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Hier — 27 juin 2024Flux principal

Les scams VPN les plus fréquents

Par : Korben
27 juin 2024 à 05:07

— Article en partenariat avec Surfshark

Woaw, écrire un article sur les scams utilisés par les VPN en 2024, en partenariat avec une boite VPN ? Et ouais, on n’a peur de rien ici. Ni de ma part, ni de celle de Surfshark VPN qui n’est pas le dernier à mettre les pieds dans l’assiette. Pour preuve, les nombreux articles sur leur site dans lesquels ils se comparent de manière frontale aux autres acteurs du milieu. Ou leurs campagnes de guérilla marketing … genre payer un gars pour faire ses besoins devant le public afin d’attirer l’attention sur le respect de la vie privée.

Si vous vous demandiez pourquoi la mascotte du service est un requin, vous savez : ça mord. Pour en revenir aux arnaques les plus fréquentes, elles touchent plusieurs aspects qui vont du mensonge sur le service proposé, aux frais cachés en passant par le non-respect de la confidentialité. On va détailler un peu tout ça.

Les abonnements à vie

Un grand classique (pas uniquement des VPN d’ailleurs). On vous propose de payer un prix fixe et ensuite vous êtes tranquille. Prix qui s’avère souvent très intéressant, mais pas pour autant négligeable puisqu’il est censé vous couvrir à vie. Sauf qu’un VPN ce n’est pas la même chose qu’un logiciel que vous allez télécharger et qui sera installé en local sur votre machine. Au pire si l’abonnement à vie disparait, et ses mises à jour avec, vous pouvez encore utiliser l’outil tel quel.

Pour le VPN c’est très différent puisqu’il ne pourra plus accéder aux serveurs & co. À votre avis, que se passera-t-il le jour ou votre VPN « à vie » doit payer plus cher en frais d’utilisation/maintenance qu’il ne rentre d’argent venant de nouveaux clients ? Pouf, un coup de baguette magique et il disparaitra. Retenez que « abonnement à vie » veut dire « abonnement de la durée de vie du service » … qui peut s’arrêter n’importe quand.

Trop d’infos perso

Un VPN qui vous demande trop d’informations personnelles devrait vous alerter. S’il est légitime de devoir fournir certaines infos (adresse mail, etc.) d’autres sont complètement inutiles. Par exemple votre adresse physique ou votre numéro de téléphone n’ont pas à vous être demandé. Dans le cas de vos informations bancaires … difficile de ne pas les récupérer pour eux puisque vous devez bien payer à un moment.

Heureusement, une option de paiement par cryptomonnaie (que Surfshark propose) est le plus souvent présente, ce qui vous permet d’avoir une couche de sécurité supplémentaire. Le VPN ne peut alors pas lier directement votre abonnement à un nom ou des coordonées bancaires.

Récupérer vos données peut aussi être un signe que le VPN marchande vos infos avec des tiers (genre data brokers). C’est quasi 100% du temps le cas avec les VPN gratuits, mais ne pensez pas que payer un abonnement vous en prémunit. D’où l’intérêt d’opter pour un service qui est audité régulièrement par des organismes indépendants. Là encore Surfshark n’a jamais été pris en défaut concernant sa politique de non-conservation des logs.

Malwares & Co

Il arrive que le service VPN qui vous est proposé ne soit pas aussi sain qu’il y parait. Et qu’en téléchargeant l’outil, vous preniez avec lui un malware ou autre cochonnerie. Si vous pensez que cela ne doit concerner qu’un petit nombre d’applications, vous vous trompez. Une étude de CSIROscope (datée de 2017) montrait que sur presque 300 applis de VPN gratuits sur Android, prêt de 40% étaient contaminées.

On a aussi le cas de la revente de comptes ou les faux VPN qui copient au plus proche des applications légitimes afin de leurrer les internautes. Dans les 2 cas, l’objectif est de récupérer vos données, voire vos coordonnées bancaires. Idem pour les VPN censés chiffrer vos données alors qu’elles sont surveillées et enregistrées en clair sur leurs serveurs.

Je passe sur les fraudes habituelles que l’on rencontre dans d’autres domaines : paiement sans recevoir le service, frais cachés, prix de l’abonnement qui varie, retrait automatique sur votre compte, faux témoignages sur les plateformes d’avis, remboursement qui ne se fait jamais, etc. Vous l’avez compris, les arnaques sont nombreuses.

Alors, comment faire pour s’en protéger ?

Déjà, renseignez-vous un peu partout avant de passer à l’action, voyez ce que les gens en disent dans les stores d’applis, sur des plateformes comme Trustpilot & Co. Cherchez à savoir si le VPN a connu des failles de sécu ou des critiques par le passé, etc. Ensuite, ne prenez votre abonnement que depuis le site officiel et vérifiez bien que l’URL est la bonne (sans typos, etc.).

Si vous passez par Google, faites attention à ne pas cliquer par habitude sur le 1er lien (qui pourrait être une annonce renvoyant vers un site tiers ou du phishing). Ayez des outils de sécu à jour (antivirus & Co), cela pourrait vous éviter de télécharger un fichier infecté. Et réfléchissez à 2 fois si l’offre vous parait trop alléchante.

Avec Surfshark VPN, vous pouvez y aller les yeux fermés, ils ont toutes les assurances nécessaires. Existe depuis des années, des centaines d’avis un peu partout sur le web, un système d’abonnement simple, audité plusieurs fois par des boites comme Deloitte, etc. C’est d’ailleurs pour cela que je vous le recommande depuis longtemps. Vous pouvez aussi profiter du paiement en crypto (pour la raison citée plus haut).

À l’heure où j’écris ces lignes, vous pouvez bénéficier d’une offre à 87€ TTC pour 27 mois d’utilisation, soit moins de 3.25€/mois. Ce qui comprend non seulement le VPN, mais aussi les différents outils de sécurité comme l’antivirus Surfshark, la création d’identités alternatives, les alertes, un moteur de recherche privé ou encore le surf sans publicités ni traqueurs.

Évitez les scams, prenez un VPN sûr avec Surfshark !

À partir d’avant-hierFlux principal

Comment un VPN protège votre maison ?

Par : Korben
6 juin 2024 à 06:20

Surfshark One 2023

— Article en partenariat avec Surfshark

Lorsque l’on parle d’un VPN, c’est principalement avec l’idée de disposer d’un outil qui va protéger vos données d’un point de vue professionnel (protéger votre équipe avec Surfshark). Ou pour son côté « amusement » comme débloquer les catalogues VOD/streaming, protéger sa TV intelligente, etc.

Mais une autre très bonne façon d’utiliser un VPN est de protéger la famille au sein même de votre habitation. Ce que fait plutôt bien Surfshark pour plusieurs raisons. Et la première n’est autre que le fait qu’il s’agit quasi du seul service du genre à proposer la protection d’un nombre illimité de machines et simultané. Donc que vous soyez célibataire ou que vous viviez avec une famille nombreuse c’est pareil, un seul abonnement et tout le monde en bénéficie.

Bon après même si le nombre d’appareils pris en compte peut être illimité … si la protection est foireuse ça n’a pas grand intérêt. Mais là encore Surfshark répond aux attentes. Outre le fait de n’avoir jamais été prit en flag de mentir sur sa politique de non-conservation de vos activités (multiples audits au fil des années), il repose sur la panoplie des meilleurs standards du domaine : chiffrement AES 256, protocole IKEv2/IPsec, support de Wireguard/OpenVPN/L2TP, etc.

Maintenant, comment est-ce qu’un VPN protège concrètement les utilisateurs de votre maison ?

Déjà en modifiant votre adresse IP. Vous savez sans doute déjà qu’une adresse IP est celle qui identifie votre machine sur Internet. Toutes vos actions y sont liées : achat en ligne, message sur un réseau social, etc. Il est donc assez facile de relier votre comportement en ligne à votre appareil.

Surfshark vous permet de modifier cette dernière en changeant de serveur, de manière aléatoire tous les x temps … ou de la garder fixe si besoin. En changeant d’IP, vous donnez aux sites que vous visitez (même à votre fournisseur d’accès via le mode camouflage) une localisation qui est différente de votre vraie position.

Le chiffrement de vos données est un autre aspect de cette protection. Par défaut tout ce que vous faites en ligne sera chiffré avec les meilleurs algorithmes du moment. Si une personne mal intentionnée venait à intercepter votre trafic, il ne pourrait rien en faire. Ce qui est plutôt appréciable, surtout si vous habitez un pays où le gouvernement en place aime jouer au petit curieux.

L’idéal dans ce cas est bien entendu de sécuriser le routeur de la maison, celui par lequel tout passe. Mais simplement installer le VPN sur tous vos appareils fera aussi très bien le taf. Et ce qui est plutôt cool c’est que Surfshark supporte toutes les religions, de Windows à Linux en passant par macOS, Android, iOS, BlackBerry, vos smart TV, navigateurs et mêmes consoles de jeux. Bref il est plus flexible qu’un contorsionniste.

Un point à prendre en compte est de choisir un VPN qui corresponde à votre situation. On pense souvent à des serveurs situés un peu partout dans le monde sans faire attention à sa propre géoloc. Or vous pouvez très bien avoir envie de regarder un contenu réservé à la France … depuis la France. Sans donner votre position. De ce côté Surfshark est blindé avec ses 3200+ serveurs (quasi tous en 10 Gb/s) répartis dans 100+ pays. Pas le plus grand parc de serveurs des VPN, mais le mieux réparti et avec l’un des meilleurs rapport qualité/prix du marché.

Comme vous êtes l’adulte de la maison (hum hum), ce sera à vous d’éduquer vos enfants sur le sujet.  Surtout les plus jeunes (et les plus vieux) qui ne sont pas forcément au courant des risques potentiels dans ce bourg mal famé que sont les Internets. Et avec le pack Surfshark One dont j’ai parlé dernièrement et intégré par défaut depuis peu, il vous permet de disposer en plus d’un antivirus, d’un système d’alerte, de la création d’identité alternative, d’un moteur de recherche privé, d’un surf sans publicités ni traqueurs et un tas d’autres options !

Récemment le site du VPN aux dents de requin a publié un classement mondial de la qualité de vie numérique. Et notre hexagone s’y classe … premier devant la Finlande et le Danemark. Place que l’on doit surtout au prix de nos connexions (merci Free), parce que niveau cybersécu et infrastructure électronique nous sommes bien plus mal placés (autour de la 15e place). Comme quoi il y a encore de la marge.

Et tout cela vous est accessible pour moins de 3.25€/mois TTC (abonnement 2 ans). Satisfait ou remboursé durant 30 jours, donc pas de prise de risques, vous pouvez tester ça au calme et vous faire votre idée. Niveau des modes de paiement il y en a pour tout le monde : de PayPal à la CB, en passant par les solutions comme Google Pay/Amazon Pay et les cryptomonnaies.

N’attendez plus, essayez Surfshark VPN !

Tor, proxys, VPN … que choisir ?

Par : Korben
27 mai 2024 à 10:18

Surfshark One 2023

— Article en partenariat avec Surfshark VPN

Aujourd’hui, vous savez que préserver sa vie privée en ligne est devenu une priorité pour beaucoup d’entre nous (en tous cas tout bon korbenaute se sent visé). Entre les data brokers, les gouvernements véreux curieux, les fuites et les pirates informatiques, il y a de quoi vouloir protéger ses données. Voici donc un petit tour d’horizon de différentes méthodes pour modifier son adresse IP et ainsi mieux protéger une part de vos données

Tor (The Onion Router)

Tor, c’est depuis de longues années un des champions de l’anonymat. Si vous voulez vraiment que personne (ou quasi) ne sache ce que vous faites en ligne, c’est l’outil qu’il vous faut. Tor fait passer votre trafic à travers une série de nœuds (ordinateurs bénévoles) disséminés aux quatre coins du globe. Chaque nœud ne connaît que l’adresse IP du nœud précédent et du suivant, ce qui rend la traçabilité plus compliquée.

Comme vous l’avez compris, les avantages sont un anonymat élevé (votre adresse IP est cachée, votre trafic est chiffré à chaque étape, etc.) et un accès à des contenus censurés. Parfait pour contourner les censures étatiques et accéder à des sites bloqués par exemple. Par contre l’outil a ses limites, notamment pour ce qui est de la vitesse. Tor est toujours souvent plus lent que les VPN, car votre trafic fait des détours. Si votre objectif est de télécharger de gros fichiers dégoulinants de Go, ou de regarder du contenu vidéo/streaming … ça va être tendu du slibard.

Après niveau utilisation c’est assez simple pour tout le monde, vous pouvez passer par le navigateur Tor maison qui inclus toutes les fonctionnalités permettant de surfer sainement sans laisser de traces (rapport au slibard si vous n’aviez pas fait le rapprochement).

Proxys

Les proxys sont un peu les cousins des VPN. Ils font office d’intermédiaires entre vous et le site web que vous visitez, mais ne chiffrent pas forcément votre trafic. En utilisant un proxy, votre trafic passe par un serveur intermédiaire. Ce serveur va relayer vos requêtes web et masque votre adresse IP réelle.

Les différents types de proxys (les plus connus sont HTTP plutôt axé navigation web, et SOCKS qui gèrent aussi les emails, le P2P, etc.) ont sensiblement les mêmes avantages que Tor. Une couche d’anonymat (masque votre adresse IP réelle) et offre l’accès à du contenu géorestreint afin de contourner certaines restrictions.

Mais eux aussi ont leur lot de limitations. Déjà parce que la qualité et la vitesse des proxys peuvent varier, ensuite parce que les proxys ne chiffrent pas toujours le trafic, donc potentiellement moins sécurisés que les VPN.

VPN (Virtual Private Network)

Le VPN de Surfshark, c’est la boite à outil de l’internaute prudent. Moins technique que les proxys pour Mr et Mme tout le monde, et sans les freins de Tor. En gros, un VPN crée un tunnel chiffré entre vous et un serveur distant. Ça fait croire à tous les curieux que vous surfez depuis un autre endroit. Quand vous vous connectez à un VPN, votre trafic Internet est redirigé via un serveur situé dans un autre pays (3200 serveurs, dans 100+ pays). Votre adresse IP réelle est cachée et remplacée par celle du serveur VPN. Avec Surfshark (comme pour Tor) il est possible de passer par plusieurs serveurs (fonction MultiHop) et même d’être invisible pour votre fournisseur d’accès Internet (mode camouflage).

Donc ici aussi votre identité est préservée (vous pouvez même créer des identités alternatives si ça vous chante). Votre adresse IP réelle est masquée. Impossible pour les sites web de savoir d’où vous venez vraiment. Tout votre trafic est chiffré de bout en bout (algorithme AES 256, protocoles Wireguard/OpenVPN, IKEv2 …), ce qui protège vos données des pirates, surtout sur les réseaux Wi-Fi publics. Et vous avez accès au contenu géolimité (catalogues Netflix, Amazon Prime Video & co). Vous vous ouvrez les portes de tous les contenus bloqués. Sans compter que votre surf habituel s’en trouve amélioré également (plus de publicités, de cookies inutiles… voir mon article sur la fonction Cleanweb de Surfshark).

Bref le VPN c’est le meilleur des 2 mondes. Super pratique, léger et complet, il permet de tout gérer et surveiller depuis une interface simple à prendre en main. Et si vous n’êtes pas encore convaincu, Surfshark propose ce que peu d’autres font : il supporte l’illimité en simultané. Vous pourrez donc protéger toute votre famille (ou votre équipe avec Surfshark Teams), sans subir de ralentissements parce que trop de gens sont connectés en même temps.

En ce qui concerne les prix, Surfshark reste parmi les moins chers du marché. Vous allez payer moins de 71€ TTC pour 27 mois de protection (abo 2 ans + 3 mois offerts), soit 2.63€/mois pour un nombre illimité de machines ! Difficile de faire mieux. C’est d’ailleurs mon VPN depuis maintenant plusieurs années, et je n’ai jamais eu de raisons de m’en plaindre !

Pour rester incognito et protéger vos données, rien de mieux que de combiner plusieurs de ces outils. Utilisez un VPN comme Surfshark pour le quotidien, Tor pour les moments où l’anonymat est crucial, et des proxys pour des besoins spécifiques. En jonglant avec ces technologies, vous pourrez naviguer en toute tranquillité, loin des regards indiscrets.

Allez, maintenant, à vos claviers et protégez votre vie privée comme des pros !

Testez Surfshark VPN

Protégez votre équipe avec Surfshark VPN

Par : Korben
16 mai 2024 à 08:30

Surfshark VPN

— Article en partenariat avec Surfshark

On a tendance à souvent présenter un VPN sous l’angle de la protection personnelle : comment il permet de garder nos informations privées, comment il va nous permettre d’accéder au catalogue mondial Amazon Prime, etc. On va aussi penser à la protection de toute sa famille et/ou de son parc de machines perso. On pense moins souvent à l’outil dans son application au domaine professionnel, alors que c’est tout aussi (si pas plus) important.

Surfshark VPN a récemment décidé de mettre un peu plus le focus sur cet aspect communautaire. Et après tout pourquoi pas, tous les intervenants sont gagnants (« iz a win win zituazion » comme disent les ricains). Aussi bien les entreprises qui vont du coup sécuriser leurs données et leurs employés, que ceux-ci qui auront une couche de protection offerte par la boite. C’est encore plus indispensable depuis la démocratisation du télétravail, les appareils et lieux de connexions sont beaucoup plus nombreux et variés qu’auparavant.

Et c’est d’autant plus simple à gérer avec Surfshark qu’il est le seul (avec IPVanish à ma connaissance) à proposer un abonnement qui prend en compte un nombre illimité d’appareils. Quelle que soit la taille de votre équipe (à partir de 5 personnes minimum) il n’y a pas de surcouts cachés à prévoir, de quota de trafic ou autres limitations, ce qui est plutôt appréciable. De plus il est l’un des plus flexibles du marché, il supporte toutes les plateformes et systèmes d’exploitation : Windows, macOS, Linux, Android, iOS, mais aussi la plupart des navigateurs, consoles de jeux, routeurs et autres smart TV. Téléphone, desktop, laptop ou tablette … quelle que soit la manière de travailler de chacun, il sera là.

L’interface sera toutefois légèrement différente de la version classique. Elle va permettre à un référent (le geek informaticien de la société ou le chef, à tout hasard) de superviser l’ensemble. Il disposera d’un certain nombre d’invitations, en fonction de la taille de l’abonnement, et il pourra alors donner des accès, en supprimer, gérer les droits … Ce qui permet de superviser un peu le tout sans que cela ne devienne trop le boxon. Plus d’excuse de « la mauvaise connexion » ou « je ne pouvais pas avoir accès depuis le pays ou j’étais, le site y est censuré » 😉 Avec plus de 3200 serveurs répartis dans 100 pays, quasi tous passés à des débits de 10 Gb/s, difficile de ne pas trouver ce qu’il vous faut.

L’interface pour la gestion des équipes

Bien entendu l’un des plus gros bénéfices est le même que si vous prenez Surfshark VPN en mode personnel : le chiffrement des données. Et dans le cadre d’informations d’entreprises parfois sensibles, cela peut être encore plus important. Chiffrement AES-256-GCM, protocole IKEv2/IPsec, possibilité d’utiliser OpenVPN, WireGuard ou L2TP … du côté sécurité toute la panoplie est là.

Vous bénéficiez aussi de toutes les fonctionnalités classiques (mode camouflage pour votre FAI, création d’identité alternative, multiHop, rotation d’IP, bouton kill switch, Surfshark Nexus …). Et si vous voulez encore mieux protéger votre équipe, vous avez la possibilité d’ajouter l’option Surfshark One. Cette dernière comprend un antivirus en temps réel (avec surveillance de hack potentiel de la webcam), un moteur de recherche privé (sans flicage et sans pubs), ainsi qu’un système d’alerte par mail. Celui-ci pourra s’avérer intéressant, car il va surveiller en continu les tréfonds du web pour vous prévenir si l’adresse d’un membre de votre société a fuité quelque part.

Le télétravail, meilleure invention de l’humanité

Et comme nous parlons ici d’un cadre plutôt pro, je ne dirai rien concernant les accès aux services VOD (et musique) du monde qui sont accessibles. Les connexions Surfshark ne sont pas bloquées par Netflix, YouTube, Amazon, Spotify…etc. En fonction du pays du serveur que vous choisirez, vous aurez accès à des catalogues de contenus sans restrictions géographiques. Non, n’insistez pas, je resterai motus et bouche cousue. Nada, je n’en parlerai pas. Pas envie d’avoir des soucis avec votre patron.

J’en profite d’ailleurs pour mentionner une petite nouveauté du côté de l’antivirus sur Windows, la fonctionnalité Web Protection. Celle-ci n’a rien de révolutionnaire, mais est plutôt axée pratico-pratique. Elle permet de vérifier vos logiciels et applications et scanner toutes urls avant que vous n’accédiez aux sites. Et bloquer celles qui pourraient s’avérer dangereuses, ce qui limitera les risques de phishing ou de téléchargements de malwares de la part des plus distraits.

Bref si vous cherchez à mieux protéger vos salariés adorés, vous pouvez utiliser directement le formulaire sur le site Surfshark (bouton rouge « Demander un devis ») pour recevoir une offre. Mais la démarche peut venir de votre côté si vous êtes salarié et que vous pensez que votre protection n’est pas assurée ou suffisante. N’hésitez pas à en parler avec votre boss pour attirer son attention sur le sujet.

Prenez soin de vos employés avec Surfshak VPN !

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