour recharger vos batteries.

On trouvera également les gains réalisés, le CO2 économisé ainsi que la puissance produite. Bien sûr, nous aurons aussi toutes les statistiques et historiques de données du taux d’ensoleillement, du niveau de charge. Grâce à tout cela, vous aurez une vision claire des moments de la journée où vous produisez le plus. Ainsi, vous pourrez ajuster votre façon de consommer votre électricité afin de faire toujours plus d’économies.

Pour vous donner une idée, mon talon, c’est-à-dire ma consommation de base, est d’environ 400 W. Il ne s’agit pas que de la veille, mais de ce que l’on consomme en journée lorsque oui, nous avons nos appareils en veille et nos ordinateurs et écran lorsque nous travaillons. Sans machines en route, sans four, sans plaque de cuisson. Juste notre consommation « classique », de « base ».

Au pique du taux d’ensoleillement, entre 14 h et 15 h en ce moment, notre talon est donc largement couvert. C’est pour cela qu’au départ, avant l’installation du compteur intelligent, nous avons décidé d’allouer 200 W pendant les heures pleines et 100 W pendant les heures creuses.

Parlons maintenant du compteur intelligent qui vous permet de ne plus perdre d’énergies produites ou presque. En plus donc de pouvoir suivre ladite énergie en temps réel, il vous permet de l’ajuster au Watt près pour une décharge à la demande. Il se contrôle soit en Wi-Fi, Bluetooth ou Ethernet et comme nous l’avons vu, se branche sur le rail de guide du boîtier du panneau général.

Pour être plus clair, il vous permet de suivre votre consommation d’électricité grâce à la visualisation des données, et de procéder à des ajustements en temps réel. Autre information, il embarque une garantie de 2 ans et Anker promet au passage une longévité de l’appareil de 10 ans. Une belle prouesse pour un produit vendu 129 €. 

Et d’ailleurs, c’est notre ecojoko qui est content ! Non seulement je réalise environ 30 € d’économies par semaine depuis l’installation, mais j’arrive comme indiqué précédemment à être auto suffisante sur mon talon. Pour retrouver notre test complet de cet assistant d’économies d’énergie, c’est par ici.

Conclusion

Anker SOLIX nous propose ici un kit solaire clé en main extrêmement facile à installer et à utiliser. Bien sûr, il faudra débourser une certaine somme pour se le procurer, cependant, au vu de la qualité du pack, de la facilité à tout mettre en place, et surtout, surtout, du rendement observé (en tout cas chez moi), c’est un grand oui et forcément, un VG d’or et un award coup de cœur. La marque sait innover et propose une nouvelle fois des produits extrêmement qualitatifs.

Je reviendrai vers vous prochainement sur notre page Instagram avec quelques photos une fois les panneaux installés sur le toit et de l’emplacement prochain des batteries de stockage !

Test – Kit solaire Anker SOLIX et sa batterie Solarbank 2 E1600 Pro a lire sur Vonguru.

Le Roborock Flexi Pro : un design à la hauteur des performances ?

Aujourd’hui, nous allons passer en revue le balai aspirateur laveur Flexi Pro de la marque Roborock. Nous sommes particulièrement impatients de le tester, car nous sommes tombés sous le charme de son design épuré qui change de ce que nous avons l’habitude de voir chez les différentes marques. De plus, et ce sera un de ses gros atouts, vous aurez enfin la possibilité de passer sous vos meubles puisqu’il peut s’incliner à l’horizontale !

Le tarif de ce modèle Flexi Pro est de 599 euros. Roborock commercialise aussi une version « Lite », moins chère, à 349 euros, mais qui fait l’impasse sur plusieurs technologies comme le séchage à air chaud, les roues adaptatives SlideTech, une autonomie moindre, pas de connexion à l’application, ect.

Merci à Roborock pour la mise à disposition de cet exemplaire du Flexi Pro et retrouvez l’ensemble de nos tests des produits de la marque en suivant ce lien.

La réception du colis 

Notre exemplaire est arrivé directement de Chine via la société DHL, un bon moyen de vérifier la qualité de protection de notre Roborock Flexi Pro durant ce long voyage. Nous avons donc réceptionné un colis finalement assez imposant. Première étape, s’assurer que les composants à l’intérieur de la boite sont bien protégés pour le transport. Bonne nouvelle puisque c’est bien le cas et une fois n’est pas coutume, le déballage va se faire par le haut et non en position horizontale. Cette aspirateur laveur est disponible au tarif de 599 euros.

Comme on peut le voir, les différentes faces reprennent des illustrations du Roborock Flexi Pro ainsi que les principales caractéristiques. Roborock met en avant la possibilité de mettre l’aspirateur à l’horizontal, le séchage à air chaud en 30 minutes, l’aspiration de 17 000 Pa, la connectivité avec l’application Roborock, ect. Nous reviendrons bien entendu sur toutes ses fonctionnalités lors de notre test.

Comme nous vous le disions, l’ouverture va se faire par le haut de la caisse. Dès l’ouverture, on tombe sur une grande feuille cartonnée, une habitude chez Roborock, qui contient sur son verso un guide d’installation rapide. Celui-ci va vous indiquer les éléments à associer pour monter votre Flexi Pro. Nous vous rassurons de suite, rien de bien compliqué ! La première impression est très positive au niveau de l’agencement des différents composants au sein de la boite, cela fait très sérieux et très haut de gamme.

Nous trouvons dans la première partie de l’emballage, le rouleau de nettoyage, un filtre supplémentaire, un goupillon de nettoyage, le câble d’alimentation ainsi que la notice d’installation. Comme vous pouvez le constater, les différents accessoires sont parfaitement protégés dans un bloc en carton pré-moulé.

Le premier élément qui apparait est le bras de notre Flexi Pro. Tous les balais aspirateurs laveurs que nous avons testés sont livrés en deux parties : le bras et la base de nettoyage. Celle-ci est d’ailleurs protégée par deux boites en carton. Le dernier élément est la base de recharge. Sachez aussi que les différents éléments disposent de plusieurs protections plastiques afin d’éviter d’être griffé lors du transport. Vous n’avez donc aucune inquiétude à avoir sur l’arrivée à bon port de votre balai laveur Roborock Flexi Pro.

L’installation des différents composants

Comme nous vous l’avons dit, rien de bien compliqué et c’est évidement à la portée de tous. La première étape va consister à insérer le manche du ballai dans la partie basse. Comme on peut le voir, l’extrémité possède une connectique qui va permettre la transmission des infos entre la base du balai et les boutons présents sur le manche.

Esthétiquement, comme nous vous l’avons dit dans l’introduction, nous sommes tombés sous le charme de ce Flexi Pro. C’est lorsque nous l’avons posé à côté de notre Roborock Dyad Pro Combo que nous avons compris la différence fondamentale. Le bras est positionné sur l’avant du balai alors que jusqu’à présent, tous les autres modèles que nous avons testé, le bras est positionné sur l’arrière.

Ce changement va lui permettre bien sur de pouvoir se positionner à l’horizontale lors du nettoyage mais surtout, lui apporte un design complètement différent de ce que nous avons l’habitude de voir. La base de recharge est composée d’un seul élément, il n’y aura donc aucune manipulation à réaliser. Par rapport aux autres balai, la charge ne s’effectue pas sur l’arrière mais par le dessous du balai.

Branchez le câble d’alimentation et voilà, c’est déjà terminé : un jeu d’enfant. Nous reviendrons lors de notre test sur la base qui apporte elle aussi son lot de nouveautés au niveau du nettoyage et du séchage. Même si en toute logique le Flexi Pro dispose déjà d’une charge de la batterie, n’hésitez pas à vérifier avant l’installation de l’application si des mises à jours sont nécessaires.

Faisons le tour de notre Roborock Flexi Pro

Comme nous l’avons dit en introduction, ce Roborock Flexi Pro dispose d’une puissance d’aspiration de 17 000 Pa, ce qui le place dans les plus performants de sa catégorie. Roborock annonce une autonomie de 50 minutes, mais ne spécifie pas le temps nécessaire pour une recharge complète, nous le vérifierons lors de nos tests. Comme vous avez pu le constater sur les photos, les différents éléments plastiques sont aussi protégés par un film autocollant afin d’éviter que ceux-ci ne soient griffés durant le transport.

Nous ne reviendrons pas encore sur le design de ce Flexi Pro mais une chose est certaine, c’est qu’il se distingue de la concurrence avec notamment son bac d’eau propre en position avant et qui pour une fois, n’est pas en plastique transparent. C’est là aussi un changement dans la conception puisque habituellement, c’est le réservoir d’eau sale qui se trouve sur la face avant. Le réservoir pour l’eau propre a une capacité de 730 ml, ce qui est moins que le Tineco Floor One S7 Pro et ses 850 ml. Nous aurions aimé que Roborock propose une solution nettoyante à ajouter à l’eau clair comme c’est le cas pour certains de ses modèles.

Le bac d’eau usagée se trouve déplacé sur la partie arrière et a une capacité de 450 ml. Il dispose d’un filtre sur sa partie haute, mais surtout d’une solution de filtrage au sein du réservoir d’eau usagée. Nous pourrons, lors de notre test, juger de l’efficacité de ce dernier notamment avec les poils d’animaux et les cheveux. Pour rappel, le principe est que l’eau clair est envoyée vers la brosse rotative, celle-ci est ensuite raclée et l’eau usagée est réinjectée dans le réservoir contenant l’eau sale.

La base de notre Roborock Flexi Pro

Élément essentiel, la base de notre Roborock Flexi Pro va assurer le nettoyage de votre sol. Voyons en détails comment celle-ci est conçue. Contrairement à certains modèles, on ne retrouve ici qu’une seule brosse à rouleau. Roborock met en avant la possibilité de nettoyer très près des plinthes, que ce soit à gauche ou à droite, même si le rouleau ne dépasse pas vraiment du cadre comme c’est le cas sur le Dyad PRO.

Comme nous vous le disions, le rouleau peut être facilement enlevé et dévoile ainsi le moteur qui est situé à l’intérieur du rouleau lorsque celui-ci est en place. Sachez que la base permet un nettoyage à 60 °C le rouleau qui alternera des mouvements avants et arrières pour être le plus efficace possible. Le séchage se fera en 30 minutes grâce à l’air chaud à 55 °C.

On retrouve aussi sur le dessous, deux petites roulettes et sur l’arrière, deux roues crantées intelligentes qui bénéficient de la technologie SlideTech qui va vous permettre d’avoir une traction vers l’avant, mais aussi vers l’arrière synchronisée avec la vitesse du rouleau. Le principe est de faciliter le nettoyage du sol et de réduire votre effort.

Enfin, la face avant dispose d’un rétroéclairage LED afin d’éclairer les zones sombres ou les dessous de meubles.

Le bras et les différentes fonctions

Nous arrivons finalement au sommet de notre Flexi Pro et donc ainsi au niveau du mini écran présent sur le haut de la poignée. La poignée regroupe trois fonctions. La première, essentielle, est la mise sous tension ou l’extinction du balai. La seconde permet de changer le mode de nettoyage avec comme option : AUTO, MAX et ECO. Lorsque le Flexi Pro est sur sa base, les deux touches ont alors d’autres fonctions. La touche de mise sous tension permet de lancer la procédure de séchage et l’autre bouton, l’auto-nettoyage.

Comme vous pouvez le voir, notre Floor One S7 Pro n’est pas posé sur sa base, ni contre une table, puisqu’il possède comme la concurrence d’une position parking qui lui permet de tenir debout tout seul ! C’est devenu courant maintenant sur ce type de produit et c’est un réel plus.

Comme nous avions déjà installé l’application pour tester le Roborock Dyad Pro, Pro Combo, le Qrevo MaxV, pas besoin de la réinstaller pour notre Flexi Pro. Nous vous invitons à jeter un œil à notre précédent article pour l’installation de cette dernière.

Ajoutons un nouveau produit Roborock

Comme l’application est déjà installée, il va nous suffire de cliquer sur l’ajout d’un appareil en scannant le QR code afin de le connecter à votre réseau Wi-Fi. Veillez aussi à avoir rechargé votre Flexi Pro avant d’ajouter ce nouveau produit à votre application. Il vous suffira alors de sélectionner votre produit qui ici est bien entendu le Flexi Pro.

Le logiciel va ainsi identifier les différentes réseaux WiFi disponibles et à vous de choisir celui auquel il sera associé. Votre smartphone et le Flexi Pro vont communiquer ensemble afin d’établir la liaison. Lorsque l’application a trouvé votre Flexi Pro, le logiciel exécutera une mise à jour du micrologiciel.

Vous êtes prêts à découvrir les différents modes qui sont : le mode AUTO, le mode MAX et le mode ECO. Ces différents modes peuvent être sélectionné directement sur l’écran présent sur la poignée du balai. Le logiciel vous informe aussi sur l’autonomie et vous donne accès aux différents paramètres.

Vous avez accès à d’autres paramètres bien utiles comme le niveau de traction des deux roues, la puissance d’aspiration, le niveau d’eau utilisé pour le nettoyage ainsi que la vitesse du rouleau. Enfin, n’oubliez pas de choisir le mode d’auto-nettoyage, la température de l’eau ainsi que la durée de séchage.

Préparation du Roborock Flexi Pro

C’est parti pour une utilisation de deux semaines afin de vous donner notre avis sur ce Roborock Flexi Pro. Première séance de nettoyage en ayant préalablement rempli le réservoir de 730 ml d’eau clair ainsi que l’équivalent d’un capuchon de la solution nettoyante fournie. Sachez que Roborock autorise l’utilisation d’eau chaude, mais avec une température ne dépassant pas les 60 °C. Le Flexi Pro est rechargé à 100 % et nous allons aussi juger du nombre de passage en aller/retour pour voir si le rouleau s’humidifie rapidement.

Nettoyage de la maison

Comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessous, notre carrelage est un modèle « à l’ancienne », c’est-à-dire, avec une surface non plane et des joints profonds de quoi mettre à mal le Roborock Flexi Pro. Mise sous tension et choix du mode via l’écran tactile placé sur la poignée. Dans ce test, nous opterons pour le mode « AUTO » et niveau d’eau élevé. Lors de la première utilisation, le rouleau s’humidifie sous toute la longueur après deux ou trois passages, laissant très peu de traces sèches.

Ce qui frappe directement, comme avec le Tineco Floor One S7 Pro, c’est la puissance de traction avant, mais aussi l’aide assistée pour la marche arrière, mais aussi la motricité du bras. Vous n’aurez besoin de faire aucun effort, c’est lui qui va se charger d’avancer et vous n’aurez qu’à le guider selon l’endroit que vous désirez rafraichir. C’est le modèle le plus maniable que nous avons testé jusqu’à présent et il se glisse très facilement sous les meubles, grâce à une inclinaison jusqu’à 180 °C. Aucune trace ou poussière ne peut vous échapper grâce au rétroéclairage automatique.

Après 15 minutes d’utilisation, nous sommes priés de vider le réservoir d’eau sale. À ce moment, la batterie nous indique une autonomie de 65 %. Comme vous pouvez le voir, la grande majorité des cheveux et déchets sont emprisonnés par le filtre qui plonge dans le réservoir : c’est une excellente chose.

Le nettoyage au bord des plinthes est très correcte malgré le fait que le rouleau ne déborde pas. Les différentes taches simulées ont disparu en seulement deux passages, c’est-à-dire, un aller/retour. N’oublions pas que ce Flexi Pro n’est pas là que pour les petites catastrophes mais qu’il sera un allié utile pour donner un coup de frais dans votre habitation à la place d’un simple passage de l’aspirateur. Au final, après avoir terminé le nettoyage en 33 minutes, nous n’avons à aucun moment dû remplir le bac d’eau clair.

L’autonomie

Après 30 minutes en mode « Auto », notre Roborock Flexi Pro fonctionne toujours et le témoin de batterie nous affiche encore une autonomie de 28 %. Pour rappel, la marque annonce une autonomie allant au minimum jusqu’à 50 minutes en mode AUTO. Nous avons plus ou moins nettoyé ici une surface de 75 m² en réalisant quelques pauses pour nos tests concernant des taches simulées.

Retour à la station de nettoyage et séchage

Maintenant que nos 33 minutes de nettoyage sont terminées, retour à la base pour un nettoyage des rouleaux ainsi que la recharge complète de notre Flexi Pro. Il ne faut pas oublier de presser le bouton d’auto-nettoyage afin de lancer la procédure ou de sélectionner l’option auto-nettoyage automatique dès que le balai est remis sur la station dans l’application.

L’auto-nettoyage se lance et, l’application nous demande, pour la première fois de remplir le bac d’eau clair afin de procéder au lavage du rouleau. C’est le nettoyage de la brosse qui sera effectué en premier, avec un mode bi-directionnel, suivi du nettoyage du tuyau et enfin du séchage du rouleau.

Alors, qu’avons-nous pensé de ce Roborock Flexi Pro après deux semaines passées en sa compagnie ? Les photos que nous avions pu voir du Flexi Pro, avant sa réception, ont bien confirmé son design atypique et le coup de cœur que nous avions eu. Si vous ne disposez pas d’un emplacement dédié dans votre habitation pour le ranger, au vu de son look épuré, il devrait venir s’insérer très facilement dans votre intérieur.

Roborock confirme tout le bien que nous pensions déjà de son application. L’ajout d’un nouveau produit est toujours aussi simple et les différents paramètres disponibles vous permettent d’opter pour le nettoyage et le séchage qui vous conviendra le mieux. La maniabilité et la possibilité de glisser le Flexi Pro sous les meubles sont un réel plus face à la concurrence. En ce qui concerne son tarif de 599 euros, il nous semble justifier face aux autres modèles et aux prestations qu’il offre.

En ce qui concerne les petites améliorations, nous aimerions une poignée pour retirer plus facilement le bac d’eau usagée. Celle-ci a disparu et c’est un peu dommage. Là, c’est notre test à quatre mains qui parlent, ma moitié aimerait que le distributeur automatique de détergent reste présent. Cela apporte une sensation d’un nettoyage plus efficace, avec l’ajout d’un détergent, mais aussi un petit plus olfactif ! Vous l’aurez compris, Roborock fait, une fois de plus, mouche avec ce Flexi Pro !

Test – Le Roborock Flexi Pro a lire sur Vonguru.

Que vaut le lave-linge connecté et intelligent de Haier, le I-Pro Series 5 HW90 ?

Aujourd’hui, Vonguru vous propose pour la toute première fois le test d’un lave-linge ! Bien sûr, il ne s’agit pas d’un lave-linge comme les autres, puisque celui dont nous allons vous parler aujourd’hui est un appareil connecté, bien sûr ! Il s’agit du Haier I-Pro Series 5 HW90 ! Ce dernier a été acheté courant juin par mes soins suites au décès de mon précédent modèle, un premier prix que j’avais depuis 6 ans et qui avait déjà eu 4 réparations.

J’ai pu bénéficier d’une jolie réduction au moment de son achat, soit 500 €, avec l’installation et la livraison Darty.

Nous ne ferons pas ici de partie unboxing, pour la simple et bonne raison que comme indiqué plus haut, l’appareil m’a été livré puis installé par les techniciens du magasin. Je pense également qu’on sait tous à quoi ressemble un gros carton de lave-linge.

Caractéristiques techniques

Fonctionnalités

Contenu

• Lave-linge
• Tuyau d’entrée
• Bouchons obstructeurs
• Support de tuyau de vidange
• 4x tampons antibruit
• Manuel d’utilisation
• Carte de garantie

Test & Application

Déjà, nous sommes sur une « belle » machine. J’entends par là qu’elle est très esthétique, toute de noire vêtue. Attention cependant aux traces de doigts ! Tout respire la qualité et ce dès le départ. N’ayant toujours eu que des premiers prix, je dois bien avouer que je me retrouve tout de même propulsé dans le futur ici.

Une fois tous les scotchs retirés, c’est l’heure de se familiariser avec la bête, en commençant par les programmes présents directement sur la machine. Nous en aurons 12 au total de présents ici, avec notamment la possibilité de différer notre départ pour profiter de nos heures creuses, comme nous l’avons indiqué dans la partie fonctionnalités.

Mais bien sûr si vous êtes ici, c’est pour la partie connectée, n’est-ce pas ? Il faudra donc télécharger pour commencer l’app hOn, disponible sur Android et iOS. Créez ensuite votre compte si c’est votre première utilisation et suivez les étapes. Rien de sorcier !

Notre machine est également compatible Alexa ! Oui oui ! Une Skill est téléchargeable et vous pourrez ainsi interagir avec votre assistant connecté et votre lave-linge Haier. Quand je vous disais que c’était le futur…

L’application est très, très complète. Vous retrouverez pas moins de… 60 programmes différents ! Vous pourrez également indiquer vos heures creuses afin de programmer toujours vos machines à moindre coûts. Ici, vous pourrez même différer en indiquant l’heure à laquelle vous voulez que la machine se termine, ou bien l’heure à laquelle vous voulez quelle commence.

D’ailleurs, ne soyez pas surpris si les horaires varient. En effet, cela dépend du poids du linge dans la machine car oui, elle pèse aussi le linge et adapte ainsi ses cycles et surtout la qualité d’eau nécessaire.

Seul bémol selon moi, et encore, cela peut sans doute provenir de mon OnePlus 8T qui commence à sérieusement dater… mais l’application met du temps à réagir, à chaque utilisation. Il ne faut donc pas être pressé !

Lors de mon séjour à la maternité, et ayant obtenu ce nouveau lave-linge le jour de mon hospitalisation seulement (je n’ai donc pas eu le temps de me familiariser, les garçons non plus, avec la nouvelle bête), j’ai pu lancer à distance la machine, une fois bien sûr que mon mari ait pris le soin de mettre les vêtements, la lessive et fermée la porte, tout en choisissant évidemment le bouton « remote » au préalable. C’est extrêmement pratique de pouvoir tout faire depuis son smartphone. L’essayer, c’est l’adopter !

Conclusion 

Moi qui adore tout ce qui est connecté, je dois bien avouer que je suis très fan de mon Haier le I-Pro Series 5 HW90, si bien que je n’utilise QUE l’application pour le lancer. Je trouve cela très pratique également car on peut le lancer à distance, comme nous avons pu le constater dans notre test, si tant est bien sûr que quelqu’un soit sur place pour faire le nécessaire pré-lancement.

N’hésitez pas à jeter un œil au site de la marque Haier, car de nombreuses promotions sont disponibles, dont des offres de remboursement.

Test – Lave-linge connecté et intelligent Haier I-Pro Series 5 HW90 a lire sur Vonguru.

Le casque Turtle Beach Stealth 600 passe en génération 3, qu’est-ce qui change ?

Il y a quelques semaines, Turtle Beach nous annonçait l’arrivée de plusieurs nouveaux périphériques gaming dont notamment ce casque Stealth 600 qui en est déjà à sa troisième génération. Si nous n’avons pas encore eu l’occasion de passer en revue des produits de chez Turtle Beach, la marque a en réalité intégré Zotac, il y a quelques semaines. Cette troisième génération du Stealth 600 a été entièrement repensée, mais conserve un tarif identique à celui de la seconde génération !

Le célèbre casque sans fil multiplateforme le plus vendu depuis de nombreuses années, à 109,99 €, est désormais doté de nouvelles fonctionnalités, dont le Bluetooth. Il existe en trois versions : une dédiée à la XBOX, une pour la Playstation et enfin, notre version du jour pour les PC. Notez que si le Stealth 600 est disponible soit en blanc soit en noir pour les consoles, pour la version PC, vous n’aurez le choix que pour la version noire.

Merci à Turtle Beach d’avoir mis à notre disposition un exemplaire du casque Stealth 600 de troisième génération.

Comme la boite l’indique à plusieurs endroits, le point fort de notre Stealth 600 est bien sa polyvalence multiplateforme. Notre sample du jour est compatible avec la PlayStation, la Nintendo Switch, les mobiles ainsi que bien entendu votre PC. Vous pourrez ainsi passer de votre smartphone à votre PC d’un simple clic sur l’un des boutons présent sur le Stealth 600, le tout pour un tarif sous la barre des 110 euros. Avouez que c’est très tentant, non ?

La boite est assez compacte et esthétiquement parfaitement réussie. La face avant reprend un visuel du casque ainsi que la mise en avant de la combinaison WiFi/Bluetooth et de la réduction de bruit du micro via IA. L’une des faces latérales met notamment l’accent sur l’autonomie de 80 heures ! Enfin, la face arrière nous propose encore une illustration du Stealth 600 avec les caractéristiques techniques principales.

L’intérieur de notre boite :

Notre casque Turtle Beach Stealth 600 est parfaitement protégé puisqu’il se trouve dans une coque cartonnée pré-moulée. En plus de la notice de garantie, on retrouve un manuel de prise en main rapide bien utile. Au niveau des accessoires, nous avons le dongle Bluetooth USB-A et un câble USB-C vers USB-A de 2 m qui servira pour la recharge.

Le dongle présent dans la boite vous servira à faire le lien avec votre casque sur PC puisque celui-ci est un modèle sans fil. Extérieurement, nous sommes sur un design très plaisant et qui se veut être passe partout. Les écouteurs pivotent entièrement vers l’intérieur ce qui vous permet de le laisser autour de votre cou très facilement.

Au niveau de la finition, nous sommes sur du noir mat et l’arceau dispose aussi d’une épaisseur suffisante en mousse pour être agréable à porter. On peut aussi apercevoir le logo de la marque imprimé en relief sur le dessus de l’arceau. Vous pourrez régler la hauteur du casque en fonction de votre morphologie. Une mention « L » et « R » vous rappelle le sens adéquat pour mettre votre casque.

Le Turtle Beach Stealth 600 ne tombe pas dans l’excès de rétroéclairage RGB puisqu’il n’y en a pas du tout, et finalement, c’est tant mieux. Vous aurez uniquement le bouton de mise sous tension qui s’illuminera en vert ou en rouge lors de sa mise sous tension ou l’arrêt. Les oreillettes disposent elles aussi d’une bonne épaisseur de mousse à mémoire de forme afin d’être le plus confortable possible et bénéficient d’un tissu respirant. Votre oreille est parfaitement englobée dans l’oreillette. Les oreillettes sont équipées de transducteurs Nanoclear de 50 mm.

Les différents boutons de notre Turtle Beach Stealth 600 :

Voyons à présent les différents boutons disponibles sur le casque. Il y a bien entendu le bouton de mise sous tension. Une petite LED s’illuminera après avoir pressé ce dernier quelques secondes et qui vous indiquera sa mise sous tension. Mais attention, ce n’est pas son unique fonction ! En appuyant une fois dessus lorsque votre casque est sous tension, vous pouvez activer la fonction « Superhuman Hearing ». Celle-ci va permettre d’amplifier les sons du jeu auquel vous participez. Selon Turtle Beach, elle permettrait d’entendre plus efficacement des bruits de pas dans un FPS par exemple.

Au-dessus, on retrouve deux petites roulettes qui vont vous permettre d’augmenter le volume sonore ainsi que celui du retour de micro. L’idée est que vous pouvez ainsi vous entendre parler dans le micro et donc ajuster correctement le volume de ce dernier.

Vient ensuite le bouton d’égalisateur de son (EQ). Celui-ci va vous permettre de choisir entre quatre configurations prédéfinies. Ce sera selon votre ressenti de choisir pour l’une ou l’autre. Il vous sera possible de les modifier dans l’application. En dessous, c’est le connecteur USB-C que nous retrouvons afin de recharger votre casque lorsque c’est nécessaire. Turtle Beach annonce une autonomie de 80 heures, oui, rien que cela.

Le micro ne peut pas être enlevé mais finalement, ce n’est pas vraiment un souci. En contrepartie, vous pourrez le faire pivoter vers le haut afin de le faire disparaitre dans l’oreillette gauche. Dès que celui-ci est fermé, il se coupe automatiquement et reprend donc la fonction « mute ». Globalement, notre Turtle Beach Stealth 600 respire la qualité et inspire un sentiment de solidité. Comme nous avons pris l’habitude avec certains produits, si nous conservons celui-ci, nous vous ferons un retour après six mois d’utilisation.

Nos impressions vont être focalisées sur l’utilisation du Turtle Beach Stealth 600 avec notre smartphone ainsi qu’en utilisation PC. Pensez à recharger votre casque et ensuite télécharger l’application dédiée « Swarm II » sur notre smartphone S23. Sachez que l’application est aussi disponible sur PC, en version 1.0.0.2, en suivant ce lien. L’application PC est plus complète que l’application smartphone.

L’application Swarm II pour notreTurtle Beach Stealth 600 :

Une fois que l’application est téléchargée, celle-ci devrait détecter automatiquement votre casque. Comme bien souvent lorsque c’est la première fois que vous installer une nouvelle application, il se peut que des mises à jour soient nécessaires. Ici, ce sera bien le cas, avec une mise à jour du micrologiciel (firmware) de notre Turtle Beach Stealth 600. Vous devrez l’exécuter sur le PC avec le dongle connecté.

L’application est très complète et vous permettra de contrôler de nombreux paramètres. Vous pourrez ainsi agir sur le volume sonore ainsi que sur le retour du micro. Pour rappel, deux petites roulettes sont aussi présentes sur le casque et jouent un rôle identique. L’application dispose aussi de son propre égalisateur.

Le logiciel dispose d’un égaliseur avec quatre pré-réglages intégrés : signature sonore, amplification des basses, amplification des basses et des aigus et amplification vocale. L’onglet suivant va vous permettre de régler les interactions par rapport au micro, qui pour rappel, est désactivé par défaut lorsqu’il est relevé. Vous aurez aussi la possibilité de modifier l’interaction de deux boutons ainsi que le dongle. Enfin, le dernier onglet vous indiquera votre version et si une mise à jour est nécessaire. 

Pour un casque tarifé à moins de 110 euros, l’application est vraiment ultra complète. Et pour terminer, voici une série de captures de l’application PC, qui comme nous vous le disions, se montre encore plus complète.

L’utilisation pendant une semaine du Turtle Beach Stealth 600 :

Voilà une semaine que nous utilisons notre casque Turtle Beach Stealth 600 sur PC ou sur smartphone. Nous l’avons utilisé pour regarder Netflix, écouter de la musique et participer à quelques réunions en ligne.

Mes premières impressions sont très bonnes et c’est surtout le rapport qualité/prix qui me semble excellent. Le point fort de ce casque est aussi la facilité de le connecter sans fil à notre PC en une simple pression ainsi que la simplicité pour passer ensuite sur notre smartphone. En ce qui concerne nos différentes réunions en ligne, nous avons posé à chaque fois la question à notre interlocuteur en fin de réunion pour avoir son avis quant à la clarté de notre micro, et c’est un sans faute. Pas d’impression d’être au bout d’un tunnel ou d’un son trop faible. Nous avions bien entendu pris le temps de le régler correctement. Autre point positif, le fait que le micro se mette hors tension ou qu’il s’allume directement en fonction de sa position, relevé ou abaissé.

Nos impressions, concernant le confort, sont aussi très bonnes. L’arceau bénéfice d’une épaisseur de mousse suffisante et se fait oublier assez rapidement. Nous n’avons pas ressenti le poids du casque ni eu l’impression d’avoir les oreilles qui chauffent, même après trois heures d’utilisation consécutives. Les mousses à mémoire de forme qui sont utilisées pour les écouteurs et qui englobent l’oreille se montrent rudement efficaces. Enfin, le casque tient parfaitement en place sur votre tête même si vous devez vous déplacer en le portant, mais sans avoir l’impression d’être trop serré sur votre tête : un juste équilibre.

Un mot aussi sur l’autonomie après une semaine d’utilisation, et bien, nous avons encore 43 % de batterie après une semaine d’utilisation intensive ! C’est un énorme atout pour ce Turtle Beach Stealth 600. Ce casque nous semble être un excellent choix, si pas l’un des meilleurs pour cette catégorie de prix. L’application Swarm II est aussi très facile à prendre en main et ultra complète sur PC.

Est-ce la meilleure génération des trois ? Difficile à dire puisque nous n’avons pas testé les deux autres, mais au vue de ses nombreuses qualités, nous ne pouvons qu’en être convaincu. De plus, Turtle Beach qui fait le choix de conserver le même tarif pour cette troisième génération que celui de la seconde, ne nous incite qu’à les féliciter !

Test – Le casque Stealth 600 de Turtle Beach (Gen 3) a lire sur Vonguru.

Ecovacs Goat G1-800 : le robot tondeuse qui pourrait vous convaincre de franchir enfin le pas !

Vous l’aurez certainement remarqué, depuis plusieurs semaines, le rituel de la tonte de votre pelouse a repris et comme chaque année, vous êtes nombreux à vous poser la question de l’achat d’un robot tondeuse. Personnellement, c’est le cas depuis plusieurs années, mais le cout d’achat et l’obligation de délimiter le périmètre de votre jardin par un fil, ont freiné mon ambition de franchir le pas de l’achat d’un robot tondeuse.

Avec le Goat G1-800 de la marque Ecovacs, les choses pourraient bien changer ! Le prix actuels nous semblent très intéressant puisqu’il était encore, il y a quelques jours, à 999 euros à l’occasion des French Days et surtout, vous ne serez pas obligé d’installer un fil pour délimiter votre jardin. Nous avons donc hâte de passer au déballage ainsi qu’au test de ce robot tondeuse Ecovacs Goat G1-800. Vous pouvez découvrir ci-dessous une partie de notre test en vidéo et bien entendu, le test écrit au fil des pages de cet article.

Merci à Ecovacs de nous avoir offert l’opportunité de tester ce robot tondeuse pendant 4 semaines et nous avons hâte de passer en revue d’autres produits de la marque dans les semaines à venir !

La gamme des robots tondeuse d’Ecovacs se compose actuellement de quatre modèles différents : le Goat GX-600, le Goat G1-800, le Goat G1 et le Goat G1-2000. Si les caractéristiques techniques diffèrent entre ces différents modèles, le choix se fera principalement en fonction de la surface de votre pelouse. Ecovacs les classe en fonction de la surface, avec moins de 600 m², de 600 à 1000 m², de 1000 à 1600 m² et enfin de 1600 à 2000 m². Comme vous l’avez compris, le modèle que nous passerons aujourd’hui en revue est le Goat G1-800. Il sera donc apte à tondre une surface pouvant atteindre 1000 m², supporter des pentes allant jusqu’à 45° et le tout sans avoir besoin de délimiter le périmètre de votre pelouse par des câbles.

Déballons cette imposante boite 

Comme vous pouvez le constater, les dimensions de la boite sont assez importante puisque nous sommes ici sur du 78 x 51 x 55 cm. Les différentes faces reprennent des illustrations de notre robot tondeuse Goat G1-800 ainsi que de ses caractéristiques techniques. Ecovacs met en avant sa collaboration avec le célèbre footballeur Michael Ballack, devenu ambassadeur de la marque : « La passion de Michael Ballack pour une pelouse parfaite l’a accompagné tout au long de sa vie ».

Comme vous pouvez le voir sur nos photos, la caisse a subit un coup assez important sur l’arrière durant le trajet. Espérons que les éléments sont parfaitement protégés à l’intérieur de la boite afin de ne pas avoir une mauvaise surprise.

Lors de l’ouverture du carton, nous tombons directement sur une première notice d’installation. C’est devenu chose assez courante chez les différents fabricants de robots, que ce soit tondeuse ou aspirateur. La notice d’installation semble relativement simple au premier coup d’œil, nous verrons si c’est réellement le cas à la page suivante.

Sous celle-ci se trouve une boite contenant les accessoires, mais l’on peut aussi découvrir le sommet de ce qui doit être la station d’accueil. Bonne nouvelle, on peut appercevoir de gros blocs de frigolite qui protèges les différentes pièces. Débutons avec la boite des accessoires qui contient : 6 piles, l’alimentation électrique, une rallonge, 8 chevilles noires en plastiques, un kit de lame de rechange, une clé hexagonale ainsi que les deux balises à venir assembler après avoir installé les 3 piles.

Une fois le sommet de la station d’accueil retiré, on peut découvrir l’élément principal, le robot tondeuse Goat G1-800 emballé dans un sachet afin d’éviter qu’il ne soit griffé lors du transport et bien protégé, afin d’assurer une livraison dans les meilleurs conditions. Comme on peut le voir, l’impact dans la boite en carton n’a eu aucune conséquence sur les éléments se trouvant à l’intérieur de la caisse ! Cela prouve que les blocs en frigolite ont fait parfaitement le job.

Enfin, le dernier élément présent est la rampe d’accès à la base d’accueil. Il faudra donc très certainement associer les deux éléments.

La station d’accueil

Débutons avec la station d’accueil que nous allons assembler. Il suffit simplement de venir clipser la partie haute sur la rampe d’accès. On remarque directement la présence d’une brosse sur la partie haute. Celle-ci aura pour but de nettoyer la caméra panoramique automatiquement, à chaque fois que notre robot tondeuse Ecovacs Goat G1-800 rentre dans la station d’accueil. Celle-ci est amovible et peut être remplacée en cas de besoin.

En assemblant les deux éléments, faites bien attention de ne pas pincer le câble d’alimentation et de le laisser pendre à l’arrière. On peut voir aussi sur la partie arrière un cache. Celui-ci pourra être utilisé si vous décider d’acquérir un module cellulaire.

Pour terminer, sur la partie haute se trouve une zone de rangement. Vous pourrez y ranger le kit de lames de rechange ainsi que le cache de la caméra panoramique.

Le robot tondeuse Goat G1-800

Observons à présent en détails ce Goat G1-800. Notre exemplaire est de couleur blanche mais sachez qu’une version grise est également disponible, pour le même tarif, c’est-à-dire 1099 euros. Esthétiquement, le Goat G1-800 est plutôt plaisant avec ses deux énormes roues crantées de 22 cm et son parechoc extérieure qui fait le tour de la face avant.

Débutons avec la partie supérieure et les présences de plusieurs caméras. Tout d’abord, sur le sommet, la caméra panoramique protégées par un cache que nous avons enlevé pour les photos. Il n’est pas nécessaire de le replacer à chaque fois, puisque lorsque le robot tondeuse est dans sa station d’accueil, elle est totalement protégées. Notre robot tondeuse est aussi équipé d’une caméra IA ainsi que d’un capteur ToF, cette technologie permet un évitement intelligent et stratégique.

Doté d’un algorithme spécialement conçu pour une utilisation en extérieur, ce robot tondeuse est capable de reconnaître et de contourner les objets courants, ce qui garantit une tonte en douceur et sans obstacle, ainsi qu’une utilisation en toute sécurité à proximité de vos proches et de vos animaux de compagnie.

Les deux petites ailettes sur de parts et d’autres de la caméra panoramique sont les points de contact pour la recharge. Notre robot tondeuse dispose sur la partie arrière d’un capteur de pluie. Celui-ci permettra à votre Goat G1-800 de retourner à sa base d’accueil si il se met à pleuvoir. Notez qu’aucun abri n’est livré avec le robot tondeuse mais il est possible d’en acquérir un pour un tarif de 149 euros. Toujours sur l’arrière, on retrouve l’antenne réceptrice ainsi qu’un bouton rouge d’arrêt d’urgence si cela s’avérait nécessaire.

En soulevant le clapet, vous accédez au panneau de contrôle. Sur la face intérieure du clapet se trouve le QR Code que vous devrez scanner lorsque vous installerez votre robot tondeuse afin de faire la liaison avec l’application. Au centre se trouve la molette de réglage de la hauteur de coupe. Par défaut, elle est sur 60, mais vous pouvez descendre jusque 30. Enfin, le panneau de contrôle qui peut être utilisé pour les différents réglages mais qui peuvent aussi se faire directement via l’application Ecovacs Home sur laquelle nous reviendrons par la suite.

Pour terminer, retournons notre robot tondeuse Ecovacs G1-800 afin de voir ce qui s’y cache. On peut voir au centre la partie en charge de tailler votre pelouse avec une largeur de coupe de 22 cm et une hauteur réglable entre 30 et 60 mm. Un compartiment verrouillé renferme la batterie Lithium-ion de 4Ah. Enfin, en plus des deux roues crantées de 22 cm, la partie avant dispose de deux roues multidirectionnelles.

Un accès WiFi extérieur

Qui dit robot tondeuse dit connexion WiFi très souvent obligatoire à l’extérieure de votre habitation. Le signal n’étant pas suffisant chez moi, nous avons du installer un point WiFi à l’extérieur via un point d’accès TP-Link EAP225 Outdoor. Nous vous invitons à lire notre article dédié à ce point d’accès afin de découvrir son installation ainsi que son paramétrage. La connexion WiFi permettra par la suite de contrôler votre robot à distance comme bon vous semble. Vous verrez que ce n’est pas obligatoire pour faire fonctionner l’Ecovacs Goat 800, mais c’est un plus qu’il puisse bénéficier d’une connexion internet.

Installation de la station d’accueil

Préparons dans un premier temps tous les éléments dont nous aurons besoin pour l’installation de notre robot tondeuse Ecovacs Goat G1-800 : la station d’accueil et ses chevilles en plastique, le robot tondeuse, le câble d’alimentation et sa rallonge, les deux balises et les six piles et enfin la notice d’installation

Ecovacs recommande d’installer la base d’accueil avec un espace libre de part et d’autres de 2 mètres et une herbe tondue à moins de 60 mm autour de celle-ci. En plus de cette recommandation, vous aurez besoin d’avoir une prise de courant à proximité. La station d’accueil dispose d’un couvercle sur la partie supérieure qui vous permettra par exemple de stocker les kits de lames de rechange ainsi que le cache de la caméra panoramique. Nous avons donc pris soin d’installer la station d’accueil proche de notre point d’accès Wi-Fi.

Afin que celle-ci tienne en plus, vous devrez insérer dans l’herbe 8 vis en plastique qui rentrent très facilement dans le sol et qui maintiendront la station en place. Mettons à présent la station d’accueil sous tension qui devrait s’illuminer en bleu sur la partie supérieure. Lorsque celle-ci est sous tension, venez glisser le robot tondeuse Goat G1-800 dans la station afin de débuter la recharge. Le nôtre disposait déjà d’une recharge de 78%, ce qui nous permettra de gagner du temps pour la suite.

Nous arrivons au moment où vous allez devoir télécharger l’application afin de poursuivre l’installation de votre robot tondeuse. Cependant, vous pouvez déjà, directement via les touches du pavé tactile, choisir la langue et un code pin à 4 chiffres de sécurité. Sinon, l’application vous proposera de le faire une fois téléchargée.

L’application Ecovacs Home

Direction App Store ou Google Play afin de télécharger l’application Ecovacs Home. Si vous ne disposez pas encore de produits Ecovacs et donc de l’application, vous devrez dans un premier temps vous créer un compte. Ensuite, il suffira d’ajouter le premier produit en scannant son QR Code, qui se trouve ici sous le clapet qui protège la zone de contrôle sur le dessus du robot tondeuse.

Comme nous vous l’avions dit, nous avons déjà préalablement choisi la langue ainsi que le code pin. Il nous suffit donc de l’introduire dans l’application afin de la connecter à votre robot tondeuse Goat G1-800 via le Bluetooth. C’est ici que vous allez avoir la possibilité de connecter votre robot à votre Wi-Fi, ce qui vous permettre de le commander à distance. C’est une option qui nous semble vraiment obligatoire afin de profiter pleinement de votre robot. Attention, votre smartphone et votre robot tondeuse devront bien entendu être connecté sur le même réseau WiFi.

Comme c’est souvent le cas lors de l’installation d’un robot aspirateur, d’un balai connecté et ici de notre robot tondeuse, il est nécessaire de mettre à jour le micrologiciel du composant. C’est donc ce que nous allons faire directement. Vous allez devoir ensuite ajouter les deux balises en scannant leur QR Code.

Maintenant qu’elles sont identifiées, vous allez devoir venir les placer dans votre jardin. Gardez en tête que le rayon de couverture du signal de chaque balise de navigation est de 45 m. L’idée est ainsi de vous assurez d’avoir une couverture complète de la surface de votre jardin. Le nôtre faisant un peu plus de 400 m², nous n’aurons aucun souci avec deux balises. Il est bien entendu possible, voir nécessaire d’en ajouter, selon la surface de votre pelouse. Elles sont disponibles sur le site Ecovacs au prix de 99 euros. Une fois de plus, l’application vous guide pas à pas afin de vous aider à mettre celles-ci en place.

Il est possible via l’application, lorsque le périmètre a été défini et que le robot a identifié toute la surface de mesurer la qualité de la couverture comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus.

Identification du périmètre de votre pelouse et cartographie

Nous arrivons à présent dans le vif du sujet et notre robot tondeuse Ecovacs Goat G1-800 va enfin être mis à l’épreuve afin de débuter la cartographie de votre pelouse. Vous pouvez choisir le mode « auto » ou « carte à distance ». Personnellement, nous trouvons que « carte à distance » est plus adapté à notre type de terrain qui dispose d’une forme assez particulière.

C’est parti pour jouer avec votre voiture téléguidée, pardon, votre tondeuse afin de délimiter le périmètre de votre pelouse. L’idée est de terminer en revenant à la station d’accueil où grâce à une pression sur l’icône base, le robot rentrera automatiquement dans cette dernière. L’application va ensuite vous proposer de définir à l’intérieur de la zone délimitée, des zones interdites. Bien que le robot tondeuse Ecovacs Goat G1-800 puisse automatiquement ajuster sa direction lorsqu’il rencontre des obstacles solides tels que des pierres ou des arbres, il est nécessaire de configurer des zones interdites pour les objets que vous souhaitez protéger, tels que des parterres de fleurs, un trampoline ou un potager. Afin de protéger votre l’intégrité de votre robot tondeuse, il est important de lui indiquer ces zones interdites comme les racines proéminentes d’un arbre, un câble exposé, une piscine ou une pente de plus de 45 %.

La cartographie est terminée et notre application relève une surface de 457 m². Nous sommes prêts à présent pour débuter notre première tonte !

Tout est prêt, il ne reste plus qu’à nous lancer dans une première tonte. Comme il s’agit de la toute première, nous allons laisser la hauteur de coupe sur 60. Pour rappel, la hauteur de coupe se règle directement sur le robot et non pas via l’application. Sachez que l’application offre aussi toute une série de paramètres comme : l’efficacité de la tonte (délicate ou efficace), le sens de la tonte, le capteur de pluie, la protection des animaux, le long des murs, le mode d’évitement des obstacles et les fonctionnalités de laboratoire.

L’application vous donne aussi des informations sur l’état de santé de votre robot tondeuse. Plus sérieusement, sur l’état des lames, de la brosse de la caméra ainsi que sur l’état des piles présentes dans les balises. Il est aussi possible d’activer une alarme si la tondeuse est soulevée lors d’une tentative de vol. Tant que nous sommes à parler de la sécurité, vous pouvez aussi décider d’attribuer à votre robot tondeuse une tache de surveillance, soit manuellement soit planifiée. Maintenant, la qualité est trop faible pour vraiment pouvoir en tirer parti. Identifier une personne serait vraiment très compliqué.

MISE à jour : et oui, l’article était déjà prêt pour publication, mais notre utilisation du robot se poursuit ! Nous avons donc ainsi trouvé des réglages qui améliorent nettement la qualité de la caméra et donc des captures vidéos ou des images. Voici les deux paramètres activés et les résultat obtenus, nettement meilleurs.

C’est parti pour la première tonte 

Trêve de discussion et lançons la tonte de notre pelouse ! Nous avons choisi le mode « automatique » pour cette première fois. Vous aurez aussi la possibilité de tondre par zone (prédéfinie), le long des murs et manuel. Vous pourrez aussi modifier le sens de tonte, ce que nous vous conseillons afin d’obtenir un meilleur résultat. La tonte des 457 m² débute et l’application nous annonce une durée de 4h57′ soit une heure les 100 m². Inutile d’imaginer que notre robot tondeuse devra retourner à sa station pour se recharger et qu’il lui sera impossible de tondre toute la surface de notre pelouse en une seule fois.

Nous vous conseillons d’être à la maison pour cette première tonte afin de pouvoir réagir si le robot venait à se coincer dans une zone. L’application nous annonce une durée de tonte de 4 heures et 57 minutes lors du démarrage de la tondeuse.

Nous avons mis ci-dessus et ci-dessous une série de capture durant la tonte afin que vous puissiez voir l’état d’avancement. Notre robot tondeuse a du retourner deux fois à la station d’accueil pour se recharger. Une fois que la charge dépasse les 80%, il se remet au travail et continue de tondre. Dans un premier temps, certaines zones dans le prolongement des arbres n’ont pas été faites, mais il a terminé par ces trois zones. L’application permet de suivre en temps réel la position du robot tondeuse !

Au final, notre robot tondeuse Ecovacs Goat G1-800 aura mis 6 heures et 30 minutes pour tondre la surface complète de notre pelouse de 456 m². L’application nous indique, elle, une durée de tonte, c’est-à-dire, sans les périodes de recharge de 4 heures et 26 minutes pour une surface de 561 m².

Nos premières impressions après la tonte

Notre première réflexion fut : « c’est long ! ». Mais au final, on s’en fiche puisque l’ensemble de la surface de pelouse a été tondue et c’est bien là l’objectif principal ! Le robot tondeuse Ecovacs G1-800 n’a rencontré aucune difficulté sur son parcours et pourtant, notre pelouse est loin d’être un billard avec à certains endroits, des racines d’arbres à fleur de pelouse. Nous devrions d’ailleurs repasser à l’occasion un rouleau afin d’aplanir notre pelouse.

Le résultat de la tonte est parfait et bien entendu, seul le contour des arbres, inaccessible pour le robot n’a pas été réalisé mais ce n’est pas possible non plus avec une tondeuse traditionnelle. Le périmètre le long des murs et de notre clôture est très satisfaisant, bien mieux que ce que nous pensions obtenir. Un autre atout non négligeable sont les très faibles nuisances sonores. Il est tout a fait possible de déjeuner sur la terrasse avec le robot qui tond pendant ce temps là. Impossible avec notre tondeuse à essence !

Comme vous pouvez le voir sur les photos, par défaut, le robot tond dans le prolongement de la station d’accueil. Pour la prochaine tonte, nous allons modifier le sens de tonte afin d’avoir un autre résultat et ainsi au final, un résultat qui sera encore plus pertinent. Nous vous conseillons de varier le sens de tonte toute les semaines afin d’obtenir encore un meilleur résultat global. Bref, vous l’aurez compris, c’est un sans faute pour cette première tonte !

Sachez aussi qu’il existe quatre modes de tonte : automatique (qui va se baser sur la cartographie), zone (que vous pourrez créer selon vos besoins), le long des murs et manuel. Pour ce dernier mode, vous gérer manuellement la tondeuse et vous décidez quand elle doit tondre. Elle ne se base pas du tout sur la cartographie et très utile si un endroit avait été oublié.

Les paramètres de l’application 

Voici quelques captures de l’application et des différents réglages que nous avons choisi. Nous avons modifié l’option d’efficacité de la tonte en la plaçant sur « efficace ». Nous avons changé le sens de coupe afin d’alterner entre les différentes tontes. Nous avons aussi activé le mode « reconnaissance IA » ainsi que l’alarme si la tondeuse est levée.

Il est temps à présent de vous faire part de nos impressions sur ce robot tondeuse Goat G1-800 de la marque Ecovacs.

Il est temps de vous donner nos impressions sur ce robot tondeuse Goat G1-800 de la marque Ecovacs. C’est une première pour nous, même si plusieurs robots aspirateurs sont déjà passé entre nos mains, il s’agissait de notre premier coup d’essai pour un robot tondeuse. Le premier ressenti est que finalement un robot tondeuse de nouvelle génération  ne nécessitant plus de câbles périphériques se comporte comme un robot aspirateur. La seule différence est que vous devrez indiquer le périmètre de votre pelouse avant de laisser le Goat G1-800 inspecter la surface intérieure et identifier les différents obstacles, comme les arbres.

À ce petit jeu là, notre exemplaire du jour réalise un sans faute ! La cartographie réalisée par le robot reflète parfaitement la réalité du terrain. Nous découvrions aussi pour la première fois l’application « Ecovacs Home » qui s’est montrée très intuitive et qui nous a permis d’installer et de paramétrer sans encombre notre robot tondeuse. Nous n’avons rencontré aucune difficulté lors de l’installation. Comme nous l’avons souligné durant notre test, il est nécessaire d’avoir une couverture WiFi suffisante à l’extérieure afin de pouvoir commander votre Ecovacs Goat G1-800 à distance.

Mais quel plaisir de rentrer chez soi d’une journée de travail et de pouvoir profiter d’un jardin fraichement tondu ! Les nuisances sonores très faibles vous permettent de profiter pleinement de votre extérieur même si le robot est en action ainsi que l’utiliser le dimanche sans risque de s’attirer les foudres de ses voisins. Vous pourriez même ranger définitivement votre tondeuse essence et l’échanger contre un coupe bordure sur batterie pour faire les finitions notamment autour des arbres ou des pieds d’une balançoire.

C’est assez fou d’imaginer le bond en avant réaliser par cette nouvelle génération de robot tondeuse ne nécessitant plus de câbles périphériques ! Le tarif nous parait aussi parfaitement correcte pour les prestations offertes puisqu’il est de 1099 euros.

Alors, un sans faute ? Presque. Pour ceux qui disposent d’une grande surface de pelouse, l’achat d’une ou de plusieurs balises fait encore grimper la note. Ici, pour nos 500 m², les deux balises fournies sont très largement suffisantes. Tout dépendra de l’agencement de votre pelouse. Même si il s’agit d’une excellente idée, la qualité vidéo du mode de surveillance n’est pas de très bonne qualité avec les réglages par défaut. Cela a le mérite d’exister et évoluera très certainement dans les mois à venir. Malgré cela, nous pouvons sans hésiter attribuer un Vonguru d’or à ce robot tondeuse Ecovacs Goat G1-800.

Nous espérons pouvoir conserver ce robot tondeuse Ecovacs G1-800 durant cette période estivale afin de pouvoir vous redonner nos impressions dans 3 mois. L’idée est de pouvoir juger de ses qualités sur une durée plus longue, vous expliquer son entretien ainsi que faire un compte-rendu de l’état d’usure des lames et du robot après une saison de tonte. Merci à Ecovacs France de nous avoir offert l’opportunité de réaliser ce test.

Test – Le robot tondeuse Goat G1-800 de la marque Ecovacs a lire sur Vonguru.

Test – Dreame Roboticmower A1

Après vous avoir proposé le test de l’aspirateur robot L10 Prime mais aussi du nettoyeur de sol H12 Pro, puis du H11 Core, et enfin du L10s Pro Ultra Heat, nous revenons aujourd’hui avec le robot tondeuse de la marque, le Roboticmower A1 qui se trouve d’ores et déjà pour 1 999 euros. Nous vous en avions d’ailleurs déjà parlé lors de son annonce au CES 2024.

Alors, que vaut-il au quotidien ? Mérite-t-il que l’on s’intéresse à lui ? Réponse dans notre test !

Déballage

Notre robot tondeuse nous arrive dans un gigantesque carton. En plus d’être très volumineux, sachez qu’il est aussi très lourd. Sortant de maternité et d’une césarienne à sa réception, je peux vous dire que j’ai évité de le déplacer par moi-même. Sur ce carton, nous apprenons toutes les spécificités de notre A1. Nous ne les détaillerons pas ici mais un peu plus bas dans l’article.

À l’ouverture, nous retrouvons tous les éléments et accessoires de notre robot tondeuse dissimulés derrière un planche de carton où sont indiquées toutes les étapes d’installation. Cela me rappelle clairement l’ouverture des cartons des sièges Secretlab. De même, il est à signaler que tous les éléments sont parfaitement rangés dans le carton et tout est bien protégé par de gros blocs de polystyrène. Dans tous les cas, cela a fait son office puisqu’il est arrivé en excellent état.

Avec le A1 et sa base, nous trouvons :

• un manuel d’utilisation
• une brosse de nettoyage
• 8 vis et une clé Allen
• un adaptateur secteur
• un chiffon
• le guide de démarrage rapide
• un kit de lames de rechange

Caractéristiques générales

• Réglages plus rapides des limites sans câbles – Grâce à la technologie OmniSense, cartographiez facilement votre pelouse et personnalisez les différentes zones de tonte selon vos préférences. Finis les câbles désordonnés ou les bornes RTK complexes qui vous empêchent de profiter d’une pelouse fraîchement coupée et impeccable.
• Gestion intelligente et intuitive des zones – Les routines de tonte sont vraiment simples : vous n’avez plus besoin de surveiller l’ensemble du processus. Les tâches de tonte en temps réel ou planifiées, les zones de tonte ou interdites, ainsi que les zones temporaires ou prédéfinies peuvent toutes être réglées avec l’application Dreamehome.
• Évitement d’obstacles 3D omnidirectionnel – Grâce à la technologie de données à nuage de points 3D et aux algorithmes d’IA avancés, l’A1 identifie et contourne intelligemment les obstacles dans les limites définies, pour une tonte sûre et contrôlée de la pelouse.
• Planification de trajectoires en U pour des résultats optimaux – L’A1 fonctionne selon une trajectoire en U novatrice qui couvre parfaitement votre pelouse, pour une uniformité et une qualité de coupe impressionnantes. Des terrains spacieux jusqu’à 1 000 m² peuvent être entièrement entretenus en seulement 24 heures.
• Contrôle intuitif par application – Vous pouvez contrôler le robot tondeuse manuellement, mais aussi prendre les commandes à distance via l’application Dreamehome pour accéder à des fonctionnalités plus avancées.

Caractéristiques

• Robot tondeuse Dimensions – 643 x 437 x 261 mm
• Station de recharge Dimensions – 778 x 490 x 309 mm
• Poids Robot tondeuse – 12 kg
• Poids Station de recharge – 3,3 kg
• Réglage des limites – Ni câble ni station RTK requis
• Capacité de la superficie de travail – 2 000 m²
• Efficacité de la tonte – Standard : 1 000 m²/24 h – Efficacité : 2 000 ㎡/24 h
• Modes de fonctionnement – 4
• Recharge automatique – Oui
• Hauteur de coupe – 3 – 7cm
• Largeur de coupe – 22cm
• Réglage de la hauteur de coupe – Contrôle des applications
• Performances maximales en pente – 45%/24°
• Batterie – 5 Ah
• Courant de recharge – 3A
• Temps de recharge – 65 min
• Indice d’étanchéité – IPX6

Première installation

Pour la première installation du A1 de Dreame, prévoyez clairement quelques heures devant vous. Dans mon cas, j’ai mis deux bonnes heures et demi pour que ce soit totalement fonctionnel. Bref, tout d’abord, il faudra se munir des vis et de la clef Allen pour visser la base dans le sol. Une fois fixée, on viendra ajouter la seconde partie de la base qu’il faudra clipser sur la partie au sol. On finira par rattacher le câble de la base à l’adaptateur secteur pour brancher le tout sur le courant.

Maintenant que la base est branchée, on récupère le robot tondeuse et on va appuyer sur le bouton « stop » afin de laisser place à son écran. À partir de là, nous allons rester appuyé quelques secondes sur le bouton central afin de lancer l’appairage Bluetooth et la connexion au réseau. En parallèle, pensez à télécharger l’application dreamehome de la marque afin de pouvoir finaliser l’installation.

Une fois l’application téléchargée et installée, nous allons scanner le QR code présent sous le capot du A1 pour continuer l’appairage. Nous touchons au but car il ne nous restera qu’à le relier à notre connexion internet.

Maintenant que le robot tondeuse est rattaché à notre application, il va nous rester une dernière étape qui est la cartographie du jardin. Pour cela, il ne le fera pas seul comme un robot aspirateur ménager. Non, vous devrez vous munir de votre smartphone comme une manette pour diriger le A1 dans votre jardin. Une fois ceci fait, nous allons paramétrer un point de départ et de fin avant de finaliser l’installation. À partir de là, vous pouvez éventuellement démarrer une première tonte si l’autonomie du robot le permet ou bien le remettre sur sa base pour un rechargement.

Globalement l’installation de ce Dreame A1 est assez simple et surtout rapide. D’autant plus que, contrairement à la concurrence, nous n’aurons pas besoin ici de mettre en place des câbles ou balises pour guider le robot.

Application

À l’ouverture de l’application Dreame, nous nous retrouvons face à une image du robot tondeuse. À partir de là, on appuiera sur le bouton « afficher l’appareil » pour accéder à tous ses paramètres. On accède alors à la cartographie de notre jardin et à toutes les possibilités le concernant. En bas à droite, vous trouvez aussi l’option permettant de diriger le A1 avec votre smartphone.

Il nous sera aussi possible de mettre en place des programmes afin que le robot tondeuse démarre automatiquement à des moments donnés.

Ensuite, on dispose de bon nombre de paramètres modifiables concernant la carte du jardin et les préférences de tonte. Par exemple, on pourra gérer la hauteur souhaitée de la tonte entre 3 et 7 cm et tout ce qui concerne le système de reconnaissance d’obstacles. Si vous n’avez pas un jolie gazon, il faudra possiblement désactiver cette option pour éviter qu’il ne rentre à la base au moindre pissenlit un peu haut rencontré !

On termine le tour de l’application de Dreame avec les paramètres où on pourra changer la langue du robot, désactiver/activer les notifications, mettre un verrouillage parental, etc.

L’application est vraiment complète et permet globalement de gérer tout ce dont on a besoin.

Design et esthétisme 

En ce qui concerne son design, nous avons affaire ici à un robot tondeuse vraiment esthétique. Effectivement, il a vraiment une allure de petite voiture et pourra certainement amuser les enfants, voir même les grands ! Globalement, tout est bien fini. Nous ne constatons pas de défaut d’ajustement en sortie de boîte.

Utilisation quotidienne

À l’usage, ce Dreame A1 est particulièrement sympa à utiliser. Effectivement, une fois la cartographie de votre jardin effectuée, vous pourrez lui demander de le tondre sans aucune surveillance. En amont, il faudra bien entendu faire un tour dans l’application afin de mettre en place quelques programmes d’automatisation si vous le souhaitez mais surtout paramétrer les options de tonte (hauteur de l’herbe etc). Ensuite, le A1 fera tout tout seul.

À titre personnel, je n’utilise pas les programmes automatiques. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire que l’herbe soit tondue à ras chaque semaine. Je préfère demander manuellement au robot tondeuse de se lancer si je l’estime nécessaire.

Bien entendu, il faudra de temps à autre changer les lames (qui semblent vraiment bien accessibles ceci dit) mais en théorie, l’application de Dreame devrait pouvoir vous dire quand il faudra le faire, à l’instar des robots aspirateurs. En plus de cela, un set de lames supplémentaire est fourni dans le carton du robot tondeuse. Mais à part cela, c’est quasiment les seuls consommables que vous aurez sur ce modèle !

Le Dreame A1 est pourvu d’un capteur disposant de la technologie 3D Omnisense qui vous assure une parfaite navigation dans votre jardin. Et c’est effectivement le cas ! Il prend en compte les obstacles afin de les contourner, idem pour les humains et animaux. Ceci dit, comme je le disais dans la partie application, pensez à désactiver certaines gestions d’obstacles car il risquera de se bloquer sur certaines herbes hautes ou pissenlits, fleurs, etc. C’est le cas dans mon jardin où j’avais des hautes tiges de pissenlit notamment et le A1 s’est arrêté devant et comme il était déjà passé autour, est rentré à sa base ! Je n’ai compris qu’après qu’il fallait désactiver l’option en question. Pensez donc à les regarder avant de lancer une tonte !

Malgré tout, il tond relativement vite. Pour mon petit jardin de lotissement, il prend une petite demi-heure pour le faire entièrement. À son départ, c’est propre et bien tondu. Si ce n’est quelques tiges de pissenlit encore une fois qui peuvent être récalcitrantes et se relever juste après son passage, histoire d’être bien pénibles…!

Dans mon cas, je trouve cet appareil vraiment pratique et nous dégage pas mal de temps. Avec un nourrisson à la maison, ce n’est pas négligeable de pouvoir gagner quelques minutes par-ci par là avec le A1 mais aussi avec le robot aspirateur Roborock S8 Pro Ultra par exemple.

Le Dreame A1 est aussi très silencieux ! En effet, il est quasiment inaudible si vous le lancez dehors et êtes à côté. Autant vous dire qu’avec celui-ci, vous pourrez largement vous permettre de tondre hors des périodes réglementées par votre mairie !

Conclusion

Nous arrivons donc au terme de ce test du robot tondeuse Dreame A1, alors qu’en avons-nous pensé ?

Globalement, ce robot tondeuse nous fait clairement gagner du temps au quotidien puisqu’une fois la cartographie faite, il n’y a plus qu’à le démarrer pour qu’il tonde notre pelouse sans notre intervention. C’est pratique et nous enlève de sacrées corvées du quotidien, à l’instar de l’aspirateur par exemple avec le Roborock S8 Pro Ultra. En plus de cela, sa mise en place est relativement simple. Il suffit d’assembler la base, de la fixer dans le jardin et d’associer l’A1 à notre smartphone pour pouvoir l’utiliser. Le plus long dans l’histoire, ce sera de faire la cartographie du jardin.

Malgré tout, le Dreame A1 est aussi plutôt esthétique et bien fini. Il ressemble à une mini voiture dans notre jardin. À titre personnel, il a les mêmes couleurs que ma Skoda Rapid, alors comme ça on fait la paire !

Ce modèle est aussi vraiment silencieux. Il vous permettra de tondre hors des périodes réglementées et peut-être même de profiter de vos heures creuses si vous le souhaitez. Toutefois, attention quand même aux petits animaux (hérissons entre autres) qui pourraient être blessés si vous l’utilisez la nuit par exemple.

Finalement, parlons un peu de son prix. Le Dreame Roboticmower A1 est disponible dès à présent pour moins de 2 000 euros. Visiblement, il est sur des tarifs similaires à la concurrence, tout en proposant une mise en place simplifiée (pas de câbles ou de balises à installer ici).

Pour moi, ce sera donc un VG d’or !

Merci à Dreame !

Test – Dreame Roboticmower A1 a lire sur Vonguru.

Avant de commencer à égrainer les détails de ce test, quelques mots sur le testeur (moi) pour mettre un point de contexte. Je suis un converti de longue date aux robots aspirateurs. En tant que Geek (et sujet masculin), c’était une chose totalement logique et naturelle pour moi d’adopter cette catégorie de produits au sein de mon domicile. Mais convertir une famille composée de deux ados, une femme pointilleuse et accessoirement un husky et deux chats, était un autre affaire. Là où je veux en venir dans cette introduction c’est que vous aurez ici un test avec des éléments techniques mais aussi et surtout un test en conditions réelles, non pas dans un laboratoire ou atelier mais au milieu de la vie de tous les jours d’une famille type. Enfin, ce Roborock S8 MaxV Ultra sera particulièrement challengé puisqu’au sein de notre domicile, vous l’avez compris, nous avons adopté les robots aspirateurs depuis un bon moment.

Avant d’avoir l’opportunité de faire ce test, nous avons pu découvrir le S8 MaxV Ultra au CES 2024 où la marque disposait d’un énorme stand. Le produit est finalement arrivé sur le marché en Avril de cette même année. Enfin, pour votre complète information si vous cherchez à harmoniser l’esthétique de votre intérieur, nous avons ici une version noire mais une version blanche, totalement identique évidemment et aussi disponible.

Déballage et découverte

Premier contact avec le produit, l’emballage. Il faut le dire directement, Roborock a bossé même sur le carton. La version précédente, le S7 MaxV Ultra arrivait en 2 cartons volumineux. Nous avons ici un carton unique, moins volumineux que le « gros » carton de son prédécesseur.

Tout est extrêmement bien conditionné et surtout l’ordre de déballage permet immédiatement de visualiser comment les choses vont trouver leur place dans l’environnement de votre maison.

Tout est parfaitement documenté jusqu’à la connexion de l’application. L’installation et la première mise en route de l’ensemble sont donc un passage parfaitement bien contrôlé et qui ne génère à aucun moment un stress ou une inquiétude. Cela peut sembler secondaire mais en réalité c’est bien le reflet d’un travail conséquent pour faciliter l’adoption de votre robot dans sa nouvelle famille.

Roborock S8 MaxV Ultra : design et encombrement

Le S8 MaxV Ultra est une solution complète : aspirateur, serpillère et station de récupération de la poussière ainsi que vidange/recharge des eaux usées. Il est donc indispensable de bien comprendre qu’il ne sera pas aisée de « « camoufler » l’engin dans votre intérieur. D’autant plus que le positionnement doit permettre un accès facile au robot pour venir se recharger mais aussi pour permettre à ses propriétaires de vider le bac de collecte des poussières et eaux usées. Voici donc pour se faire une première idée, un petit rappel de sa fiche technique :

Venons en au design. Pour cela nous distinguerons les deux parties : le robot en lui même et la station. Par rapport aux S7 MaxV Ultra, les modifications dans ces deux éléments sont de natures différentes. Ainsi, c’est clairement la station qui a subi un remodelage important en termes de compartiments et de dimensions. En ce qui concerne le robot, les changements sont esthétiquement minimes.

La station du S7 MaxV Ultra était clairement imposante. La bonne nouvelle c’est que Roborock a repensé celle de son nouveau S8 MaxV Ultra en lui apportant de nouvelles fonctionnalités mais aussi et surtout en fluidifiant son design et en la rendant (un peu) moins imposante. Rentrons dans les détails : l’ancienne station disposait de trois compartiments sur la partie supérieure, celle sur le S8 n’en a que deux. Une première pour l’eau propre et un autre pour l’eau sale, légèrement plus grande. Elles sont clairement identifiées grâce par une sérigraphie sur leur couvercle respectif et sont dotées d’une poignée pour un retrait facile.

Un peu plus bas, une LED signale l’état de la base (erreurs et déconnexions en rouge, en bleu si tout va bien). Nous avons enfin un tiroir qui, une fois ouvert, révèle le sac qui stocke les poussières et un petit compartiment pour ajouter du nettoyant.

Enfin le dernier élément est la partie socle où repose le robot. Cette partie a été aussi repensée et nous reviendrons dessus plus loin. C’est ce socle qui permet au robot de rejoindre la base pour se charger et se nettoyer.

Le robot comme nous l’avons évoqué plus haut, n’a pas vraiment subi de modification esthétique profonde. Au premier contact visuel, il semble cependant plus fluide et moins haut que son grand frère. Autre détail, les 3 touches de pilotage manuel sont plus visibles et instinctives. Les vraies changements se remarquent quand vous retournez le S8… Et ils sont vraiment profonds.

Pour comparaison, son prédécesseur le S7 MaxV Ultra

La première grande différence c’est que nous avons 2 brosses en caoutchouc sur le S8 contre une sur le S7. Et croyez moi sur parole, la capacité d’absorption des déchets est réellement en net progrès. Mais tout ramener à ces 2 brosses ne serait sans doute pas objectif. Si la brosse rotative latérale est toujours présente, elle est maintenant équipée d’un bras motorisé lui permettant d’aller chercher la saleté dans les angles morts que ne couvre pas le robot. Par rapport à son grand frère, il est capable d’aller déloger la saleté dans les coins et recoins, les dessous de plaintes ou angles. Enfin, sous cette brosse rotative, juste avant la serpillère, on remarque un disque en tissus qui s’occupe lui aussi des endroits récalcitrants.

 

Navigation et Nettoyage

La navigation fait déjà partie de la force de Roborock notamment par rapport à ses concurrents. Il y a 2 ans quand j’ai pu tester le S7 MaxV Ultra, en plus de la navigation, c’est l’application qui m’avait vraiment agréablement surprise. C’est la même qui est utilisée par le S8 (permettant à ce propos la cohabitation des deux versions dans la même maison). Mais au cours de mes tests, j’ai pu remarquer que la précision de la cartographie effectuée semblait meilleure que celle du S7. Point important et sans doute lié, le temps pour nettoyer la même pièce de 60 m² est descendu de 18%. Le tout avec des résultats très supérieurs (nous y reviendrons après). L’une des raisons doit sans doute revenir à une gestion des obstacles beaucoup plus précise. Ainsi, lorsqu’un obstacle est détecté, le S8 va tout de même s’approcher à deux centimètres de celui-ci sans le toucher et il changera de trajectoire. Une précision lui permettant de couvrir mieux la surface et d’éviter un passage plus long pour couvrir la zone contournée. Autre constat, après plusieurs semaines, les incidents « d’ingestions » de petits câbles sont totalement absents contrairement au S7. Les câbles de petite section comme ceux pour charger les téléphones sont repérés et contournés.

Si vous voulez aller plus loin avec l’application, le travail de cartographie permet la reconnaissance des objets qui font obstacles. Cela vous aide à mieux comprendre la disposition de la maison et surtout à exclure des zones ou encore à considérer que l’obstacle n’est que temporaire (chaise ou meuble anormalement positionné). Le bonheur dans tout ça c’est que cette efficacité de cartographie se met au service d’une efficacité de nettoyage en net progrès.

Le nettoyage profite donc en premier lieu d’une puissance d’aspiration fortement à la hausse. C’est une grosse évolution par rapport au S7 puisque la puissance d’aspiration du S8 MaxV Ultra est de 10 000 Pascals (soit quasiment le double de celle de son prédécesseur). Où pouvons nous factuellement constater l’apport de ce gain de puissance ? Essentiellement sur les tapis et moquettes. La différence est vraiment flagrante surtout en ce qui concerne le ramassage des poils des animaux domestiques.

L’autre différence majeure concerne la serpillère. Tout d’abord son système d’accroche sous le robot est complètement différent (ce qui permet de préciser que sur ce point S7 et S8 ne peuvent « partager » leurs consommables). La serpillère dispose d’un positionnement lui donnant plus de surface de contact. Par comparaison dans le cas du S7, on a la sensation qu’elle flotte et ne dispose pas du tout de la même pression sur le sol. Cette amélioration permet aussi à la technologie Vibrarise 3.0 de faire son effet. Ce système consiste à imprimer en un nombre élevé de vibrations par seconde sur la base de la serpillère ce qui augmente évidemment la friction. Là encore, dans notre salon en parquet, la différence d’efficacité est vraiment flagrante.

Toutes ces qualités sont magistralement pilotées par l’application Roborock ou même chez nous par Alexa… Mais si vous faites un blocage psychologique sur ces deux là, une simple pression sur le bouton du robot le lancera dans le cycle par défaut que vous avez paramétré. Mais pour en revenir à l’application, elle vous en donnera plus que ce qu’il en faut. Tout d’abord un tableau de bord complet sur l’état de votre appareil, ses consommables etc etc. Un état sur les différentes surfaces que votre robot a parcouru et comment éventuellement effectuer des réglages customisés quand il passe dessus (aspiration à fond sur les tapis de la cuisine, modérée sur le tapis du salon…). L’application est tellement dense qu’elle se réserve plus au geek qui sommeil en vous qu’à la personne qui cherche juste l’efficacité dans la simplicité. Le seul point négatif sera l’utilisation de son propre assistant vocal, pas vraiment pratique dans les faits.

Entretien et usage au quotidien

Après quelques semaines d’usage intensif, le Roborock tourne tous les jours chez nous, on peut tirer plusieurs enseignements sur ce S8.

Tout d’abord son socle qui permet le chargement du robot mais aussi son nettoyage est un vrai bond en avant par rapport au S7. Si le fonctionnement de la version précédente ne posait pas de problème, cette partie était cependant un réceptacle à saletés qu’il fallait régulièrement nettoyer sous peine d’avoir sous les yeux un truc pas vraiment agréable. Enfin, en lien avec cet encrassement de la zone, le S7 devait, parfois, s’y reprendre à deux fois pour pouvoir s’arrimer correctement avec sa station. Ce n’est absolument pas le cas avec le S8.

L’autre gros point fort est le nettoyage et séchage de la serpillière. Le S7 nécessitait de faire passer cette dernière régulièrement à la machine sous peine d’avoir des mauvaises odeurs. Avec la nouvelle version, la station effectue un lavage à l’eau chaude de la serpillère, la rendant propre (en tout cas à un niveau permettant de réduire les passages à la machine à laver) et sans odeur. Pour cela le Roborock utilise ces deux réservoirs. Il essore la serpillère et récupère l’eau usée et fait un nettoyage avec de l’eau propre tiède. Il procédera ensuite à un séchage évitant définitivement les odeurs désagréables.

Enfin, même s’il est plus compact, l’accès aux deux réservoirs mais aussi au tiroir se fait de manière beaucoup plus facile. Il en est de même pour l’accès aux pièces et consommables qui est plus aisé. Précisons tout de même que même avec une utilisation intensive de près d’un mois, aucun besoin de changement ne s’est manifesté. Seule notre curiosité nous a poussé à vérifier ces éléments. Là encore, l’excellente application se charge de recueillir les données des multiples capteurs et de vous informer si vous devez anticiper le nettoyage ou le changement d’un élément.

Conclusion

À l’arrivée de ce Roborock S8 MaxV Ultra, j’aurais pu me poser la question de l’intérêt d’un produit qui pourrait être perçu comme un simple refresh… Après tout, son prédécesseur le S7 MaxV Ultra avait déjà tutoyé la perfection et fonctionnait sans qu’on lui prête plus d’attention que ça. Heureusement, notre passage sur le stand Roborock du CES nous avait bien titillé sur la quantité de nouveautés que cette version se vantait d’exploiter. Et il faut bien le reconnaitre, avec le S8 MaxV Ultra, Roborock met la barre très très haut. Nous avons détaillé les gains à tous les niveaux : aspiration, nettoyage, gestion de la serpillère, compacité…

Avec un peu de recul et en s’attardant sur ces semaines de fonctionnement, le plus gros bon en avant c’est que cette version peut maintenant très objectivement remplacer un « vrai » système de nettoyage manuel. Le Roborock S8 MaxV Ultra est infatigable. Il tourne une à deux fois par jour pour gérer une pièce de vie de près de 60m2 et son intégration est devenue naturelle pour tous les membres de la famille. L’efficacité et le gain de temps qu’il procure dans la vie quotidienne est tout simplement remarquable. L’étendre sur une surface supérieure (comme la partie nuit pour nous ) nécessiterait sans doute de limiter les actions ou de diminuer l’efficacité (ou peut-être de s’équiper d’un second robot !). Bref, vous l’aurez compris c’est plus qu’un coup de cœur, c’est une conversion totale et unanime.

Roborock S8 MaxV Ultra

9 Le testeur

0 La communauté (0 votes)

Pour

Grande efficacité
Excellente couverture de surface
Maintenance et nettoyage faciles
Application ultra complète
Existe en noir ou en blanc

Contre

???

En quelques mots...

Le Roborock S8 MaxV Ultra arrive à creuser l'écart par rapport à son grand frère le S7. La conception remarquable de l'ensemble en fait un choix incontournable pour ceux qui veulent un robot capable de réellement remplacer un nettoyage manuel. Car si jusque là les robots d'entretiens se voyaient comme des solutions de complément, le S8 MaxV Ultra vient de franchir la dernière marche permettant de se séparer des vos aspirateurs traineaux et autres.

Efficacité

Bruit

Design

Batterie

Rapport qualité/prix

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Test Roborock S8 MaxV Ultra : Suprématie absolue ! a lire sur Vonguru.

Dans le cadre d’un prochain test du robot tondeuse Goat G1-800 d’Ecovacs, nous avions besoin de bénéficier d’une couverture Wi-Fi plus large à l’extérieur de notre habitation pour utiliser notre robot tondeuse dans de bonnes conditions. Nous nous sommes donc tourné vers une solution de la marque TP-Link avec le modèle EAP225 Outdoor que nous avons pu trouver à 97 euros sur Amazon. Ce modèle nous semblait très intéressant par son prix, mais aussi par la possibilité de l’utiliser via une alimentation PoE (Power over Ethernet), où l’alimentation électrique se fait via le câble Ethernet. Le principe est ainsi de n’avoir besoin que d’un seul câble et donc, de ne pas avoir à fournir une alimentation électrique traditionnelle pour notre point d’accès TP-Link EAP225 Outdoor. Nous allons donc vous présenter aujourd’hui ce produit et sa mise en place à l’extérieur de notre habitation.

Le TP-Link EAP225 Outdoor fait partie de la gamme Omada du constructeur et porte aussi la référence : point d’accès WiFi AC1200. La boite est assez imposante avec des dimensions de 270 x 140 x 100 mm. Sur la face avant, on retrouve une illustration du point d’accès WiFi AC1200 ainsi que ses caractéristiques techniques. Il s’agit d’une solution très intéressante et qui pourra venir se coupler à votre autres produits de la marque TP-Link. Vous pourrez aussi associez plusieurs EAP225 Outdoor à l’extérieur afin d’augmenter encore plus la couverture.

Nous vous invitons à suivre ce lien pour découvrir toutes les solutions disponibles, comme l’auto-organisation intelligente ainsi que la gestion automatique en cas de panne.

Les différents composants sont insérés dans une boite en carton prémoulée et emballé séparément dans une protection plastiques afin d’éviter de les griffer lors du transport. Alors, que retrouve-t-on à l’intérieur de cette boite ? Tout d’abord deux guides d’installation multi-langues.

Ensuite, bien entendu, l’élément principal, le boitier qui jouera le rôle de point d’accès et qui est certifié IP65, ce qui lui permet d’être résistant aux intempéries et aux conditions extérieures difficiles. Sans les antennes, notre boitier a comme dimensions : 215 × 46 × 27 mm. On retrouve deux antennes antennes détachables omnidirectionnelles, ce qui signifie que d’autres antennes peuvent également être attachées pour vos demandes spécifiques. Celles-ci ont une longueur de 180 mm. Grâce à ses deux antennes, ce point d’accès peut exploiter une configuration MIMO 2×2 avec une bande passante totale de 1 200 Mbps théorique.

Le boitier dispose d’une fixation à l’arrière lui permettant d’être installé sur un rebord circulaire à l’aide des deux colsons fournis ou via un second support présent aussi dans le bundle. Comme vous avez pu le constater, il n’y a pas de connecteur d’alimentation ni d’alimentation fournie avec le TP-Link EAP225 Outdoor. Celui-ci est compatible avec la norme PoE (Power over Ethernet), ou l’alimentation électrique se fait via par câble Ethernet. Le principe est ainsi de n’avoir besoin que d’un seul câble et donc, de ne pas avoir à fournir une alimentation électrique traditionnelle pour notre point d’accès. Ne disposant pas d’un routeur compatible PoE, nous allons donc utiliser l’adaptateur PoE présent dans le bundle.

Sur la partie basse, on retrouve un élément qui peut être déclipsé. C’est à cette endroit que vous viendrez fixer votre câble Ethernet et celui-ci sera ainsi protégé des intempéries pour un seul câble Ethernet. Petit bémol, il ne sera pas possible de dissimuler le câble Ethernet complètement puisque le trou se trouve en partie centrale et non sur l’arrière.

L’installation va se faire en connectant directement le TP-Link EAP225 Outdoor avec un TP-Link CPL 2000 Mbps qui se trouvent à l’intérieur de notre habitation. Un accès à notre ancienne parabole, nous permettra d’utiliser le passage prévu dans le mur afin d’atteindre l’extérieur et donc, notre TP-Link EAP225 Outdoor. Mon CPL ne disposant pas d’une alimentation de type PoE, nous allons utiliser l’adaptateur passif qui se trouve dans le bundle de notre point d’accès. Lui nécessite une prise de courant, mais cela ne nous posera aucun souci à l’intérieur de notre habitation où nous disposons d’une multi-prises.

Nous aurons donc un accès à internet en partant de notre routeur –> CPL dans le bureau –> CPL dans le salon –> adaptateur PoE –> TP-Link EAP225 Outdoor. Une diode verte sur le côté du point d’accès permet de confirmer que celui-ci fonctionne bien.

Paramétrage de notre TP-Link EAP225 via l’application Omada :

L’idée va être de mesurer les performances à l’extérieur, notamment en relevant les débits via l’application Speedtest. N’oubliez pas de tenir compte, que la portée et les performances du Wi-Fi sont directement impactées par les fréquences utilisées : 2,4 GHz offre une couverture de distance nettement meilleure, tandis que 5 GHz offre une bande passante supérieure, mais avec une portée plus courte.

Bien entendu, dans notre cas, un seul TP-Link EAP225 Outdoor est suffisant pour ce dont nous avons besoin, c’est-à-dire, y relier notre robot tondeuse. Sachez que vous avez aussi la possibilité d’en associer plusieurs afin d’augmenter la distance par exemple. Notre installation est terminée, voyons les nouveaux WiFi que nous détectons : TP-Link_2.4Ghz_xxxxxx et TP-Link_5Ghz_xxxxxx. Attention, ceux-ci sont ouverts et ne disposent pas de clés de sécurité. Afin de les paramétrer, nous avons téléchargé l’application Android Omada. Vous devrez vous créer un compte TP-Link pour y avoir accès.

Ensuite, il faudra, pour l’utilisation que je désire en faire, opter pour le mode « autonome », sélectionner EAP et là se trouvera votre TP-Link EAP225 Outdoor. En cliquant dessus, vous pourrez renommer le SSID et surtout ajouter un mot de passe pour ce Wi-Fi. Dans notre cas, nous avons opté pour WiFi_jardin.

Test à l’extérieur :

Même si ma connexion s’est améliorée ces dernières années, je suis toujours en 50/15 pour le download/upload. Dans un premier temps, nous allons réaliser un Speedtest juste à côté du point Wi-Fi et nous allons ensuite nous en éloigner en réalisant d’autres mesures. Nous avons installé le TP-Link EAP225 Outdoor sur une gouttière qui fait face au jardin et qui lui permet d’avoir un accès dégagé sans aucun obstacle pour assurer le travail du robot tondeuse.

C’est parti pour nos relevés que nous allons débuter juste à côté du TP-Link EAP225 Outdoor. Le suivant est assez proche puisqu’il se situe à 5 mètres et qui correspond à l’emplacement de la station d’accueil du robot tondeuse. Nous allons à présent mesurer la réception au deux extrémités les plus éloignées de notre TP-Link, c’est-à-dire à 21 mètres et à 40 mètres. Comme vous pouvez le voir sur nos différents screens, nous n’avons rien perdu en termes de vitesse ! C’est donc un sans faute pour notre point d’accès. Le fond de notre jardin sera également aménagé cette année, ce qui nous permettra d’y bénéficier d’une connexion internet parfaitement stable, une très bonne chose !

Et bien nous devons bien avouer que ce point d’accès TP-Link EAP225 Outdoor nous a donné entière satisfaction. Pour un tarif de 97 euros, il fait parfaitement le job afin d’étendre la couverture Wi-Fi dans notre jardin. Pour rappel, cet achat était dans l’optique de tester la tondeuse robot Goat G1-800 d’Ecovacs que nous venons de réceptionner. La couverture est parfaite et nous avons d’ailleurs ainsi pu en profiter pour l’utiliser sur nos caméras extérieures. Le fait de ne pas devoir dépendre d’une prise de courant 230 v nous a permis une plus grande liberté quand à l’emplacement de ce TP-Link EAP225 Outdoor !

Même si nous n’utilisons que les fonctionnalités de base, et sa fonction d’extension du WiFi, l’utilisation et le paramétrage via l’application Omada ne demande aucune compétence particulière. Cela ne devrait donc vous poser aucun souci pour installer et paramétrer cette extension du Wi-Fi à l’extérieur de votre habitation. Si nous avions un seul petit reproche à faire, c’est le fait que le Wi-Fi ne soit pas sécurisé par un mot de passe dès la sortie de boite. Le risque est que certains acheteurs conservent le SSID d’origine, n’installent pas l’application et laissent donc un Wi-Fi ouvert à l’extérieur.

Nous pouvons donc sans hésitation, vous recommander ce TP-Link EAP225 Outdoor si comme nous, l’installation d’un robot tondeuse est prévu pour cette été ou pour profiter de votre connexion internet même dans le fond de votre jardin !

Test – Point d’accès TP-Link EAP225 Outdoor a lire sur Vonguru.

Que vaut le visiophone connecté EZVIZ CP7 2K ? 

Aujourd’hui, on découvre la marque EZVIZ au travers de l’un de ses produits phare, à savoir le visiophone connecté CP7 2K. Ce dernier propose notamment un moniteur tactile, l’ouverture à distance, la détection de mouvements, la vision nocturne, sans oublier qu’il se veut étanche pour la partie extérieure.

Notre produit du jour est actuellement disponible sur Amazon au prix de 299,99 €, mais des codes promos et autres réductions sont régulièrement proposés, alors ouvrez l’œil !

Place au test !

Unboxing

Commençons traditionnellement par la partie unboxing de notre CP7 2K. Le tout en anglais, on retrouvera sur la face avant le nom de la marque et du produit, mais aussi quelques arguments marketing mis en avant comme la taille de l’écran tactile, mais aussi la fonctionnalité d’ouverture de la porte à distance. On aura également un visuel du produit muni de ses badges, présents au nombre de 3 dans la boîte, mais disponible en supplément au nombre de 4 au prix de 9,99 €.

À gauche, nous retrouverons les caractéristiques techniques du moniteur extérieur, tandis qu’à droite, ce seront celles de l’écran intérieur qui seront exprimées. Nous y reviendrons bien sûr plus en détails à la page suivante pour éviter toute redondance.

À l’arrière, nous aurons un schéma explicatif pour l’installation ainsi qu’un rappel de ce qu’est notre produit et ses atouts, le tout en 6 langues. 

Caractéristiques techniques

Fonctionnalités

• Système d’interphone à fils (également compatible avec les systèmes à 4 fils) – L’écran tactile couleur de 7 pouces vous permet de configurer et de gérer votre interphone extérieur, de répondre aux visiteurs et d’enregistrer des clips vidéo importants. Un angle de vision de 162 degrés et un objectif 2K. La caméra CP7 offre également une vision nocturne infrarouge de 5 mètres pour une tranquillité d’esprit 24h/24 et 7j/7.
• Contrôles d’accès – L’interphone connecté CP7 fournit des contrôles d’accès beaucoup plus faciles tout en ajoutant une protection visuelle pour vérifier vos visiteurs. Glissez ouvert avec puce RFID (3 étiquettes incluses) ; Déverrouiller via le moniteur intérieur ; Ouvrez la porte à l’aide de l’application EZVIZ.
• Connexion stable – Pour optimiser l’expérience connectée avec les télécommandes, vous pouvez connecter le moniteur d’intérieur d’interphone vidéo à la bande 2,4 ou 5 GHz. Profitez d’un Wi-Fi puissant avec une latence plus faible, une bande passante plus large et un signal stable.
• Détection intelligente des mouvements humains – Chaque fois que la visiophone connectée CP7 détecte une activité humaine à votre porte d’entrée, elle vous envoie immédiatement des notifications mobiles. Vous pouvez toujours affiner la sensibilité de détection et configurer des zones de détection spécifiques pour réduire les alertes indésirables.
• Facile de répondre à distance – Même si vous n’êtes pas chez vous, la visiophone filaire CP7 veille à ce que vous ne manquiez aucun visiteur. Vous pouvez toujours utiliser votre téléphone pour rester connecté et ouvrir la porte à distance aux invités. Lorsque vous répondez à des inconnus non invités, vous pouvez activer la fonction de modification de la voix pour rester anonyme et ajouter une autre couche de protection.

Contenu

• Moniteur
•  Support mural pour moniteur
•  Adaptateur secteur pour moniteur
•  Gabarit de perçage pour moniteur
•  Panneau d’interphone
•  Gabarit de perçage pour panneau d’interphone
•  Tournevis
•  Insignes (×3)
•  Kit de vis (×2)
•  Fils et connecteurs de fils
•  Câble de connecteur de prise d’alimentation DC 24V
•  Guide de démarrage rapide

Installation

Notre sample du jour nous a donné du fil à retordre. Tant et si bien que nous avons dû décaler la sortie de ce test à de nombreuses reprises. Pourquoi ? Impossible à installer de notre côté, et ce, malgré plusieurs essais et des heures de recherches. En effet, nous avions déjà un visiophone installé, surannée, avec une vieille installation et des câbles qui se baladaient un peu partout. Et très clairement, chacun son métier ! Nous avons donc dû faire appel à un électricien. De ce fait, entre le moment où nous avons réceptionné le produit, essayé nous-même, pris la décision d’appeler un professionnel, cassé définitivement notre ancien visiophone, attendre le devis puis la prestation, il s’est passé plusieurs semaines.

Voici donc à quoi ressemble l’installation en cours. Évidemment, nous allons poncer l’enduit et remettre un coup de peinture !

Bien sûr, vous pouvez tout à fait le faire vous-même si vous vous sentez. En cela, la notice est très explicite et bien traduite. Vous la retrouverez d’ailleurs en plusieurs langues en flashant le QR Code qui se trouve dans la boîte. Cependant attention, par moment le PDF n’était pas disponible en flashant ledit QR Code. En cas de souci similaire, vous le retrouverez dans l’application dans « Manuel utilisateur ». Voici quelques screenshots de ce dernier.

Concernant l’application, rien de plus simple :

1. Connectez votre téléphone portable à un réseau Wi-Fi (conseillé).

2. Téléchargez et installez l’application EZVIZ en recherchant « EZVIZ » dans l’App Store ou dans Google Play.

3. Lancez l’application et créez un compte utilisateur EZVIZ.

4. Ajoutez le moniteur à votre compte EZVIZ

De plus, comme nous l’avons vu dans la partie contenu, vous aurez des badges RFID à l’intérieur du bundle, très pratique donc à avoir sur ses trousseaux de clés ! Ou pour donner à la famille en cas d’absence. De notre côté, nous les avons tous configurés et chacun à le sien sur ses clés. Voici comment procéder.

Lorsque vous mettez l’appareil en marche pour la première fois, il est essentiel de configurer les badges dans l’application EZVIZ :

1. Connectez-vous à votre compte sur l’application EZVIZ.

2. Allez à la page des paramètres du moniteur et choisissez Gestion des cartes > Ajouter des cartes.

3. Définissez le nom de la carte, puis appuyez sur « Étape suivante ».

4. Définissez la durée de validité et appuyez sur « Étape suivante ».

5. Placez le badge RFID sur la zone de lecture de badge, le voyant de sonnette clignote 3 fois pour indiquer que l’ajout de badge a réussi.

6. Appuyez sur « Terminer ».

Voici maintenant à quoi ressemble l’unité extérieure et intérieure installée :

Test & application

Nous voilà enfin prêts ! L’installation a été réalisée avec succès (même si cela a pris un certain temps), et nous sommes clairement passés dans une autre dimension en comparaison avec notre vieux système qui ne fonctionnait plus qu’à moitié. Sur l’unité intérieure, vous aurez accès aux paramètres de cette dernière uniquement (et pas de l’unité extérieure). Vous pourrez choisir le volume, la sonnerie, accéder à toutes les infos de l’appareil, etc. La navigation est très fluide ce qui est très agréable !

L’unité extérieure n’est paramétrable que via l’application, et encore, il n’y a pas grand chose à changer. Par exemple, il y a un écho assez gênant, et j’aurais aimé pouvoir baisser le son de l’unité extérieure, malheureusement cela n’est pas possible. On ne peut le faire que sur l’unité intérieure.

On pourra sur cette app, installer comme nous l’avons vu les badges, avoir un historique photo uniquement des détections intelligentes, accéder à tous les paramètres (son, image, volume, notifications etc). Autre fonctionnalité, on peut changer sa voix en « comique » (ce qu’adore mon fils, il l’appelle la voix Titouni. Ou bien en voix d’homme, très pratique quand on est une femme qui vit seule par exemple.

Si je ne trouve rien à reprocher à l’application, fluide, intuitive et facile à prendre en main, les unités intérieures et extérieures méritent quelques points d’amélioration. En effet, il y a du délai lorsque l’on parle, fortement dommage quand on sait que c’est une installation filaire (et tout ce que ça implique). Pourquoi ? Tout simplement, car le côté connecté, très pratique certes, envoie tout de même les infos sur des serveurs, on ne sait trop où avant de revenir. Causant ainsi du délai. On se retrouve donc souvent à parler en même temps que son interlocuteur, et à devoir attendre un peu avant de parler afin d’éviter la cacophonie.

Parlons maintenant du stockage. Il est possible de mettre une carte SD pour avoir plus de données et de sauvegarde, sinon un abonnement est possible avec plusieurs formules. Il y en a pour les professionnels, mais aussi pour les particuliers. Tout dépend si vous avez une ou plusieurs caméras, et si vous souhaitez 7j ou 30j d’historique. La formule la plus « économique » reste celle à 49,99 €/mois pour 7j d’historique, ce qui vous revient à 4,16 € par mois.

Je n’ai pas réalisé cet investissement, car mon porte-monnaie ne s’est pas encore remis du prix de l’intervention de l’électricien. Vous aurez cependant la possibilité d’avoir un essai gratuit de 7j (sans vous abonner) ou 30j en vous abonnant cette fois. À vous de voir maintenant si ce choix se justifie selon vos besoins et envies.

Conclusion

Pour rappel, notre produit du jour est actuellement disponible sur Amazon au prix de 299,99 €. Vous aurez également la possibilité d’acheter des badges en plus au nombre de 4 au prix de 9,99 €. J’ai longuement hésité quant à l’award, entre l’or et l’argent. Malheureusement, entre l’installation qui a nécessité l’intervention d’un électricien et les lags, ainsi que les échos, c’est donc un award d’argent pour notre sample du jour (ce qui reste tout à fait honorable !). Le tableau n’est évidemment pas tout noir, vous n’avez pas vu mon ancien visiophone ! Je suis passée dans le futur avec le CP7 2K de la marque EZVIZ.

Il y a évidemment des pistes d’améliorations comme nous l’avons vu, mais le produit reste très bon. À voir évidemment dans le temps ce que cela va donner, surtout concernant l’unité extérieure, exposée au soleil (qui cogne dur dur l’été dans le Var) et aux intempéries. Je reviendrais vous faire un topo dans les mois à venir !

Test – Visiophone connecté EZVIZ CP7 2K a lire sur Vonguru.