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Reçu hier — 25 septembre 2025

Test du Xiaomi Vacuum H40 : que vaut vraiment un robot aspirateur à 250 euros ?

25 septembre 2025 à 17:02
Robot Aspiateur Xiaomi Vaacum H40 Test Avis Obstacles

Xiaomi confirme son intérêt pour le segment des robots aspirateurs d’entrée de gamme avec le Vacuum H40. Proposé à 250 euros, ce modèle promet une aspiration puissante, une facilité d’utilisation et une navigation précise. Sauf qu’à ce prix, quelques concessions sont mécaniquement à prévoir.

iPhone 17 Pro Max vs S25 Ultra : Quel châssis est vraiment le plus solide ?

À chaque sortie de flagship, la question de la durabilité revient inévitablement sur le tapis. Et cette année, elle se concentre sur un choix de design marquant : Apple a abandonné le titane utilisé l’an dernier pour revenir à un châssis en aluminium anodisé sur l’iPhone 17 Pro Max, tandis que Samsung maintient son cap avec un […]

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Rejoignez le playtest de Valor Mortis : Une aventure soulslike napoléonienne vous attend !

25 septembre 2025 à 04:48

Préparez-vous, gamers ! Valor Mortis, un nouveau jeu passionnant de type Soulslike napoléonien créé par les concepteurs de Ghostrunner, se prépare à un test public de jeu début le mois prochain. C’est votre chance de plonger dans un mélange de genres sur fond de l’ère napoléonienne. Ne manquez pas l’occasion de découvrir cette fusion unique […]

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Reçu avant avant-hier

Vantage

24 septembre 2025 à 08:01
Trois jours. Trois jours que j’ai été séparé de mes coreligionnaires en subversion cosmique, trois jours que je crapahute au gré des sentiers sur cette planète incroyable, trois jours que je vais de découvertes en merveilles. Trois jours aussi que je n’ai aucune idée d’où je vais, de ce que je fais, de ce que je dois faire. Et vous savez quoi ? J’en suis parfaitement heureux.

Château Combo : Au cachot !

24 septembre 2025 à 07:33
Il est bien, Château Combo. Il est facile d’accès, il s’explique en quelques minutes, il est rapide à jouer, il offre des stratégies variées, il est pas cher. Bref, il est bien. Alors quand on annonce une mini-extension d’une douzaine de cartes représentant une belle bande de crapules, j’ai envie de croire que ce petit jeu va être encore meilleur. C’est comme ça que j’aime mes extensions, par petites touches, avec de petites idées sympathiques, qu’on aurait bien vues dans le jeu de base.

Incantibus

Par :Perco
24 septembre 2025 à 08:35
Les enfants sont le pire public du monde. Pas qu’ils soient méchants et trop directs dans leurs critiques, au contraire. Ils sont trop bon public pour deux raisons : tous les pièges marketing et variantes d’« effet waouh » marchent du feu de dieu sur eux et ils n’ont aucune espèce de culture ludique pour comparer.

Silent Hill f

22 septembre 2025 à 07:00
Après une longue traversée du désert, durant laquelle Konami nous a tout juste gratifiés de pauvres skins Pyramid Head, d’une série interactive catastrophique (Ascension) et d’un mini-jeu parfaitement dispensable (The Short Message), la franchise Silent Hill a fait un come-back retentissant l’année dernière avec le remake du deuxième épisode développé par la Bloober Team. Malgré ce retour en grâce, Silent Hill f portait un poids considérable sur ses épaules : cet épisode arrive comme une promesse de renouveler la série, en cherchant simultanément à se faire une place dans le cœur d’un nouveau public et celui des vieux gardiens du temple.

Test – Fontaine à eau inox de OneIsAll

21 septembre 2025 à 22:45

Que vaut la fontaine à eau en inox de OneIsAll ?

Aujourd’hui, on découvre une marque fraîchement débarquée sur le sol français cet été, OneIsAll, qui cherche à révolutionner les routines de soins de nos animaux avec des produits pensés pour simplifier le quotidien des maîtres et de leurs compagnons. De ses outils de toilettage dignes des professionnels à ses fontaines à eau en acier inoxydable, en passant par ses distributeurs de croquettes connectés, la marque propose une gamme complète, intuitive et design.

Aujourd’hui, nous découvrons donc la fontaine à eau en inox et ses 3,5 litres de contenance. Vous la retrouverez hors promotion au prix de 59,99 €. Et pour ceux qui l’auraient raté, n’hésitez pas à découvrir ou à redécouvrir notre récent test du distributeur de croquettes connecté adapté à ceux qui ont deux chats !

Place au test !

 

Unboxing

Le packaging de la fontaine Oneisall joue la carte du minimalisme élégant. On retrouve un carton brut, orné du logo blanc et du slogan de la marque « Transform how you pet ». Pas de couleurs tape-à-l’œil cette fois, juste un design épuré comme on les aime.

L’arrière, plus dense, détaille les caractéristiques techniques, les normes de conformité et les informations multilingues.

Fontaine à eau chats sans fil OneIsAll

 

Caractéristiques techniques et fonctionnalités

  • Matériau : acier inoxydable assurant hygiène et facilitant le nettoyage et la durabilité.

  • Capacité : 3,5 litres (environ 118 oz), adaptée aux foyers avec un ou plusieurs chats.

  • Fonctionnalité sans fil : fonctionne sur batterie, ce qui permet une installation flexible sans besoin de prise.

  • Modes de distribution de l’eau :

    • Mode capteur : déclenché lorsqu’un animal s’approche à moins d’environ 1 mètre, puis active l’écoulement pendant 30 s.

    • Mode intermittent : fournit de l’eau 30 s toutes les 30 minutes.

    • Mode continu : écoulement continu, généralement en utilisation avec une alimentation branchée.

  • Tranquillité de fonctionnement : très silencieuse, émet moins de 30 dB, parfaite pour ne pas effrayer les animaux.

  • Esthétique : finition argentée moderne, sobre et facile à intégrer dans divers styles d’intérieur.

 

Contenu

  • Manuel d’utilisation × 1

  • Petite brosse (pour le nettoyage) × 1

  • Adaptateur 5 V 1 A × 1

  • Câble Type-C (pour recharger ou brancher) × 1

  • Filtres de remplacement (cartouches de filtration) × 3

  • Fontaine à eau pour chat en acier inoxydable × 1

Une version « Ultra » existe avec 8 filtres supplémentaires.

Fontaine à eau chats sans fil OneIsAll

 

Configuration & Installation

  • Installez la fontaine là où votre chat aime boire.

  • Choisissez le mode de débit selon ses habitudes (capteur, intermittent ou continu).

  • Changez les filtres toutes les 3 à 4 semaines pour garantir une eau propre et attractive.

  • Nettoyez régulièrement  pour éviter les résidus.

 

Test 

Lorsqu’on vit avec un chat, on sait à quel point l’hydratation est importante. Or, beaucoup de félins se montrent capricieux avec leur gamelle d’eau, préférant souvent l’eau qui coule à celle qui stagne. C’est là qu’une fontaine peut réellement changer les habitudes. Oneisall, déjà connu pour ses distributeurs automatiques de nourriture, propose un modèle de 3,5 litres pensé pour conjuguer praticité et élégance.

Dès l’ouverture de la boîte, on comprend que l’acier inoxydable n’a pas été choisi au hasard. Le matériau inspire confiance, se nettoie facilement et évite les désagréments des plastiques qui s’imprègnent d’odeurs ou provoquent parfois des irritations chez certains animaux. On sait également qu’à la longue, les dépôts de calcaire y seront moins fréquents avec ce type de matériaux.

Fontaine à eau chats sans fil OneIsAll

L’objet se montre sobre et moderne, sans extravagance. La capacité de 3,5 litres rassure immédiatement : on peut laisser son chat plusieurs jours avec la certitude qu’il ne manquera pas d’eau.

La vraie singularité de cette fontaine, c’est son fonctionnement sans fil. Elle embarque une batterie rechargeable qui peut tenir jusqu’à deux mois en veille, ce qui permet de la placer n’importe où dans la maison, loin d’une prise électrique, ou même de l’emporter lors d’un déplacement. Bien sûr, elle peut aussi être branchée en permanence via son port USB-C pour ceux qui préfèrent ne jamais se soucier de la recharge. Cette flexibilité est un vrai atout, notamment dans les intérieurs modernes où l’on cherche à réduire le nombre de câbles apparents d’un côté, mais surtout, surtout, en cas de coupure d’électricité. Par exemple, la Panasonic ne se relance pas ce qui peut être embêtant voire dangereux pour nos animaux en cas d’absence de leurs humains !

Fontaine à eau chats sans fil OneIsAll

Au quotidien, elle offre trois modes. Le premier, basé sur un capteur de mouvement, déclenche l’écoulement dès que le chat s’approche, stimulant son intérêt pour l’eau fraîche. Le second propose un jaillissement intermittent, toutes les demi-heures, histoire de maintenir l’attention de l’animal. Le dernier reste le mode continu, qui imite au mieux un petit robinet ouvert, idéal pour les félins les plus exigeants. Cette variété est un vrai confort, car chaque chat a sa manière de boire, et l’on peut ajuster le mode qui lui correspond le mieux.

La filtration joue un rôle crucial dans la qualité de l’expérience. Ici, Oneisall utilise un système multi-couches qui retient les poils, les impuretés et améliore le goût de l’eau grâce au charbon actif. Combiné à un couvercle hermétique et à la fenêtre transparente qui permet de vérifier le niveau, cela donne une impression de produit réfléchi, pensé pour durer. Et surtout, le silence est au rendez-vous : la pompe ne dépasse pas les 30 décibels, ce qui signifie qu’on peut la laisser tourner dans une chambre ou un salon sans qu’elle vienne troubler le calme ambiant.

Fontaine à eau chats sans fil OneIsAll

À l’usage, on se rend compte que cette fontaine n’est pas seulement pratique, elle rassure. Le chat est attiré par le mouvement, boit davantage, et l’on a l’esprit tranquille. Même si la notice aurait mérité une traduction plus claire, l’installation reste simple et rapide. En quelques minutes, la fontaine est montée, remplie et prête à fonctionner.

 

Conclusion 

Pour conclure, la fontaine à eau Oneisall 3,5 L sans fil réussit un équilibre intéressant. Ce n’est pas un gadget tape-à-l’œil, mais un objet pensé avec soin, qui allie robustesse des matériaux, silence, autonomie et flexibilité. Pour les propriétaires de chats soucieux de leur bien-être, mais aussi de l’esthétique de leur intérieur, elle représente une option fiable et discrète, qui améliore l’hydratation tout en simplifiant le quotidien grâce à ses différents modes tous rudement bien pensés, qui font de cette fontaine un modèle qui sort du lot.

L’entretien est très facile et on a également apprécié la présence de consommables en plus, histoire de voir venir, que l’on retrouvera d’ailleurs à l’achat sur le site de la marque ou bien sur Amazon.

Argent Award Vonguru

Les filtres se trouvent d’ailleurs facilement sur le site de la marque ou sur Amazon. Pour rappel, votre retrouverez cette fontaine à eau hors promotion au prix de 59,99 €.

Test – Fontaine à eau inox de OneIsAll a lire sur Vonguru.

[Test] Flow 2, La nouvelle star en puissance des claviers mécaniques low profile

Par :Bruno
20 septembre 2025 à 09:41

Lofree, société chinoise spécialisée dans les claviers mécaniques low profile, fort de son expertise en la matière, propose à l’aide d’une campagne kickstarter qui s’annonce déjà comme une réussite, leur dernière création, le Flow 2. Design, confort de frappe, fonctionnalités, connectivité, les atouts ne manquant pas au dernier …

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Carte mère, carte graphique, Borderlands 4, tous les dossiers à ne pas manquer !

20 septembre 2025 à 11:14

Tests Hardware français - Image issue de l'IACette troisième semaine de septembre est l’occasion de découvrir de nouveaux tests de matériels PCs. Voici le meilleur du Net Francophone.

Cet article Carte mère, carte graphique, Borderlands 4, tous les dossiers à ne pas manquer ! a été publié en premier par GinjFo.

Test – La montre connectée HUAWEI WATCH GT 6 Pro

19 septembre 2025 à 13:00

Une nouvelle version, la HUAWEI WATCH GT 6 Pro, qui fait la part belle aux cyclistes !

Nous avons eu l’opportunité, après avoir testé l’année dernière, le modèle HUAWEI WATCH GT 5, de réceptionner au sein de la rédaction, la nouvelle HUAWEI WATCH GT 6 Pro. Cela va faire quasiment un an, jour pour jour, que nous portons au poignet la WATCH GT 5 et nous en sommes toujours aussi satisfait. La seule sécurité que nous avons prise, est la pose d’un verre de protection sur l’écran afin d’éviter toutes catastrophes durant nos activités sportives. C’est donc aujourd’hui, officiellement, que HUAWEI dévoile sa nouvelle gamme de montres connectées sportives de la série « GT 6 ». Alors que la génération précédente, la HUAWEI WATCH GT 6 Pro faisait la part belle au trail et au golf, cette nouvelle génération est axée sur le vélo, que vous soyez un amateur ou un sportif confirmé. Nous avons réceptionné notre exemplaire de la WATCH GT 6 Pro ce mercredi, ce qui est, bien entendu trop juste pour vous proposer un test complet. Cette première partie sera donc principalement consacrée à sa présentation, ses caractéristiques techniques ainsi qu’au logiciel HUAWEI Santé. Nous reviendrons, dans quelques semaines, avec des impressions d’utilisation sur une période plus longue.

Un tout grand merci à HUAWEI France de nous offrir l’opportunité de vous présenter et de tester cette nouvelle série, avec comme exemplaire, la HUAWEI WATCH GT 6 Pro en édition Titane.

Que contient la boite ?

Esthétiquement, au niveau du packaging, on se retrouve sur une boite quasiment identique à celle que nous avions reçue pour la HUAWEI WATCH GT 5. Cette nouvelle montre connectée Huawei Watch GT 6 Pro est livrée dans un coffret noir, avec sur la face avant l’inscription dorée « HUAWEI WATCH GT 6 Pro » ainsi que le logo HUAWEIi dans la partie supérieure droite. L’utilisation du doré sur un fond noir lui assimile directement le produit à un niveau premium. Sur l’arrière de la boite, un QR Code vous permettra de télécharger directement l’application « Santé » disponible pour iPhone et Android. Sur la face inférieure, nous retrouvons la référence de notre modèle, HUAWEI WATCH GT 6 Pro 46 mm ainsi que la version, ici, Titanium.

L’ouverture se fait par le dessus et permet de découvrir directement le cadran de la montre. Celui-ci est protégé par un film plastique. Celui-ci semble avoir déjà été précédemment enlevé, ce qui explique les bulles d’air présentes.

La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro

Le prix annoncé de notre modèle du jour est de 489 euros, il s’agit de la finition la plus haut de gamme actuellement disponible, avant peut-être, l’arrivée d’une GT 6 Pro Ultimate ? Les autres finitions de la GT 6 Pro débuteront à 379 euros. En ce qui concerne les HUAWEI WATCH GT 6, le prix d’appel est de 249 euros.

La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro

Lorsque la montre est ôtée de son écrin, on aperçoit de part et d’autre de la boite, deux zones de rangement. La première dissimule le support de recharge sans fil avec son câble ainsi que quatre maillons supplémentaires pour le bracelet. Dans l’autre partie, vous retrouverez un guide de démarrage rapide, les informations de sécurité et la carte de garantie.

La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro

Le chargeur est « aimanté » et restera donc facilement en place lors de la charge. En effet, avec cette version Titanium, impossible de poser le bracelet de votre montre à plat, c’est donc nécessaire et bien utile.

 

Ergonomie et design :

Débutons l’inspection de cette nouvelle Huawei WATCH GT 6 Pro. Notre exemplaire est un modèle de 46 mm qui dispose d’un écran tactile couleur AMOLED vibrant de 1,47 pouce, offrant une augmentation de 5,5 % face à la génération précédente. Afin d’y parvenir, HUAWEI a réduit l’espace entre l’écran et le bord extérieur du cadran. L’écran en verre saphir affiche 466 x 466 pixels, soit une résolution de 326 pp. Le cadran sculpté dans un alliage de titane de qualité aérospatiale bénéficie de bordures octogonales toute en finesse. On retrouve également, une bordure rouge et bleue, signe distinctif de cette série WATCH GT Pro Titane. La finition est tout simplement irréprochable et donne directement une impression haute gamme à ce modèle. Rappelons que le bracelet est lui entièrement en titane et dispose d’un fermoir papillon.

La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro

On retrouve deux boutons physiques sur la partie droite du cadran. Le premier est une couronne rotative à retour haptique cliquable et le second, un bouton poussoir plat qui vous donne accès directement aux programmes de sport. La coque arrière en céramique dispose de nombreux capteurs IMU à 9 axes (accélérométrie, gyroscope, capteur géomagnétique, capteur optique de fréquence cardiaque et capteur de lumière ambiante) et dispose de trois ouvertures afin d’évacuer l’eau via la fonction drainage. Elle dispose aussi du capteur TrueSeen, la technologie de surveillance de la fréquence cardiaque, que Huawei utilise dans ses montres intelligentes.

La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro

La version HUAWEI WATCH GT 6 Pro sera disponible avec trois bracelets différents. Notre exemplaire en Titane représente le haut de gamme actuel et sera, bien entendu, le plus lourd sur la balance, avec un poids total de 96,2 grammes. Le bracelet d’origine en Titane dispose de 18 maillons. Il s’agit surement d’une taille standard de tour de poignet évalué par HUAWEI. Comme vous avez pu le découvrir dans l’unboxing, HUAWEI fournit en plus quatre maillons si vous désirez augmenter la longueur du bracelet. Sachez que nous avons reçu également un bracelet noir fluoroélastomère, identique à celui qui équipe la HUAWEI WATCH GT 6 Pro Black. L’ajout ou le retrait d’un maillon, voir le remplacement du bracelet, sont relativement facile à réaliser et ne demande aucune connaissance particulière.

La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro La montre connectée Huawei GT 6 Pro

Cette Huawei WATCH GT 6 Pro embarque un micro et un haut-parleur pour les appels téléphoniques, comme c’était déjà le cas sur la génération précédente.
En ce qui concerne la partie technique, elle bénéficie du système d’exploitation Harmony OS 6.0 et des applications disponibles sur HUAWEI Appgallery. Elle dispose d’une batterie qui voit son autonomie s’améliorer, puisque HUAWEI annonce une autonomie de 21 jours pour une utilisation « légère », de 14 jours pour une utilisation « normale » et 40 heures en mode sport. Elle bénéficie d’un indice de résistance à l’eau IP69 et peut être utilisée jusqu’à une profondeur de 40 mètres. Elle dispose également d’une connectivité Bluetooth ainsi qu’une compatibilité Android et iOS.

 

Deux séries et onze modèles :

HUAWEI ne fait pas les choses à moitié et propose, comme l’année dernière, deux modèles distincts. Vous retrouverez ainsi la série « WATCH GT 6 Pro » qui dispose de trois modèles différents. Ceux-ci se distinguent pas un cadre de 46 mm et sont proposés en trois finitions différentes : Siver, Brown et Black. Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous, les différences se marquent au niveau du contour du cadran ainsi que du bracelet. Par rapport à la génération précédente, HUAWEI a donc ajouté le modèle Brown à son catalogue.

La série des HUAWEI GT6

La seconde série est la « WATCH GT 6 ». Elle se distingue par deux tailles de cadrans, soit le 46 mm soit le 41 mm, qui conviendra mieux à la gente féminine. On retrouve trois finitions différentes pour les cadrans de 46 mm et cinq, pour les cadrans de 41 mm. Comme pour les modèles « Pro », les différences se situent au niveau du contour de cadran ainsi qu’au style et à la matière du bracelet.

La série des HUAWEI GT6

Comme vous vous en doutez, les prix seront également différents ainsi que les caractéristiques techniques. Par exemple, l’autonomie maximale des modèles de 46 mm est de 21 jours, contre 14 pour les 41 mm. C’est assez logique, la taille de la batterie est plus réduite sur les modèles de 41 mm. C’est d’ailleurs l’un des points importants mis en avant par HUAWEI, l’autonomie ultra-longue. En ce qui concerne les tarifs, HUAWEI annonce un prix de départ à 249 euros pour la GT 6 et allant jusqu’à 489 euros, pour notre modèle du jour, la WATCH GT 6 Pro en finition Titanium.

L’autonomie de la batterie :

Voici les points mis en avant pas HUAWEI pour notre exemplaire du jour. Tout d’abord l’autonomie annoncée pour 21 jours pour une utilisation « légère », de 14 jours pour une utilisation « normale » et 40 heures en mode sport. Nous serons bien entendu attentif à ces données, mais vu que nous avons réceptionné la montre ce mercredi, nous ne sommes pas encore parvenus à un cycle complet, mais on vous en parle à la page suivante. Huawei a travaillé sur la conception d’une nouvelle batterie à haute teneur en silicium (+10 %) et de forme spéciale, ce qui augmente la densité de la batterie de 37 % et l’utilisation de l’espace de 26 %. Toutes ces modifications se traduisent par une augmentation de 65 % de la capacité par rapport à la génération précédente.

 

La précision du GPS :

La série HUAWEI WATCH GT 6 bénéficie d’un nouveau système de positionnement HUAWEI Sunflower, qui garantit un suivi précis, et passe d’un GNSS double bande de 5 à 6 systèmes apportant une précision améliorée de 20 %. Le système de positionnement GPS quadri-bande intégré, permet de suivre vos entraînements en plein air, par exemple en vélo, en analysant votre vitesse et vos itinéraires à avec une précision inégalée peu importe l’endroit où vous vous trouvez.

 

Le cyclisme, pour chaque parcours à vélo :

HUAWEI a mis le paquet pour les amateurs de deux roues avec cette série « WATCH GT 6 ». Les montres connectées WATCH GT 6 permettent de mesurer la puissance virtuelle du cycliste, sans besoin d’un capteur de puissance supplémentaire. Elle sera calculée calculée en fonction de votre vitesse en temps réel, de la pente, de votre poids ainsi que du poids de votre vélo. En ce qui concerne le coefficient de résistance au vent, HUAWEI a réalisé de nombreux tests, et il a été déterminé, en collaboration avec un laboratoire de soufflerie renommé en Chine, afin de garantir une précision parfaite dans les calculs de puissance virtuelle. Vous n’aurez donc pas besoin d’outils supplémentaires pour vos relevés, il vous suffira d’appuyer sur votre HUAWEI WATCH GT 6 pour débloquer instantanément un entraînement cycliste de niveau professionnel.

Votre HUAWEI GT 6 Pro sera également capable de détecter automatiquement une activité de cyclisme et ainsi de débuter l’enregistrement : chaque effort compte ! Votre smartphone deviendra ainsi automatiquement une application dédiée. De même, lorsque vous serez arrêter à un feu rouge, les relevés seront mis en pause jusqu’au redémarrage. HUAWEI se préoccupe aussi de votre sécurité en dotant le WATCH GT 6 Pro d’une fonction de détection des chutes. En cas de chute soudaine, la montre déclenche instantanément une alerte SOS pour vous permettre d’obtenir rapidement de l’aide si vous avez préalablement encodé un numéro de téléphone d’une ou de plusieurs personnes de contact via l’application HUAWEI Sante.

 

Gestion de votre santé :

Cette WATCH GT 6 Pro bénéficie du nouveau système TruSense , qui incorpore notamment une mesure HRV (variabilité de la fréquence cardiaque), une fonctionnalité très demandée par les amateurs de sport et qui permet une évaluation en temps réel de l’état d’entraînement afin d’améliorer l’efficacité de la récupération. On retrouve aussi un système d’évaluations émotionnelles basé sur une détection, toutes les 10 minutes, des émotions et du stress. On retrouve aussi une surveillance de l’arythmie cardiaque par analyse des ondes de pouls. Bien entendu, ces mesures sont ici à titre informatif et ne doivent pas être évaluées que par un médecin.

Première étape : la recharge

Avant de débuter le test, nous avons pris le temps de charger la montre totalement par l’intermédiaire du chargeur fourni dans le bundle de cette HUAWEI WATCH GT 6 Pro. Pour ce faire, il vous suffit de le connecter sur un port USB, dans notre cas, directement sur notre ordinateur portable, et de venir poser la montre sur le socle. Celle-ci est alors « aimantée » afin de rester en place. Celle-ci s’illumine afin de vous indiquer le niveau de charge et la première impression est toujours la même : « Waouh, la qualité de l’écran ! ».

Le chargeur est conçu d’une seule pièce et il est donc impossible de séparer le câble de la base de recharge. Même si certains utilisateurs trouvent cela dommage, notamment pour le ranger lors d’un voyage, cela évite, à notre sens, d’égarer trop facilement la base de recharge. Notez qu’aucun embout de chargement n’est livré avec la WATCH GT 6 Pro, comme sur l’ensemble de la gamme.

Maintenant, que notre montre est pleinement chargée, il est temps d’installer l’application maison « Huawei Santé », enfin, non. Pourquoi non ? Tout simplement parce qu’elle est déjà installée sur notre smartphone puisque nous utilisons une WATCH GT 5 depuis presque un an. Nous avons du, pour des raisons de NDA, installer une version bêta fournie par HUAWEI afin de réaliser nos tests.

 

L’application HUAWEI Santé :

Pour rappel, le QR Code est disponible à l’arrière de la boite de votre montre HUAWEI. C’est assez facile, après avoir scanné le QR Code, vous télécharger le fichier et vous l’exécutez afin d’installer l’application sur votre smartphone. Comme pour la majorité des objets connectés que vous utilisez, vous devrez passer par la case « création d’un compte » HUAWEI si vous n’en possédez pas encore. L’installation s’est déroulée sans aucune difficulté. Nous avons du ajouter notre nouvelle montre, la recherche se fait automatiquement et notre montre WATCH GT 6 Pro est identifiée en quelques secondes.

Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro

Bonne nouvelle puisque nos deux montres sont bien identifiées. Nous pouvons ainsi passé de l’une à l’autre, en choisissant laquelle connecter, mais surtout, les informations sont partagées. Si je change de montre, par exemple, pour faire du sport, elle se synchronise et le nombre de pas, de calories, etc sont directement transférés d’une montre à l’autre !

Lors de l’appareillage entre la montre et votre smartphone, le logiciel vous demandera à plusieurs reprises des autorisations, comme par exemple, celle d’autoriser et de gérer des appels téléphoniques. L’application va aussi nous proposer de télécharger un nouveau pack de langues d’entrainement ainsi que d’autoriser les mises à jour lorsque celles-ci sont disponibles. Nous ne pouvons que vous conseiller de garder votre montre à jour. Il n’aura pas fallu longtemps pour que l’application nous propose de mettre à jour le firmware de notre montre.

Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro Application HUAWEI Santé pour la WATCH GT 6 Pro

On retrouve cinq sections différentes, disponibles en bas de l’écran. Vous aurez ainsi accès à santé, exercice, découvrir, appareil et moi. Comme vous pouvez le constater, dans la dernière section et vous devrez vous identifier avec votre compte HUAWEI.
Enfin, si c’est la première fois que vous installez l’application, vous pourrez bénéficier, gratuitement, d’une période de trois mois au mode VIP vous offrant ainsi l’opportunité d’essayer les entrainements dirigés, le Stay Fit Plan, des fonds d’écran, des musiques pour dormir ainsi que des exercices respiratoires.

Comme nous vous l’avons signalé en début d’article, au moment de publier ce premier article sur la montre connectée sportive HUAWEI WATCH GT 6 Pro, nous l’avons au poignet depuis seulement 36 heures, ce qui est malheureusement trop court pour vous faire un retour complet. Maintenant, une grande majorité des fonctions que nous utilisions sur notre WATCH GT 5 sont toujours présentes.

 

La prise en main :

Un petit mot sur mes premières heures avec cette HUAWEI WATCH GT 6 Pro au poignet. Comme vous l’avez vu, aucun souci pour ajouter une seconde montre à l’application Santé de HUAWEI. Nous apprécions fortement la possibilité de switcher de l’une à l’autre avec une synchronisation immédiate. Ce qui est un peu plus déroutant, c’est le bracelet qui équipe notre exemplaire. Lorsque l’on passe d’un bracelet à fermeture « traditionnel » à un modèle doté d’un fermoir papillon, c’est un peu perturbant. Les premières heures, j’ai retiré un maillon, rajouté le maillon, etc, sans vraiment trouver le bon compromis entre trop serré ou légèrement flottant. Personnellement, je pense que ce qui m’a aussi perturbé, au départ, c’est le poids de cette version titane face à ma WATCH GT 5. Finalement, on s’y habitue assez rapidement.

L’écran AMOLED est toujours aussi bluffant et la qualité semble avoir encore augmenté d’un cran, en tout cas, face au modèle WATCH GT 5. La puce implantée fait parfaitement le travail puisqu’à aucun moment, nous n’avons connu de ralentissement ou de latence. Nous naviguons dans les différents menus avec une facilité déconcertante, avec l’avantage, d’être déjà habitué aux différents menus.

Le lancement officiel est donc ce jour et vous pourrez retrouver l’ensemble de la gamme des montres connectées sportives directement sur le shop HUAWEI, mais également sur Amazon. L’arrivée chez les revendeurs tiers est prévue pour le 29/09.

Un tout grand merci à HUAWEI France de nous offrir l’opportunité de vous présenter et de tester cette nouvelle série, avec comme exemplaire, la HUAWEI WATCH GT 6 Pro en édition Titane. Rendez-vous d’ici deux petites semaines, afin que nous puissions vous faire un retour sur l’autonomie, sur les relevés durant nos séances de sport ainsi que lors d’une sortie vélo.

Test – La montre connectée HUAWEI WATCH GT 6 Pro a lire sur Vonguru.

LEGO Voyagers

Par :Perco
19 septembre 2025 à 08:00
Depuis que j’ai découpé en tranches le très vide Herdling, Ellen Replay m’accuse d’avoir perdu mon âme d’enfant et ma capacité à m’émouvoir devant la poésie du contemplatif. C’est faux. LEGO Voyagers prouve que je peux tout à fait vomir l’ennui d’une pastorale creuse et goûter à une merveilleuse histoire de briques.

Test – Distributeur de croquettes connecté OneIsAll

18 septembre 2025 à 22:29

Que vaut le distributeur de croquettes connectés de OneIsAll ?

Aujourd’hui, on découvre une marque fraîchement débarquée sur le sol français cet été, OneIsAll, qui cherche à révolutionner les routines de soins de nos animaux avec des produits pensés pour simplifier le quotidien des maîtres et de leurs compagnons. De ses outils de toilettage dignes des professionnels à ses fontaines à eau en acier inoxydable, en passant par ses distributeurs de croquettes connectés, la marque propose une gamme complète, intuitive et design.

Aujourd’hui, nous découvrons donc le distributeur de croquettes connectés muni de son application ! Ce dernier est disponible hors promotion au prix de 84,99 €.

Place au test !

 

Unboxing

Sur la face avant, on aura une grande photo du distributeur de croquettes connecté trône avec ses deux gamelles, accompagnée du logo Oneisall en orange et de la mention « Smart Pet Feeder with 5G WiFi ». En basculant sur le côté orange, le ton change : on a un fond vif ponctué de formes graphiques blanches et dorées, avec le slogan « Transform how you pet. » qui donne une touche lifestyle et plus chaleureuse.

À l’arrière, l’approche se veut plus technique et informative. On y retrouve un descriptif multilingue qui résume les principales fonctions du distributeur : gestion via WiFi, programmation des repas, bonne conservation des croquettes et adaptation aux foyers multi-animaux. Des éléments pratiques comme le QR code, les références produit et les mentions légales y sont également imprimés.

Distributeur croquette connecté deux chats OneIsAll

 

Caractéristiques techniques et fonctionnalités

  • Capacité de 5 L (~20 tasses) : suffisamment pour nourrir deux chats pendant environ 10 jours.

  • Wi-Fi 5 G / 2,4 G : permet un contrôle stable à distance via appli pour programmer les repas et consulter l’historique d’alimentation.

  • Double bols : conçu pour alimenter simultanément deux animaux, parfait pour les foyers multiples.

  • Enregistreur vocal de 10 s : un petit message personnalisé est joué avant chaque repas pour rassurer vos animaux.

  • Contrôle précis des portions : environ 10 g par portion (≈ 1/12 de tasse). Adapté aux croquettes jusqu’à 12 mm. Jusqu’à 6 repas par jour.

  • Alimentation en double mode : alimentation principale via un câble électrique + batterie de secours en cas de coupure (selon modèle).

  • Maintien de la fraîcheur : couvercle hermétique et sachet dessiccant inclus.

  • Garantie et retour : 30 jours de remboursement intégral et garantie de 24 mois.

 

Contenu

  • Distributeur automatique (alimentateur) × 1

  • Bol en acier inoxydable + support × 1

  • Câble d’alimentation avec adaptateur × 1

  • Sachet dessiccant × 1

  • Manuel utilisateur × 1

  • Guide de démarrage rapide × 1

  • Éponge de nettoyage × 1

  • 4 colonnes métalliques (pieds ou montants internes) × 4

  • 2 glissières alimentaires × 2

 

Configuration & Installation

  1. Assemblage de base

    • Placez les colonnes métalliques et les glissières alimentaires à l’intérieur du distributeur.

    • Fixez le support + bol en acier inoxydable.

    • Mettez en place le sachet dessiccant dans son compartiment sous le couvercle, pour garder les croquettes au sec.

  2. Branchement

    • Soit connectez le câble USB-C + adaptateur secteur.

    • Soit insérez des piles de secours (selon modèle) pour assurer le fonctionnement en cas de coupure de courant.

  3. Remplissage

    • Versez jusqu’à 5 L de croquettes (taille max 12 mm).

    • Refermez bien le couvercle pour conserver la fraîcheur.

Distributeur croquette connecté deux chats OneIsAll

Test & Application 

Quand on vit avec un ou plusieurs chats, on sait à quel point la nourriture peut devenir une question d’organisation. Entre les réveils à l’aube parce que la gamelle est vide et les miaulements incessants qui vont avec ET qui réveillent les enfants, les journées où l’on rentre plus tard que prévu et la nécessité de contrôler les portions pour éviter la gloutonnerie, un distributeur automatique semble parfois être LA solution.

Oneisall, déjà connu pour ses fontaines à eau en acier inoxydable, et dont nous vous proposerons un test la semaine prochaine, propose justement un modèle de distributeur de nourriture de 5 litres, pensé pour la simplicité d’usage, la fiabilité et, soyons honnêtes, pour la tranquillité d’esprit des humains. Après plusieurs jours d’utilisation, on se rend compte que derrière son apparente sobriété se cache un produit beaucoup plus réfléchi qu’il n’y paraît.

Le premier contact est rassurant : le bac de 5 litres inspire confiance par sa capacité, largement suffisante pour nourrir mes deux chats pendant une dizaine de jours, ce qui signifie qu’on peut partir en week-end prolongé sans avoir à organiser une garde rapprochée. Enfin ça, dans la théorie. Parce que niveau litière, on attend donc qu’OneIsAll nous concocte un nouveau produit !

Distributeur croquette connecté deux chats OneIsAll

Le design reste sobre, avec un grand couvercle hermétique et un bol en acier inoxydable, facilement lavable, ce qui tranche agréablement avec certains modèles en plastique qui prennent vite les odeurs. On remarque aussi la présence d’un petit sachet qui vient se loger sous le couvercle, astuce simple mais efficace pour préserver la fraîcheur des croquettes.

L’installation ne prend pas plus de dix minutes comme vous pouvez en juger par les étapes listées au-dessus. Il suffit de mettre en place les colonnes métalliques et les glissières qui assurent la bonne répartition des croquettes, de brancher le câble d’alimentation et éventuellement d’ajouter des piles de secours pour parer aux coupures de courant. Le distributeur se connecte ensuite en Wi-Fi, en 2,4 GHz ou 5 GHz selon la version, et l’application mobile fait le reste. Elle est plutôt intuitive : on programme les repas en quelques gestes, avec jusqu’à six distributions quotidiennes et une portion minimale d’environ dix grammes. De quoi adapter parfaitement le rythme aux besoins du chat, qu’il soit du genre à grignoter souvent ou à préférer des repas copieux. Mes chats n’ont d’ailleurs pas les mêmes habitudes alimentaires, ni les mêmes croquettes.

Dans les idées venues, une fois l’objet testé, il aurait été sympa d’avoir deux compartiments pour mettre deux sortes de croquettes différentes, puisque justement, nous avons deux gamelles. À noter que pendant la prise de photos, nos croquettes étaient trop grosses pour être correctement distribuées. C’est donc un point important, prêtez y bien attention.

L’un des aspects les plus amusants, c’est l’enregistreur vocal. On peut enregistrer un message de dix secondes qui se déclenche à chaque repas. Si certains chats paraissent indifférents, d’autres réagissent avec une curiosité touchante en entendant la voix familière de leur humain. Ce petit détail renforce le lien affectif, même quand on n’est pas là physiquement. Enfin bien sûr, cela dépendra de vos chats !

Distributeur croquette connecté deux chats OneIsAll

Côté fonctionnement, notre distributeur de croquettes Oneisall se montre fiable. Les croquettes descendent régulièrement, sans blocage, tant qu’elles ne dépassent pas la taille recommandée (environ 12 mm). Le double bol s’avère pratique si l’on a deux chats, puisqu’il évite les disputes alimentaires en répartissant automatiquement la ration. Le bruit est minime, juste le léger ronronnement du mécanisme, et ne perturbe pas trop les animaux. À l’usage, on apprécie surtout la régularité : finis les « excès de zèle » de certains chats qui vident un bol rempli d’un coup, l’appareil permet de garder une vraie constance dans l’alimentation.

L’entretien est tout aussi simple : un passage rapide à l’eau chaude savonneuse pour le bol et un coup d’éponge pour l’intérieur suffisent chaque semaine. Le sachet dessiccant se change toutes les trois à quatre semaines. Rien de contraignant.

Alors évidemment, ce n’est pas l’appareil parfait pour tout le monde. Certains préféreront garder une relation plus directe avec les repas de leur animal, et d’autres trouveront qu’un simple bol fait tout aussi bien l’affaire. Mais pour les foyers multi-chats, pour ceux qui travaillent avec des horaires variables ou pour les propriétaires un peu anxieux à l’idée de laisser leurs compagnons seuls, ce distributeur automatique a selon moi de vrais arguments.

 

Conclusion 

Pour conclure notre test du jour, le Oneisall Automatic Cat Food Dispenser 5L ne réinvente pas le distributeur de croquette, mais il nourrit nos chats avec soin. Capacité généreuse, double bol, application bien pensée, fiabilité mécanique et, petits bonus comme le message vocal, en font un produit à la fois pratique et rassurant. Ce n’est pas seulement un gadget technologique : c’est une solution qui s’intègre naturellement dans la vie quotidienne et qui, surtout, rend service autant aux chats qu’à leurs humains.

Argent Award Vonguru

Nous rappellerons que ce dernier dernier est disponible hors promotion au prix de 84,99 €.

Test – Distributeur de croquettes connecté OneIsAll a lire sur Vonguru.

Dying Light : The Beast

Par :Noddus
18 septembre 2025 à 16:00
Attention à ne pas vous méprendre, The Beast n'est pas un troisième épisode de Dying Light. Même s’il cherche désespérément à rentrer en soirée avec ses deux grands frères, ce stand-alone a pour le moment tout du gringalet qui reste coincé sur le trottoir devant la boîte de nuit.

NeozOne lance son badge 5 étoiles et un label exclusif « coup de cœur de la rédaction »

17 septembre 2025 à 09:40
Le badge « recommandé par la rédaction ». Crédit photo : Alexandre Bonazzi pour NeozOne

Des centaines de tests, une objectivité reconnue, et désormais un label exclusif : découvrez le « coup de cœur de la rédaction » signé NeozOne.

L’article NeozOne lance son badge 5 étoiles et un label exclusif « coup de cœur de la rédaction » est apparu en premier sur NeozOne.

Quid de la sécurité du rôle Windows Deployment Services – WDS ?

17 septembre 2025 à 06:50

Note liminaire : Depuis le temps que je n’avais pas pondu un article sur ce blog, je suis très heureux de faire paraître enfin celui-ci. Un grand merci à tous ceux qui continuent à s’abonner et à visiter le site malgré le fait que je publie moins que les années passées, du fait de mes différents projets pro (et perso).

Rappel : L’article qui va suivre contient des techniques et méthodes qui peuvent s’avérer être illégales et dangereuses si elles sont utilisées à mauvais escient. Ce tutoriel ne doit en aucun cas être utilisé contre un particulier, une entreprise, une organisation à but non lucratif ou une administration publique de quelconque pays. Je me dédouane de toute responsabilité en cas de problèmes ou d’incidents de quelque nature que ce soit après le visionnage de cet article.

I. Introduction

Le rôle WDS (Windows Deployment Services) est une fonctionnalité clé de l’écosystème Windows Server, encore largement utilisée par de nombreuses entreprises pour déployer des systèmes d’exploitation sur des postes de travail ou des serveurs. Bien qu’il ne rivalise pas avec des solutions plus complètes (payante) comme MECM, ex SCCM, il reste très répandu, notamment car il peut s’interfacer avec MDT*. Il permet de simplifier, d’automatiser et de suivre les déploiements. Cependant, mal configuré ou insuffisamment protégé, le rôle WDS peut constituer une porte d’entrée pour un attaquant, qui pourrait s’en servir pour progresser au sein du réseau.

* MDT (Microsoft Deployment Toolkit) est un outil gratuit proposé par Microsoft, qui permet de créer des séquences de tâches personnalisées pour automatiser les déploiements de systèmes d’exploitation. Il vient enrichir WDS avec de nombreuses fonctionnalités sans surcoût.

Cet article examine donc la sécurité du rôle WDS en explorant les principales menaces auxquelles il est confronté, ainsi que des recommandations pour renforcer sa sécurité.

Avant toute chose, voici un petit récap afin d’éviter de vous mélanger entre les différents termes et acronymes qui vont être abordés tout au long de l’article.

II. Rappels : WDS vs MDT vs MECM ?

  • WDS est principalement utilisé pour déployer des « images systèmes » / master à travers un réseau local. Il est simple à configurer mais reste limité, car il se concentre uniquement sur l’installation d’images. MDT, en revanche, va plus loin en permettant l’automatisation et la personnalisation des images elles-mêmes grâce à des séquences de tâches (installation de logiciels, scripts, etc.), mais il demande une configuration plus complexe. Si vous souhaitez en savoir plus sur le fonctionnement de MDT et WDS, je vous recommande cet article.

Pour mettre en place un lab complet et tester les points abordés ci-dessous, voici une collection d’articles issus de (l’excellent) site it-connect !

Processus détaillés du déploiement d’un OS via « PXE » avec WDS et MDT – source

Méconnu dans le monde de la sécurité offensive imho, les serveurs de déploiement sont pourtant une source d’informations importante pour un attaquant (légitime ou non). Ci-dessous, je vous présente les différentes approches pour que vous soyez en mesure de détecter un service WDS sur le réseau lors de votre audit (uniquement :))

III. D’un point de vu attaquant, qu’est-ce qu’on peut faire ?

A. Comment détecter un service WDS sur le réseau ?

Il y a plusieurs manières d’identifier si un service WDS fonctionne sur le réseau.

  • Sans identifiant : Essayer de booter sur le réseau avec un PC ou une VM « bridgé » sur la carte réseau utilisé. (Ceci est valable uniquement si le réseau n’est pas ou mal segmenté.)
  • Avec des identifiants du domaine Active Directory valides : Consulter le partage réseau SMB associé au rôle WDS en recherchant le nom du partage réseau ou sa description « générique » (Ils ne sont pas customizable !) :
    • Nom du partage réseau : REMINST
    • Description du partage réseau SMB : Windows Deployment Services Share

B. Sans identifiant valide – « Press F12 for loot »

Rappel du prérequis : Évoluer dans un réseau d’entreprise sans/peu de cloisonnement (ce qui existe encore ^) ou être dans un VLAN d’administration où il est possible d’atteindre le serveur de déploiement PXE.

1. Préparer votre machine

  • Assurez-vous que le poste physique ou la machine virtuelle (VM) est configuré pour être connecté au réseau local en question.
    • Pour un poste physique, cela implique une connexion via un câble Ethernet branché sur le réseau cible.
    • Pour une VM, configurez la carte réseau en mode « bridged » (ponté), ce qui permet à la VM d’accéder au réseau comme si elle était un appareil physique sur le réseau local.

2. Accéder au « boot PXE* »

  • Redémarrez votre poste ou initialisez la machine virtuelle.
  • Pendant la phase de démarrage, appuyez sur la touche pour « démarrer en mode PXE » (La touche varie selon les fabricants de matériel, mais F12 est une des plus courantes pour initier un déploiement PXE.)

Pour rappel, le PXE* (Preboot Execution Environment) est un protocole processus de démarrage réseau qui permet à un ordinateur de démarrer et « charger » un OS au travers du réseau, sans support de stockage local comme un disque dur ou une clé USB. Lors d’un démarrage PXE, la machine utilise mon microsologiciel (BIOS, EFI, UEFI**) pour réaliser cette tâche.

*PXE n’est pas un protocole à proprement parler, mais plutôt un ensemble de spécifications qui permet à un ordinateur de démarrer (boot) via le réseau.

Concrètement, PXE « chapotes » les deux protocoles réseaux :

  • DHCP : pour obtenir une adresse IP et localiser le serveur de déploiement.
  • TFTP : pour télécharger les fichiers nécessaires au démarrage. (fichier au format .wim)

Plus bas, deux schémas vous permettent de visualiser plus en détail comment cela fonctionne.

Et oui, je sais, encore une note… ^^, mais je trouve important de détailler la différence entre les trois termes suivants, car leur distinction est souvent méconnue, elle aussi.

**BIOS, EFI, UEFI : Ce sont trois types de firmware (en français : micrologiciel) utilisés pour démarrer un ordinateur et « charger » un système d’exploitation.

  • BIOS : ancien (1980-2010) et limité, fonctionne en mode 16 bits avec une interface textuelle simple. Il ne prend en charge que des disques jusqu’à 2 To via le schéma MBR, ce qui limite la capacité de stockage et les fonctionnalités modernes.
  • EFI : apparu vers 2002 pour moderniser le BIOS, introduit un mode 32 ou 64 bits, des interfaces graphiques plus évoluées, ainsi que le support du partitionnement GPT, permettant de dépasser la limite des 2 To et d’améliorer la gestion des disques.
  • UEFI : standardisé vers 2005 comme successeur de l’EFI, apporte des fonctionnalités avancées telles que le Secure Boot pour renforcer la sécurité au démarrage, une meilleure modularité et une compatibilité étendue avec les systèmes d’exploitation modernes. C’est désormais la norme sur la majorité des machines actuelles.

Pour aller plus loin : Quelle est la différence entre le format GPT et MBR pour un disque dur ?

source

source

3. Network boot

  • Une fois dans le menu de démarrage, sélectionnez l’option correspondante au démarrage réseau, généralement intitulée « Network Boot », « PXE Boot ».
  • Cette action déclenche une requête au serveur DHCP du réseau pour obtenir une adresse IP ainsi que les informations nécessaires pour localiser le serveur de déploiement.

WDS permet de diffuser sur le réseau deux types d’images essentiels au déploiement d’un système Windows :

  • Une image de démarrage boot.wim, basée sur WinPE (Windows Preinstallation Environment), qui fournit un environnement (OS) minimal pour initier le processus de déploiement.
  • Une image d’installation install.wim, contenant l’ensemble des fichiers nécessaires à l’installation du système d’exploitation.

WinPE permet d’effectuer des tâches initiales comme :

  • L’établissement de la connexion réseau pour accéder dans un second temps à l’image install.wim.
  • La détection des périphériques et des disques et le chargement des pilotes nécessaires.

Une fois l’image de démarrage correctement chargée, vous arrivez sur l’interface WinPE. Il est alors possible d’ouvrir une invite de commande en appuyant sur la touche F8.
Pourquoi est-ce utile ? Cela permet d’explorer les fichiers contenus dans boot.wim « à chaud ».

En explorant les fichiers de ce « mini » système d’exploitation, on remarque la présence d’un dossier nommé Deploy (ou d’un nom équivalent) à la racine du système de fichiers. Ce dossier contient principalement des éléments de configuration, notamment des fichiers qui permettent de personnaliser le futur système d’exploitation en fonction des règles définies dans le master de déploiement.

Un des fichiers de configuration utilisés par MDT est le fameux Bootstrap.ini. Ce fichier joue un rôle crucial dans le démarrage du processus de déploiement. Il contient des paramètres de configuration qui permettent de définir les éléments nécessaires pour établir la connexion initiale entre le client et le serveur de déploiement.

On y trouve très souvent des identifiants de connexion : un compte du domaine Active Directory permettant d’auto-enrôler l’ordinateur au sein de l’AD. C’est cette information qui va fortement intéresser un attaquant, car ce compte est malheureusement encore trop souvent un compte à fort privilège (et même parfois administrateur du domaine… SANS COMMENTAIRE).

more Boostrap.ini

En examinant ce fichier de configuration utilisé par MDT, on constate qu’il peut contenir un compte Active Directory ainsi qu’un mot de passe en clair. Ces informations sont intégrées afin d’automatiser le processus de déploiement et l’enrôlement des machines dans l’Active Directory. Toutefois, cette méthode implique de stocker des identifiants sensibles en clair dans un fichier accessible à toute machine capable de démarrer sur l’image de déploiement, qu’elle soit légitime ou non. À ce jour, il n’existe aucune solution officielle permettant de chiffrer ces identifiants dans le cadre de MDT, ce qui en fait un point de faiblesse connu, mais encore souvent ignoré. (source)

Note : La variable DomainAdmin dans MDT peut prêter à confusion : malgré son nom, elle ne désigne pas nécessairement un administrateur du domaine. Elle doit simplement contenir un compte disposant des droits suffisants pour joindre un poste à Active Directory. Il est donc recommandé d’utiliser un compte dédié avec des privilèges strictement limités à cette tâche. Pourtant, de nombreux tutoriels en ligne préconisent l’usage de comptes à privilèges élevés, voire d’un administrateur du domaine… ce qui accroît considérablement les risques de compromission du domaine ou de mouvements latéraux en cas d’incident.

Pour vérifier la possibilité de connexion et, surtout, si ces identifiants sont encore valides (car ils peuvent avoir été désactivés si le serveur WDS de déploiement n’est plus utilisé), il suffit de tester l’accès via SMB, LDAP ou RDP à l’aide d’un outil comme NetExec.

nxc smb $DC_IP -u 'admin_mdt' -p '@dm1n_mdt'

C. Avec des identifiants valide : Comment trouver le partage réseau utilisé par le rôle WDS

Avec des identifiants valides, il devient possible d’accéder au partage réseau SMB REMINST utilisé par le rôle WDS, et ainsi de récupérer les mêmes fichiers que ceux transmis à une machine lors de la phase de déploiement via l’image boot.wim (WinPE). Ce scénario reste d’autant plus plausible qu’en 2025, même si le cloisonnement réseau tend à se généraliser au sein des entreprises ces dernières années… quoi que 😏

Pour procéder, commencez par énumérer tous les objets ordinateurs Windows enrôlés dans l’Active Directory (cela peut être fait avec BloodHound ou encore avec ldapsearch (un compte utilisateur standard suffit)).

Ensuite, effectuez une recherche rapide (Ctrl + Maj +F pour un terminal standard) dans les résultats à l’aide du terme « REMINST » pour repérer facilement le(s) partage(s) concerné(s). Par exemple, avec l’outil NetExec, la commande suivante permet d’énumérer les partages :

nxc smb computers.txt -u $USER -p $PASSWORD --shares

Historiquement, sur les anciennes versions de Windows Server, l’accès au partage REMINST se faisait parfois sans authentification, ce qui facilitait le processus PXE mais exposait potentiellement le serveur à des accès non autorisés. D’un point de vue attaquant, cela permettait de passer d’une approche « black box » à une « gray box ». Depuis Windows Server 2016, les configurations par défaut restreignent ces accès anonymes en exigeant une authentification. Toutefois, si les partages invités ou les « null sessions » sont toujours activés, un attaquant peut encore identifier et accéder au partage sans disposer d’un compte valide dans le domaine. (source)

Cette méthode est très bruyante et risque fortement de déclencher de nombreuses alertes réseau si un système de surveillance est en place (XDR…). Toutefois, elle permet, lors d’un pentest, de vérifier facilement l’existence de ce partage réseau, contrairement à une approche Red Team où la discrétion et la furtivité sont prioritaires.

Une fois que l’on repère un partage nommé REMINST avec la description Windows Deployment Services shares, il convient d’utiliser SMB pour y accéder. Comme vous pouvez le constater, par défaut, l’utilisateur que je possède dispose bien des droits de lecture (READ) sur ce partage.

Pour cela, vous pouver utiliser une machine windows, ou bien passer par un outil en ligne de commande comme smbclient-ng.

mkdir REMINST_DUMP && cd REMINST_DUMP
smbng -d "$DOMAIN" -u "$USER" -p "$PASSWORD" --host "$WDS_TARGET_IP"

Une fois connecté à la racine du partage SMB, il faut indiquer à smbclient-ng (ou smbng) le partage spécifique que l’on souhaite consulter en le sélectionnant explicitement.

use REMINST

Deux cas de figure peuvent se présenter : soit des scripts d’administration comme Bootstrap.ini, CustomSettings.ini ou Unattend.xml sont encore présents ; soit, si les administrateurs réseau ont correctement nettoyé le répertoire, vous ne trouverez rien, ou presque… C’est d’ailleurs une situation que j’ai rencontrée récemment lors d’un audit : aucun de ces scripts n’était encore présent, car les administrateurs les avaient supprimés. En revanche, les images master restaient accessibles, alors même que le service WDS n’était plus utilisé depuis un certain temps — et l’utilisateur référencé dans Bootstrap.ini était encore actif.

Pour vous en assurer, vous pouvez par exemple télécharger l’ensemble du contenu de ce répertoire afin de l’analyser ultérieurement (comme un bourrin ^^). On constate qu’au sein des fichiers récupérés, il est possible d’obtenir une image WinPE nommée LiteTouchPE_x64.wim. Cette image, qui constitue un environnement WinPE, est chargée de mettre en place l’environnement de préexécution destiné à accueillir le futur système.

Comme le format de l’image est un fichier .wim, il est possible de l’explorer à l’aide d’un outil de décompression comme 7-Zip, qui prend en charge ce type de fichier. En effet, un fichier .wim (Windows Imaging Format) est un format développé par Microsoft permettant de stocker une ou plusieurs images de système d’exploitation dans un seul conteneur. Il fonctionne de manière similaire à une archive, ce qui permet d’en parcourir le contenu sans avoir à le monter ni l’exécuter.

Il ne vous reste plus qu’à tester si les identifiants sont bien valides sur le domaine.

nxc smb $DC -u 'admin_mdt' -p '@dm1n_mdt'

Si la réponse est oui, alors il sera très pertinent de vérifier le niveau des droits de cet utilisateur fraîchement « pwned ».

En analysant les droits de l’utilisateur ADMIN_MDT, on constate qu’il est membre de deux groupes, et non des moindres : Remote Management Users et Account Operators. Le premier lui permet d’exécuter des actions d’administration à distance sur les machines du domaine, tandis que le second lui confère des actions de gestion étendus sur les comptes utilisateurs du domaine, notamment la création, la modification ou la suppression de comptes standards. Ce niveau d’accès représente un vecteur d’escalade de privilèges particulièrement critique dans un environnement Active Directory.

IV. Recommandations

Les recommandations suivantes peuvent être mises en œuvre afin de renforcer la configuration du service WDS :

  • Limiter l’exposition du serveur en l’isolant dans un sous-réseau (VLAN) dédié. Si cela n’est pas entièrement possible pour des raisons « métier », il est recommandé a minima de désactiver le flux SMB au niveau du pare-feu pour les zones réseau qui n’en ont typiquement pas besoin.
  • Nettoyer les images WinPE en supprimant tout mot de passe présent dans les scripts d’automatisation, notamment dans les fichiers Bootstrap.ini, CustomSettings.ini, Unattend.xml, ainsi que dans les scripts de séquence de tâches MDT (.vbs, .cmd, .ps1).
  • Appliquer le principe du moindre privilège au compte utilisé pour l’enrôlement des postes dans l’Active Directory, en privilégiant la saisie manuelle du mot de passe lors du déploiement afin d’éviter son enregistrement dans des fichiers de configuration en clair.

Enfin, c’est tout bête, mais si aucune de ces options ne vous convient et que le serveur de déploiement n’est pas utilisé régulièrement, il est recommandé de ne l’allumer qu’en cas de besoin. Parfois, cela peut être la meilleure des sécurités… tout en permettant d’économiser de l’électricité.

V. Conclusion

Le rôle WDS, combiné à MDT, est un outil efficace et très utilisé pour déployer des systèmes Windows. Pourtant, il reste souvent sous-estimé en termes de risques. Une mauvaise configuration peut exposer des infos sensibles, comme des identifiants Active Directory, et ouvrir une porte d’entrée à un attaquant. En appliquant les bonnes pratiques décrites plus haut, vous réduirez largement les risques liés à WDS et protégerez mieux votre infrastructure.

Merci à @scam pour leur relecture

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GSB // @archidoté

L’article Quid de la sécurité du rôle Windows Deployment Services – WDS ? est apparu en premier sur Le Guide Du SecOps • LGDS.

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