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Test Roborock S8 MaxV Ultra : Suprématie absolue !

Par : NotDjey
29 mai 2024 à 22:11

Avant de commencer à égrainer les détails de ce test, quelques mots sur le testeur (moi) pour mettre un point de contexte. Je suis un converti de longue date aux robots aspirateurs. En tant que Geek (et sujet masculin), c’était une chose totalement logique et naturelle pour moi d’adopter cette catégorie de produits au sein de mon domicile. Mais convertir une famille composée de deux ados, une femme pointilleuse et accessoirement un husky et deux chats, était un autre affaire. Là où je veux en venir dans cette introduction c’est que vous aurez ici un test avec des éléments techniques mais aussi et surtout un test en conditions réelles, non pas dans un laboratoire ou atelier mais au milieu de la vie de tous les jours d’une famille type. Enfin, ce Roborock S8 MaxV Ultra sera particulièrement challengé puisqu’au sein de notre domicile, vous l’avez compris, nous avons adopté les robots aspirateurs depuis un bon moment.

Roborock S8 MaxV Ultra

Avant d’avoir l’opportunité de faire ce test, nous avons pu découvrir le S8 MaxV Ultra au CES 2024 où la marque disposait d’un énorme stand. Le produit est finalement arrivé sur le marché en Avril de cette même année. Enfin, pour votre complète information si vous cherchez à harmoniser l’esthétique de votre intérieur, nous avons ici une version noire mais une version blanche, totalement identique évidemment et aussi disponible.

Roborock CES 2024
Le Stand Roborock au CES 2024 où nous avons pu découvrir les nouveautés

 

Déballage et découverte

Premier contact avec le produit, l’emballage. Il faut le dire directement, Roborock a bossé même sur le carton. La version précédente, le S7 MaxV Ultra arrivait en 2 cartons volumineux. Nous avons ici un carton unique, moins volumineux que le « gros » carton de son prédécesseur.

Tout est extrêmement bien conditionné et surtout l’ordre de déballage permet immédiatement de visualiser comment les choses vont trouver leur place dans l’environnement de votre maison.

 

unboxing Roborock S8 MaxV Ultra

 

Roborock S8 MaxV Ultra

Tout est parfaitement documenté jusqu’à la connexion de l’application. L’installation et la première mise en route de l’ensemble sont donc un passage parfaitement bien contrôlé et qui ne génère à aucun moment un stress ou une inquiétude. Cela peut sembler secondaire mais en réalité c’est bien le reflet d’un travail conséquent pour faciliter l’adoption de votre robot dans sa nouvelle famille.

Roborock S8 MaxV Ultra : design et encombrement

Le S8 MaxV Ultra est une solution complète : aspirateur, serpillère et station de récupération de la poussière ainsi que vidange/recharge des eaux usées. Il est donc indispensable de bien comprendre qu’il ne sera pas aisée de « « camoufler » l’engin dans votre intérieur. D’autant plus que le positionnement doit permettre un accès facile au robot pour venir se recharger mais aussi pour permettre à ses propriétaires de vider le bac de collecte des poussières et eaux usées. Voici donc pour se faire une première idée, un petit rappel de sa fiche technique :

 

Dimensions

Robot: 353 x 350 x 103 mm

Station: 419 x 409 x 470 mm

Puissance d’aspiration max.

10.000 Pa

Système de navigation Télémètre laser + Caméra(s)

Capacité Station

Poussière: 2,5 litres

Eau propre: 4 litres

Eau usée: 3,5 litres

Batterie

5.200 mAh

180 minutes d’autonomie

Couverture potentielle :300 m2

Durée de charge <4h

Compatibilité

Android / iOS

Matter (Amazon Alexa / Googe Echo)

Niveau sonore max

67 dB

Norme filtration

E12

 

Venons en au design. Pour cela nous distinguerons les deux parties : le robot en lui même et la station. Par rapport aux S7 MaxV Ultra, les modifications dans ces deux éléments sont de natures différentes. Ainsi, c’est clairement la station qui a subi un remodelage important en termes de compartiments et de dimensions. En ce qui concerne le robot, les changements sont esthétiquement minimes.

Roborock S8 MaxV Ultra
La station du Roborock S8 MaxV Ultra
La station du S7 MaxV Ultra était clairement imposante. La bonne nouvelle c’est que Roborock a repensé celle de son nouveau S8 MaxV Ultra en lui apportant de nouvelles fonctionnalités mais aussi et surtout en fluidifiant son design et en la rendant (un peu) moins imposante. Rentrons dans les détails : l’ancienne station disposait de trois compartiments sur la partie supérieure, celle sur le S8 n’en a que deux. Une première pour l’eau propre et un autre pour l’eau sale, légèrement plus grande. Elles sont clairement identifiées grâce par une sérigraphie sur leur couvercle respectif et sont dotées d’une poignée pour un retrait facile.
Roborock S8 MaxV Ultra
Un peu plus bas, une LED signale l’état de la base (erreurs et déconnexions en rouge, en bleu si tout va bien). Nous avons enfin un tiroir qui, une fois ouvert, révèle le sac qui stocke les poussières et un petit compartiment pour ajouter du nettoyant.
Enfin le dernier élément est la partie socle où repose le robot. Cette partie a été aussi repensée et nous reviendrons dessus plus loin. C’est ce socle qui permet au robot de rejoindre la base pour se charger et se nettoyer.
Roborock S8 MaxV Ultra
Le robot comme nous l’avons évoqué plus haut, n’a pas vraiment subi de modification esthétique profonde. Au premier contact visuel, il semble cependant plus fluide et moins haut que son grand frère. Autre détail, les 3 touches de pilotage manuel sont plus visibles et instinctives. Les vraies changements se remarquent quand vous retournez le S8… Et ils sont vraiment profonds.
Roborock S8 MaxV Ultra
à gauche le S8 à droite « l’ancien » S7
Le dessous du S8 MaxV Ultra
Roborock S8 maxV Ultra
C’est sous le Roborock S8 MaxV Ultra qu’on constate les changements en profondeur.

Pour comparaison, son prédécesseur le S7 MaxV Ultra

En comparaison voici le dessous du Roborock S7 MaxV Ultra

La première grande différence c’est que nous avons 2 brosses en caoutchouc sur le S8 contre une sur le S7. Et croyez moi sur parole, la capacité d’absorption des déchets est réellement en net progrès. Mais tout ramener à ces 2 brosses ne serait sans doute pas objectif. Si la brosse rotative latérale est toujours présente, elle est maintenant équipée d’un bras motorisé lui permettant d’aller chercher la saleté dans les angles morts que ne couvre pas le robot. Par rapport à son grand frère, il est capable d’aller déloger la saleté dans les coins et recoins, les dessous de plaintes ou angles. Enfin, sous cette brosse rotative, juste avant la serpillère, on remarque un disque en tissus qui s’occupe lui aussi des endroits récalcitrants.

 

Navigation et Nettoyage

La navigation fait déjà partie de la force de Roborock notamment par rapport à ses concurrents. Il y a 2 ans quand j’ai pu tester le S7 MaxV Ultra, en plus de la navigation, c’est l’application qui m’avait vraiment agréablement surprise. C’est la même qui est utilisée par le S8 (permettant à ce propos la cohabitation des deux versions dans la même maison). Mais au cours de mes tests, j’ai pu remarquer que la précision de la cartographie effectuée semblait meilleure que celle du S7. Point important et sans doute lié, le temps pour nettoyer la même pièce de 60 m² est descendu de 18%. Le tout avec des résultats très supérieurs (nous y reviendrons après). L’une des raisons doit sans doute revenir à une gestion des obstacles beaucoup plus précise. Ainsi, lorsqu’un obstacle est détecté, le S8 va tout de même s’approcher à deux centimètres de celui-ci sans le toucher et il changera de trajectoire. Une précision lui permettant de couvrir mieux la surface et d’éviter un passage plus long pour couvrir la zone contournée. Autre constat, après plusieurs semaines, les incidents « d’ingestions » de petits câbles sont totalement absents contrairement au S7. Les câbles de petite section comme ceux pour charger les téléphones sont repérés et contournés.

Si vous voulez aller plus loin avec l’application, le travail de cartographie permet la reconnaissance des objets qui font obstacles. Cela vous aide à mieux comprendre la disposition de la maison et surtout à exclure des zones ou encore à considérer que l’obstacle n’est que temporaire (chaise ou meuble anormalement positionné). Le bonheur dans tout ça c’est que cette efficacité de cartographie se met au service d’une efficacité de nettoyage en net progrès.

Le nettoyage profite donc en premier lieu d’une puissance d’aspiration fortement à la hausse. C’est une grosse évolution par rapport au S7 puisque la puissance d’aspiration du S8 MaxV Ultra est de 10 000 Pascals (soit quasiment le double de celle de son prédécesseur). Où pouvons nous factuellement constater l’apport de ce gain de puissance ? Essentiellement sur les tapis et moquettes. La différence est vraiment flagrante surtout en ce qui concerne le ramassage des poils des animaux domestiques.

L’autre différence majeure concerne la serpillère. Tout d’abord son système d’accroche sous le robot est complètement différent (ce qui permet de préciser que sur ce point S7 et S8 ne peuvent « partager » leurs consommables). La serpillère dispose d’un positionnement lui donnant plus de surface de contact. Par comparaison dans le cas du S7, on a la sensation qu’elle flotte et ne dispose pas du tout de la même pression sur le sol. Cette amélioration permet aussi à la technologie Vibrarise 3.0 de faire son effet. Ce système consiste à imprimer en un nombre élevé de vibrations par seconde sur la base de la serpillère ce qui augmente évidemment la friction. Là encore, dans notre salon en parquet, la différence d’efficacité est vraiment flagrante.

Roborock S8 MaxV UltraToutes ces qualités sont magistralement pilotées par l’application Roborock ou même chez nous par Alexa… Mais si vous faites un blocage psychologique sur ces deux là, une simple pression sur le bouton du robot le lancera dans le cycle par défaut que vous avez paramétré. Mais pour en revenir à l’application, elle vous en donnera plus que ce qu’il en faut. Tout d’abord un tableau de bord complet sur l’état de votre appareil, ses consommables etc etc. Un état sur les différentes surfaces que votre robot a parcouru et comment éventuellement effectuer des réglages customisés quand il passe dessus (aspiration à fond sur les tapis de la cuisine, modérée sur le tapis du salon…). L’application est tellement dense qu’elle se réserve plus au geek qui sommeil en vous qu’à la personne qui cherche juste l’efficacité dans la simplicité. Le seul point négatif sera l’utilisation de son propre assistant vocal, pas vraiment pratique dans les faits.

Entretien et usage au quotidien

Après quelques semaines d’usage intensif, le Roborock tourne tous les jours chez nous, on peut tirer plusieurs enseignements sur ce S8.

Tout d’abord son socle qui permet le chargement du robot mais aussi son nettoyage est un vrai bond en avant par rapport au S7. Si le fonctionnement de la version précédente ne posait pas de problème, cette partie était cependant un réceptacle à saletés qu’il fallait régulièrement nettoyer sous peine d’avoir sous les yeux un truc pas vraiment agréable. Enfin, en lien avec cet encrassement de la zone, le S7 devait, parfois, s’y reprendre à deux fois pour pouvoir s’arrimer correctement avec sa station. Ce n’est absolument pas le cas avec le S8.

Roborock S8 MaxV UltraRoborock S8 MaxV Ultra

Roborock S8 MaxV Ultra

L’autre gros point fort est le nettoyage et séchage de la serpillière. Le S7 nécessitait de faire passer cette dernière régulièrement à la machine sous peine d’avoir des mauvaises odeurs. Avec la nouvelle version, la station effectue un lavage à l’eau chaude de la serpillère, la rendant propre (en tout cas à un niveau permettant de réduire les passages à la machine à laver) et sans odeur. Pour cela le Roborock utilise ces deux réservoirs. Il essore la serpillère et récupère l’eau usée et fait un nettoyage avec de l’eau propre tiède. Il procédera ensuite à un séchage évitant définitivement les odeurs désagréables.

Roborock S8 MaxV Ultra

Enfin, même s’il est plus compact, l’accès aux deux réservoirs mais aussi au tiroir se fait de manière beaucoup plus facile. Il en est de même pour l’accès aux pièces et consommables qui est plus aisé. Précisons tout de même que même avec une utilisation intensive de près d’un mois, aucun besoin de changement ne s’est manifesté. Seule notre curiosité nous a poussé à vérifier ces éléments. Là encore, l’excellente application se charge de recueillir les données des multiples capteurs et de vous informer si vous devez anticiper le nettoyage ou le changement d’un élément.

Conclusion

À l’arrivée de ce Roborock S8 MaxV Ultra, j’aurais pu me poser la question de l’intérêt d’un produit qui pourrait être perçu comme un simple refresh… Après tout, son prédécesseur le S7 MaxV Ultra avait déjà tutoyé la perfection et fonctionnait sans qu’on lui prête plus d’attention que ça. Heureusement, notre passage sur le stand Roborock du CES nous avait bien titillé sur la quantité de nouveautés que cette version se vantait d’exploiter. Et il faut bien le reconnaitre, avec le S8 MaxV Ultra, Roborock met la barre très très haut. Nous avons détaillé les gains à tous les niveaux : aspiration, nettoyage, gestion de la serpillère, compacité…

Avec un peu de recul et en s’attardant sur ces semaines de fonctionnement, le plus gros bon en avant c’est que cette version peut maintenant très objectivement remplacer un « vrai » système de nettoyage manuel. Le Roborock S8 MaxV Ultra est infatigable. Il tourne une à deux fois par jour pour gérer une pièce de vie de près de 60m2 et son intégration est devenue naturelle pour tous les membres de la famille. L’efficacité et le gain de temps qu’il procure dans la vie quotidienne est tout simplement remarquable. L’étendre sur une surface supérieure (comme la partie nuit pour nous ) nécessiterait sans doute de limiter les actions ou de diminuer l’efficacité (ou peut-être de s’équiper d’un second robot !). Bref, vous l’aurez compris c’est plus qu’un coup de cœur, c’est une conversion totale et unanime.

Roborock S8 MaxV Ultra
9 Le testeur
0 La communauté (0 votes)
Pour
Grande efficacité
Excellente couverture de surface
Maintenance et nettoyage faciles
Application ultra complète
Existe en noir ou en blanc
Contre
???
En quelques mots...
Le Roborock S8 MaxV Ultra arrive à creuser l'écart par rapport à son grand frère le S7. La conception remarquable de l'ensemble en fait un choix incontournable pour ceux qui veulent un robot capable de réellement remplacer un nettoyage manuel. Car si jusque là les robots d'entretiens se voyaient comme des solutions de complément, le S8 MaxV Ultra vient de franchir la dernière marche permettant de se séparer des vos aspirateurs traineaux et autres.
Efficacité
Bruit
Design
Batterie
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Test Roborock S8 MaxV Ultra : Suprématie absolue ! a lire sur Vonguru.

Test – Point d’accès TP-Link EAP225 Outdoor

27 mai 2024 à 07:04

Dans le cadre d’un prochain test du robot tondeuse Goat G1-800 d’Ecovacs, nous avions besoin de bénéficier d’une couverture Wi-Fi plus large à l’extérieur de notre habitation pour utiliser notre robot tondeuse dans de bonnes conditions. Nous nous sommes donc tourné vers une solution de la marque TP-Link avec le modèle EAP225 Outdoor que nous avons pu trouver à 97 euros sur Amazon. Ce modèle nous semblait très intéressant par son prix, mais aussi par la possibilité de l’utiliser via une alimentation PoE (Power over Ethernet), où l’alimentation électrique se fait via le câble Ethernet. Le principe est ainsi de n’avoir besoin que d’un seul câble et donc, de ne pas avoir à fournir une alimentation électrique traditionnelle pour notre point d’accès TP-Link EAP225 Outdoor. Nous allons donc vous présenter aujourd’hui ce produit et sa mise en place à l’extérieur de notre habitation.

Le TP-Link EAP225 Outdoor fait partie de la gamme Omada du constructeur et porte aussi la référence : point d’accès WiFi AC1200. La boite est assez imposante avec des dimensions de 270 x 140 x 100 mm. Sur la face avant, on retrouve une illustration du point d’accès WiFi AC1200 ainsi que ses caractéristiques techniques. Il s’agit d’une solution très intéressante et qui pourra venir se coupler à votre autres produits de la marque TP-Link. Vous pourrez aussi associez plusieurs EAP225 Outdoor à l’extérieur afin d’augmenter encore plus la couverture.

Nous vous invitons à suivre ce lien pour découvrir toutes les solutions disponibles, comme l’auto-organisation intelligente ainsi que la gestion automatique en cas de panne.

Le TP-Link EAP225 Outdoor Le TP-Link EAP225 Outdoor Le TP-Link EAP225 Outdoor

Les différents composants sont insérés dans une boite en carton prémoulée et emballé séparément dans une protection plastiques afin d’éviter de les griffer lors du transport. Alors, que retrouve-t-on à l’intérieur de cette boite ? Tout d’abord deux guides d’installation multi-langues.

Le TP-Link EAP225 Outdoor Le TP-Link EAP225 Outdoor Le TP-Link EAP225 Outdoor

Ensuite, bien entendu, l’élément principal, le boitier qui jouera le rôle de point d’accès et qui est certifié IP65, ce qui lui permet d’être résistant aux intempéries et aux conditions extérieures difficiles. Sans les antennes, notre boitier a comme dimensions : 215 × 46 × 27 mm. On retrouve deux antennes antennes détachables omnidirectionnelles, ce qui signifie que d’autres antennes peuvent également être attachées pour vos demandes spécifiques. Celles-ci ont une longueur de 180 mm. Grâce à ses deux antennes, ce point d’accès peut exploiter une configuration MIMO 2×2 avec une bande passante totale de 1 200 Mbps théorique.

Le TP-Link EAP225 Outdoor Le TP-Link EAP225 Outdoor Le TP-Link EAP225 Outdoor

Le boitier dispose d’une fixation à l’arrière lui permettant d’être installé sur un rebord circulaire à l’aide des deux colsons fournis ou via un second support présent aussi dans le bundle. Comme vous avez pu le constater, il n’y a pas de connecteur d’alimentation ni d’alimentation fournie avec le TP-Link EAP225 Outdoor. Celui-ci est compatible avec la norme PoE (Power over Ethernet), ou l’alimentation électrique se fait via par câble Ethernet. Le principe est ainsi de n’avoir besoin que d’un seul câble et donc, de ne pas avoir à fournir une alimentation électrique traditionnelle pour notre point d’accès. Ne disposant pas d’un routeur compatible PoE, nous allons donc utiliser l’adaptateur PoE présent dans le bundle.

Le TP-Link EAP225 Outdoor Le TP-Link EAP225 Outdoor Le TP-Link EAP225 Outdoor

Sur la partie basse, on retrouve un élément qui peut être déclipsé. C’est à cette endroit que vous viendrez fixer votre câble Ethernet et celui-ci sera ainsi protégé des intempéries pour un seul câble Ethernet. Petit bémol, il ne sera pas possible de dissimuler le câble Ethernet complètement puisque le trou se trouve en partie centrale et non sur l’arrière.

L’installation va se faire en connectant directement le TP-Link EAP225 Outdoor avec un TP-Link CPL 2000 Mbps qui se trouvent à l’intérieur de notre habitation. Un accès à notre ancienne parabole, nous permettra d’utiliser le passage prévu dans le mur afin d’atteindre l’extérieur et donc, notre TP-Link EAP225 Outdoor. Mon CPL ne disposant pas d’une alimentation de type PoE, nous allons utiliser l’adaptateur passif qui se trouve dans le bundle de notre point d’accès. Lui nécessite une prise de courant, mais cela ne nous posera aucun souci à l’intérieur de notre habitation où nous disposons d’une multi-prises.

Nous aurons donc un accès à internet en partant de notre routeur –> CPL dans le bureau –> CPL dans le salon –> adaptateur PoE –> TP-Link EAP225 Outdoor. Une diode verte sur le côté du point d’accès permet de confirmer que celui-ci fonctionne bien.

 

Paramétrage de notre TP-Link EAP225 via l’application Omada :

L’idée va être de mesurer les performances à l’extérieur, notamment en relevant les débits via l’application Speedtest. N’oubliez pas de tenir compte, que la portée et les performances du Wi-Fi sont directement impactées par les fréquences utilisées : 2,4 GHz offre une couverture de distance nettement meilleure, tandis que 5 GHz offre une bande passante supérieure, mais avec une portée plus courte.

Bien entendu, dans notre cas, un seul TP-Link EAP225 Outdoor est suffisant pour ce dont nous avons besoin, c’est-à-dire, y relier notre robot tondeuse. Sachez que vous avez aussi la possibilité d’en associer plusieurs afin d’augmenter la distance par exemple. Notre installation est terminée, voyons les nouveaux WiFi que nous détectons : TP-Link_2.4Ghz_xxxxxx et TP-Link_5Ghz_xxxxxx. Attention, ceux-ci sont ouverts et ne disposent pas de clés de sécurité. Afin de les paramétrer, nous avons téléchargé l’application Android Omada. Vous devrez vous créer un compte TP-Link pour y avoir accès.

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Ensuite, il faudra, pour l’utilisation que je désire en faire, opter pour le mode « autonome », sélectionner EAP et là se trouvera votre TP-Link EAP225 Outdoor. En cliquant dessus, vous pourrez renommer le SSID et surtout ajouter un mot de passe pour ce Wi-Fi. Dans notre cas, nous avons opté pour WiFi_jardin.

 

Test à l’extérieur :

Même si ma connexion s’est améliorée ces dernières années, je suis toujours en 50/15 pour le download/upload. Dans un premier temps, nous allons réaliser un Speedtest juste à côté du point Wi-Fi et nous allons ensuite nous en éloigner en réalisant d’autres mesures. Nous avons installé le TP-Link EAP225 Outdoor sur une gouttière qui fait face au jardin et qui lui permet d’avoir un accès dégagé sans aucun obstacle pour assurer le travail du robot tondeuse.

Test Point d'accès TP-Link EAP225 Outdoor Test Point d'accès TP-Link EAP225 Outdoor Test Point d'accès TP-Link EAP225 Outdoor Test Point d'accès TP-Link EAP225 Outdoor

C’est parti pour nos relevés que nous allons débuter juste à côté du TP-Link EAP225 Outdoor. Le suivant est assez proche puisqu’il se situe à 5 mètres et qui correspond à l’emplacement de la station d’accueil du robot tondeuse. Nous allons à présent mesurer la réception au deux extrémités les plus éloignées de notre TP-Link, c’est-à-dire à 21 mètres et à 40 mètres. Comme vous pouvez le voir sur nos différents screens, nous n’avons rien perdu en termes de vitesse ! C’est donc un sans faute pour notre point d’accès. Le fond de notre jardin sera également aménagé cette année, ce qui nous permettra d’y bénéficier d’une connexion internet parfaitement stable, une très bonne chose !

Et bien nous devons bien avouer que ce point d’accès TP-Link EAP225 Outdoor nous a donné entière satisfaction. Pour un tarif de 97 euros, il fait parfaitement le job afin d’étendre la couverture Wi-Fi dans notre jardin. Pour rappel, cet achat était dans l’optique de tester la tondeuse robot Goat G1-800 d’Ecovacs que nous venons de réceptionner. La couverture est parfaite et nous avons d’ailleurs ainsi pu en profiter pour l’utiliser sur nos caméras extérieures. Le fait de ne pas devoir dépendre d’une prise de courant 230 v nous a permis une plus grande liberté quand à l’emplacement de ce TP-Link EAP225 Outdoor !

Même si nous n’utilisons que les fonctionnalités de base, et sa fonction d’extension du WiFi, l’utilisation et le paramétrage via l’application Omada ne demande aucune compétence particulière. Cela ne devrait donc vous poser aucun souci pour installer et paramétrer cette extension du Wi-Fi à l’extérieur de votre habitation. Si nous avions un seul petit reproche à faire, c’est le fait que le Wi-Fi ne soit pas sécurisé par un mot de passe dès la sortie de boite. Le risque est que certains acheteurs conservent le SSID d’origine, n’installent pas l’application et laissent donc un Wi-Fi ouvert à l’extérieur.

Nous pouvons donc sans hésitation, vous recommander ce TP-Link EAP225 Outdoor si comme nous, l’installation d’un robot tondeuse est prévu pour cette été ou pour profiter de votre connexion internet même dans le fond de votre jardin !

Test – Point d’accès TP-Link EAP225 Outdoor a lire sur Vonguru.

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