Son puissant, prix léger : l'enceinte Bluetooth Beats Pill en forte promotion pour le Cyber Monday



De nos jours, quand un mec chelou avec des lunettes cheloues nous fixe, on ne sait plus si c’est parce qu’il nous trouve irrésistible ou s’il est en train de balancer notre tronche à une IA pour savoir qui on est. Bon, pour vous, la question se pose peut-être moins, mais vous voyez l’idée ^^.
Heureusement, pour lutter contre ça, y’a maintenant un projet open source pour détecter ces petits curieux équipés de Ray-Ban Meta ou d’autres lunettes-caméras. Ce projet s’appelle Ban-Rays (jeu de mots avec “banned”, roh roh roh) et le but c’est de créer des lunettes capables de repérer les smart glasses équipées de caméras.
Et pour arriver à cela, le dev derrière ce projet utilise deux approches complémentaires.
La première, c’est l’approche optique basée sur un principe physique assez marrant. En effet, mes capteurs CMOS des caméras ont la particularité de renvoyer la lumière infrarouge directement vers sa source. C’est ce qu’on appelle l’effet “cat-eye” ou rétro-réflectivité, du coup, en balançant des impulsions IR vers une paire de lunettes suspecte et en analysant le signal réfléchi, on peut théoriquement détecter la présence d’une caméra. Et les capteurs produisent des pics de signal bien nets et rapides, contrairement aux surfaces réfléchissantes classiques qui génèrent des ondes plus longues.
Pour le moment, les tests avec les Ray-Ban Meta montrent des résultats un peu inconsistants à courte distance (genre 10 cm), mais le principe est là et ça s’améliore. Ah oui et le matos utilisé c’est un Arduino Uno, des LEDs infrarouges (940nm et 850nm), une photodiode et un transistor. Rien de bien méchant donc niveau budget.
Et la deuxième approche, c’est côté réseau avec la détection Bluetooth Low Energy. Les Ray-Ban Meta utilisent un identifiant fabricant spécifique (0x01AB pour Meta) et un Service UUID bien particulier (0xFD5F). Le souci c’est que pour le moment, ça ne détecte les lunettes que pendant l’allumage ou le mode appairage. Pour une détection continue pendant l’utilisation normale, faudrait du matos plus costaud genre modules nRF pour sniffer les paquets CONNECT_REQ. Mais bon, ça viendra puisque c’est dans la roadmap du projet.
Alors oui, vous allez me dire que les Ray-Ban Meta ont une petite LED qui s’allume quand elles filment, donc c’est pas discret. En théorie oui auf que cette LED est tellement minuscule que la Data Privacy Commission irlandaise a carrément remis en question son efficacité comme protection de la vie privée. Et surtout, un bidouilleur propose maintenant de désactiver cette LED pour une soixantaine de dollars. Meta a bien prévu une protection qui empêche les lunettes de fonctionner si on couvre la LED avec du scotch, mais le gars a trouvé comment contourner ça et sa liste de clients s’allonge…
Et l’autre truc que j’ai remarqué avec ces lunettes connectées, c’est qu’elles se déclenchent tout le temps pour tout et n’importe quoi. Comme ça écoute en permanence pour répondre aux commandes vocales, impossible d’avoir une conversation normale sans que le machin réagisse à un mot qui ressemble vaguement à “Hey Meta”. C’est encore pire que Siri ou Alexa qui font déjà des déclenchements intempestifs. Perso, c’est pour ça que je ne veux pas de ce genre de lunettes, même si je reconnais que c’est pratique pour photographier ou filmer des choses (dans le cadre de mon boulot hein…)
Et les inquiétudes sont d’autant plus justifiées qu’une étude de 2024 a montré qu’en combinant des Ray-Ban Meta hackées avec de la reconnaissance faciale en temps réel, on pouvait identifier des inconnus dans la rue. Encore plus récemment, l’Université de San Francisco a dû alerter ses étudiants après qu’une personne mystérieuse ait utilisé ces lunettes pour filmer des femmes sur le campus et partager les vidéos en ligne. Sympa l’ambiance de parano.
Bref, si vous êtes inquiet par ça (ou juste soucieux de votre vie privée), le projet Ban-Rays est sur GitHub avec tout le code en C++, Python et un peu de C. C’est encore expérimental mais les deux approches sont prometteuses et si vous voulez contribuer, y’a plein de trucs à améliorer comme les patterns de balayage IR, la fusion des données multi-longueurs d’onde, l’interrogation active BLE…

TL:DR : téléphone == mouchard
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Je ne m’attendais pas à grand-chose en sortant les Technics EAH-AZ100 de leur boîte. Encore une paire d’écouteurs sans fil premium, me suis-je dit. Mais dès les premières secondes d’écoute, j’ai compris que j’étais tombé sur quelque chose de vraiment spécial. La sensation est difficile à décrire : c’est comme si mes morceaux préférés, que j’ai écoutés des centaines de fois, avaient soudainement gagné en profondeur, en relief. Et je ne parle pas de fichiers lossless sur un DAC audiophile, mais bien de simples titres compressés sur Spotify.
Ces écouteurs, proposés à moins de 300 €, ne sont clairement pas destinés à tous les budgets. Mais croyez-moi, ils valent chaque centime pour qui aime la musique et veut la redécouvrir.




Ce qui frappe en premier, c’est le niveau de détail sonore. Les EAH-AZ100 utilisent de nouveaux transducteurs de 10 mm avec fluide magnétique, une technologie héritée du monde de la hi-fi qui limite la distorsion et élargit la scène sonore. Résultat : les graves sont profonds mais jamais envahissants, les médiums sont clairs et les aigus précis sans agressivité.
En pratique, cela veut dire que vous pouvez entendre des nuances souvent écrasées par des écouteurs plus grand public : la respiration d’un chanteur, une réverbération discrète de guitare, ou encore la subtilité d’un mixage. C’est ce qui fait que l’on se surprend à redécouvrir des morceaux qu’on croyait connaître par cœur.
Les EAH-AZ100 ne se contentent pas d’une réduction de bruit active classique. Ici, l’ANC est adaptatif : il s’ajuste en fonction de votre environnement et même de la forme de vos oreilles. Dans un bus ou dans un avion, les bruits de moteurs s’effacent, laissant place à la musique sans forcer sur le volume.
Alors oui, si l’on compare directement avec Bose, la référence historique en ANC, Technics n’a pas encore totalement détrôné le roi. Mais l’isolement est déjà excellent et, surtout, le son reste naturel, ce qui est parfois le défaut des ANC trop agressifs.
Les écouteurs sont un peu plus imposants que certains concurrents, mais une fois en place, ils tiennent parfaitement et se font vite oublier. Technics a manifestement travaillé l’ergonomie : même après plusieurs heures d’écoute, aucune gêne particulière à signaler.
Le design inspire confiance, avec un boîtier solide et élégant, disponible en plusieurs coloris (noir, argent, champagne). Clairement, on est dans le premium assumé.
C’est l’autre grosse surprise. Avec 10 heures d’écoute avec ANC activé et jusqu’à 28 heures avec le boîtier, ces écouteurs surpassent nombre de modèles concurrents dans cette gamme de prix. Ils se rechargent en USB-C et supportent la recharge sans fil Qi, ce qui est toujours appréciable.
Pour un usage quotidien (trajets, travail, sport, détente), c’est largement suffisant pour tenir plusieurs jours sans passer par la case recharge.
On sent que Technics a pensé aux détails, et ça fait la différence au quotidien.
| Caractéristiques | Détails |
|---|---|
| Prix | 299 € (env.) |
| Autonomie | 10 h (ANC activé) + 28 h avec boîtier |
| Charge | USB-C + recharge sans fil Qi |
| Réduction de bruit | ANC adaptatif |
| Haut-parleurs | Transducteurs 10 mm à fluide magnétique |
| Codecs pris en charge | SBC, AAC, LDAC, LC3 (LE Audio) |
| Fonctions spéciales | Multipoint (3 appareils), Dolby Atmos, suivi de tête |
| Résistance | IPX4 (résistant à la transpiration et aux éclaboussures) |
| Couleurs | Noir, argent, champagne |
Points forts :
Points faibles :
Si vous cherchez des écouteurs sans fil pour la vie de tous les jours et que vous n’êtes pas spécialement audiophile, les AZ-100 peuvent sembler chers. Mais si vous aimez vraiment la musique et que vous voulez en profiter avec un niveau de détail et une fidélité rarement atteints sur des true wireless, alors ils sont faits pour vous.
Les Technics EAH-AZ100 ne sont pas seulement de bons écouteurs. Ce sont des écouteurs qui vous rappellent pourquoi vous aimez la musique. Et ça, honnêtement, c’est rare.
Vous pouvez trouver les Technics EAH-AZ100 en Noir ou en Silver chez différents commerçants et notamment :
Les Technics EAH-AZ100 sont-ils résistants à l’eau ?
Oui, ils disposent de la certification IPX4, ce qui les protège contre la transpiration et les éclaboussures.
Peut-on les connecter à plusieurs appareils en même temps ?
Oui, le multipoint permet de connecter jusqu’à 3 appareils simultanément.
Sont-ils compatibles avec les iPhone ?
Oui, ils fonctionnent parfaitement avec iOS (en AAC) mais tirent tout leur potentiel avec Android (LDAC, LC3).
Le Dolby Atmos marche-t-il partout ?
Il fonctionne sur les appareils et applications compatibles, comme certaines plateformes de streaming et smartphones récents.
Le prix est-il justifié ?
Oui, si vous cherchez une expérience sonore haut de gamme. Non, si vous voulez simplement des écouteurs corrects pour le quotidien.
Cet article original intitulé Technics EAH-AZ100 : Ces écouteurs Hi-Fi Sans Fil ANC m’ont bluffé a été publié la première sur SysKB.
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