Avec “Nelken“, les œillets de Pina Bausch refleurissent à l’Opéra de Lille | Les Inrocks
Je sors de cette pièce. Ou plutôt j'ai fui cette pièce. Et si les faits qui y sont décrits sont justes, j'en retiens un foutoir incompréhensible où les seules émotions que j'ai pu y attraper sont négatives. La peur, l'angoisse, l'oppression, voilà ce que j'ai ressenti dans un spectacle qui, malgré ses oeillets, ne parle que du totalitarisme et de l'absurde d'un monde déséspéré.
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