Au sommaire des ultrabrèves du 14 janvier 2025 : les seniors vivent de mieux en mieux, bientôt les premières images globales du champ magnétique de la Terre et les secrets génétiques du crapaud masqué dévoilés.

Au sommaire des ultrabrèves du 10 janvier 2025 : une sélection des grandes avancées scientifiques à suivre en 2025, la remarquable dentition des tigres à dents sabre et 25% des animaux d'eau douce menacés d'extinction. 

Une étude parue le 6 janvier 2025 lève le voile sur un mystère vieux de plusieurs décennies : les araignées mâles sentent avec leurs pattes. Cette découverte nous permet d’en apprendre plus sur le monde sensoriel de ces arthropodes.

Une étude génétique menée sur 388 chimpanzés sauvages met en évidence des adaptations leur permettant de vivre dans divers habitats. Celle liée à la résistance au paludisme présente des similitudes étonnantes avec celles observées chez l’humain, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles pistes pour comprendre notre évolution partagée.

Au sommaire des ultrabrèves du 8 janvier 2025 : une bactérie particulière hébergée dans le microbiote intestinal des buveurs de café, le rôle des reins mis en évidence chez les sherpas et Meta met fin à son programme de fact-checking.

Une étude a exploré les capacités uniques des Sherpas et révèle pourquoi ces guides sont naturellement mieux équipés que le reste de la population pour arpenter les plus hauts sommets du monde.

Au sommaire des ultrabrèves du 6 janvier 2025 : Blue Origin se prépare à lancer sa fusée New Glenn, Lucy était capable de courir et les biais de l'intelligence artificielle amplifient nos propres biais.

Face à un danger, les lézards à doigts frangés ajustent leur comportement en fonction du type de prédateur et de la menace. Tandis que les mâles adoptent des réactions différentes selon s'ils font face à un ou plusieurs prédateurs, les femelles, plus lentes, préfèrent rester immobiles pour passer inaperçues.

Au sommaire des ultrabrèves du 2 janvier 2025 : le jeûne intermittent aurait des effets inattendus sur les cheveux, la première preuve directe de la peste noire en Egypte ancienne et des scientifiques observent "un temps négatif" grâce à des expériences quantiques.