Quand je revoie des films comme WarGames ou Hackers, je me rends compte que je suis un poil nostalgique de ces écrans noirs avec du texte vert, des modems qui crapotent, et de la magie des connexions longue distance sur des réseaux qui tenaient avec du scotch et des prières… Hé bien cool pour moi (et pour vous, si vous avez la même pathologie de moi) y’a un taré des Internet qui a recréé tout ça, et c’est jouable directement dans votre navigateur.
Ça s’appelle Telehack
, et c’est une simulation complète de l’ARPANET et d’Usenet tels qu’ils existaient entre 1985 et 1990. Le site propose 26 600 hôtes virtuels, des milliers de fichiers d’époque, des jeux d’aventure textuels, un interpréteur BASIC fonctionnel et même des utilisateurs historiques reconstitués à partir de vraies archives. Le créateur, connu uniquement sous le pseudo “Forbin” (une ref au film “Le Cerveau d’acier” de 1970), a vraiment pondu un truc de dingue que vous devez tester absolument !
Le plus beau dans tout ça, c’est que vous pouvez vous y connecter comme à l’époque. En telnet sur les ports 13, 1337 ou 8080, en SSH sur le port 2222, et même… avec un vrai numéro de téléphone américain (+1 213 835-3422) accessible en modem analogique 14,4 kbps. Pour les nostalgiques du grésillement, c’est du bonheur.
Une fois connecté, vous vous retrouvez donc avec une invite de commande minimaliste. Tapez ensuite netstat pour voir la liste des hôtes accessibles, puis telnet pour vous connecter à un système distant, ou dial pour composer des numéros de téléphone virtuels comme un vrai phreaker des années 80. Y’a même des outils de hacking d’époque comme wardial.exe et porthack.exe pour progresser dans le jeu et débloquer de nouveaux systèmes.
Côté contenu, c’est également un vrain musée vivant. Toutes les archives Usenet intégrées proviennent de la collection d’Henry Spencer, un type de l’Université de Toronto qui a sauvegardé plus de 2 millions de messages entre 1981 et 1991 sur 141 bandes magnétiques récupérées de justesse avant d’aller à la poubelle.
Ces messages sont les plus anciens posts Usenet encore existants, et vous pouvez donc les lire directement dans Telehack. C’est pas ouf ça ?
Pour les amateurs de jeux, y’a
Zork
, Adventure et tout un tas de jeux en Z-code jouables directement. L’interpréteur BASIC inclus permet également d’exécuter des centaines de programmes historiques et si vous aimez
Star Wars en ASCII
, le film complet en animation texte est disponible.
D’ailleurs, la simulation au sein de Telehack va assez loin dans le réalisme puisque comme je vous le disais, les utilisateurs historiques sont reconstitués à partir de vraies archives UUCP de l’époque. Vous pouvez faire un finger @host sur n’importe quel système pour voir qui est “connecté”. Les mots de passe des systèmes sont volontairement faibles (secret, love, trustno1…) comme c’était le cas à l’époque et le côté hacking vous fera gagner des badges (HACK5, HACK10, HACKER) au fur et à mesure que vous compromettez des systèmes.
Telehack est passé à ce jour d’un petit projet en 2010 à une communauté de plus de 50 000 utilisateurs et vu la qualité du truc, c’est mérité. Pour ceux qui ont connu cette époque ou ceux qui veulent comprendre comment c’était avant le web, c’est une expérience unique, les amis !
Pour y accéder :
telehack.com
dans votre navigateur, ou telnet telehack.com si vous voulez faire les choses proprement. Enjoy !
Du moins pour un indexeur Usenet privé, pour l’instant.
J’utilise Stremio en ce moment pour la VoD et comme j’adore un certain site lié à Usenet, je voulais pouvoir en profiter aussi comme ça.
UseFlow-Fr n’est pas un addon de stream. Il récupère les derniers référencements via un flux RSS et les arrange dans des catalogues pour Stremio.
Pour streamer ces contenus via BitTorrent/débrideurs j’utilise StreamFusion et pour Usenet je passe par le tout frais addon Usenet-Streamer qui utilise à son tour le fantastique NZBdav (cf le blog pour des tutos à ce sujet).
C’est un film d’ILLUSTRATION, je ne regarde PAS ça ! ^^’
Les catalogues sont aussi en Découverte
Et comme c’est mon kiff, j’ai ajouté les notifications Discord suite à une synchronisation, avec ou sans les affiches des derniers contenus répertoriés. Merci à ChatGPT qui m’a trouvé la solution pour créer le visuel des 5 affiches pour Discord.
Pour l’instant ça ne peut gérer, du moins testé à 100%, qu’un flux RSS précis que sans doute peu de lecteurs auront. Je prévois d’étendre le support de flux RSS personnalisés mais le parsing des flux est souvent problématique (à mon niveau de compétences) parce que souvent différent selon le site… Je vise à tout le moins l’ajout de contenus à mon catalogue de Documentaires, en étant un gros consommateur.
Je me suis récemment remis sur Stremio notamment en présentant les addons que j’utilise et pourquoi/comment avec leurs composes, sur GitHub, pour pouvoir le faire rapidement de votre côté soit en console soit via DockeGE ou équivalent. Je viens de publier un article sur NZBdav, que j’utilise depuis des semaines, qui permet de streamer du contenu depuis Usenet. Donc, en toute logique, voici comment lier les 2
Grâce au boulot de Sanket qui a créé UsenetStreamer, on peut ajouter NZBdav comme source de flux à Stremio, comme StreamFusion, Comet etc. Il suffit d’avoir également un moteur de recherche de .nzb (logique) tel que Prowlarr ou NZBhydra, je préfère ce dernier.
ATTENTION si vous gérez vos flux avec un cache, tel que Stream Prefetchers comme moi, ça va appeler un bon nombre de .nzb qui seront chargés dans NZBdav, parfois en échec car incompatibles avec du coup une nouvelle recherche. Ce qui induit un grand nombre de hits et/ou téléchargements via Prowlarr/NZBHydra auprès des indexeurs Usenet dont les limites sont fonctions des dons ou abonnements. Il y a un risque de consommer inutilement ces quotas simplement du fait de la mise en cache des contenus des catalogues.
Quand on ouvre la page d’un film ou d’un épisode de série, tout comme StreamFusion lance la recherche du média chez AllDebrid (dans ma config), UsenetStreamer va la lancer sur NZBhydra et afficher le retour sur Stremio. Je passe StreamFusion et UsenetStreamer dans AIOStreamers pour modifier le rendu de la liste des releases ET filtrer l’affichage des rlz : 1080/1440/2160p, FRENCH/MULTI, j’exclus les mots complete.bluray et bluray (pour éviter d’avoir des .iso depuis mes indexeurs Usenet) et je tente de trouver le bon combo de filtre du nombre de résultats par addon et résolution pour avoir une liste courte de releases à lancer (sinon j’en ai par exemple eu 64 tout à l’heure ce qui est complètement inutile). – c’est encore perfectible –
On lance le film, ici depuis Usenet, NZBdav charge le .nzb et ça stream de suite dans Stremio. Il faut pour ça un .nzb compatible : sans archive (donc fichier posté sans compression). NZBdav prend en charge les mots de passe.
Et si on tombe sur un .nzb non compatible, il suffit de changer de release puisqu’on en liste quelques-unes de différentes sources. On remarque au passage que cette vidéo est faite par l’IA…
EDIT 18.11.25 : Usenet-Streamer intègre maintenant parfaitement NZBHydra et permet également de trier les résultats par qualité puis taille ou langue puis qualité puis taille. On peut également filtrer sa langue préférée (1 seule) et définir -ou non- une taille maximale de release.
Pour l’installer il faut suivre les recommandations du GitHub, voici à titre d’exemple mon setup avec NZBHydra. Je l’ai ajouté à ma stack sur GitHub.
services:
stremio-usenetstreamer:
container_name: stremio-usenetstreamer
restart: always
ports:
- 32867:7000
environment:
INDEXER_MANAGER: nzbhydra
INDEXER_MANAGER_URL: http://192.168.0.163:5076
INDEXER_MANAGER_API_KEY: NBFQU9ECCN9PIBE6ES00HI1901
# INDEXER_MANAGER_INDEXERS: xxx
# ne fonctionne pas chez moi, du coup je n'ai activé que l'indexeur que je sais le plus compatible avec NZBdav
ADDON_SHARED_SECRET: blahbluhbloh
NZBDAV_URL: http://192.168.0.163:3029
NZBDAV_API_KEY: 8bc33968842a4257891521d29ba0fb36
NZBDAV_WEBDAV_URL: http://192.168.0.163:3029
NZBDAV_WEBDAV_USER: xxx
NZBDAV_WEBDAV_PASS: xxx
NZBDAV_CATEGORY: Stremio
ADDON_BASE_URL: https://stremio-usenetstreamer.xxx.xxx
image: ghcr.io/sanket9225/usenetstreamer:latest
labels:
- com.centurylinklabs.watchtower.enable=true
nzbhydra2:
image: lscr.io/linuxserver/nzbhydra2:dev
container_name: nzbhydra2
restart: always
network_mode: container:gluetun-airvpn
environment:
TZ: Europe/Paris
PUID: 0
PGID: 0
volumes:
- /home/aerya/docker/nzbhydra2/data:/config
labels:
- com.centurylinklabs.watchtower.enable=true
L’URL de mon addon pour l’ajouter à Stremio sera donc https://stremio-usenetstreamer.xxx.xxx/blahbluhbloh/manifest.json
Bon… j’ai commencé la rédaction ce matin, il est 16h, et entre temps il a publié une version :dev, qui n’a rien à voir ^^ Exit la configuration via les variables, c’est passé en format WebUI ! C’est bogué pour utiliser NZBHydra, il faut passer par Prowlarr, voici le nouveau compose
Je n’active pas le health check, NZBdav s’en occupant déjà avec sa fonction Repair.
Pour vous donner une idée, voici les médias que j’ai lancés dans Stremio pour ce test
Et les stats de NZBHydra pour l’unique indexeur utilisé
Il me semble dangereux d’utiliser une mise en cache pour UsenetStreamers. Étant seul, ou au pire 2 avec Madame, sur Stremio, je peux aisément me passer du cache. Si vous faites de la revente du partage en famille ou entre amis, ça peut être plus compliqué. Et pourtant je pense qu’en terme de qualité de service, le cache peut avoir son intérêt. À creuser !
Déjà fan du streaming dans Plex/Jellyfin depuis des .torrents via Decypharr (pour lequel je propose le compagnon de seed DecypharrSeed), j’avais à l’époque testé Decypharr-Usenet qui donnait des résultats corrects. Le streaming depuis Usenet est prégnant depuis plusieurs mois, divers projets se succèdent et, pour moi, le plus abouti est NZBdav (trouvant AltMount trop… instable).
Il faut évidemment un accès à Usenet via un FAU (je suis chez Eweka, lien sans sponsoring) et un indexeur de .nzbs qui référence des .nzb compatibles (sans archive).
Il agit comme un client de téléchargement SABnzbd pour les *arrs, à la manière de Decypharr, et s’il tombe sur un .nzb non compatible, il remonte alors le fichier en erreur à Radarr/Sonarr qui cherche une source alternative.
Ça s’installe en 2-2 avec Docker, voici mon exemple de compose avec le montage rClone dans lequel peuvent aller lire Plex/Emby/Jellyfin/Radarr/Sonarr/whatever.
Sur l’accueil sont listés les derniers .nzb chargés, leur état et leur catégorie (« Stremio » c’est pour un artricle à venir). Pour Radarr et Sonarr on verra leurs catégories Movies et Shows.
On peut parcourir le WEBdav qui est monté par rClone, selon ma configuration, dans /mnt/nzbdav
Les arrs (ou CineSync) viennent taper dans /mnt/nzbdav/content/xxx pour organiser/copier/symlinker les fichiers dans des bibliothèques lisibles dans Plex/Jellyfin.
NZBdav possède également une option de réparation (quand c’est possible, via les .par2)
Une ancienne version de Decypahrr permet de l’utiliser avec Usenet. Non maintenue, je ne recommande pas de s’en servir pour BitTorrent.
J’ai testé sur une petite machine et ça marche mais ça consomme 100% de mon CPU en cas de transcodage couplé au téléchargement sur Usenet. Mais c’est fonctionnel avec les .nzb compatibles (pas de mot de passe, par d’archive). À l’époque j’avais Usenet-Drive ou encore nzbDAV sur un serveur plus robuste et ça passait très bien même en avance rapide.
Nous sommes dans le cas d’un montage de .nzb « streamable », il n’y a donc aucun debrideur à ajouter.
Le compose que j’utilise build le Dockerfile puisqu’il n’y a pas d’image de publiée et s’occupe du montage rClone du WebDav, celui-ci n’étant pas inclus dans l’interface. Il faut au préalable avec sa config rClone, qu’on peut créer à la main dans rclone.conf :
[decypharr-usenet]
type = webdav
url = http://192.168.0.163:2828/webdav/usenet
vendor = other
user = ""
pass = ""
URL : l’IP et le port de la WebUI de Decypharr tel qu’indiqué dans le compose
Ici je n’utilise pas de user:pwd pour l’accès à la WebUI de Decypharr. Si vous voulez le faire, il faut y mettre un pwd chiffré :
Je connaissais torbox.ch et quand j’ai vu passer « TorBox » j’étais intrigué au sujet du streaming.
TorBox.app est de ces projets qui naissent de passionnés comme Ultra.cc ou Feral Hosting. Voire TPB ou Mininova, précurseurs en leur temps et qui ont pris les tournures qu’on leur connaît. Les liens vers TorBox.app dans cet article contiennent mon lien d’affiliation. Article non sponsorisé. J’ai souscrit à une offre Pro à 12.50€ TTC/mois.
TorBox.app se présente comme un service de seedbox moderne, Freemium et très porté sur, et par, sa communauté. Comptez 12.50€ TTC en souscription mensuelle via Patreon pour un compte Pro, qui donne donc accès au téléchargement de .nzb (potentiellement plus besoin de FAU donc). Tout est Open Source et disponible sur GitHub.
Ce service est conçu pour fonctionner comme source pour Stremio mais fonctionne également de base avec Kodi, Infuse et VLC ou MPV, ils expliquent comment utiliser leurs services avec Google Drive, OneDrive et Stremio, d’ailleurs leurs FAQs sont bien faites (pour qui parle anglais, mais on est en 2025), ils ont une communauté importante (Reddit, Discord), et ça fonctionne comme AllDebrid, RealDebrid etc pour le téléchargement et la mise en cache.
Ils ne sont pas en reste niveau fonctionnalités notamment liées au streaming via Stremio et se démarquent de la concurrence ou des autres services tels qu’Ultra.cc, Feral, AD, RD etc. Pour les geeks, Whamy propose une API complète.
While TorBox is built specifically for torrents, TorBox has also expanded as well, meaning there are all sorts of new things in store for the users of TorBox.
Downloads
Torrents
Web Downloads/Debrid
RSS Scheduled Torrents
Queued Downloads
Usenet Downloads
High Speed Downloads
Add to Download Manager
Add to Google Drive
Add to Dropbox
Add to GoFile
Add to 1Fichier
Add to Mega
Services
Mobile Companion App
API
WebDAV
FTP
Stremio Addon
Discord Bot
Telegram Bot
Notifications
Email Notifications
Web Notifications
Mobile Push Notifications
RSS Notifications
Discord Notifications
Telegram Notifications
JDownloader2 Notifications
Webhook Notifications
Bon, rien de magique non plus, pour maintenir leur qualité de services et leurs prix, ils ont mis en place certaines limites notamment de transferts mensuels.
Quels sont les seuils ?
Nous ne communiquerons pas les seuils absolus, et il n’est pas réaliste d’annoncer les seuils dynamiques, car ils évoluent selon l’usage global des utilisateurs. Si plus d’utilisateurs consomment davantage de bande passante, alors le seuil dynamique augmentera, permettant à chacun d’utiliser davantage. À l’inverse, si beaucoup d’utilisateurs réduisent leurs téléchargements (au profit, par exemple, d’un cache de plus en plus efficace), alors le seuil dynamique baissera.
Les seuils ne descendront jamais en dessous des niveaux suivants :
Offre gratuite (Free) : 5 To par mois
Offre Essential : 10 To par mois
Offre Standard : 20 To par mois
Offre Pro : 30 To par mois
Ces valeurs ne représentent ni un plafond autorisé, ni une représentation précise du seuil dynamique. Ce sont simplement les valeurs minimales garanties : tant que vous restez en dessous de ces niveaux, vous êtes assuré de ne jamais recevoir d’avertissement.
Grâce au seuil dynamique, vous pouvez largement dépasser ces niveaux sans souci, mais ce sont les limites minimales en dessous desquelles vous ne risquez jamais rien.
Le seuil dynamique a été conçu pour que l’utilisateur moyen, voire l’utilisateur intensif, ne le rencontre jamais.
Ils ont été un peu échaudés par des hoarders pour Plex/Jellyfin. Ces limites restent toutefois très convenables même pour ceux qui « dépannent » leurs familles et amis (moyennant finance) avec des flux vidéos.
L’interface est sommaire mais efficace.
Ici, pas d’installation d’applications, c’est une pure seedbox qui permet de télécharger et stocker du .torrent et du .nzb pour les utiliser avec nos applications auto-hébergées ou des services tiers.
Moi ce qui m’intéresse là-dedans c’est DebriDav, qui fera l’objet d’un autre article. C’est comme RDT-Client » mais pour BitTorrent et Usenet. Et je veux utiliser TorBox avec Plex ou Jellyfin pour Usenet, avec un fallback BitTorrent au cas où.
Comme je le disais plus haut, ils ont un centre de support très complet, un bot de SAV sur Discord, en sus des utilisateurs qui aident tous les jours.
On peut également utiliser les liens magnets y compris avec leurs extensions pour navigateurs, comme par exemple pour Firefox (aperçu Reddit).
Il existe aussi une application TorBox Manager à auto-héberger : GitHub / Reddit.
Très bien pourvu en options
Et franchement, c’est top !
Ils proposent plusieurs CDN (US, EU, APAC) pour qu’on dispose du meilleur accès aux fichiers. Nous avons aussi les options pour Stremio.
Outre les options de base (résolution, langue), on peut sélectionner si l’on veut des fichiers uniquement en cache ou aussi en téléchargement, si on veut seeder ou non les .torrents qu’on ajouterait (pourquoi pas ?!), si on privilégie Usenet ou BitTorrent.
Pour se faire sa VOD personnelle façon IPTV, Stremio suffirait bien. Et avec ses options, c’est simple !
Et on peut ajouter des instances Jackett, Prowlarr et NZBHydra. Ils font la pub pour ElfHosted mais on peut aussi ajouter ses propres instances pour utiliser TB comme outil de téléchargement et stockage avec ses sources.
Test avec un .nzb. On peut soit envoyer le fichier soit coller son URL (et ça marche avec « YGG »)
Il a dépassé les 500MBs en téléchargement. J’avais demandé le post-processing classique de réparation/décompression/suppression.
Je me fais confirmer par le support que les serveurs sont en cours d’upgrade, sans délai, et que pour l’instant ça peut en effet ramer pour des .nzb de près de 100Go.
large files like 84 gb files take a bit of time to process unfortunately. The Servers are actually being upgraded, and soon it’ll be a lot faster (no eta though)
Ça fait maintenant plus de 15 jours que cet article est en rédaction et c’est bon, les serveurs ont été upgradés, les services revus.
Malgré un SAV géré notamment via un bot, en sus du Staff, TB rencontrait pas mal de soucis
On peut d’ailleurs suivre les incidents et leurs résolutions via la page dédiée.
Torbox me permet de télécharger un .nzb de 79Go en moins de 10 minutes, avec un débit moyen de téléchargement de 160MBps, auxquels il faut ajouter 4 minutes de post-traitement (il était posté avec archives, ce qui est de moins en moins le cas). C’est bien plus rapide qu’à l’époque ! Malgré une vitesse de DL plus faible.
Je viens de lancer un petit fichier de 4GB postés sans compression. DL à 1GBps et post-traitement en quelques secondes !
Et le changelog du moment fait la part belle aux animes notamment et ajoute TB comme source de recherche de contenus pour les *arrs. Faut pas s’attendre à trouver de suite beaucoup de contenus FRENCH/MULTi cependant, les francophones étant plus sur AllDebrid/RealDebrid.
In v7.4 we introduce: Kitsu compatibility (among other popular catalogs compatibility), Better Voyager Search API metadata (for developers), Nyaa and Animetosho trackers built in for better anime stream results, Much faster stream searches with BYOI, Torznab and Newznab endpoint for searching via Arrs or NZBHydra2, Over a dozen new filehosters to download from, Optimized API endpoints with some savings resulting in more than 300% faster start times, Faster stream start times ^, More Stremio settings, More performant dashboard, Seemingly infinite amount of bug fixes and minor changes.
Au final, TorBox est un beau projet. Dans la gamme de prix des seedboxes complètes typées Ultra.cc, FeralHosting etc, TB propose un service différenciant et complètement clés en mains pour le streaming facile via Stremio avant tout. Certes, on ne peut y installer d’application contrairement à certains concurrents mais le service comprend tous les outils pour chercher, télécharger, partager, stocker et consommer des contenus numériques, qu’on soit amateurs de Stremio, Kodi, Jellyfin, Plex… et avec ses propres indexeurs ! Avec une communauté élargie et dynamique, un support réactif et sympathique, TorBox est une belle découverte et j’espère leur voir un avenir au niveau, justement, d’Ultra et Feral.